Aller au contenu
Les Forums d'Infoclimat

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

Statistiques et anomalies climatiques globales


sirius

Messages recommandés

Plutôt en lien avec ce sujet, voici une animation de la série des cyclones atlantiques et leur capacité à concentrer le sel de mer ou faire remonter fumée des incendies et poussière désertique. Notamment Ophélia à la fin. Les incendies n'étant pas sans rapport avec un climat en réchauffement.

https://dms.licdn.com/playback/C4D00AQGfK0K4Nsb8iw/f3c8caf97d644c639dd296869f574720/feedshare-mp4_500/1479932728445-v0ch3x?e=1513802182&v=alpha&t=eDgkSfjBMCyaA6zT7gkoxDhvEzkAmE_lV802RgdQ1bE

  • J'aime 4
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 5k
  • Créé
  • Dernière réponse

Les plus actifs

Les plus actifs

Messages populaires

Je reviens sur ce sujet mal placé dans le national car c'est global. "Le réchauffement climatique en pause : records de chaleur mondiaux, c'est fini !" http://www.lameteo.org/index.php/news/2822

Beaucoup d'erreurs élémentaires et incroyables pour des pro dans tout ce que je viens de lire, que ce soit dans l'édito de Fred sur "Où en est le RC", https://www.lameteo.org/index.php/news/3149-ou-en

Autre vision...les dernières 12000 années..   

Images postées

Il y a 2 heures, Cotissois 31 a dit :

Plutôt en lien avec ce sujet, voici une animation de la série des cyclones atlantiques et leur capacité à concentrer le sel de mer ou faire remonter fumée des incendies et poussière désertique. Notamment Ophélia à la fin. Les incendies n'étant pas sans rapport avec un climat en réchauffement.

https://dms.licdn.com/playback/C4D00AQGfK0K4Nsb8iw/f3c8caf97d644c639dd296869f574720/feedshare-mp4_500/1479932728445-v0ch3x?e=1513802182&v=alpha&t=eDgkSfjBMCyaA6zT7gkoxDhvEzkAmE_lV802RgdQ1bE

 

Concernant les incendies il faut surtout que leur évolution en nombre est suite à l'augmentation des pyromanes comme nous l'a montré la majorité des incendies en France, au Portugal,... surtout cette année. Après il est sûr que la météo joue un rôle sur la propagation des incendies déclenchés par ces personnes volontairement au bon moment ou accidentel,...

 

Williams

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci pour la HD, c'est magnifique.

 

C'est une reconstruction de quelques mois de 2017 mais il y a des symboles de l'augmentation des phénomènes extrêmes.

On sait que l'ouest américain a vécu des anomalies chaudes et sèches record, ce qui n'est pas sans rapport avec le nombre impressionnant de feux là-bas.  C'est même un nombre anormalement élevé.

http://www.businessinsider.fr/us/wildfire-season-western-us-2017-9/

La séquence des cyclones atlantique a aussi atteint des records, la séquence du cyclone Ophélia est aussi un record à lui tout-seule.

Modifié par Cotissois 31
  • J'aime 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Le volume de décembre 2017 du projet PAGES (Past global changes) concernant la variabilité climatique de l'échelle centennale à millénaire.

 http://pastglobalchanges.org/download/docs/magazine/2017-3/PAGESmagazine_2017(3)_Full_High.pdf

 

Les autres publications sont accessibles ici : http://www.pages-igbp.org/products/pages-magazine

Modifié par Higurashi
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Selon NCEP l'anomalie de température pour décembre 2017 s'élève à 0.41°C par rapport à 1981-2010.

C'est conforme à une évolution "normale" de la température sous le RC qu'on connaît.

Mais, tout de même, c'est élevé et porte le rang de ce mois au 3ème des plus chauds derrière 2015 (0.70°C) et 2016 (0.47°C)

Comme déjà dit, l'année 2017 sera donc bien la deuxième plus chaude avec 0.51°C derrière 2016 (0.66°C) et devant 2015 (0.47°C).

Ce qui fait son rang est une série de mois inexplicablement chauds (janvier, février, mars, octobre, en particulier)

Il n'est pas inhabituel qu'il y ait des mois chauds mais il n'y a quasiment pas eu de mois froid, le plus froid étant juin avec 0.38°C.

Ceci est-il une évolution durable ou pas?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Il y a 18 heures, meteor a dit :

Selon NCEP l'anomalie de température pour décembre 2017 s'élève à 0.41°C par rapport à 1981-2010.

C'est conforme à une évolution "normale" de la température sous le RC qu'on connaît.

