Aller au contenu

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

thib91

Adhérent Infoclimat
  • Compteur de contenus

    13 328
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    11

Tout ce qui a été posté par thib91

  1. Le néant météo se poursuit par ici, douceur encore et toujours et un ciel le + souvent gris avec quelques pluies par moment. Ce devrait être à nouveau le programme de la semaine, rdv qd il se passera quelque chose (?).
  2. Rassurez vous amis du Roussillon tout ceci est derrière vous, c'est le grand Régis qui nous le dit....
  3. Qui sait, peut être un mois de mars et d'avril sans gel également ? Une dernière gelée fin janvier à Nancy ce serait tellement symbolique de l'emballement du RC.
  4. Ahhh les invasions continentales froides au delà de J+7 sur les déterministes, il y a en eu combien qui ont été modélisés ces derniers hivers et qui ont abouti? Je vous invite à regarder les ensemblistes pour l'échéance on évitera ainsi de se se faire peur tant ce type de scénario est minoritaire par rapport à la probabilité de ressortir les manches courtes en terrasse sous un doux soleil printanier ou le retour d'un temps humide et doux avec un talweg approchant par l'ouest.
  5. Oui je posterai un graphique plus tard mais au niveau des anomalies normalisées (écart type), sur une durée de 30 jours, on a connu ces 2 dernière années les anomalies les + fortes jamais enregistrées en hivers (19 décembre - 17 janvier 2023 et du 23 janvier au 21 février 2024). Les hivers qui avaient encore en partie résisté au RC avec des anomalies certes positives mais encore contenues sont en train de lâcher également. Je pense que ce n'est que le début d'une série de douceur hivernales qui va sûrement se poursuivre et peut être s'amplifier dans les prochaines années, à l'image de ce que sont devenus nos étés depuis 2015. Bref rien de réjouissant sachant que ces periodes s'accompagnent d'un temps sans agitation. Globalement il ne se passe plus rien en hiver par ici 😃 on est totalement passé au travers des épisodes neigeux qui ont eu lieu en 2022, 2023, 2024 ; il n'y plus de régime de traîne active avec cieux esthétique, plus de VDF, plus de tempête, plus de brouillard givrant, seulement de la grisaille douce entrecoupés de perturbations pluvieuses + ou - actives et 1 à. 3 fois par hiver une poignée de jours un peu froids. Je ne trouve plus bcp de satisfaction au suivi de la météo depuis quelques mois/ années et ce nouvel hiver sans saveur ne fait que confirmer mon ressenti.
  6. Voici les épaisseurs maximales de neige au sol pour la Gironde le 25 janvier 2007: 2010
  7. L'équation énergétique n'est pas résolue effectivement, lire à ce propos la bd "Le monde sans fin, miracle énergétique et dérive climatique" qui pose très bien les enjeux autour de l'énergie et leur articulation avec la question climatique. La voiture électrique et autres les espoirs technosolutionnisme ne sont que des chimères.
  8. 63/64 exceptionnellement sec, en février enneigement très faible à nul à tous les étages. Malgré un mois de novembre hyper-humide mais doux, le reste de l'hiver est exceptionnellement anticyclonique, très sec mais froid. Mars rattrapera un peu la saison avec retour de l'humidité, d'abord dans les AS puis massifs pré-alpins (30cm vers le 10 mars à Villar de Lans, 15cm à Samoëns vites fondus). En revanche rien dans les massifs internes avant fin mars et neige uniquement en altitude (>2000m). 2024 ressemble à une configuration à hiver doux et humide. A l'échelle des Alpes généralement moyen voir mauvais sous 1500m mais bien enneigé au delà et très bon en haute montagne, avec souvent une différence entre massifs internes mieux enneigés et + bas et massifs externes souvent à poil jusque assez haut. On est dans cette configuration pour cet hiver 2023/2024 mais avec un RC ++, du coup la limite des 1500 semble être plutôt en moyenne à 1800m voir 2000m (avec tjrs des différences entre massifs, à l'avantage des alpes internes).
