@lizé

C'est trop sérieux, il ne faut pas "avoir à se dire". Sinon, ça devient une carte pour initiés et ce serait en réduire considérablement l'impact. SIMPLIFIER, en pensant à ceux qui n'y connaissent rien mais en ont vraiment BESOIN. Un détail. Pour le reste, c'est épatant.

Ouais !... Au bout de la chaîne de prévision, il y a des hommes. Sinon, c'est le triomphe du tout numérique. Etonnant que tu puisses écrire : ds telles conditions le modèle est biaisé, comme une fatalité insurmontable et qui justifierait tout... C'est tellement logique que le modèle soit sinon aveugle du moins très myope selon les circonstances (j'avoue que je n'ai pas pigé le fond mathématique sur ce cas-là !). Si c'est connu dans ce contexte, alors il faut en tenir compte et plutôt ds le sens du principe de précaution. Au bout du bout, il y a des hommes, qui ont besoin d'aide à la décision. Surtt, il y en a qui ont peur et qui souffrent. Elle est bien là la noblesse du service public. Evidemment que c'est difficile, très difficile, presque impossible selon les circonstances (Gaston Rébuffat m'a dit un jour : tant mieux, la Nature conserve des mystères... ; il avait raison, il était expert en la matière). Il faut en avoir conscience, le reconnaître, et le faire savoir (les limites, parler des limites, faire comprendre que MF, malgré ses résultats remarquables, avec la communauté scientifique internationale, conserve des lacunes - du pain sur la planche pour les chercheurs !).. Pour essayer de compenser ces incertitudes très normales, très naturelles, il y a la Com. Qu'est ce qu'elle est galvaudée, la Com ! pourtant c'est par elle que les hommes parlent aux hommes. Ca change la perspective, non ?

Je veux dire qu'il me paraît plus que limite d'afficher à la fois des données instantanées avec d'autres anciennes (de la clim déjà !). Je pense à ces cumuls de pluie se rapportant à des événements finis depuis minuit ou peu après et qui vont s'afficher - incongrûment - pdt plusieurs heures. Source d'erreur pour les non initiés !

On va finir par fatiguer la France entière, le "club des Grenoblois" (je n'ai pas écrit "gang", même si Fernand Raynaud disait déjà : ne me parle pas de Grenoble !). Ceci dit, qque chose me dit que ça va encore "bouger", ici, à Grenoble...

Florent, il n'est pas question du forum, dans mon esprit (encore que, le suivi serré de l'événement...). J'évoquais les réseaux d'obs des "cartes de France", "observations horaires", "MétéoAlerte", "Vos observations". Il est vrai qu'il faut ajouter au pack-live les "suivis d'événements". Perso, je n'ai pas souhaité de chamboulement. J'ai simplement exprimé mon... enthousiasme par rapport à la réactivité d'IC, notamment là où il se passe qque chose (de grave svt). Maintenant, je rejoins Bohlen qd il réplique en disant : il faut continuer ds ce sens-là, Internet oblige (traduction très libre).

Peux-tu décoder Seb ? Bien sûr qu'il y a eu un tremblement de terre ici, hier en début d'am ; synchro avec celui de Cham, évidemment. La question m'étonne tellement (ici, en plus) que je subodore un truc derrière...

Consultation à l'instant (comme svt... la nuit dernière !). A l'ffichage de la carte "MétéoAlerte", j'ai l'impression qu'il tombe encore des trombes sur la Basse Vallée du Rhône. A mon avis, il y a là un pb de présentation qui mérite réflexion. Pensons à ts ceux en difficulté, notamment. Il y va de la crédibilité du site. Ce qui ne retire rien, absolument rien aux propos de mon post antérieur. Juste un coup de tournevis ds le bon sens... Ms peut-être ai-je mal interprêté. Oui, ms j'ai peur que ce soit le cas de bcp (il faut dire que j'ouvre IC d'emblée sur MétéoAlerte, ce qui entraîne cette erreur de perception.

