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La question

J'ai cherché qui sont les représentants français à l'IPCC et j'ai trouvé :

Jean Jouzel, géochimiste, seul français à être vice-président d'un groupe.

Michel Petit , ingénieur général des télécommunications

Jean-Marc Jancovici, ingénieur des télécommunications.

Hervé Le Treut, professeur de mécanique, spécialiste de modélisation numérique.

Je n'ai pas trouvé de liste officielle.

Quelqu'un sait-il où elle est publiée ?

Dans les annexes des rapports, tu as la liste des contributeurs et des relecteurs (reviewers) (eux-mêmes divisés en "principaux" et "contributeurs", et cela chapitre par chapitre). Par exemple pour IPCC 2001, Scientific Basis :

http://www.grida.no/climate/ipcc_tar/wg1/558.htm

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Trouvé dans : http://www.cyberpresse.ca/article/20061013...108/CPSPECIAL11

À mon avis ils se sont trompés de date : il s'agit de 2007.

Climat : le rapport 2006 précisera le scénario du pire

Agence Science-Presse

L’organisme international dont les rapports constituent la crème de la crème du consensus scientifique sur le réchauffement, s’apprête à récidiver. Son quatrième rapport quinquennal sur l’état de la planète doit paraître en fin d’année, et une version préliminaire commence à circuler. George W. Bush n’aimera pas.

Le quotidien The Australian en a en effet obtenu une copie et si le portrait du futur de notre planète n’y est pas plus noir que d’habitude, en revanche, il se fait plus précis.

- En 2001, dans le précédent rapport de ce Panel inter-gouvernemental sur les changements climatiques (IPCC, un organisme qui relève des Nations Unies), la prévision des experts quant à la hausse moyenne des températures d’ici 2100 se situait quelque part entre 1,4 degré Celsius et 5,8 degrés Celsius.

- Dans ce nouveau rapport, attendu en fin d’année, la hausse prévue se resserre entre 2 et 4,5 Celsius.

Autrement dit, le scénario du pire devient moins pire, mais le scénario général, lui, devient plus clair.

Cette hausse des températures aura lieu si rien n’est fait pour réduire la production de gaz à effet de serre, écrivent les auteurs.

Auteurs qui ne sont pas n’importe qui: publié tous les cinq ans, le rapport de l’IPCC est le plus prudent mais le plus puissant de tous les rapports sur l’état des changements climatiques. Ses conclusions ne sont mises noir sur blanc que si elles reflètent un consensus de ses centaines de participants éparpillés sur cinq continents. Et un consensus, ça prend traditionnellement du temps pour l’obtenir. Mais quand on l’a, c’est du solide.

Le scénario optimiste — une hausse de seulement 2 degrés Celsius d’ici 2100 — est ce à quoi on peut s’attendre si les gaz à effet de serre sont maintenus à leur niveau actuel. Un tel futur se traduirait par une hausse du niveau de la mer de 14 centimètres. Le scénario du pire, lui — 4 degrés et demi — pourrait entraîner une hausse de 43 centimètres, ce qui serait largement suffisant pour générer des catastrophes dans la plupart des régions côtières.

Ce scoop d’un journal australien tombe d’autant mieux pour les mouvements écologistes de là-bas que l’Australie est l’un des rares pays, avec les États-Unis, à avoir refusé de signer le Protocole de Kyoto. L'Australie fait de plus partie de cette coalition de six pays, créée à l’été 2005, qui prétend remplacer les mesures de réduction des gaz à effet de serre prévues dans Kyoto par des mesures volontaires.

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Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

vous devez pas souvent chausser des bottes ! Quant à l'INRA elle met azu point des variétés qui sont de plus en plus précoces ! pas une seule culure de masse aujourd'hui qui vienne de souche utilisée il y na trente ans .

des variétés plus septentrionales d'olives ( l'agalndau) implantées en masse dans le midi. vous renvoyez vers l'inra? J'ai suffisamment d'entrées d

Assez juste et comme ma 2e activité est viticulteur je peux apporter quelques réponses, comme le dit LC30 il y a eu introduction de cépages plus nordiques qui de fait rendent les dates des vendanges plus précoces, on ne trouve plus les anciens cepages comme l'Aramon ou le Servant par exemple, dommage pour le premier qui dans les coteaux servait à faire un excellent rosé, à proscrire en plaine mais je considère que son extinction recommandée a ete surtout le fait d'une décision de technocrates à cause de trop hauts rendements en plaine ou effectivement il est à proscrire, quant au Servant un raisin blanc tardif, il imposait une reouverture des caves cooperatives etant donné qu'il murissait à la mi octobre, tres dommage car il faisait un trés bon vin blanc et ses qualités de raisin de table à la peau epaisse permettaient une trés longue conservation, on pendait les grappes à des bambous dans les greniers et à Paques il restait encore des grains transis partiellement mais toujours trés bons à manger.

