Cotissois 31 Posté(e) 2 mars 2012 Brest Partager Posté(e) 2 mars 2012 Au sujet des évènements extrêmes, je me pose souvent la question suivante : Quels seraient les records possibles en France si on avait la possibilité de choisir la position des centres d'action et si ils n'étaient donc pas soumis à la grande loterie de la nature...?? Franchement, ta question est très compliquée, voire ambigue. Par exemple, il est très très très improbable d'avoir en France à la fois une couche de 50cm en plaine, suivie d'une arrivée d'air à -35°C à 850 hPa. Sachant que les 50cm en plaine arriveront par flux de nord alors que les -35°C arriveront (à 1000 contre 1) en flux d'est. Si tu prends la probabilité d'avoir 50cm en plaine, plus la probabilité d'avoir -35°C en flux d'est, plus la probabilité que les 2 se succèdent, tu arrives à une probabilité infime. Mais pas nulle. Donc du -40°C en plaine beauçoise est sans doute possible, il n'y a pas de raison. Comme les 50cm en plaine sont toujours localisés, la probabilité d'avoir 2 stations qui font du -40°C est encore plus infime. Etc. Mais c'est toujours ambigu de se fixer sur des probabilités infimes. La science nous dit qu'elles existent, mais quand on sait qu'on ne risque pas de les voir une seule fois dans une vie, ça déstresse un peu... Mais il y a des cas comme Décembre 1999 qui nous rappellent que des probabilités infimes ne sont pas nulles. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
dann17 Posté(e) 2 mars 2012 Saint-Ambroise, Saguenay-Lac-St-Jean, QC, Canada Partager Posté(e) 2 mars 2012 Ce record ne concerne que la période récente. Avec une plus longue série, d'autres mois ont probablement été plus froids, comme on peut le remarquer avec les données de Paris (homogénéisées depuis 1676, depuis 1675 pour décembre) : Très intéressant ce tableau, merci de nous en faire profiter !Mais sinon, toi qui as certainement dû te poser cette question, que dis-tu des incertitudes de mesures des données antérieures à 1945, et qui plus est de celles antérieures à 1850...? Quel est leur niveau de fiabilité ? En tout cas, même si la précision est de plus ou moins 1°c, on voit que le mois de février 56 a été largement surpassé... Cela m'oblige à établir le parallèle et la comparaison avec février 2012 qui fait bien pâle figure à côté de tous ces mois remarquables, que l'on peut qualifier, eux, d'exceptionnels (en tout cas à pour Paris, bien sûr). Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Quercus Posté(e) 2 mars 2012 Partager Posté(e) 2 mars 2012 Ce record ne concerne que la période récente. Avec une plus longue série, d'autres mois ont probablement été plus froids, comme on peut le remarquer avec les données de Paris (homogénéisées depuis 1676, depuis 1675 pour décembre) : Superbe site de mesure Snowman ! Ce tableau est très intéressant mais il masque une erreur liée à l'évolution des températures moyennes. En effet, les valeurs les plus basses de ce tableau sont encore inclues dans la période que l'on appelle le "petit âge glaciaire"; En moyenne sur l'Europe, au 18E siècle, la température était inférieure de 1 à 1.5°c par rapport à la température de la moyenne 71/00, le caractère exceptionnel dess hivers 1788, 1795, et même 1879 doit en être évalué en en tenant compte. Si l'on réévaluait l'écart de ces hivers par rapport à la moyenne de l'époque, on serait à peuprès à 10°c pour 1788, 9.5 pour 1795 et 10, 5 pour 1879 (à la louche). Finalement, février 1956 n pas à rougir avec ses 8,6°c d'écart à la moyenne. Pour réagir maintenant à ce que dit Cotissois, il est clair que si l'on veut 50cm de neige sur toute la France, associé à -35°c à 850hpa, va falloir attendre un moment. En fait, je n'avait meêm pas osé imaginer cette configuration qui relève pour ainsi dire de l'impossible. Je m'interrogais seulement sur la limite envisageable à 850hpa. Quoi qu'il en soit, il n'est pas nécessaire d'avoir 50cm au sol pour voir les Tn plonger vers les abysses. Y a qu' à regarder ce qui s'est passé en champagne en février dernier. AVec moins de 5cm ed neige au sol et une t850Hpa comprise entre -12 et -15, on s'est retrouvé avec des Tn au sol de -15 à -20°c sur une vaste zone. En fait, bien souvent, par flux d'Est, les Tn au sol sont proches de leur valeur à 850hpa, et localement plus basses si neige au sol. Aisni même en présence d'un enneigement faible et irrégulier, il n'est pas farfelu d'imaginer atteindre les -40 en plaine en cas de masse d'air inférieure à -35°c à 850hpa. De même avec une T850 aussi basse, les TX seraient inférieures à -20. Tout cela semble assez farfelu, mais finalement dans le NE, les -35 on déjà été observés, alors pourquoi pas -40... Par ailleurs, comme tu le rapelle, le scénario de décembre 1999 a largement surclassé tout ce qui était connu avec une durée de retour d'un pareil enchainement probablement plus que millénaire, alors un jour ou l'autre cela se produira aussi en matière de froid... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christophe30 Posté(e) 3 mars 2012 Saint-Quentin-la-Poterie (30) Partager Posté(e) 3 mars 2012 Cela m'oblige à établir le parallèle et la comparaison avec février 2012 qui fait bien pâle figure à côté de tous ces mois remarquables, que l'on peut qualifier, eux, d'exceptionnels (en tout cas à pour Paris, bien sûr). Oui, pauv' février 2012. /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> en tout cas, dann, mais à priori tu ne vas pas y accorder grande importance, quelques passages du bilan de l'hiver 2011 - 2012 par Météo-France. Du 1er au 13 février, la France a connu une vague de froid exceptionnelle. En conséquence, et malgré des températures plus proches des normales durant la seconde quinzaine, la température moyennée sur l’Hexagone et l’ensemble du mois a été inférieure de 3.9 °C à la normale. A l’échelle de la France, ce mois de février se positionne au quatrième rang des mois de février les plus froids depuis 1947. Il faut remonter à février 1986 pour trouver un mois de février aussi froid en France. Sur le Sud-Ouest, il se classe au second rang derrière le mémorable mois de février 1956 Mais encore, Vague de froid de février 2012 en France Du 1er au 13 février 2012, la France a connu une vague de froid exceptionnelle qui a touché l’ensemble du pays A l’échelle de la France, cet épisode est tout à fait exceptionnel : une telle vague de froid n’avait pas été observée dans le pays depuis janvier 1987 C'est quand même pondéré (ce qui n'a jamais été nié d'ailleurs ! /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">) en comparaison avec les intouchables 56, 63, puis 85, mais dans le texte récapitulatif, le mot exceptionnel revient à de maintes reprises. Je me permet de te le poster, puisqu'à chaque post tu glisses un petit PS pour essayer d'amoindrir la chose. Et de toute façon, que ce soit qualifié d'exceptionnel ou non, ça ne changera rien aux données observées, nous sommes d'accord. En termes d’intensité globale, il s’agit de la cinquième vague de froid la plus sévère observée depuis 1947 en France. Cette vague de froid qui a duré treize jours se caractérise aussi par sa durée relativement longue. Mais que ce soit en termes de durée ou d’intensité globale, elle reste malgré tout bien loin des vagues de froid historiques de février 1956, janvier/février 1963 et janvier 1985. Elément notable, le pic de froid maximal atteint au cours de cet épisode est resté assez modeste, comparé à ceux de la plupart des vagues de froid antérieures à la fin des années 1980 Dans la classification via le tableau récapitulatif, on reste sur un évènement remarquable malgré tout. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 3 mars 2012 Brest Partager Posté(e) 3 mars 2012 Quoi qu'il en soit, il n'est pas nécessaire d'avoir 50cm au sol pour voir les Tn plonger vers les abysses. Y a qu' à regarder ce qui s'est passé en champagne en février dernier. AVec moins de 5cm ed neige au sol et une t850Hpa comprise entre -12 et -15, on s'est retrouvé avec des Tn au sol de -15 à -20°c sur une vaste zone. En fait, bien souvent, par flux d'Est, les Tn au sol sont proches de leur valeur à 850hpa, et localement plus basses si neige au sol. C'est intéressant de voir en effet dans le nord-est comment un vent venant d'Allemagne permet de brutales chutes de température, pas vraiment proportionnelles à la T850. Je ne sais pas si on peut dire que c'est du même ordre, en tous cas il n'y a aucune loi qui permettrait une température constante sur la verticale. Le 7 février au matin, on atteint beaucoup de -15°C dans le nord-est, avec un vent de nord-est assez fort à 925 hPa, une thetae très basse. Peut-être que sur le nord-est, il n'y a pas besoin de 50cm de neige, une invasion hyper continentale semble suffire. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Virgile Posté(e) 3 mars 2012 Cormeilles (27) Partager Posté(e) 3 mars 2012 C'est bien beau de parler de températures au 17 ème - 18 ème siècle mais ca vaudrait quoi aujourd'hui avec nos stations météo officielles? le matériel n'était pas le même et ça m'étonnerait fortement que les conditions de mesure par rapport à l'environnement étaient les mêmes avec autant de rigueur. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Virgile Posté(e) 3 mars 2012 Cormeilles (27) Partager Posté(e) 3 mars 2012 Dans la classification via le tableau récapitulatif, on reste sur un évènement remarquable malgré tout. dann17 n'a même pas connu cette vague de froid de févier 2012, il était au canada. Maintenant s'il se référe à son nouveau climat américain, il est évident que notre vague de froid en France (mais toutes nos vagues de froid) fera pale figure. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hendrix Posté(e) 3 mars 2012 Partager Posté(e) 3 mars 2012 le bilan de meteofrance est sans appel: http://france.meteofrance.com/france/actu/archives/2012/2012?page_id=15250&document_id=26340&portlet_id=83190 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Virgile Posté(e) 3 mars 2012 Cormeilles (27) Partager Posté(e) 3 mars 2012 le bilan de meteofrance est sans appel: http://france.meteofrance.com/france/actu/archives/2012/2012?page_id=15250&document_id=26340&portlet_id=83190 ouiA l’échelle de la France, cet épisode est tout à fait exceptionnel : une telle vague de froid n’avait pas été observée dans le pays depuis janvier 1987. En terme d’intensité globale, il s’agit de la cinquième vague de froid la plus sévère observée depuis 1947 en France. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hendrix Posté(e) 3 mars 2012 Partager Posté(e) 3 mars 2012 ...Et les cartes nous montre bien de belles anomalies au centre ouest et sud ouest...les habitants de ces régions se rappellerons de cette épisode...moi sur Toulouse j'ai été vraiment étonné par cet épisode, et ne je pensé pas voir de la poudreuse sous -5 et autant de jour sans dégel... je pense que les nordistes ont été plus marqués par décembre 2010...c'est logique... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hendrix Posté(e) 3 mars 2012 Partager Posté(e) 3 mars 2012 +1. Mais je veux pas rentrer dans ce débat qui s'annonce stérile. Au sujet des évènements extrêmes, je me pose souvent la question suivante : Quels seraient les records possibles en France si on avait la possibilité de choisir la position des centres d'action et si ils n'étaient donc pas soumis à la grande loterie de la nature...?? On trouve parfois des embryons de solutions avec les panels de scénarios fournis par les modèles dans des périodes atypiques. On arrive ainsi à des choses qui paraissent loufoques tellement elles sont extrêmes : pression de 925hpa sur l'Irlande (scénario sorti par GFS en décembre 2011), vent moyen à 850hpa de 56m/s sur le Poitou (Xinthia), T850hpa de -26°c à 850 hpa dans le Centre Est (février 2012)....etc. Ces scénarios semblent inatteignables, et pourtant, je suis persuadé qu'ils font parti du domaine des possibles (dans la mesure où les modèles les considères comme possible à des échéances relativement brèves), simplement très hautement improbables. L'autre méthode pour aller explorer les confins du possible et de regarder dans l'histoire. Au niveaux des vagues de froid, je suis persuadé qu'il est possible d'atteindre des intensités très nettement supérieures à celles des extrêmes connus. Ce que je raconte doit paraître complètement barré, mais je crois que les intensités de février 1956 sont encore relativement peu de chose par rapport aux limites du possible. Je m'explique. En situation à vague de froid exceptionnelles, on constate que les masses d'air sibériennes s'altérent très peu (voire pas du tout) dans leur migration vers l'Est, temps qu'elle restent sur des surfaces continentales enneigées. Ainsi, si leur parcours ne les amène pas à survoler une mer (Barents, Baltique, Mer Noire parfois), elles peuvent donc arriver "tel qu'elles" sur l'Europe occidentale. Le "problème" pour nous, c'est que nous sommes à un extrême Finistère du continent et qu'il est bien rare que ces masses d'air extrêmes n'aillent pas faire un détour sur une zone maritime, ce qui provoque souvent leur réchauffement au rythme d'environ 5°c par jour à 850hpa). Finalement, nous pouvons considérer que les masses d'air qui touchent la Russie européenne peuvent (à condition de réunir les conditions synoptiques adéquates) toucher la France avec des t850hpa comparables à celle de leur origine. Pour preuve avec le froid jugé record de 1956 : Le 29 janvier 1956, la vague de froid majeur qui touchera la France 3 jours plus tard est en formation et visible entre pays baltes et Oural, elle pointe à -25°c à 850hpa (un niveau qui n'est pas du tout exceptionnel pour cette région.) Ce qui est exceptionnel en revanche pour la France, c'est que cette masse d'air va foncer sur la France ensuite en passant que très