  9. Oui comme la plupart des stations principales du NE, il n'y a jamais eu de mois de février sans gel, probablement depuis + de 100 ans. Pour Besançon depuis 124 ans, la tnn la + haute fut de -0,2° en février 1961. A suivre car il y a une fenêtre pour du gel jeudi matin, mais encore de l'incertitude pour Besançon notamment liée à la nébulosité. Cela semble + probable pour Nancy et Strasbourg, mais c'est encore du j+2/3 et cet hiver rien n'est acquis (si ce n'est la douceur et l'humidité), l'ensembliste a encore le temps de changé d'ici demain matin en revoyant le risque de gel à la baisse.
  10. + inquiétant, la Nature au bord de l'explosion, une avance exceptionnelle peu vu voir inédite peut-être (?). Jusque la semaine dernière c'était encore contenu, je pense lié au très faible ensoleillement et l'humidité constante qui malgré la douceur empêchait un vrai démarrage. Mais tout était prêt, les quelques rayons de soleil du week-end ont fait leur travail d'accélérateur, il faut désormais espérer un mois de mars et avril sans gel marqué.
  11. Je pense surtout qu'il y a un biais de lecture des modèles, avec une focalisation sur les déterministes à j+4/5 surtout lorsqu'ils sont "favorables" niveau neige et froid, en jetant un oeil trop rapide aux ensemblistes et surtout au contexte global qui donne des indications sur la potentielle fiabilité des prévisions. Cet hiver les ensemblistes ont souvent présenté des scénarios assez éclatés au delà de j+3 pour les situations "à potentiel". Ce qui au final est assez logique vu que ces situations ont souvent été entrevues dans des régimes NAO-, dont la prévisibilité à échelle fine est souvent mauvaise à CT, ou des séquence de transitions un peu bâtarde entre régimes, elles aussi soumises à une prévisibilité habituellement assez faible à court ou moyen terme.
  12. Pour illustrer le ressenti de @DoubleKnacki et ce que je disais par rapport à un ressenti nettement moins évident sur certains régions. En refaisant le même schéma pour Bordeaux. Forcément la fréquence des épisodes neigeux devient vraiment très faible comparativement aux stations du NE et du CE postées plus haut. Même dans les années prè-1990 il peut se passer plusieurs années voir près de 10 ans sans qu'il ne soit mesuré au moins 1 cm de neige au sol. On constate néanmoins une tendance, il y avait tous les 10 ans environ 1 ou 2 épisodes à + de 5cm et probablement (avant que le RC ne s'emballe) tous les 20 à 30 ans un épisode "majeur" à + de 10cm. On constate l'anormalité de février 1956, un événement neigeux à la période de retour probablement centaine voir pluri-centenaire. Également le duo janvier 1985 et janvier 1987 tout à fait remarquable par la séquence de neige au sol, 11 jours successifs en 1985 et 15 jours en 1987! Aucun hivers froids des années 1960 et 1950 ne fait mieux.
