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Le professeur Leroux


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Invité Guest

plus je lis ces interview et plus je suis d accord avec ce monsieur.je me demande comment font certain pour croire aux previsions catastrophiste du giec,et au" global warming" en général.

je vois franchement pas ou il a tort,aidez silvouplet!surtout sur le giec et les scientifiques qui le compose.il a raison je sais pas ca saute aux yeux quoi!c est l évidence meme!

Marcel Leroux

Le réchauffement climatique est un mythe !

Aujourd’hui, il n’est presque plus possible de participer à un colloque consacré à l’agriculture sans que soient évoqués le réchauffement climatique et l’effet de serre. Préoccupation majeure de l’agriculteur, la question du climat suscite un intérêt évident car ses aléas ont des répercussions immédiates sur les résultats des exploitations.

Marcel Leroux, professeur en climatologie à l’université Jean Moulin de Lyon III et directeur depuis 1986 du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement (CNRS), est l’auteur du premier livre de climatologie en français traduit en anglais, La Dynamique du temps et du climat (éditions Dunod, 1996). Après la parution de The Meteorology and Climate of tropical Africa, aux Editions Springer en 2001, il achève son troisième ouvrage, Global Warning, myth or reality, qui sera disponible en décembre.

Pour ce climatologue iconoclaste, qui conteste la validité des modèles informatiques actuels, les variations climatiques s’expliquent tout naturellement, lorsque l’on prend en compte ce qu’il appelle les anticyclones mobiles polaires (AMP), vastes lentilles d’air glacial de 1500 mètres d’épaisseur et de 2.000 à 3.000 km de diamètre, générées quotidiennement par les pôles et se déplaçant vers l’équateur.

Tout le monde s’accorde à dire que la planète se réchauffe.

Qu’en pensez-vous ?

En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C’est d’ailleurs la position de la Russie, qui considère qu’un réchauffement serait bénéfique. En effet, cela nous ferait faire d’immenses économies de chauffage, et donc de matières premières comme le pétrole. En outre, nous gagnerions de larges étendues de terres cultivables en direction des régions subpolaires, comme cela fut le cas dans les années 1930 à 60. A l’époque, les exploitations agricoles du nord du Canada et de la Scandinavie s’étaient en effet déplacées vers le nord. Dans les années 1970, lorsqu’il était plutôt à la mode de parler du retour du petit « âge de glace », elles ont rétrogradé vers le sud. La même chose s’est d’ailleurs produite en Afrique subsaharienne, où les éleveurs se sont d’abord déplacés vers le nord, puis sont redescendus vers le sud, lorsque la sécheresse a commencé dans les années 1970. Car lors de toute période chaude, à l’échelle paléoclimatique comme à l’échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n’est pas le cas.

Pourquoi parle-t-on alors de réchauffement climatique ?

Parce ce que tout le monde accorde foi à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique). Or, cette courbe n’est autre qu’une moyenne des températures mesurées dans 7.000 stations de la planète, traitées à l’Université d’East Anglia, à Londres, sous la direction de Philipp Jones. L’augmentation serait de 0,6° de 1860 à nos jours, soit la différence de température qu’on observe à l’échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille. Quel extraordinaire bouleversement ! Une telle valeur, donnée avec une fourchette de précision de plus ou moins 0,2° sur un siècle et demi, est ridicule, car elle est de l’ordre de la précision de la mesure. Cette courbe n’est d’ailleurs pas validée par les mesures récentes effectuées par les capteurs de satellites qui, depuis 1978, ne montrent au contraire aucune évolution notoire, pas plus que les mesures issues de millions de radio-sondages.

En outre, comment parler de moyenne à l’échelle globale en mélangeant des températures marines, continentales, urbaines et surtout des températures de régions qui se refroidissent alors que d’autres se réchauffent ? Par exemple, l’Arctique occidental (au nord du Canada) se refroidit, alors que l’Arctique au nord de la mer de Norvège se réchauffe. Que fait-donc alors vraiment l’Arctique ? On ne peut pas du tout dire avec certitude que la terre se réchauffe.

Les modèles ne prévoient-ils pas pourtant une augmentation de la température de 2 à 6°C d’ici l’an 2100 ?