Mais, tout de même, c'est élevé et porte le rang de ce mois au 3ème des plus chauds derrière 2015 (0.70°C) et 2016 (0.47°C)

Comme déjà dit, l'année 2017 sera donc bien la deuxième plus chaude avec 0.51°C derrière 2016 (0.66°C) et devant 2015 (0.47°C).

Ce qui fait son rang est une série de mois inexplicablement chauds (janvier, février, mars, octobre, en particulier)

Il n'est pas inhabituel qu'il y ait des mois chauds mais il n'y a quasiment pas eu de mois froid, le plus froid étant juin avec 0.38°C.

Ceci est-il une évolution durable ou pas?

Merci meteor pour mettre à jour les données quasi en temps réel.

Oui, 2ème année la plus chaude......et sans El Nino.

Il semble bien maintenant y avoir un nouveau palier.

Ca fera un "hiatus" de quelques années (!!!!) avant qu'un prochain Nino vienne propulser les températures à des niveau inédits.

La croissance économique mondiale repart, la demande en pétrole avec ; le charbon n'a jamais été autant brulé, et le CO2 dans l'atmosphère va exploser encore et encore les records... Les mesurettes annoncées n'auront à peu près aucun effet... C'est acté.

 

En France les hivernophiles s'agitent dès que l'on passe en dessous de zéro la nuit...encore quelques années et ça fera la une des médias.

 

J'écris ça parce qu'en 50 ans, en météo -plutôt en climato- tout à vraiment changé... et ça ne reviendra pas en arrière

Je ne décolère pas.

  • J'aime 4
  • Merci 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

2 excellents bilan de l'année 2017 par Johan Lorck de global climat (surtout le premier lien, ne manquez pas la lecture de cet article ) : 

 

https://global-climat.com/2018/01/01/retour-sur-les-etudes-de-lannee-2017/

 

s09_fossilfuel_and_cement_emissions_1990.png?w=1300

 

https://global-climat.com/2018/01/02/2017-deuxieme-annee-la-plus-chaude-sur-terre/

 

 

ncep-yted-2017.png?w=1300

  • J'aime 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Le 02/01/2018 à 22:43, meteor a dit :

Ce qui fait son rang est une série de mois inexplicablement chauds (janvier, février, mars, octobre, en particulier)

 

Ce que je trouve davantage étonnant cette année, c'est les valeurs de basse troposphère (RSS / UAH). 2017 ressort au deuxième (RSS) et troisième (UAH) rang des années les plus chaudes, ce qui est tout de même inattendu quand on connaît la dépendance de ces relevés à l'ENSO et le fait que 2017 ait été plutôt neutre de ce point de vue.

 

Côté RSS par exemple, les cinq années les plus chaudes jusqu'à présent avaient toutes été marquées par des conditions Niño. 2017, qui a démarré avec une pseudo-Niña avorté et qui s'achève avec une Niña plus affirmée, se paye quand même le luxe d'arriver pas loin derrière 2016 et surtout de surpasser 1998. Côté UAH la valeur de 1998 n'est pas battue, mais 2017 arrive quand même devant 2010, 2015 et 2005.

 

Qui plus est, tant UAH que RSS ressortent avec des valeurs records en septembre et octobre, alors que la Niña était en pleine installation. Illustration avec la valeur d'octobre chez UAH de +0.63° qui a surclassé l'ancien record de +0.43° en 2015, le tout avec -0.70° d'indice ONI (Niño 3.4) contre +2.11° en 2015.

 

Ces résultats sont pour le moins sacrément surprenants de mon point de vue.

 

 

  • J'aime 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ca peut pas être un biais  ? Est ce qu'on dispose de RAOBS ou qq équivalent ?

Je sais que la couverture ne sera pas la même mais ça serait sans doute une indication

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Pour la réanalyse européenne (ECMWF), c'est également une seconde place : https://climate.copernicus.eu/news-and-media/press-room/press-releases/2017-extends-period-exceptionally-warm-years-first-complete

 

Pour la JMA, ce serait une troisième place, mais avec peu de différence par rapport aux deux dernières années.

 

DSzKC4mUMAAo3mp.jpg

 

 

 

  • J'aime 4
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Le 05/01/2018 à 21:15, Higurashi a dit :

Pour la réanalyse européenne (ECMWF), c'est également une seconde place : https://climate.copernicus.eu/news-and-media/press-room/press-releases/2017-extends-period-exceptionally-warm-years-first-complete

 

Pour la JMA, ce serait une troisième place, mais avec peu de différence par rapport aux deux dernières années.