Pour les cepages qui sont toujours là, carignan, cinsaut, grenache il faut savoir que dans le même cépage existent plusieurs clones, pour les mêmes raisons, crainte des intemperies de septembre octobre l'INRA et les pepinieristes ont selectionné les clones dans les cépages en question qui ont la maturité la plus précoce.

Enfin la limitation des rendements a imposé de ne plus utiliser d'engrais et de faire tomber des productions qui pour certains cepages allaient de 120 hl/ha à 90 pour les vins de table, 80 pour les vins de pays, et 50 pour les AOC, evidemment ca fait du meilleur vin mais il ne faut pas s'etonner si les pieds de vigne ont plus de facilité à faire murir les raisins plus tôt.

La limitation des rendements etant générale sur toute la France il ne faut pas s'etonner des resultats même avec les cepages qui sont restés les mêmes, même y compris avec les mêmes clones.

Etant de la profession, même si ce n'est pas ma principale je hausse les épaules ou secoue la tête quand je vois ecrites des inepties à ce sujet en prenant les dates des vendanges en guise de référence.

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J'ai cherché qui sont les représentants français à l'IPCC et j'ai trouvé :

Jean Jouzel, géochimiste, seul français à être vice-président d'un groupe.

Michel Petit , ingénieur général des télécommunications

Jean-Marc Jancovici, ingénieur des télécommunications.

Hervé Le Treut, professeur de mécanique, spécialiste de modélisation numérique.

Je ne sais pas d'où tu sors cette liste, mais elle est fausse.

Il y a 29 scientifiques français qui contribuent au prochain rapport IPCC du Working Group I "The physical science basis". Je ne crois pas être autorisé à donner tous les noms vu que le rapport est confidentiel à ce stade (les fuites australiennes sont anormales et un manque total de respect pour le travail considérable abattu par les chercheurs concernés). Mais on peut au moins lister quelques "classiques", comme Hervé Le Treut, Olivier Boucher, Jean Jouzel, Philippe Ciais, Pascale Braconnot ou encore Serge Planton. Ce sont tous des physiciens ou géochimistes.

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En complément au message de Torrent ci-dessus, et pour aller dans le même sens :

Le cycle du chêne a été ramené de 250 à 160 ans .... merveilleux . on va nous sortir que c'est à cause ou grace au réchauffement climatique !

Non ! le chêne a toujours fait l'objet de sylviculture, il y a deux cent cinquante ans comme aujourd'hui. Ce qui a changé ce sont les méthodes de sylviculture, la sélection des souches, l'introduction de la roténone, la pédologie d'aujourd'hui, etc.... cela n'a rien à voir avec une hausse ou une baisse des températures...

La forêt initiale existe peut-être en France, je ne l'ai pas souvent rencontrée....

Avant, dans certaines zones on plantait un peuplier à la naissance d'un enfant... Aujourd'hui la forêt de Chautagne est une forêt jardinée....

Quand Le Roy Ladurie se sert des bans des vendanges pour évaluer le climat, il a le droit de le faire parce que jusque vers 1850/1860 rien n'a bougé ; après il y a la diffusion des techniques ( école primaire, chemin de fer, ....).

--

lc30

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Je ne sais pas d'où tu sors cette liste, mais elle est fausse.

Il y a 29 scientifiques français qui contribuent au prochain rapport IPCC du Working Group I "The physical science basis". Je ne crois pas être autorisé à donner tous les noms vu que le rapport est confidentiel à ce stade (les fuites australiennes sont anormales et un manque total de respect pour le travail considérable abattu par les chercheurs concernés). Mais on peut au moins lister quelques "classiques", comme Hervé Le Treut, Olivier Boucher, Jean Jouzel, Philippe Ciais, Pascale Braconnot ou encore Serge Planton. Ce sont tous des physiciens ou géochimistes.

Il me serait utile de savoir en quoi elle est "fausse". Qui y figure qui ne devrait pas y être ?Qu'elle soit incomplète, je le sais depuis le début.

Je demandais dans le post dont la citation est tronquée :

Je n'ai pas trouvé de liste officielle.

Quelqu'un sait-il où elle est publiée ?