On n’a pas besoin de modèle pour faire une telle prédiction. Le chimiste suédois Svante Arrhénius (1859-1927) avait déjà « prédit » exactement la même chose en 1903 ! Il avait appliqué une règle de trois entre le taux de CO2 de son époque, celui du futur et la température correspondante. C’est exactement ce que font les modèles informatiques en insistant sur l’effet de serre. Un modèle n’est qu’un super calculateur qui dépend entièrement des données qu’on lui fournit et de la démarche qu’on lui impose pour traiter ces données. Il ne faut pas prêter aux modèles des vertus « magiques », d’autant plus qu’ils ne donnent qu’une vision très incomplète et déformée de la réalité météorologique. En particulier, ils ne tiennent pas compte de la circulation générale de l’atmosphère, de son organisation et de son mouvement. Pour ces modèles, les discontinuités, pourtant présentes partout dans la nature, ne sont tout simplement pas prises en considération. Les modèles utilisés pour la prédiction climatique sont fondés sur les mêmes principes que ceux utilisés pour la prévision météorologique. Or, ces derniers se trompent constamment : ils n’ont pas été capables de prévoir les tempêtes de 1999, les inondations de Nîmes ou Vaison la Romaine, la canicule de 2003 et l’été pourri de 2004. Comment pourraient-ils être fiables à l’horizon de 2100 ? D’ailleurs, comme le rappelle l’océanographe Robert Stevenson, ces modèles prévoyaient une augmentation de la température de 1,5° pour l’an 2000 ; or, c’est six fois plus que ce que l’on a observé.

Pourtant, il y a unanimité chez les climatologues pour dire que le réchauffement est une réalité ...

Non, on insiste sur un prétendu consensus chez les climatologues, alors que celui-ci n’existe pas. Ensuite, il y a plusieurs sortes de « climatologues ». Prenons le GIEC, présenté comme l’autorité en la matière. En réalité, il s’agit d’un groupement intergouvernemental, c’est-à-dire que la nomination de ses membres est politique, et ne répond pas à des critères scientifiques. D’ailleurs, la grande majorité de ses membres ne sont pas climatologues, à l’instar de Michel Petit, ingénieur en télécommunications, ou bien Jean Jouzel, qui est un excellent chimiste glaciologue, mais dont les connaissances scientifiques sur le climat sont limitées. Depuis l’avènement de l’informatique, nombre de ceux qui s’autoproclament « climatologues » sont en réalité des informaticiens-modélisateurs, qui accordent de très loin la préférence à la statistique et aux téléconnexions, sans se préoccuper des liens physiques réels. Il existe toutefois des climatologues météorologues, comme le spécialiste suédois de l’élévation du niveau de la mer Nils-Axel Mörner, ou encore le météorologiste canadien Madhav Khandekar, qui en revanche se préoccupent en priorité de l’observation des phénomènes réels et des principes physiques qui les relient. C’est aussi, naturellement, le souci premier de notre laboratoire. Ces derniers sont loin d’être convaincus par les résultats des modèles. Même parmi les modélisateurs, certains, comme l’Américain Richard Lindzen, restent très sceptiques concernant l’hypothèse du réchauffement climatique. Le problème du GIEC, comme d’ailleurs de Météo France, c’est que depuis les années 1980, ces organismes sont dominés par les modélisateurs, vedettes des médias. Les climatologues réellement soucieux de l’analyse du temps se sont d’ailleurs regroupés en association, dont l’une particulièrement active est intitulée « climat sceptics ».

Le rôle nocif sur le climat des gaz à effet de serre est quand même une donnée objective ?