  13. Grenoble-Saint Geoirs On est pas vraiment à Grenoble mais plutôt sur le secteurs dit des "Terres Froides" correspondant aux plaines et plateaux de l'ancien Dauphiné situées au pieds des massifs de la Chartreuse et du Vercors entre Lyon et Grenoble. Contrairement à Lyon ou Ambérieu, le secteur présente une plus grande rusticité climatique liée à des altitudes déjà relevées (300 à 600m en moyenne) et une humidité + forte. Cette plus grande rusticité est bien visible avec une fréquence déjà accrue des épisodes neigeux, à presque 400m d'altitude la neige au sol se manifeste habituellement plusieurs fois par hiver avec presque annuellement un épisode de neige au sol durant au moins 1 semaine à 10 jours successifs et (avant 1990) 2 à 3 fois par décennie une bonne vingtaine de jours. Ceci dit comme partout on perçoit une inflexion assez net au tournant des années 2010, avec un baisse sensible du nombre de "petits" épisodes lors des saisons hivernales. Il n'est désormais pas rare de ne connaître plus qu'1 ou 2 petits épisodes par hiver, durant à peine une poignée de jours. Compte-tenu du caractère humide du secteur, il existe toujours des épisodes apportant 10 à 20cm mais ces derniers sont moins fréquents et la neige se maintien + difficilement au sol. En chiffres: Au niveau de la répartition saisonnière, comme partout dans les plaines du centre-est c'est en décembre et janvier que l'on retrouve les + gros épisodes, avec en point d'orgue l'extraordinaire décembre 1990 et fin décembre 1970. Petite particularité du secteurs, les épisodes tardifs et précoces. On retrouve notamment une fréquence assez élevée d'épisodes neigeux en Avril, celui de 2005 étant lui aussi extraordinaire. On note d'ailleurs la succession en 2018 et 2019 d'épisodes neigeux précoces significatifs (6cm le 30 octobre 2018 et 23cm le 15 novembre 2019).
  14. Lyon-Bron Je reprends le texte de @mottoth qui résume bien ce l'évolution concernant la neige dans la région lyonnaise. La chute est rude, sur les 10 dernières années le nombre maximal de jours consécutifs au sol fut de 3 jours en février 2021! La moyenne des occurences de neige au sol est désormais de 2 jours, contre plus d'une dizaine avant 1990. Les épisodes neigeux ne donnent également quasi plus d’épaisseurs significatives, alors que l'on pouvait dépassé régulièrement les 10cm au sol, avec en moyenne 1 épisode tous les 15 ans au delà des 20cm, le seuil des 10 cm n'a plus été atteints depuis 15 ans (décembre 2010), les 20cm depuis bientôt 30 ans. On constate également la disparition des petits épisodes printaniers de mars et surtout d'avril. Au final la dernière chute de neige significative par rapport à la climatologie globale de la station remonte à la mi-novembre 2020 avec un petit épisode très significatif au regard de sa précocité. Au niveau de la répartition saisonnière on constate comme pour Ambérieu, que les épisodes les plus importants ont lieu entre décembre et début janvier, contrairement au NE où c'est plutôt entre fin janvier et février.
  15. La fréquence d'épisode neigeux étant de base déjà très faible, il est normal de voir peu d'évolution. Globalement le réchauffement des hivers est nettement plus palpable dans le centre, l'Est et le NE du pays (ainsi qu'en montagne) que sur la façade ouest. Brest passe d'une moyenne hivernale vers 6,5° à une moyenne vers 7,5°/8°, Bordeaux de 6 à 8°. Dans l'absolu cela ne change pas grand chose par rapport aux risques d'épisodes neigeux ou de journées sans dégels, c'était faible et cela le reste. Dans le NE par exemple, le ressenti est tout autre, Luxeuil ou Strasbourg passe d'une moyenne hivernale proche de 1,5° à +4°, c'est beaucoup. A +1,5° de tm la fréquence de la neige et du gel est assez élevée, mais à +4° la diminution est très forte par rapport aux occurrences initiales, ce qui dans le ressenti est bien + palpable.
  16. Oui à surveiller du côté de Strasbourg où le mois de février n'a pour l'instant enregistré qu'une seule maximale inférieur à 10°! Et de peu (tx 9,6° le 6 février dernier).
  17. Nancy et Strasbourg vont probablement terminer le mois de février sans une seule gelée sous abris, ce qui sera inédit pour ces stations centenaires. Même les mois de février jusqu'ici les plus extrêmes dans la douceur (océanique ou anticyclonique) avait enregistré au moins 2 occurrences à Nancy et 3 à Strasbourg! Et la semaine à venir sera pour ces stations encore au dessus des moyennes saisonnières.
