tip1979

J'ai 16 mm cette nuit (21h - 06h30) après les 8 mm tombés entre 17h et 21h et là la pluie n'est que 6 km au sud.

Encore une quinzaine de mm depuis hier soir 18 heures, mais ici 2024 peine à rattraper 2014 pour le cumul. Je ne m'embête pas, en fin de printemps je fais des feux de maintien d'une température minimum du RDC, (fréquence variable) en attendant la montée franche de la moyenne journalière. 2013 dernier feu le 23 juin pour l'optimisme que celui de ce matin est le dernier de 2024 si j'en crois les norvégiens

L'impact des contraintes financières serait sans doute à évaluer sur la fréquence du phénomène. Il est quasi impossible aux avions de ligne de contourner un cumulonimbus par dessus.

J'ai perçu deux fois les actions prudentes du commandant de bord devant des cumulonimbus tropicaux. Une fois par retard au décollage pour éviter que la colossale barre noire au nord, passe au sud de Tahiti et dégage la route vers Los Angeles et une autre fois lors d'un retour vers Tahiti plus ou moins dans la ZCIT, au réveil la trace du parcours de l'avion faisait une petite boucle incomplète , mes lectures de 2009 sur l'AF447 m'ont immédiatement donné une explication à cette "déviation", aucune idée du diamètre de l'évitement. Après l'incident de mon vol, j'ai toujours voyagé attaché, pensé à une solution d'accroche lors des déplacements en vol et une main au plafond en sécurité dans la petite pièce à la porte pliante. Quelques décennies de navigation par tous les temps (sauf glace et cyclone tropical) sur des navires "très marins" donnent une aide sur la façon d’appréhender la chose. Remarque avant l'avion, sur un navire j'avais déjà fait ma seconde impesanteur, cherchant une accroche sachant que cela n'allait pas durer.

J'ai eu ça, il y a bien longtemps, 747 au départ de San Francisco direction Paris, en pleine distribution du repas. J'ai tapé dans les coffres à bagage, pris mon jus d'ananas goutte à goutte sur la tête à la redescente et bien mis 2 mn à m'attacher, en retenant ce qui restait de mon plateau. Le casier de l'hôtesse est retombé à l'envers, télés décrochées, la commandant de bord a cherché un médecin dans l'avion.... Ça dure moins longtemps que le mauvais temps sur un navire, mais j'attends toujours mon café et les fillettes de rouge sont venues régulièrement me cogner les pieds pour se faire boire.

Pour l'instant à peine quelques gouttes en lisière des cellules, mais le chien est beaucoup plus inquiet qu'hier au kurun.

23mm sous l'orage.

C'était déjà bien identifié avant "la Science", un par chapelle.

J'ai 42 mm ici pour l'épisode, 593 mm depuis le début de l'année, 2ème plus pluvieuse derrière 2014, 663.7 mm à la même date.

Je ne regarde plus les prévisions de MF depuis longtemps, je me contente du site et de l'appli de yr.no/en (en anglais) et de meteociel pour mon coin, cela fait plusieurs jours qu'ils "m'avaient" prévu des pluies continues pour ce lundi avec cumul important. Je suis à plus de 28mm et vu le radar et le déplacement, il faut que j'aille vider les pluviomètres.

Je ne dirai rien de mieux sur la station que la doc (complète en anglais chez Gill) de la station disponible en ligne chez mon vendeur. L'interface de donnée y est également décrit.

Ici, j'ai perdu 1.5°C en 18mn, après la première grosse pluie.

Bonjour. J'ai 36-37 mm, sur 24h et une température (12.7°C) qui est restée quasiment constante cette nuit, à 100% d'humidité. Le danger, c'est surtout les branches cassées en novembre qui ne sont pas tombées au sol, le risque va durer jusqu'à ce que tout ait suffisamment pourri pour que ça tombe plus facilement. L'éclaircie du début de matinée va finir, l'humidité baisse fortement

Mon installation ne présente aucun intérêt pour la météorologie, je suis dans un endroit abrité des vents par les bois alentours et c'est un montage en classe 5+. La station est 1, 2 m au dessus de la crête du toit sur un petit mât fixé à la souche d'une cheminée (+/- 8 m de haut). La station "tout en un", fait le vent sonique, la température, la pression et l'humidité, mon besoin pour mes "études de chauffage" . J'ai pris du matériel professionnel parce que je ne voulais pas monter fréquemment sur mon toit. L'alimentation par batterie (le câble boitier/station utilise le conduit de cheminée), c'est pour continuer à avoir le vent quand la chute des arbres coupe le courant. Le fait de ne pas dépendre d'un abonnement autre pour mes données était aussi dans l'équation (accessoirement, la chute des arbres coupe aussi le téléphone). Dans les 3000€, je n'ai plus la somme exacte en mémoire.