Il n’y a rien de moins objectif qu’une telle affirmation ! Mettre l’accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très simpliste du climat, alors que d’autres facteurs sont beaucoup plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la dynamique de l’atmosphère, les transferts méridiens d’air et d’énergie, et pour faire simple, les transferts d’air froid et d’air chaud. Chacun est capable d’observer que la température est fonction de ces brusques changements, et qu’elle n’évolue pas de façon linéaire. L’important, c’est d’abord de savoir pourquoi et comment des masses d’air froid se forment et se déplacent ; pourquoi elles remplacent ou sont remplacées par de l’air chaud - autrement dit de préciser le mécanisme de la machine atmosphérique. Le temps dépend au jour le jour de ces changements de masses d’air ; en revanche, sur le long terme, la variation dépend de l’activité solaire (tâche, magnétisme, éruption et vent solaires), des projections volcaniques, de la turbidité de l’air, des paramètres astronomiques, etc... Comment voulez-vous que leur responsabilité dans le climat puisse être mise en évidence dans des modèles qui ne prennent tout simplement pas en compte l’ensemble de ces paramètres ? L’effet de serre est donc totalement marginal, sinon même insignifiant, d’autant plus que le principal effet de serre n’est pas réalisé par le CO2 ou le CH4, mais par la vapeur d’eau. Or, même la part réelle de la vapeur d’eau dans l’effet de serre n’est pas considérée à sa juste valeur dans les modèles.

Qu’observe-t-on alors à l’échelle globale ?

On n’observe rien, car il n’y a pas de « climat global ». En revanche, on connaît parfaitement l’évolution des climats régionaux qui suivent des évolutions fort dissemblables. D’ailleurs, il est très révélateur de constater que, de l’aveu même du GIEC, leurs modèles sont incapables de restituer ces variations régionales ! Dans son deuxième rapport de 1996, le GIEC écrit : « Les valeurs régionales des températures pourraient être sensiblement différentes de la moyenne globale, mais il n’est pas encore possible de déterminer avec précision ces fluctuations. » Cela signifie que les modèles du GIEC seraient capables de donner une valeur moyenne sans connaître les valeurs régionales qui permettent d’établir précisément cette moyenne ! Ce n’est pas très sérieux !

Dans l’Atlantique Nord, on observe un refroidissement de la façade ouest (Canada, Etats-Unis à l’est des Rocheuses), alors que l’Europe occidentale se réchauffe, notamment la Scandinavie. L’Europe centrale, elle, se refroidit, comme la Méditerranée orientale, ou comme la Chine. Ces différences de comportement résultent de la dynamique aérologique. Cela dépend en effet des trajectoires des anticyclones mobiles polaires (AMP). Ceux-ci sont de vastes lentilles d’air glacial de 1500 km de rayon, générées quotidiennement par les pôles. Ces lentilles glissent au ras du sol, sous les couches d’air chaud plus légères, contournant les reliefs pour se diriger vers l’équateur. Sur leurs faces avant, elles provoquent le retour vers leur pôle respectif de l’air réchauffé sous les tropiques. Les AMP représentent l’exemple même de discontinuité que les modèles informatiques refusent d’incorporer. En outre, ils pointent du doigt le comportement particulier et l’importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais au contraire se refroidissent.

Vous voulez dire qu’il n’y a pas de fonte des calottes glaciaires ?

C’est un fait incontestable ! Cependant, évitons de généraliser : dans le détail, la glace de mer fond au nord de la mer de Norvège ou dans la région des Aléoutiennes dans le Pacifique nord, où arrivent de l’eau marine et de l’air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada. Comme l’écrit correctement M. Postel-Vinay, rédacteur de la revue La Recherche, « le gros de la calotte antarctique n’a pas fondu depuis sa formation, voici 60 millions d’années. » L’observation satellitale montre même qu’au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre de l’île, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves. Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C pendant la période 1940-90 - c’est-à-dire plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 ! C’est le démenti le plus flagrant apporté aux prévisions des modèles. Il est d’ailleurs surprenant que ceux-ci aient pu concevoir un tel réchauffement alors qu’il n’y a aucune raison physique qui puisse le justifier ! Est-ce seulement pour faire peur aux gens avec une prétendue montée des eaux qui en résulterait ?

En revanche, ce qui est sûr, c’est que comme les pôles se refroidissent, la puissance et la fréquence des AMP augmentent, les contrastes de températures s’élèvent, les confrontations entre l’air froid et l’air chaud sont plus vigoureuses et le temps devient de plus en plus violent et de plus en plus contrasté dans nos latitudes. Il devient aussi toujours plus irrégulier, avec des périodes étendues de froid puis de chaud, des pluies abondantes et des sécheresses. Des records de chaleur comme de fraîcheur sont d’ailleurs constamment dépassés.