J'aurais apprécié une réponse.
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Bonjour Marot,

Je crois que Charles a répondu :

Dans les annexes des rapports, tu as la liste des contributeurs et des relecteurs (reviewers) (eux-mêmes divisés en "principaux" et "contributeurs", et cela chapitre par chapitre). Par exemple pour IPCC 2001, Scientific Basis :

http://www.grida.no/climate/ipcc_tar/wg1/558.htm

Pour la liste des contributeurs du 4AR 2007, je pense que tu dois la trouver sur la draft release à télécharger après avoir fait une promesse de non divulgation.
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Il me serait utile de savoir en quoi elle est "fausse". Qui y figure qui ne devrait pas y être ?

Qu'elle soit incomplète, je le sais depuis le début.

Je demandais dans le post dont la citation est tronquée :

J'aurais apprécié une réponse.

tu es dans le genre sceptique sournois toi default_blushing.gif

bien sûr que ta liste est scandaleusement fausse.

Elle est fausse par omission, par définition erronée des qualifications des gens et elle est fausse au sens où elle a vocation à semer le discrédit sur le GIEC et ses participants français et cela c'est nettement plus grave.

Tu ne vas pas me dire que tu ne sais pas te servir de Google et aller vérifier par toi-même sur le site de l'IPCC.

Je viens de le faire et voilà ce que je ramène comme liste:

Liste des scientifiques français (ou issus de laboratoires français) ayant participé au 3ème rapport du GIEC groupe I

S. Joussaume Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

C. Le Quéré Max Plank Institute for Biogeochemistry, France

J. Jouzel Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environment, France

J.C. Duplessy Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

D. Paillard Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

U. von Grafenstein Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

O. Aumont Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

L.P. Bopp Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

P. Bousquet Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

P. Friedlingstein Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

J.C. Orr Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

I. Bey Harvard University, USA/France

D. Tanré Laboratoire d’Optique Atmospherique, France

O. Boucher Max-Planck Institute for Chemistry, Germany/Laboratoire d’Optique Atmospherique, France

D. Hauglustaine Center National de la Recherche Scientifique, France

H. Le Treut Laboratoire de Météorologie Dynamique du Center National de la Recherche Scientifique, France

S. Bony Laboratoire de Météorologie Dynamique du Center National de la Recherche Scientifique, France

F. Hourdin Center National de la Recherche Scientifique, Laboratoire de Météorologie Dynamique, France

P. Braconnot Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environment, France

P. Delecluse Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire d’Oceanographie Dynamique et Climatologie, France

C. Genthon Laboratoire de Glaciologie et Geophysique de l’Environment, France

E. Guilyardi Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire d’Oceanographie Dynamique et Climatologie, France

M. Kageyama Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire Sciences du Climat et de l’Environment, France

G. Madec Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire d’Oceanographie Dynamique et Climatologie, France

J. Polcher Center National de la Recherche Scientifique, Laboratoire de Météorologie Dynamique, France

A. Cazenave Groupe de Recherche de Geodesie Spatiale CNES, France

C. Ritz Laboratoire de Glaciologie et Geophysique de l’Environment, France

ceci ne concerne que le groupe I je le répète.

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En même temps, dès le premier rapport (page xi de l'édition Cambridge, 2e paragraphe du résumé scientifique), on lit que les émissions humaines augmentent les GES et qu'il en résultera nécessairement un réchauffement. Indirectement, cela revient au même.

Je ne puis te dire si des études décisives ont été faites entre 1991 et 1995, mais j'en doute un peu. En tout état de cause, le schéma choisi par le GIEC est déjà celui que Hansen (par exemple) défend dans son papier séminal de Science en 1981. Dès le départ, l'idée sous-jacente est que l'homme est en train de modifier le climat et qu'il faut faire quelque chose. Les évolutions de la formulation (1990 : l'effet des GES humain est peut-être noyé dans la variabilité naturelle ; 1995 : un faisceau d'indices suggèrent que l'influence des GES humains est perceptible ; 2001 : il est plus que très fortement probable que les GES humains sont à l'origine du réchauffement, etc.) tiennent à la fois :

a- à l'évolution des températures depuis 1980 qui est effectivement à la hausse et qui conforte le préjugé de base ;

b- au succès médiatique du thème du réchauffement planétaire qui crée des pressions pour désigner rapidement les "vrais coupables" (nous) ;

c- à l'obligation que ressent le GIEC de satisfaire à sa mission politique en désignant clairement des responsables et surtout des solutions ;

d- au fait que les polémiques alarmistes / sceptiques ont commencé très tôt et que le GIEC est de toute façon considéré rapidement comme le porte-voix de l'alarmisme plus que le reflet fidèle de la communauté des climatologues.