Depuis 3 ans, j'ai une station GILL Maximet reliée par câble à un boitier Metstream, que j'ai pris sans l'option WIFI. Le Metstream est relié par câble Ethernet à ma box et je charge les données sur mon ordinateur par un programme spécifique de Gill instrument. Par ce programme, j'ai l'option de diffuser sur le WEB ou pas, le programme assure aussi la présentation des éléments météo. Le Metstream assure une durée de stockage variable en fonction de la fréquence des mesures à 1/s j'ai plus de 3 mois avant que la plus ancienne soit écrasée. Ça télécharge un gros fichier .csv que je traite dans OpenCalc. La station est alimentée par la Metstream, lui même alimenté par une batterie 12V munie d'un chargeur qui assure un entretien de charge permanent. Cela remplace le petit transfo 220/12V fourni avec le boitier. Par contre je n'ai pas pris à l'époque le programme qui permet de paramétrer la station, ça dépassait ma compétence, c'est la société qui m'a vendu la station qui l'a fait.

Ne pas oublier le début de février 2004, (Lorient) l'ambiance était plus printanière et lumineuse que la poisse actuelle qui fait verdir les maisons.

29mm sur 24h, 120mm pour décembre, mais surtout j'approche le cumul annuel record de 2014 (1151 vs 1173mm), avec une répartition des précipitations bien différente. Le puits est à 5,64m d'eau (record absolu 5.74m), sources temporaires partout, remonté de 1.4m en une semaine (116mm) Le maïs semble abandonné à son sort, même les engins à chenilles ne se risquent plus. La meilleur preuve de la douceur, il y a encore des mouches dehors.

J'ai eu 45 mm sur 24h (17-17). Puits en remontée rapide +84cm depuis lundi

Non, voir à la Poste: Finistère, Autres directions L'air plus sec depuis deux jours est apprécié

1006 mm depuis janvier avec les +9mm d'aujourd'hui, deuxième cumul le plus fort après 2014, Le puits n'a jamais été si haut un 18 novembre (>2006) mais ce n'est pas le record de précocité (2019). Sur 30 jours glissants je suis à 286mm en baisse des 305mm de jeudi.

Ma conclusion, le chêne qui a poussé à partir de la souche (disparue en champignons) d'un chêne tombé en 1987 a été étêté, mon problème est maintenant d'éviter que le cimier coincé en hauteur me tombe sur la tête, lors d'un prochain coup de vent.

21mm entre 17 et 06h, le niveau de mon puits est au delà du débordement dans le champs en contrebas. La ligne électrique a été réparée aujourd'hui, mais l'équipe a délibérément laissé une branche cassée appuyer sur la ligne qui traverse la route. Elle devrait tomber sur un pare-brise un jour quand la jonction qui la retient à l'arbre aura suffisamment pourri.

Les indices météo mesures ce que mesures les indices météo, il me semble qu'il y a en plus une littérature sur la fiabilité et la position des anémomètres dans ce fil. Ici c'est bien moins fort bien que les dégâts aux arbres soient considérables, en particulier, à 7/8 km de la mer je n'ai pas de sel sur mes fenêtres cette année et la végétation, mon sapin a pris les deux tempêtes ne semble pas brûler sous l'action du sel (peut-être plus de pluies après ?) Le toit d'une grange locale est partie à 50% en 1987, en 2023 les dégâts à la grange se résume à quelques ardoises qui sont partie de la partie qui avait survécu à 1987. Les dégâts aux clochers locaux sont quasi nul contrairement à 1987. D'un autre coté, des arbres que je connais depuis toujours et de bien avant 1987 ont soufferts, 40 de croissance en sus ne sont sans doute pas étrangers à leur sort. De mon coté pour les dégâts je suspecte plus la direction du vent au moment du paroxysme que leur force.

Instructions nautiques pour la zone "Mauvais temps permanent de septembre à mars". En cours !

1987, 6 jours, vingt heures, en 1999 certains dans le sud-ouest en ont eu pour 3 semaines. Le FIRE électricité visant au max 5 jours pour le rétablissement a été crée après 1999, elle est en deuil ce matin à quelques km de chez moi.