Par exemple, le Canada a subi la pire tempête de verglas de son histoire en 1998, et la Mongolie a connu deux hivers successifs tellement rigoureux que l’Etat a dû faire appel à l’aide internationale. Il serait donc plus judicieux de tenir compte de cette évolution réelle, plutôt que d’un hypothétique scénario à l’horizon 2100, pour assurer, par exemple, une meilleure gestion de l’eau, notamment dans le domaine agricole. La France n’est pas plus épargnée qu’une autre région du monde. Nous avons déjà eu des chutes de neige sur la forêt méditerranéenne, en 2002. La canicule de l’été 2003 est encore un autre exemple, bien qu’elle ait été présentée comme la preuve du réchauffement climatique par M. Besson, Président de Météo France. Cette erreur de jugement est à la base de la mise en place du plan anti-canicule pour l’été 2004, canicule qui n’a bien sûr pas eu lieu. J’avais pourtant adressé, en août 2003, une note rectificative aux principaux médias écrits et audiovisuels pour expliquer les causes de la canicule. Il s’agissait tout simplement d’une hausse de pression, elle-même conséquence d’une augmentation de fréquence des AMP, visibles sur les images satellitales, mais dont les modélisateurs ne veulent pas entendre parler !

Un article paru dans le quotidien Le Monde du 18 septembre explique que la violence du cyclone Ivan constitue précisément une preuve du réchauffement climatique.

C’est très ironique car Ivan a connu des prédécesseurs plus redoutables que lui, comme Hugo, ou Andrews. En outre, le GIEC, dans les années 1990, prétendait que les modèles sont incapables de prévoir l’évolution de la cyclogenèse, qui ne montre aucune tendance à la hausse sur l’Atlantique Nord depuis un siècle. Les modèles annonçaient alors que le réchauffement allait nous apporter une plus grande clémence climatique : « Les tempêtes aux latitudes moyennes (...) résultent de l’écart de température entre le pôle et l’équateur (...). Comme cet écart s’affaiblira avec le réchauffement (...), les tempêtes aux latitudes moyennes seront plus faibles », écrivait le GIEC en 1990. Mais aujourd’hui, puisque le temps n’est pas conforme aux prévisions, le même GIEC oublie ses propres dires et récupère la violence - plus médiatique - du temps, en annonçant qu’il est précisément dû au réchauffement.

Comment expliquez-vous une telle désinformation sur ce sujet ?

Prédire le temps a toujours été une passion. Or, prédire que rien d’alarmant ne va se produire n’est pas très intéressant. Au début du XXe siècle, les prédictions alarmistes étaient déjà très à la mode.

Cependant, elles n’ont jamais réussi à s’imposer, car tous les faits les contredisaient. C’est seulement à partir des années 1985 que sont réapparus, lorsque la climatologie a été monopolisée par les informaticiens, les scénarios les plus catastrophistes. Oubliant tout simplement la météorologie, les modélistes ont appliqué des calculs en vérité extrêmement simplistes dans des modèles super sophistiqués pour imposer leurs concepts. Mais les hypothèses sur le réchauffement climatique n’ont jamais été vérifiées par l’observation, pas plus au début du XXe siècle qu’au début du XXIe. La fameuse courbe du GIEC n’est qu’un artefact, constamment démenti par les mesures et les observations satellitaires.

En réalité, le problème dit du climat est en permanence confondu avec celui de la pollution, deux domaines pourtant bien séparés, qui ne seront bien traités l’un et l’autre que lorsqu’ils seront dissociés. Il sert également de prétexte pour imposer une restriction à l’activité humaine, considérée à tort comme à l’origine du réchauffement climatique. La connexion d’intérêt qui s’est établie entre certains laboratoires, plusieurs institutions internationales et certains hommes politiques, a imposé la notion de réchauffement global. Suivre aveuglément les « recommandations pour décideurs » du GIEC fait passer à côté des phénomènes réels, dépenser vainement des sommes colossales pour des réunions par définition inutiles, et n’autorise pas des mesures de prévention efficaces contre les véritables aléas climatiques que nous allons connaître. A quoi sert de préparer l’économie d’un pays à un réchauffement, alors que tous ses thermomètres signalent un refroidissement ?