Ce que tu signales toi-même est très révélateur : la CCNU sur le changement climatique a déjà tiré ses conclusions à peine deux ans après le premier rapport, à une époque où la question est objectivement indécise (elle l'est encore maintenant après les années très chaudes 1995-2005). Il faudrait aussi creuser ce qui s'est passé en 1986-1988 et qui a poussé le G7 à demander la création du GIEC. Quel pays en a fait la proposition ? Sur quelle base ? Quelles étaient les délibérations des grands de ce monde et pourquoi le climat est devenu important à cette date (où l'on sortait à peine d'un léger refroidissement) ? J'ai lu quelque part, mais je ne pourrai hélas donner de références précises, que les Américains ont plutôt mené la danse et que l'épisode traumatique déclencheur a été chez eux les sécheresses exceptionelles du milieu des années 1980 (1987-89, surtout 1988). A cette époque, l'idée d'une responsabilité humaine dans le phénomène avait connu un vif regain d'intérêt. Le témoignage de Hansen (au Sénat ou à la Chambre, je ne sais plus) avait marqué durablement les esprits.

Réf.

Hansen, J., D. Johnson, A. Lacis, S. Lebedeff, P. Lee, D. Rind, and G. Russell 1981. Climate impact of increasing atmospheric carbon dioxide. Science 213, 957-966.

Voici (je pense) où tu as trouvé la mention de l'élément traumatique etc... : Cato Institute (corrigé)
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suite de mon post précédent

Groupe II

Marc Gillet Mission Interministerielle de l'Effet de Serre

Arnaud Hequette Universite du Littoral

Benoit Lesaffre Ministere de l'Amenagement du Territoire et de l'Environnement

Martin Pecheux Nice University

Michel Petit Vice-Chair, WGII

Francois Rodhain Institut Pasteur

Jean-Francois Soussana INRA, Unite d'Agronomie

Groupe III

R. Baron International Energy Agency, France

P. Criqui Institut d’Economie et de Politique de l’Energie; Centre National de la Recherche Scientifique (IEPE-CNRS), France

E. Fortin Congrès International des Réseaux Electriques de Distribution (CIRED), France

J.C. Hourcade Congrès International des Réseaux Électriques de Distribution (CIRED); Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS); École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS), France

A. Lanza International Energy Agency, France

J. Pershing International Energy Agency, France

Synthèse

Olivier Boucher Université de Lille I

Marc Darras Gaz de France

Jane Ellis OCDE

Jean-Charles Hourcade CIRED/CNRS (déjà cité plus haut)

J.C. Morlot Département de l’environnement

M. Petit Ecole polytechnique

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P. Bousquet Institut Pierre Simon Laplace, Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, France

C’est mon prof d’environnement cette année … Excellent prof par ailleurs, très intéressant. default_blink.pngEn tout cas, merci Météor d’avoir mis la liste des scientifiques. C’est une aberration de vouloir la critiquer, il faut absolument remettre les choses à leur place. C’est un large panel de diverses disciplines tout à fait dans l’objectif de la mission. Le travail réalisé est remarquable.
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C’est mon prof d’environnement cette année … Excellent prof par ailleurs, très intéressant. default_sleeping.gif

En tout cas, merci Météor d’avoir mis la liste des scientifiques. C’est une aberration de vouloir la critiquer, il faut absolument remettre les choses à leur place. C’est un large panel de diverses disciplines tout à fait dans l’objectif de la mission. Le travail réalisé est remarquable.

merci.

En fait c'est encore une fois la preuve que le scepticisme climatique repose assez souvent sur la duperie.

Il repose également sur la simplification abusive des problèmes, mais lorsqu'il est "sincère" et pas "téléguidé", il repose aussi sur une incompétence notoire concernant la connaissance des problèmes tant théoriques que techniques (modèles par exemple) et leur résolution.

Perso je ne sais pas démontrer la relativité générale, mais ce n'est pas pour cela que je vais la contester.

Il y a actu du scepticisme concernant l'existence de la matière noire, mais je suis bien incapable de prendre parti.

Et bien si j'étais sceptique à la mode climatique, je saurais tout cela.

étonnant, non? default_crying.gif

Et puis tu as déjà vu un sceptique qui avoue s'être trompé?

Moi jamais.

C'est très révélateur du fait qu'ils ne sont guère sceptiques envers eux-mêmes default_crying.gif

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