Excellente, réaction, Bohlen ! La marche en avant, toutes !

Quand je vois la qualité, la multiplicité des observations personnelles, au coeur des événement et quasiment H24. Quand je consulte "MétéoAlerte". Quand je pense à l'ergonomie, à l'efficacité, à la vraie beauté de présentation des données de ces interfaces, je me dis qu'on assiste là à l'émergence d'une "météo autrement", spontanée, proche, passionnée, soucieuse de faire le mieux possible (merci aux modérateurs rigoureux dans la coulisse, météo de "partage" et d'"entraide". A mon avis, tout ceci va bien au-delà d'un simple amusement ; il y a du service public, gratuit, qui plus est, dans cette cybermétéo bénévole. Je lui promets de beaux jours : ce n'est qu'un début (d'ailleurs, le système peut avoir des applications économiques...). Merci à Infoclimat, merci à Christian Pagé (MétéoCentre), merci à tous ceux qui y croient et le font ! Un regret, toutefois : qu'IC soit si loin, loin ds Google...

Les validations de modèles sont faites au fil de l'eau... Il n'y a pas de pb pour cela. Ms je ne suis pas expert de ces choses-là. Pourquoi mes réflexions commandées par le bon sens (j'ai essayé cette méthode basique à partir des choses vues, vécues, car je n'étais pas un matheux 5*, ni même 2*...), n'ont pas eu d'échos ? Alors ça ! Le "mal français" (Alain Peyrefitte) dt on parle depuis bien longtemps : l'incapacité chronique des "élites" d'écouter ceux de la base. Pourtt, il n'y a pas que des idiots "en bas". Il y a aussi des gens qui réfléchissent, qui auraient pu aller bien plus loin ds les études si leur environnement familial, social avait été différent, porteur, comme c'est le cas pour d'autres, par héritage culturel... C'est vrai pour plein de gens. C'est la raison pour laquelle je suis tant révolté de constater que l'"ascenseur social" est grippé depuis tant d'années. Donc, il y a des gens très capables, intellectuellement aussi, ds les "soutes". Comme ils ont le nez sur les pb pratiques, les mains ds le cambouis, ils voient des choses et cogitent. Cherchent des solutions, pas avec des "triples intégrales", avec des déductions primaires, pragmatiques (comment faisaient donc les Romains, les Arabes et bien d'autres, pour construire des chefs d'oeuvre d'équilibre et de raffinement en architecture... sans ordinateurs ? - j'imagine en sollicitant bien plus leurs neurones ; l'idéal étant de bien activer les neurones et d'y ajouter la puissance de calcul des robots, prothèse d'intelligence). Oui, on peut trouver dans les données du passé matière à préciser le présent, éclairer le futur. C'est vrai pour toutes les sciences dures ou humaines (les fins politiques sont ceux qui connaissent le mieux l'Histoire). Ca s'appelle tout simplement l'EXPERIENCE. J'ai défendu ardemment la "méthode des analoques". Certains ont pu croire (même le directeur, en 1985, qui m'a vertement contré en réunion interne, devt 3 ou 400 collègues prévis !) que je voulais remplacer la "prévision numérique", "déterministe" par une méthode relevant du Moyen Age, une sorte de sorcellerie archaïque. Sûrs d'eux, ils n'écoutaient même pas. Il était seulement question, dans mon esprit, de prolonger la prévi numérique par des données statistiques concrètes, obtenues au fil des mois sur le terrain. L'EDF/DTG à Grenoble utilisait le principe (vous imaginez bien que je n'ai rien inventé, que cette approche remonte à la nuit des temps, que les Américains, pendt la dernière guerre, l'avaient appliquée en utilisant des cartes mécanographiques - ils n'avaient rien de mieux à l'époque !). Le Centre d'Etudes de la Neige a utilisé (utilise ?) le procédé pour préciser les précipitations "modèle". Si vous avez un flux donné, une humidité donnée, des quantités de pluie prévues par le calculateur de Toulouse et que vous appliquez à ces valeurs une "moulinette" (sophistiquée, attention !) issue des stats de la réalité (une répartition vraie, selon les massifs - Chartreuse, Belledonne, Mont-Blanc, Aravis...- qui, eux, restent toujours les mêmes provoquant la même influence si les conditions atmosphériques sont "analogues" ). Détecter les grandes anomalies de pression, température, précipitation permet de dégager des noyaux d'excès ou de déficits, sur un mois par exemple. De mois en mois, on remarque que ces noyaux ont une trajectoire, une évolution (naissent, atteignent leur maturité, meurent). Parfois, c'est flagrant, d'autres fois - le plus svt, c'est vrai - ça semble peu cohérent, voire incohérent. Pour moi, il apparaissait qu'il y avait un signal. Peut-être fallait-il le dégager d'un bruit, le filtrer ? Peut-être que ce que je dis est idiot. J'aurais aimé que ce soit pris au sérieux. Ca l'est peut-être, maintenant, pour les projections saisonnières. Je l'ignore.