Finalement, le réchauffement climatique revêt de plus en plus un caractère de manipulation, qui ressemble vraiment à une imposture « scientifique », et dont les premières victimes sont les climatologues qui ne perçoivent de financements que lorsque leurs travaux vont dans le sens du GIEC.

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Posté(e)
Tarascon sur Ariège 480m / Andorre la Vieille 1050m

C'est un article très intéressant, en effet je pense que ce proffesseur s'approche assez de la vérité, je suis en tout cas de son avis! Je pense qu'on n'a pas de réchauffement ou très peu, et si on remarque un petit réchauffement par ci par la, et bien c'est ca le climat, notre climat n'est pas "parfait" et il y a tantot des réchauffements par ci, tantot des refroidissements par la!

Ce proffesseur nous explique aussi très clairement que les rapports soient disant "scientifiques" du GIEC, c'est n'importe quoi et c'est fait pour une cause bien précise! (expliquée dans l'article)

Sur ce, bonne soirée à vous tous! default_cool.png

Cordialement, Enzo.

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Les scientifiques du GIEC sont loin d'être tous climatologues : il y a par exemple des biologistes, géologues, etc. Ceux-ci étudient les conséquences d'un scénario de réchauffement et observent des évolutions locales en les interprétant.

D'autre part, pour être objectif, il faudrait qu'à chaque vague de chaleur (ou de froid), on montre une autre vague, opposée celle-là, se produisant ailleurs en longitude : par exemple, une vague de fraîcheur déboule sur l'Atlantique par le nord en ce moment (voir carte de Bracknell), alors qu'une vague de chaleur commence à gagner l'Europe occidentale, tandis qu'une vague de fraîcheur va débouler sur l'Europe de l'Est très prochainement (voir carte de Bracknell). Il faut absolument prendre du recul !

Tiens, Claire Chazal vient de dire : "La plan contre la canicule se met en place pour lutter contre un été qui s'annonce très chaud."

Dingue !

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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Bah oui c'est ça, ne faisons rien du tout. Allons puiser encore plus de pétrole. Chauffons encore plus avec du gasoil on s'en fout. De toute façon il l'a dis, Mr Leroux, pour qui j'ai beaucoup de respect, il veut qu'il fasse plus chaud.

Je ne conteste pas cet éminent géographe à l'esprit absolument scientifique sans aucune volonté de gloire (suffit de voir la liste impressionante de ces écrits) qui au passage à bien du mal à faire valider ces théories (celles des AMP aussi d'ailleurs toujours sujet à discussion). Je ne dis pas qu'il a tord, mais je trouve qu'il a pas un esprit très ouvert. Tiens je suis géographe moi aussi de formation et mes profs nous ont bien parlé de Leroux qui a fait des choses bonnes (bien entendu ca reste un éminent géographe) mais sa théorie des AMP on nous l'as toujours donné avec des parenthèses, tout comme la théorie classique Norvégienne.

Bien entendu dans tout ça se cache du vrai, comme en ce qui concerne la prise conscience du réchauffement global qui peut tourner à l'hystérie dans les débats. M'enfin soyons franc, Leroux il a déjà gagné, car en ce qui concerne de faire en sorte de lutter contre le réchauffement, je vous rassure, y'a vraiment quedal qui a encore été fait. On brasse du vent donc soyez rassurez il fera bien chaud Mr Leroux, comme vous déclarez le vouloir d'ailleurs (il le dis au début j'insiste).

Soyons franc, on ne sait pas grand chose sur le climat. Sur la dynamique de l'atmosphère on ne sait pas tout. Faire des prévisions dans un sens ou dans l'autre serait malheureux. Contentons-nous des faits vérifiés et vérifiable. Il y a autant de lobbyings pronant le réchauffement que ceux pronant le contraire. Donc le mieux c'est de rester au milieu et de pas trop s'enflammer. Bon c'est vrai que Mr Leroux souffre de reconnaissance auprès de la communauté scientifique, mais bon heureusement il a plein de suporter pour l'aider et pis bientôt il sera peut être à faire des interviews dans Gala. default_cool.png .