brièvement (quelques heures) et très marginalement sur la Baltique. Au final, cette masse d'air pointe encore -22°c à 850 hpa à son arrivée sur la France le 2 février. Pour voir le niveau plancher qu'il est possible d'atteindre à 850hpa sur la France, il peut donc être intéressant de voir le niveau plancher atteint à 850 hpa entre Baltique et Oural, et éventuellement, ajouter 2 à 3°c à cette valeur... Je n'ai pas fait le tour de l'ensemble des cartes d'archives, mais je suis tout de même tomber sur quelque chose qui fait froid dans le dos...C'est en janvier 1940 : Aie aie aie ! Vous me suivez ? En janvier 1940, la masse d'air tombe sous les -40°c à 850hpa pendant 4 jours entre pays Baltes et Oural... C'est à dire 15°c de moins que la masse d'air de février 1956..../emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Par chance, la synoptique des jours suivant renvoie cette masse d'air extrême loin de nos frontières et elle ne viendra jamais nous rendre visite. Imaginons maintenant une seconde ce qui se serait passé si, à partir du 14 janvier 1940 une synoptique comparable aux premiers jours de février 1956 s'était mise en place sur l'Europe... Cette masse d'air incomparable plus froide à celle de 1956 se serait retrouvé sur la France en pointant sous les -35°c à 850hpa... A mon avis, si la "grande loterie" climatique voulait nous sortir le gros lot, c'est à peu près le niveau auquel on pourrait prétendre. Je suis en revanche incapable d'évaluer la durée de retour d'un tel évènement. Il s'agit de probabilités très rares emboitées les unes dans les autres et je suis bien incapable de calculer cela, mais cela fiat parti incontestablement du domaine des possibles pas besoin de descendre à 1940, janvier 2006 avait été incroyable en température à 1000hpa sur une grande partie de la russie occidentale et un peu l'europe de l'est.....dommage que la vague de froid n'est pas touché la France a cette époque... sinon si l'intéraction entre la goutte froide d'altitude européenne et celle du pôle autour du 4 février n'avait pas eu lieu cette année, on aurrait passé une très mauvaise semaine entre le dimanche 5 et 9.... donc cela c'est joué de peu...il n y a qu'à voir le scenario de 1929...un air froid de mongolie qui atteint la France...cela faillit être le cas cette année! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
rvbo Posté(e) 3 mars 2012 Brassac les Mines (sud 63) 405m sur les bords de l'Allier Partager Posté(e) 3 mars 2012 C'est bien beau de parler de températures au 17 ème - 18 ème siècle mais ca vaudrait quoi aujourd'hui avec nos stations météo officielles? le matériel n'était pas le même et ça m'étonnerait fortement que les conditions de mesure par rapport à l'environnement étaient les mêmes avec autant de rigueur. C'est une question que je trouve très intéressante il est vrai. Attention, loin de moi de dire que ces T° relevées n'ont pas de "valeurs climatologiques" et qu'il faut les exclure des statistiques mais j'aimerais bien savoir qui relevait , comment se faisaient les mesures, où mettait-on les thermomètres, sous quels abris, idem pour les pluviomètres ? Existe-t-il un facteur de correction a apporter à ces valeurs pour les comparer à celles d'aujourd'hui ? Merci pour vos réponses. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 3 mars 2012 Partager Posté(e) 3 mars 2012 C'est une question que je trouve très intéressante il est vrai. Attention, loin de moi de dire que ces T° relevées n'ont pas de "valeurs climatologiques" et qu'il faut les exclure des statistiques mais j'aimerais bien savoir qui relevait , comment se faisaient les mesures, où mettait-on les thermomètres, sous quels abris, idem pour les pluviomètres ? Existe-t-il un facteur de correction a apporter à ces valeurs pour les comparer à celles d'aujourd'hui ? Merci pour vos réponses. Les données ont été homogénéisées, et il n'y a pas de problèmes particulier en général. D'autant qu'on parle de moyenne, ce qui réduit le bruit de la mesure. Pour les minis et maxis, c'est un peu plus aléatoires, les abris fermés n'existaient pas (on relevait en abri ouvert). Les facteurs de corrections sont déterminés différemment suivant le point de mesure. Quand on peut, on essaye de calculer l'écart entre les moyennes aux normes les plus anciennes, et les moyennes aux normes les plus récentes. En sachant que, de toute façon, aucune série de température ne présente pas de discontinuité. En moyenne, on retrouve 1 ou 2 point de discontinuité. On peut aussi, comme la série CET, réunir toutes les mesures disparates de ci, de là pour créer une série unique homogène pour une région. À ce niveau, c'est un travail immense. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 3 mars 2012 Partager Posté(e) 3 mars 2012 On peut aussi se prendre la tête pendant 50 ans sur la terminologie exacte à appliquer à cette VDF. Exceptionnelle ? Avec ou sans 2 L - E ? /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Mais cela n'est pas le plus important. MF le qualifie d’exceptionnel, grand bien leur fasse, mais statistiquement c'est VDF à une période de retour de 15/20 ans. Chacun qualifie cela comme il veut après. Et comme je le disais, on parle en terme de distro, pas juste en terme de "cela fait combien de temps qu'on n'a plus bouffé aussi sévère ?". Dans certains coins, il faut peut être remonté à 56, mais cela ne fait pas une période de retour de 50 ans. Déjà que 56 ne présente pas une énorme déviation à la normale... Et si on parle à l'échelle humaine, c'est la 5ème VDF la plus intense depuis 47. Ce qui fait 65 ans, un peu moins que l'échelle d'une vie humaine. P.S. : J'en reviens toujours à la même histoire, mais prenez l'Automne 2006 qui a une période de retour de plus de 500 ans à l'échelle européenne. Les records saisonniers ont été explosés de 1° à 2°C (ce sont bien les écarts aux précédents records....) en Angleterre, en Belgique, aux Pays-Bas, en Suisse, en France ... , un peu moins en Irlande (~0.5°C, climat océanique), avec des enregistrements datant parfois du 17ème. Essayez d'imaginer un seul instant ce que cela pourrait donner en Hiver, et on reparlera après de 2012 ou même de 1956. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
-Tom- Posté(e) 3 mars 2012 Montlainsia (limite 01/39) 360m alt. Partager Posté(e) 3 mars 2012 On peut aussi se prendre la tête pendant 50 ans sur la terminologie exacte à appliquer à cette VDF. Exceptionnelle ? Avec ou sans 2 L - E ? /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Mais cela n'est pas le plus important. MF le qualifie d’exceptionnel, grand bien leur fasse, mais statistiquement c'est VDF à une période de retour de 15/20 ans. Chacun qualifie cela comme il veut après. Et comme je le disais, on parle en terme de distro, pas juste en terme de "cela fait combien de temps qu'on n'a plus bouffé aussi sévère ?". Dans certains coins, il faut peut être remonté à 56, mais cela ne fait pas une période de retour de 50 ans. Déjà que 56 ne présente pas une énorme déviation à la normale... Et si on parle à l'échelle humaine, c'est la 5ème VDF la plus intense depuis 47. Ce qui fait 65 ans, un peu moins que l'échelle d'une vie humaine. P.S. : J'en reviens toujours à la même histoire, mais prenez l'Automne 2006 qui a une période de retour de plus de 500 ans à l'échelle européenne. Les records saisonniers ont été explosés de 1° à 2°C (ce sont bien les écarts aux précédents records....) en Angleterre, en Belgique, aux Pays-Bas, en Suisse, en France ... , un peu moins en Irlande (~0.5°C, climat océanique), avec des enregistrements datant parfois du 17ème. Essayez d'imaginer un seul instant ce que cela pourrait donner en Hiver, et on reparlera après de 2012 ou même de 1956. Dans un contexte de réchauffement global explique moi comment ce serait possible ? Il semble logique qu'on batte plus désormais des records de chaleur que de froid. Ce contexte rend toute vague de froid d'autant plus exceptionnelle car elles vont devenir statistiquement de plus en plus rares et moins intenses ... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 3 mars 2012 Brest Partager Posté(e) 3 mars 2012 MF le qualifie d’exceptionnel, grand bien leur fasse, mais statistiquement c'est VDF à une période de retour de 15/20 ans. Chacun qualifie cela comme il veut après. Je crois qu'on peut bien parler d'exceptionnel quand ça arrive tous les 15/20 ans. Perso ça ne me choquerait pas. Automne 2006 est encore plus exceptionnel, bien sûr, mais à part les passionnés de climatologie, les records d'entre-saisons n'intéressent pas grand monde, parce que ce ne sont pas des extrêmes en soi. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