Excellente, Florent, ta citation. Je ne la connaissais pas, ms combien de fois en ai-je défendu le principe ! (si on attend d'obtenir des résultats parfaits pour commencer, on ne fait rien ; alibi de manque d'ambition, surtt - si les 1ers météos avaient tt arrêté sous prétexte que leurs prévis étaient pas terribles...). Tu améliores le "pif" (j'ai bien eu raison d'appliquer le principe de précaution). J'ai défendu avec conviction, insistance, acharnement même, la détection des "anomalies" en interne à MF. Je pensais, il y a 15 ans, plus sans dte, que les mettre en évidence permettrait de les analyser, d'en découvrir les mécanismes singuliers... les prévoir. En détectant leur vie propre, à une autre échelle d'espace et de temps que le quotidien. Qui pourrait dire que j'affabule ? J'ai des qtés de docs qui prouvent que je parle vrai. "Nul n'est prophète en son pays" (citation pour cde itation)

"Hautaine" ? Ca sort d'où ? Excusez-moi ceux qui se sentent méprisés. Mon discours se veut tolérant. Maladresse, alors ? Peut-être. Pas d'ambiguïté : j'ai trouvé les prévis de MF pour l'été très bonnes (sous réserve que je n'ai pas épluché les chiffres - donc "au pif", à MON pif). Et je ne crois vraiment pas que ce soit un hasard. J'y crois, avt même qu'elles n'existent... Peut-être suis-je à l'origine du "détournement", je n'ai pas vérifié. Il est vrai que, assez svt, un post engage un sujet fort, puis il fait des branches, si bien que vite on ne voit plus le tronc. C'est un des inconvénients de la démocratie directe, échevelée. C'est aussi un de ses charmes. Pas grave. Tt compte fait, j'aurais dû rester @lizé. "Hautain" ?!?...

Bonjour Bicri, Je connais bien les "observateurs bénévoles". J'ai toujours essayé, voulu les traiter avec le respect qu'ils méritent. Grâce à leur dévouement une énorme base de données existe sur le climat, en France et ailleurs, de l'époque pré-SA (station automatique). Ils existent tjrs, ils rendent tjrs de très grands services. Un jour prochain, sans doute disparaîtront-ils, remplacés par les robots. Un peu d'âme partira... Je n'ai pas bien compris. Qui te menace ? D'où, de MF ?... Tu as le droit de faire des prévis, ss dte un peu moins que les autres car, sans travailler à MF, tu travailles pour MF (MF, c'est TOUT le MONDE, en France). En période critique - c'est le cas - il est préférable de ne pas brouiller les pistes et surtt les esprits. Les prévis de MF ont assez de mal à trouver (essayer de trouver) la bonne COMmunication (quantité des paramètres... ms aussi qualité du vocabulaire) qu'il importe de ne pas ajouter à la confusion. Ms ça ne mérite pas une menace, seulement un conseil de "précaution", de "doigté". Puisque l'on parle de ces choses-là, je suis TRISTE que MF soit un des derniers services nationaux à planquer ses sorties de modèles. MAIS CA SIGNIFIE QUOI, ENFIN ? Ca signifie que ça va à l'encontre de l'image de marque d'un service qui pourrait être GRAND, parce qu'il en a les moyens et les hommes. Attitude malthusienne, repli frileux, nostalgie du MONOPOLE qui a volé en éclat (merci à Internet, merci à la transparence américaine - ils n'ont pas que des défauts tt de même...). Un comportement parano, paniqué, contreproductif de plus. Car une bonne image de MF servirait ses intérêts commerciaux légitimes. J'exprime tt ceci ds la plus complète transparence. C'est une forte CONVICTION, très ancienne, du temps ou MF s'appelait "METEOROLOGIE NATIONALE".