 

 

 

 

Même si on devine bien le message, on attend toujours les barres d'incertitudes, pour éviter de sur-analyser ce signal. Les médias européens vont reprendre Hadcrut4, parce que Reuters va interroger le MetOffice, qui comme d'habitude depuis l'amplification arctique sera dans les plus optimistes.

Modifié par Cotissois 31
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Une étude que je trouve vraiment intéressante, qui date de 2014. Je poste ça ici même si ce n'est pas vraiment le sujet, je ne voyais pas trop où poster ça autre part. http://www.atmos.colostate.edu/~davet/ao/ThompsonPapers/ThompsonBarnesScience2014.pdf 

 

Je l'avais dans mes dossiers en attente mais je viens seulement de la lire. Ça concerne l'activité des tourbillons baroclines que l'on retrouve aux latitudes extra-tropicales. On pense à nos dépressions et tempêtes constamment entrain de se former et de mourir, plus généralement aux ondes qui circulent rapidement d'ouest en est. Un groupe de chercheurs, dont Elizabeth A. Barnes fait partie, a mis en évidence que cette dynamique, que l'on peut qualifier comme étant de la macro-turbulence, a un pic de fréquence très net dans l'hémisphère sud centré autour de 20/30 jours. C'est à dire que l'activité de ces tourbillons se fait part bouffées, par pulsions préférentielles à cette fréquence. Sur un film en accéléré, on pourrait voir un battement très régulier (mais pas sur n'importe quelle quantité physique). 

 

542770403D.png

 

Je passerai sur tous les détails, mais cette périodicité est robuste puisque visible sur différents paramètres associés aux ondes baroclines, visible en utilisant des observations à courtes ou longues durées, sur les réanalyses, simulée sur les modèles de différentes complexités (même dans des modèles secs, sans continents...). Ils ont donc à priori capturé quelque chose de fondamental en termes de processus dynamique.

 

Donc ça pulse de façon marquée à cette fréquence, la question c'est de savoir ce que représente ce signal ? L'hypothèse qui a été faite, qui n'est pas nouvelle en soi, repose sur l'interaction à double sens entre la zone barocline de l'hémisphère sud (fort gradient de température nord/sud, courant-jet...) et l'instabilité associée à cette structure qui conduit donc aux tourbillons cités plus haut. En idéalisant, l'idée c'est que progressivement l'énergie potentielle de la zone barocline s'accumule, les gradients se renforcent stimulant l'activité des tourbillons qui s'accentuent rapidement et brassent une importante quantité d'énergie de façon à relaxer le gradient initial. Ce dernier étant ainsi dilué, la production de tourbillons diminue, moins d’énergie est brassée ce qui permet au gradient de se renforcer à nouveau et on repart pour un tour... Ça s'apparente à un mécanisme de charge-décharge (ça claque après chaque montée en potentiel suffisante).

 

Dans leur papier, ils rappellent que ce mécanisme avait déjà été proposé il y'a plus de 60 ans pour l'hémisphère nord avec l'index cycle mais que ce comportement n'avait jamais été observé. Effectivement, on ne retrouve pas ce spectre de fréquence singulier sur la moitié nord du globe... 

 

Ci-dessous, une image à titre d'illustration où sont simulés des tourbillons baroclines.

 

 

Example:+Baroclinic+wave.jpg

 

Modifié par Higurashi
  • J'aime 4
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Un lien très intéressant sur les modèles climatiques et la façon dont ils sont construits et utilisés. C'est un article très complet et peut-être un tantinet long pour certains. 

 

https://www.carbonbrief.org/qa-how-do-climate-models-work

 

D'autres devraient suivre sur cette même thématique afin d'approfondir le sujet. Ils seront à retrouver ici :

 

https://www.carbonbrief.org/category/science/climate-modelling

  • J'aime 1
  • Merci 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

J'avais vu mais je n'avais fait que survoler. C'est ton signalement qui m'a décidé à m'y mettre.

Il est réellement très bien fichu et finalement très lisible, je pense.  ..pour qui lit l'Anglais évidemment.

On peut y lire que l'une des principales faiblesses des modèles, c'est la manière dont les nuages y sont simulés.

Comme on pouvait s'y attendre,  la solution est à chercher du côté d'une résolution qui permet une représentation explicite de la convection.

En fait, on dit ça depuis ....ben depuis que j'ai commencé à travailler là dessus  et ça fait un bail (les premiers GCM en fait)

Mais ça ne suffit pas parce que les nuages bas ne sont pas convectifs, or ils ont un impact essentiel sur l'albédo.