Si j'ai un conseil à donner ce Mr Leroux c'est d'arêter de vouloir convaincre tout le monde qu'on tourne à l'hystérie du réchauffement. Ce que je lui propose c'est de lui apprendre quelques gestes simples écologiques pas seulement pour cet hypothétique réchauffement mais pour le bien être de tout à chacun et surtout pour améliorer ce qui est améliorable sur notre bonne vieille planète tout de même bien amocher par l'activité humaine en particulier. C'est aussi un geste citoyen. default_wub.png

Bien entendu je ne conteste rien du tout de ce que dis Mr Leroux, tout comme les autres théories contraire. Qui a raison ? Qui peut le dire ? Eux ? Moi ? Vous ? Allons soyons sérieux......Le problème c'est pas le réchauffement qui n'est que la conséquence (hypoyhétique) du mauvais traitement qu'on inflige à notre planète.

Il est dangereux de dire que "tout va le mieux dans le meilleure des mondes". Le sujet du réchauffement climatique ce n'est que la cerise sur le gateau ou bien la partie émérgé de l'iceberg à vous de voir.

Bon me tapez pas hein ! default_cool.png

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Invité Guest

M.joly aussi est geographe,c est un des collegues chercheur de mes professeurs de geographie de l université de besancon,pourtant les geographes touchent a tout et ont une meilleur vision d ensemble.

Geographe oui,mais chercheur en climatologie.j avais une prof qui etait hydrologue et qui donnait des cours de systeme d information geographique!elle etait bien geographet ET hydrologue...

géographe ne veut pas dire grand chose car chacun a son domaine.M joly est climatologue mais travail dans mon laboratoire de geographie...,par consequent il est "geographe"

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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Euh oui je suis d'accord, mais c'est pas ce que je voulais dire. Moi aussi c'est mon cas. C'est une autre porte sur le thème météo-climato que ceux qui sont passé par Mat-Sup et Mat-Spé.......Mais c'est un autre sujet......

PS : T'as bien du bol de travailler avec Mr Joly default_cool.png

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En particulier, ils ne tiennent pas compte de la circulation générale de l’atmosphère, de son organisation et de son mouvement.

c'est gravissime de tenir de tels propos digne d'un révisionniste !Le propre d'un chercheur est de visualiser toutes les possibilités qu'il y croit ou non dans le but de faire progresser la science .Sinon tous les progres réalisés par la meteorologie en 400 ans dont les 100 dernieres années n'auraient pas eu lieu .

Non seulement, il flingue le travail de ses collegues mais en plus, il affirme et ne démontre rien comme à son habitude !

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Mais non voyons cyril tu sais bien que pour Mr Leroux il n'y aucun progrés en métérologie depuis 50ans... il préfère ignorer toutes les innovations du domaine de la météorologie dynamique de ces dernières années car oui pour Mr Leroux un seul modèle conceptuel est possible : celui des AMP.

Cette interview n'est qu'un ramassi de pseudo publicité pour sa "sublime thèse" qui résoud tous les "miracles de la physique" .

De toute manière les glaciers ne fondent pas... on ne constate aucun rechauffement à l'échelle globale... rien il ne se passe absolument rien pour ce climatologue qui ose en plus se permettre de dire "Il n’y a rien de moins objectif qu’une telle affirmation !" pourtant tous ces discours ne sont plus ou moins que des affirmations de sa propre réalité fondée sur son modèle fétiche.

Ce n'est en aucun cas cela l'esprit scientifique...

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j'ai eu le plaisir de rencontrer à plusieurs reprises le professeur Leroux et en général on échange au moins un courrier par an. je ne partage pas toutes les conséquences de ses thèses, mais partant d'autres faits j'arrive aux même conclusions, à savoir q'après une période de réchauffement insidcutable, avec ralenntissement de la rotation terrestre on est reparti en sens invers.

Dire que le professeur Leroux n'est pas climatologue, c'est se f***** de la g... de l'Université... Peut-on penser qu'une université laisse faire et dire n'importe quoi, surtout à Lyon III (pour d'autres raisons tristes).

je ne suis pas aussi enthousiaste que kirkhammet, mais je suis très attentif à ce que dit le professeur LEroux et dans des colloques très sérieux il est rarement contredit ( et là ce n'est pas une expérience unique mais multiple).

Que les AMP constituent une théorie c'est un fait, l'ennui pour les déttracteurs c'est qe cette théorie représente correctement bien des réalités qui échappent à d'autres systèmes.