Je me suis douté que "pif" allait troubler. Il n'est évidemment pas question du pif de MF qui ne travaille plus avec depuis belle lurette, du moins pour ce qui concerne les sorties modèles (pour l'adaptation locale, c'est parfois utile, le feeling, si vs préférez). Mais du MIEN, puisque je ne vais pas me lancer ds une analyse exhaustive et pointue du bilan estival. D'autres ICnautes vont préciser tt cela ss tarder, si ce n'est déjà fait. REMARQUE : Etonnant comme l'objet initial est détourné (comme svt, d'ailleurs). Je n'avais aucune prétention à faire un bilan scientifique, seulement celle de mettre le doigt sur un pb d'affichage d'informations clim qui prennent de plus en plus d'importance ds le contexte exacerbé actuel.

La période de chaleur en cours en France est exceptionnelle pour septembre (autour de 5° de plus que la normale pour les tmax) pour les derniers jours [à la louche !]. Encore et encore des records !... Au-delà de l'Atlantique, ds le Pacifique, les cyclones ou typhons se rangent ds les plus puissants et - hélas ! - les plus meutriers. Depuis le début des années 80 (El Nino record en 82/83 !?!...), les événements extraordinaires se multiplient, partt, sec ou trop arrosé, trop chaud ou, plus rarement, trop froid. De tt cela, je suis bien convaincu et ai depuis fort longtemps repéré le "malaise" (ss prétendre l'expliquer). IC, me semble-t'il, devrait mieux mettre en avt le déroulement au jour-le-jour des fluctuations clim. D'excellentes données US (toujours !) ds "analyses récentes". Très discrête comme étiquette ! Je relance la proposition de créer des cartes de France avec un suivi régional (Nord, Ouest, IDF, Nord-Est, Sud-Ouest, Centre, Rhône-Alpes, Méditerrannée...), jour après jour. En comparant, graphiquement (bien mieux qu'un long discours, de prime abord), les "normales" et les valeurs en cours. Périodes de 10 jours, du mois, de la "saison", de l'année (en "valeurs glissantes"). Le "bio" déjà bien présent (et c'est rare en France !), mérite aussi un "dopage" aux couleurs (affichage en cohérence avec des échelles de "confort/inconfort"). NB : Je retiens de l'été que MF avait très correctement prévu, il me semble [au pif], le carractère "chaud" de l'été. A évaluer sur la durée. Ms ce type d'anticipation progresse, c'est sûr.

Contrastes saisissants sur la France. Une petite nappe humide et rafraîchie progresse par l'W. Le RS de Bordeaux montre bien les premiers 1000 m d'air marin. Des vents contraires marquent également la limite, des nébulosités très différentes, des risques d'orages à la limite des 2 masses d'air ("front marin" ou vaste "brise océanique"). Le RS de Trappes, devt, est très chaud et reste sec, surtt au dessus de 2000 m. Celui de Bordeaux est très humide au-dessus de 4500 m, très proche de l'instabilité (l'air "froid" de basse couche limite cependant le déclenchement d'ascendances depuis la base). Les paramètres des "cartes France" mettent bien en évidence l'opposition actuelle.