dann17 Posté(e) 3 mars 2012 Saint-Ambroise, Saguenay-Lac-St-Jean, QC, Canada Partager Posté(e) 3 mars 2012 On peut aussi se prendre la tête pendant 50 ans sur la terminologie exacte à appliquer à cette VDF. Exceptionnelle ? Avec ou sans 2 L - E ? /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Mais cela n'est pas le plus important. MF le qualifie d’exceptionnel, grand bien leur fasse, mais statistiquement c'est VDF à une période de retour de 15/20 ans. Chacun qualifie cela comme il veut après. Et comme je le disais, on parle en terme de distro, pas juste en terme de "cela fait combien de temps qu'on n'a plus bouffé aussi sévère ?". Dans certains coins, il faut peut être remonté à 56, mais cela ne fait pas une période de retour de 50 ans. Déjà que 56 ne présente pas une énorme déviation à la normale... Et si on parle à l'échelle humaine, c'est la 5ème VDF la plus intense depuis 47. Ce qui fait 65 ans, un peu moins que l'échelle d'une vie humaine. P.S. : J'en reviens toujours à la même histoire, mais prenez l'Automne 2006 qui a une période de retour de plus de 500 ans à l'échelle européenne. Les records saisonniers ont été explosés de 1° à 2°C (ce sont bien les écarts aux précédents records....) en Angleterre, en Belgique, aux Pays-Bas, en Suisse, en France ... , un peu moins en Irlande (~0.5°C, climat océanique), avec des enregistrements datant parfois du 17ème. Essayez d'imaginer un seul instant ce que cela pourrait donner en Hiver, et on reparlera après de 2012 ou même de 1956. Entièrement d'accord avec Paix : ce qui est surtout exceptionnel (mais ce dont très peu de gens parlent), c'est l'automne 2006, par exemple. Mais étant donné qu'il s'agissait de douceur automnale (et donc que cela ne pètait aucun record de chaleur annuelle absolue, forcément, on le remarque beaucoup moins. Et puis en plus, un automne extrêmement -exceptionnellement- doux, c'est au contraire agréable à vivre pour la majorité des gens), alors évidemment, personne ne s'en est soucié.Alors que les -10/-15 voire -20 de février 2012, ça marque les esprits, évidemment. D'autant plus que la France a connu une période très longue (de 25 ans !) de grande, voire très grande douceur quasi-ininterrompue. J'oserais même dire que c'est justement cette très grande douceur (longue et "intense") qui a été exceptionnelle ! Mais là encore, évidemment, quasiment personne ne le mentionne. Donc forcément, il est un peu facile de qualifier un évènement tel que février 2012 d'exceptionnel (et j'aimerais que les gars comme Virgile cessent de déblatérer des conn.eries du style "ouais dann il est au Canada donc il peut pas savoir ce qui s'est passé, et en plus il compare avec les températures québécoises".... de tels arguments, c'est du grand N'IMPORTE QUOI !). Faudrait ptet arrêter de me faire dire ce que je n'ai jamais dit : je ne "dénigre" aucunement l'évènement météo très remarquable que vous avez eu. Mais à un moment donné, il serait bien (et c'est valable pour tous les sujets de discussion dans nos sociétés occidentales actuelles) d'éviter de passer systématiquement aux superlatifs. Et ce constat est valable pour certains rapporteurs de chez MF. Ce sont des Hommes eux aussi, et puisque cette notion "d'exceptionnalité" est une estimation et qu'elle est aussi une question de vocabulaire, alors on comprend mieux pourquoi ils évoquent rapidement un caractère exceptionnel. De plus, peut-être sont-ils aussi plus ou moins sommés de parler d'évènement exceptionnel dès lors que la sécurité des citoyens peut avoir été mise en jeu ? (François pourrait peut-être nous en dire plus, s'il en a le droit...). Histoire de se "déresponsabiliser" (je parle plus généralement des autorités publiques, et non spécifiquement MF) en quelque sorte si de nombreux décès ont pu avoir lieu. Ensuite, il serait bien une bonne fois pour toutes que (au sujet de cette VDF de février 2012) certains comprennent qu'au niveau national, cette VDF a été largement dépassée (en termes d'intensité, de durée et d'étendue géographique, ces 3 éléments pris ensemble) par plusieurs VDF depuis pas si longtemps que ça. Il y en a bcp parmi vous qui raisonnent uniquement sur un plan régional. Alors certes, cet épisode a été effectivement exceptionnel sur une bonne partie sud-ouest, probablement. Mais ce caractère exceptionnel local a beaucoup moins de poids que sur le plan national (et même européen). Est-ce si difficile à comprendre ?! Je re-cite Virgile (qui cite MF) : "A l’échelle de la France, cet épisode est tout à fait exceptionnel : une telle vague de froid n’avait pas été observée dans le pays depuis janvier 1987. En terme d’intensité globale, il s’agit de la cinquième vague de froid la plus sévère observée depuis 1947 en France." Moi quand je vois ça, je me marre un peu... ils (enfin celui qui a écrit ça) osent carrément dire "tout à fait exceptionnel" (c'est à dire "tout à fait unique, inédit"), alors que 4 VDF ont été plus fortes que celle-ci en 60 ans. Quel mot alors pour décrire celle de 56 ? Et pire encore, quel mot pour qualifier décembre 1889 ? (car même si la probabilité est très très faible, cela pourrait très bien se reproduire) C'est juste ridicule... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Virgile Posté(e) 3 mars 2012 Cormeilles (27) Partager Posté(e) 3 mars 2012 Dans un contexte de réchauffement global explique moi comment ce serait possible ? Il semble logique qu'on batte plus désormais des records de chaleur que de froid. Ce contexte rend toute vague de froid d'autant plus exceptionnelle car elles vont devenir statistiquement de plus en plus rares et moins intenses ... tout à fait. Sur les 20 dernières années, la balance penche nettement en faveur des records de chaleur que des records de froid en France. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