  18. Du coup j'ai regardé les anomalies thermiques normalisées mensuelles. Dans un premier temps calendaire, pour Nancy-Essey et sur la période 1927-2024. Elles ont été calculée à partir de la moyenne 1927-2024 en prenant en compte les écarts-types pour chaque mois. Sur le graphique on peut lire: - sur l'échelle de droite l'anomalie mensuelle des températures moyennes correspondant à la courbe grise, elle est exprimée en températures (degré celsius). - sur l'échelle de gauche, l'anomalie mensuelle normalisée correspondant aux petits carrés bleus, elle est exprimée en sigma (σ). Les mois calendaire les + extrêmes en terme d’excédents à Nancy restent juin et aout 2003 et de loin. Ils dépassent les 3 sigma d'anomalie! Au delà du RC, qui a probablement joué son rôle d'amplification en 2023, il est probable que la chaleur extrême de l'été 2003 est en grande partie due à une variabilité naturelle du climat, faisant intervenir des étés extrêmes selon des périodes de retour séculaires voir pluriséculaires. Cependant, on observe à partir de 2003 une multiplication des mois calendaire présentant des écarts-types très significatifs vers le haut et qui flirtent régulièrement avec +2,5 sigma! Juillet 2006 est le premier mois de ce type post 2003, il est ensuite suivi par avril 2007, décembre 2015, avril 2018, août 2020 puis à partir de 2022 on a l'apparition d'un cluster très inquiétant : octobre 2022, août 2022, septembre 2023 et juin 2023! Il est probable que février 2024 s'inscrive dans ce cluster autour de +2,2 à +2,4 sigma... Si l'on fait un focus sur la saison hivernale, c'est bien décembre 2015 qui ressort complémentent du lot, l'écart type de février 2024 est à surveiller il pourrait potentiellement prendre la seconde place derrière décembre 2015, mais ne sera pas devant. A l'extrême inverse février 1956, une sorte d'août 2003 à l'envers. On remarque également que les derniers mois calendaires d'hiver au froid significatif (au delà des -1 sigma) sont janvier 2017, février 2012 et surtout décembre 2010. Pour le printemps L'enchaînement des mois d'avril 2007, 2011, 2018 et 2020 tout à fait impressionnante. Le derniers mois calendaire de printemps significativement déficitaire est mai 2021 et bien sur mars et mai 2013. Pour l'été La tendance fait très très mal, c'est bien simple depuis août 2014 nous n'enregistrons plus véritablement de mois d'été frais par rapport à la climatologie globale, le dernier mois calendaire d'été significativement frais remonte à juillet 2011. En revanche depuis 2015, la fréquence de mois calendaire avec des anomalies équivalente mais souvent au delà des mois calendaire les plus chauds est affolante. Pour les mois d'automne. Alors que l'on semblait se diriger vers une certaine modération après la poussée de fièvre des automnes de la mi-temps des années 2000, le rattrapage est violent depuis 2 ans...On note également l'absence de mois d'automne significativement frais depuis septembre 2008 soit bientôt 15 ans!
  19. Effectivement, c'est un peu rude depuis 1 mois glissant mais globalement depuis quelques années il n'y a plus beaucoup de périodes avec de gros déficits d'ensoleillement. A l'inverse nous battons régulièrement des records (cumuls d'ensoleillement, successions de journées ensoleillées) au printemps, en été et à l'automne, le NE est d'ailleurs la région où ce dernier progresse le + à l'échelle nationale. D'autre part la grisaille des dernières semaine n'est pas celle d'un mois de novembre ou décembre, le plafond reste assez haut et le gris relativement lumineux, on a même vue régulièrement le ciel, et surtout il ne fait pas froid du tout. En terme de ressenti cela n'a donc rien à voir avec un plafond à 300m par 0° à 5° comme cela est(ou était) le cas pendant des semaines en hiver dans le NE...C'est plus l'absence de réel dynamisme atmosphérique qui est un peu pesant, mais c'est désormais le lot de notre nouveau climat depuis plusieurs années.