 

Il y a justement un article  grand public (en français)  qui me semble fort bien fait sur ce thème . Il repose essentiellement sur les travaux de Sandrine Bony ,  Jean Louis Dufresne  et olivier Boucher au LMD

 

 

Modifié par sirius
  • J'aime 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Au 14 de ce mois, la situation semble continuer à se normaliser.

Lorsque je parle de normalisation, c'est par rapport aux anomalies mensuelles très fortes de ces 3 dernières années, supérieures parfois à 0.9°C.

L'anomalie globale est en effet à 0.37°C selon NCEP, et les SST sont vers 0.20°C selon CDAS.

On revient dans la zone prévue par mon modèle.

Sans les pôles cette anomalie atteint 0.24°C et l'Arctique, en particulier, est responsable de 30% de l'anomalie environ.

Rappelons que les anomalies des mois précédents étaient à 0.41/0.42°C et que l'anomalie moyenne de 2015-2016-2017 était de 0.55°C.

Bien entendu inutile de rappeler que ça reste chaud mais au moins, de mon point de vue, c'est tout à fait explicable.

En effet, avec une anomalie de l'ordre de 0.40°C, on revient aux valeurs d'avant la bouffée chaude + grosso modo le RC "normal".

La peur, chez certains, d'un emballement, devrait donc s'éloigner quelque peu, à condition, cela va sans dire, qu'on continue encore comme cela quelques mois..

NB: toutes les anomalies sont données par rapport à la moyenne de 1981-2010

 

PS: ci dessous la simulation de l'anomalie globale jusqu'en août 2018

 

simul-87-2018.jpg

Modifié par meteor
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Il y a 3 heures, sirius a dit :

Mais ça ne suffit pas parce que les nuages bas ne sont pas convectifs, or ils ont un impact essentiel sur l'albédo.

Il y a justement un article  grand public (en français)  qui me semble fort bien fait sur ce thème . Il repose essentiellement sur les travaux de Sandrine Bony ,  Jean Louis Dufresne  et olivier Boucher au LMD

 

Merci pour le partage. 

 

A propos des nuages bas justement, j'ai lu dernièrement que dans les modèles la plus grosse incertitude proviendrait des cumulus d'alizés (plus que des stratocumulus qui recouvrent une zone moins étendue).

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ah oui, pour le futur immédiat, et bien qu'en valeur absolue les résultats diffèrent notablement du NCEP/NCAR que j'utilise, on notera que les prévisions de   Karsten Haustein semblent indiquer une amplification du refroidissement global, surtout concernant l'hémisphère nord, à un niveau qu'on n'a pas vu depuis des mois.

Si cette tendance se confirme, janvier 2018 ne devrait pas monter super haut.

 

 

 

GFS_anomaly_timeseries_global.png

 

 

Pour être complet j'ajoute l'évolution de la SST globale issue de CDAS.

Cela baisse en tendance pour se stabiliser, plus ou moins, vers 0.2°C, ce qui là aussi devient une valeur plus acceptable:

 

global.png

 

Concernant les modèles, l'incertitude qui vient des nuages, c'est très nouveau çà.9_9

Rdv à la fin du mois, pour ma part.

Modifié par meteor
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

il y a 22 minutes, meteor a dit :

Concernant les modèles, l'incertitude qui vient des nuages, c'est très nouveau çà.9_9

 

On parlait bien des projections climatiques, ce qui n'est pas une incertitude nouvelle en soi non. Par contre certains progrès ont été faits récemment même si cela progresse assez lentement. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Selon moi sur les nuages il y a deux avancées importantes : sur les nuages hauts un début de confirmation que leur altitude à bien tendance à augmenter ce qui augmente leur effet de serre et pour les  nuages bas il semblerait que le réchauffement tendrait à diminuer l'entrainement (cad la vitesse verticale à grande échelle des régions de hautes pressions ) . La conséquence en est une tendance des nuages bas à percer l'inversion et  à s'évaporer à moins en partie. Ca diminue la ouverture nuageuse basse.

En fait ça transforme des Sc en Cu moins étendus  évidemment.

Je pense que ça rejoint ce que tu disais

Restent bien sûr des tas de pb dont le pire est peut être la microphysique 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

En relation avec ce papier, l'a variation du bilan radiatif mesuré par CERES (ERAINT) et l'instrument à large champ (WFOV) de ERBS. Il s'agit de données corrigées des variations saisonnières et relatives à la période 200 1- 2005  d'une part (à gauche) et modélisées d'autre part.

Le gros accident en 1992, c'est le Pinatubo

 

evolution-ERB.JPG

Modifié par sirius
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   1 membre est en ligne

×
×
  • Créer...