-Tom- Posté(e) 3 mars 2012 Montlainsia (limite 01/39) 360m alt. Partager Posté(e) 3 mars 2012 Alors que les -10/-15 voire -20 de février 2012, ça marque les esprits, évidemment. D'autant plus que la France a connu une période très longue (de 25 ans !) de grande, voire très grande douceur quasi-ininterrompue. J'oserais même dire que c'est justement cette très grande douceur (longue et "intense") qui a été exceptionnelle ! Justement, comme je l'ai dis cette VDF est d'autant plus exceptionnele puisque nous sommes depuis 25 ans dans un contexte de douceur. Cette douceur est remarquable oui, je suis d'accord, et elle à un nom: le réchauffement global. Je pense qu'il faut faire attention car comparer des évènements actuels avec des vagues de froid du 19ème siècle c'est juste pas (plus) possible ! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
dann17 Posté(e) 3 mars 2012 Saint-Ambroise, Saguenay-Lac-St-Jean, QC, Canada Partager Posté(e) 3 mars 2012 Justement, comme je l'ai dis cette VDF est d'autant plus exceptionnele puisque nous sommes depuis 25 ans dans un contexte de douceur. Cette douceur est remarquable oui, je suis d'accord, et elle à un nom: le réchauffement global. Je pense qu'il faut faire attention car comparer des évènements actuels avec des vagues de froid du 19ème siècle c'est juste pas (plus) possible ! C'est là que nous ne concevons pas les choses de la même manière : tu parles d'une douceur "remarquable" depuis 25 ans, sauf que justement, elle est réellement exceptionnelle, et non seulement "remarquable". Exceptionnelle, parce que tout simplement inédite, jamais vue depuis que les relevés météo existent ! C'est bien là un caractère complètement exceptionnel. Après tu me parles des causes (RC,probablement), mais ça c'est autre chose. Les causes sont juste l'explication du caractère exceptionnel de cette période de douceur. Mais quelle qu'en soit l'explication, cette douceur est exceptionnelle.Et donc au même titre, la VDF de février 2012 ne l'est évidemment pas, puisque largement dépassée à maintes reprises dans une vie humaine. Encore une fois, mentionner la cause c'est autre chose. Cela vient après. Il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs... et justement, c'est là à mon avis que tu commets une grossière erreur en affirmant qu'une VDF du style déc 1879 n'est plus possible... elle est sans doute plus improbable, mais pas impossible. C'est juste une question de la configuration des éléments climatiques en place, qui est statistiquement très rare, mais ça arrive. Ce n'est pas une question de RC (celui-ci atténuerait légèrement la puissance du froid, et au lieu d'une anomalie de 11°c, elle serait de 10°c ou qqchose comme ça. Mais cette anomalie serait très largement inférieure à celle de toutes les VDF des 100 dernières années. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Virgile Posté(e) 3 mars 2012 Cormeilles (27) Partager Posté(e) 3 mars 2012 C'est là que nous ne concevons pas les choses de la même manière : tu parles d'une douceur "remarquable" depuis 25 ans, sauf que justement, elle est réellement exceptionnelle, et non seulement "remarquable". Exceptionnelle, parce que tout simplement inédite, jamais vue depuis que les relevés météo existent ! C'est bien là un caractère complètement exceptionnel. Après tu me parles des causes (RC,probablement), mais ça c'est autre chose. Les causes sont juste l'explication du caractère exceptionnel de cette période de douceur. Mais quelle qu'en soit l'explication, cette douceur est exceptionnelle. Ca y est. On a encore monté de grade. Où va t'on s'arrêter? Ta définition d'exceptionnel vient de changer. Comme MF parle maintenant du phénomène (vague de froid de février 2012) qui n'a plus eu lieu depuis 1987, c'est à dire depuis 25 ans, tu ne parles même plus de retour de périodicité de 25/30 ans pour le qualifier. Tu parles maintenant d'un événement inédit, qui n'a jamais eu lieu pour pouvoir employer ce terme d'exceptionnel.Allez fais nous plaisir, avoue que cette vague de froid de février 2012 a été exceptionnelle et on en parle plus. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christophe30 Posté(e) 3 mars 2012 Saint-Quentin-la-Poterie (30) Partager Posté(e) 3 mars 2012 Dann, tu demandes aux intervenants qui ne sont pas en accord avec tes dires de "bien comprendre que..."; mais désolé, nous ne sommes absolument pas obligés d'être parfaitement en accord avec tes dires, même si une grande partie du raisonnement est, à mon sens, légitime. Car tu sais, il serait important que tu comprennes qu'à aucun moment nous avons cherchés à comparer le caractère exceptionnel de ce coup de froid avec ceux de 85, 63, 56 ou des années 1800.. ! L'aspect région est susceptible de biaiser le ressenti, certes, mais rassure-toi tu n'est pas le seul à avoir des chiffres sous les yeux. Quand je t'ai demandé de me pondre de façon rigoureuse et et officielle la convention Française où il est dit que pour qualifier d'exceptionnel, il faut une période de retour d'au moins 30 ans, que NENI, aucune réponse. Je suis pourtant persuadé que tu es à même d'étayer tes dires sans chercher à partir dans une autre climato, celle d'une douceur remarquable par ex. Bien à toi, /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
PaRaDoX Posté(e) 3 mars 2012 Partager Posté(e) 3 mars 2012 Il n'empêche que MF ont changé leur définition d'exceptionnel. Il y a encore un moment, leur classification pour les VDF était différente où seules trois d'entre-elles était classées exceptionnelles : février 1956, janvier/février 1963 et janvier 1985. Celle de janvier 1987 n'était classée que "forte" et non "exceptionnelle", sachant que celle-ci a été plus forte que notre dernière VDF, la VDF de 2012 ne se classe donc dans ce cas que dans les VDF d'intensité forte et non exceptionnelle. D'ailleurs pas mal sur ce topic ont l'air de percevoir les dires de MF comme l’Évangile, eh bien dans ce cas même la VDF de janvier 2009 fut exceptionnelle selon eux : http://france.meteofrance.com/france/actu/archives/2009/2009?page_id=10320&document_id=20214&portlet_id=72302 Et pourtant dans le dernier tableau de classification des VDF, celle de 2009 n'y est même pas tant elle est faiblarde par rapport aux autres. Bien la versatilité ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
dann17 Posté(e) 3 mars 2012 Saint-Ambroise, Saguenay-Lac-St-Jean, QC, Canada Partager Posté(e) 3 mars 2012 Ca y est. On a encore monté de grade. Où va t'on s'arrêter? Ta définition d'exceptionnel vient de changer. Comme MF parle maintenant du phénomène (vague de froid de février 2012) qui n'a plus eu lieu depuis 1987, c'est à dire depuis 25 ans, tu ne parles même plus de retour de périodicité de 25/30 ans pour le qualifier. Tu parles maintenant d'un événement inédit, qui n'a jamais eu lieu pour pouvoir employer ce terme d'exceptionnel. Allez fais nous plaisir, avoue que cette vague de froid de février 2012 a été exceptionnelle et on en parle plus. Mais Virgile, il n'y a pas que la durée, ou que l'intensité, ou que l'étendue géographique pour qualifier un évènement climatique, mais les trois simultanément. Et donc si ça ne fait "que" 25 ans qu'il fait très doux, il faut surtout avoir à l'esprit qu'une telle anomalie positive moyenne sur une aussi longue durée et sur la quasi-totalité de l'Europe occidentale est absolument exceptionnel. En d'autres termes, si on fait l'intégrale des anomalies sur ces 25 années, on obtient un valeur jamais atteinte.Mais bon allez, tu as raison, arrêtons-là la ptite chicane pour pas grand-chose. Alors si tu veux, je le dis : février 2012 a été exceptionnel. Voilà... /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christophe30 Posté(e) 3 mars 2012 Saint-Quentin-la-Poterie (30) Partager Posté(e) 3 mars 2012 D'ailleurs pas mal sur ce topic ont l'air de percevoir les dires de MF comme l'Évangile, eh bien dans ce cas même la VDF de janvier 2009 fut exceptionnelle selon eux : Le truc c'est que certains imposent la rigueur. Or, vu que nous ne sommes que des passionnés avec peu de connaissance, il est légitime de se référer à l'organisme national. En regardant au niveau des sphères, aucune comparaison entre celle de 2009 et celle de 2012. Bref moi ça me gave ce débat. Vous avez raison, c'est un coup de froid banal comme il est susceptible de s'en produire frequemment. Sauf que c'est théorique, force est de constater que c'est de plus en plus rare. Mais soit.../emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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