Merci Sebaas34. J'ignorais ces richesses de paramétrage... Beau travail de Christophe sur le site du SE. Il faudra que je regarde son travail attentivement (un recyclage ne fait pas de mal). Je pense aux graphiques... Pas expert du tt, Cyril94, ms je ne vois pas en quoi les ajouts suggérés alourdiraient de bcp. Pour l'"annexe", c'est parti...

OK, ms ss la moindre fonction.

REMARQUABLES" données, très complètes, très ergonomiques. Un must ds les sites français. Mais, si : . les pop-ups indiquaient aussi, en pictos : nébul, temps sensible, direction du vent, tendance ; . des "échelles de risques" étaient attachées aux indices "bio" (Humidex, FRE) avec couleurs des valeurs actuelles en rapport avec plages de confort, inconfort, danger... ; . les très intéressantes "nébuls" en pictos étaient présentées en dégradés de jaune/gris/noir selon l'importance de la couverture nuageuse : - les pictos "temps sensibles" étaient colorés selon la réglementation OMM (ms bleu pour la neige à la place de vert foncé) ; . des stations de plaine ou d'altitude proches de la France (La Dôle remarquable belvédère sur la crête suisse du Jura, à 1600 m, la Pte Hellbronner à 3400 m, la Jungfrau vers 4000 m [?] p.ex.) complétaient le très dense réseau d'obs... Je pense que "ça ne gâterait pas", comme dit notre Guy Roux national (je parie sur un nouveau come-back !). NB : L'heure de ce forum est restée à celle d'Hiver...

Si l'ANENA fédère les services, administration, collectivités locales, stations de sports d'hiver, particuliers... travaillant sur l'étude de la neige, les moyens passifs ou actifs de prévenir les avalanches, ayant besoin de ces connaissances et prévisions pour leur activité, ou tt simplement passionnés par le sujet, le Centre d'Etudes de la Neige de Météo-France, implanté à St.-Martin-d'Hères (campus de Grenoble), est l'organisme par excellence, oui excellence, d'études fondamentales sur la neige, du cristal (dès qu'il repose au sol) à sa mise en mouvement. Si la Suisse était largement leader en la matière en 1970, le CEN/SMH est devenu en qques années probablement le meilleur du Monde pour sa remarquable modélisation du manteau neigeux, au point qu'il est devenu un modèle pour plein de pays depuis l'Europe de l'Est, le Causase, jusqu'au Canada, les Andes sud-américaines... Le lien qui suit vous permettra de mieux le connaître (il le mérite) et de découvrir un autre aspect des connaissances sur la neige, domaine passionnant, extension de la météorologie, dt il est tributaire en amont (nature et qté des chutes de neige) et en parallèle (influence déterminante de l'environnement atmosphérique sur l'évolution physique du manteau neigeux, sur ses fluctuations stabilité/instabilité) : http://www.cnrm.meteo.fr/passion/neige.htm

Perso, largué ! Enfin, pas complètement. Je vois ce que tu veux dire. De là à savoir ce qui l'emporte... Je me dis tt bêtement que sans approximations des calculs, l'atmosphère resterait régie par l'"effet papillon", donc d'une prévisibilité fine bornée aux 15 jours actuels (ce qui est déjà absolument EPOUSTOUFLANT - merci aux CHERCHEURS !). Je me dis aussi qu'un jour, la puissance des calculateurs croissant à un ryhme fou, des pans entiers de ce que l'on appelle "chaos", par impossibilité actuelle de faire mieux, passeront ds la sphère du prévisible. Ms je ne suis qu'un praticien, un artisan (ds artisan, il y a art, et ça me convient parfaitement tant la météo est une science de la Beauté aussi). Christian Pagé saurait sûrement répondre, s'il en a le temps.