  20. Février épouvantablement gris de la Champagne aux Ardennes à la Lorraine, le tout avec des excédents de +5° à +7°... Depuis le début de mois: 8,8 h à Charleville-Mézières 9,6 h à Courouvre (55) 10,1 h à Saint-Dizier (52) 13,3 h à St-Maurice (54) 13,8h à Epinal 15,4 h à Reims-Prunay 15,7 h à Houdelaincourt (55) 16,5 h à Nancy-Essey (54)....
  21. Oui, seule chose à suivre la bonne perturbation potentiellement bien active entre jeudi et vendredi avec même probablement un coup de vent, elle sera suivie enfin d'un léger rafraîchissement mais qui ne permettra même pas de rejoindre les normales saisonnières. Nous quitterons juste la très grande douceur pour un temps + frais mais encore dominé par des masses d'air d'origines Atlantique polaires bien radoucies en basse couche. Nous ne somme plus dans les années 70 et 80 voir 90 où en février les masses d'air polaires maritimes pouvaient donner de la neige jusqu'en plaine, il faudra monter au dessus de 800m pour voir la neige tomber à partir de vendredi, avec un peu de neige au sol au delà de 900 à 1000m pour le week-end mais probablement en faible quantité (10cm en moyenne peut-être 20cm au dessus de 1200m ). Ce mois de février épouvantable pour les amoureux de météo ce poursuit donc dans ses caractéristiques, extrêmement doux et épouvantablement gris. Ainsi il est de + en + probable que la majorité des secteurs du NE finissent le mois sans une seule gelée, ce qui serait inédit car même les mois de février les + doux avaient connu au moins une ou deux gelées sur l'ensemble du NE. On suivra également les chiffres de l'ensoleillement catastrophiques côté Lorrain, seulement 16h à Nancy depuis le début du mois! Contre 56h à Colmar et 37h à Strasbourg.
  22. En roue libre...mais bon la liberté d'expression est respectée ca devrait en rassurer quelques un...
  23. Hier deux records absolues de douceur pour les températures minimales : 11,4° à Nancy-Essey ( dps. 1928) ancien record 10,9° le 1/02/2016. 10,6° à Erneville (55 - dps 1950), ancien record 10,2° en 1989 il y en a probablement d'autres mais pas eu le temps de vérifier, et à vrai dire un peu lassé par cette succession permanente.
  24. La moyenne des températures des mois considérés est calculée sur l'ensemble de la période (1927-2023), pour février il s'agit de la température moyenne des mois de février entre 1927 et 2023. Pour les quelques mois de février manquant à Nancy-Essey lors de la seconde guerre mondiale, j'ai pris la moyenne des mois de février à saint Nicolas de port station située toute proche. Les écarts types sont intéressants à observer car cela permet de jauger du caractère + ou - exceptionnel d'une anomalie par rapport à la distribution des valeurs autour d'une moyenne. Un mois de février avec une anomalie de +2° est bien plus fréquent et donc moins exceptionnel qu'un mois de juin avec une anomalie de +2° qui lui est plus rare.
  25. Il y a décembre 2015 aussi, je trouve que ce mois commence à y ressembler (calme et extrêmement doux). C'est clair qu'en terme d'anomalie en valeur brute c'est monstrueux, mais le mois de février est le mois qui connaît le plus grand écart type au niveau de la distribution de ces températures moyennes (quasi 50% des mois de février à Nancy connaissent une t° moy avec une anomalie > à + ou -2°). A l'inverse juin possède un écart-type bien moindre. Ceci signifie qu'il est bcp plus facile d'atteindre une anomalie de +2° en février (c'est + fréquent) qu'en juin (c'est bien plus rare). Il faudrait donc normaliser cette anomalie mensuelle pour pouvoir dire si juin ou août 2003 sont + exceptionnels que février 2024 ou décembre 2015. A propos de février, un post dans la partie climatologie du forum rappel ce caractère très particulier de ce mois:.
×
×
  • Créer...