Je n'ai que survolé, je lirai plus attentivement. Sujet très intéressant (il y en a tant !)... Le "hasard" semble bien faire les choses... En fait, l'appel du pied me paraît plutôt clair. Ms, je l'ai souligné ("critiques" au sens très très large, plus haut ds cet échange), je n'ai pas du tt envie de passer mon temps à jouer les profs "Dewpoint" (cf. un site américain). Je constate que certains maîtrisent déjà bien l'affaire. Ca sert à ts. C'est fait pour cela les forums. Ils ont trouvé seuls ou, pour certains, lu ce que j'ai écrit là-dessus (sans prétention d'exhaustivité). Alors, si qqu'un possédant "La Météo de Montagne" (Seuil/CAF) ou... "Le Manuel de la Montagne" (Seuil/CAF) veut digérer pour la communauté...

Guy, effectivement, en tant que membre du CSM et généreux contributeur de ce site, tu peux éventuellement faire le lien entre les 2. Tu connais mes idées. MF comme IC en ont été informés (pour MF il s'agissait du précédent Com-Com, en 2002 - je suppose que c'est resté à son niveau). Toi qui sièges au CSM, tu sais fort bien que c'est un des meilleurs moyens de faire remonter les besoins de la bas, le meilleur ss dte, en tte sérénité. Maintenant, c'est l'affaire d'IC... Perso, je suis "grillé", ms tellement plus libre !

Avec @lizé, c'était "TU", avec Jean-Jacques Thillet, ça reste "TU". Pas de hiérarchie ici, en dehors du nb de cheveux blancs (de 0 à... bcp, bcp trop !). Je voulais essentiellement revenir sur une remarque que j'ai faite plus haut. Je trouvais très regrettable, injuste même le barrage des maths pour l'accession au métier de météorologiste. Il faut dire que c'est déjà du passé. En effet, Internet bouscule les anciens clivages. Des possibilités d'exercer un métier ds la météorologie s'offrent désormais à ts. Ds la mesure où je considère que le métier de prévisionniste strito sensu est en train de disparaître (le vrai Prévi, c'est "Big Brother", à Toulouse, à Reading, aux States...). Le métier de météo évolue donc vers de la "traduction" d'information technique en langage courant. De la "Com" donc. Ca ouvre des portes nlles. Et même, je crois qu'il se dessine mieux encore : l'"expertise-conseil", le "sur mesure". J'ai entendu Jean-Marc Jancovici chez Cabrol. Certains, ici, ont fait la fine bouche... Perso, j'ai été subjugué par l'étendue de ses connaissances et ses rares qualités pédagogiques. Il est ds l'expertise-conseil, si j'ai bien compris. Sa formation de Polytechnicien n'est certes pas un handicap, ms je crois qu'il y a place pour des gens déterminés, honnêtes et de Bon Sens. Cette anticipation, je l'ai faite en 1996 dans ma "solide" contribution aux Ateliers de la Prévisions MF (gros brain storming interne sur la prévi). J'en reste convaincu. L'aventure de mon ami Yann Giezendanner, entre autres, apporte de l'eau à mon moulin. Il a su trouver le bon créneau, en fonction d'un certain nb d'opportunités, et surtt en comprenant que les nouveaux outils météo (la prévi numérique, le web, les communications globales...) ouvraient la planète à l'exercice de son expérience et de son "ambition" (c'est magnifique l'ambition qd elle construit). Il y faut de la passion et bcp de courage, ms c'est devenu possible. C'était mon encouragement du soir aux jeunes qui en ont... Une expression triviale qui ne vs exclut pas Mlles. Je serais très imprudent de tenir publiquement des propos sexistes qui pourraient me conduire devt un tribunal. Souvenez-vous de la chanson de Renaud sur Mme Thatcher (je crois que je m'enfonce...). J'arrête...

Enfin une adhésion aux RS sans réserve (ou presque). Tu as tt dit js13120. Merci. Je vais essayer de fabriquer une petite explication graphique simple pour repérer les infos essentielles. Les "AMP ", c'était une boutade. Non, non, on laisse tomber...