Quant à l'intégration, nécessairement numérique, sur le long terme des équations

de Navier Stokes, la solution dépendra essentiellement du calage des données initiales avec une forte propension dans ce domaine à de grandes instabilités de type "attracteur étrange", où une faible variation des données initiales entraîne des résultats tout à fait différents, et cela part dans tous les sens.

--

lc30

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Posté(e)
Méjantel-Barjac - 820m - Lozère

Hello

Disons que Mr Leroux semble affirmer que les pôles se refroidissent. Cela doit etre vérifiable. Est-ce que quelqu'un aurait les relevés de temperatures des pôles justement ?

Mici d'avance default_unsure.png

BaSHaR

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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Je suis tout à fait d'accord avec toi js13120 à ceci près que moi je dis que les APN ont leur place dans le domaine de la météorologie. Il n'est pas question de rejeter tout en bloc, mais qu'il ne constitue pas le modèle miracle qui résoudrait toutes les questions non plus.

Ce que je regrette chez Leroux, c'est qu'il a perdu son objectivité scientifique qui est d'être prudent et ça capacité généraliste et pluridisciplinaire lié à sa fonction de géographe. Il a peut être souffert au début d'une incompréhension et d'une volonté à ce qu'on ne l'écoute pas et c'est ce qu'il le rend aujourd'hui si combatif pour défendre sa théorie. Personnellement je ne la rejette pas, mais pour moi il manque des clefs, voir des murs entiers. Chacun sait en météorologie qu'un tout petit changement dans une simple théorie peut tout faire choubouler, et Leroux a peut être touché un point sensible. Mais ca ne suffit pas, temps que tous ne se seront pas mis d'accord. Je suis d'accord pour dire que le "on sait déjà tout" est très mauvais car il n'est pas vrai.

Dans le même genre de remarque, la discipline de l'astrophysique est là pour nous le rappeller. A quand un Eistein en météorologie ? default_whistling.gif

EDIT :

Tiens j'ai trouvé une phrase, pour résumer ma pensée, après je vous casserais plus les oreilles lol : ce que je veux dire sur le thème du réchauffement, c'est que la mauvaise question c'est justement de mettre toute son énergie à savoir si il y aura réchauffement ou au contraire refroidissement ou stagnation, car ce qui est sûr (sorté votre lorgnette du domaine purement météorologique pour ceux qui ne me comprennent pas) c'est qu'il y aura boulversement. Les spéculations futurs dépassent largement le simple réchauffement ou le non réchauffement. Le mieux à faire c'est de tout faire en sorte dès maintenant pour qu'il y ai le moins de boulversement possible dans le futur en corrigeant surtout nos erreurs du passé en priorité.

Voila je crois que j'ai dis l'essentiel.

Bonsoir à vous..... default_unsure.png

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Que les AMP constituent une théorie c'est un fait, l'ennui pour les déttracteurs c'est qe cette théorie représente correctement bien des réalités qui échappent à d'autres systèmes.

les AMP ne constituent pas une théorie car leur existence n'a jamais été démontré scientifiquement : cette théorie a été maintes fois démontré qu'elle ne réprésente strictement rien .Sinon entierement d'accord avec toi js13120 !

Je suis tout à fait d'accord avec toi js13120 à ceci près que moi je dis que les APN ont leur place dans le domaine de la météorologie. Il n'est pas question de rejeter tout en bloc, mais qu'il ne constitue pas le modèle miracle qui résoudrait toutes les questions non plus.

vi les APN ont tout à fait leur place dans la meteo ; les AMP non ( pas mal la nuance default_unsure.png ) default_whistling.gif
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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Je suis tout à fait d'accord avec toi js13120 à ceci près que moi je dis que les APN ont leur place dans le domaine de la météorologie. Il n'est pas question de rejeter tout en bloc, mais qu'il ne constitue pas le modèle miracle qui résoudrait toutes les questions non plus.

vi les APN ont tout à fait leur place dans la meteo ; les AMP non ( pas mal la nuance default_whistling.gif ) default_tongue.png/emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> lol défaut de language default_unsure.pngEDIT

lc30, je partage une partie de tes opinions concerant Leroux, c'est un homme très respectable qui est effectivement climatologue, je n'ai jamais dis le contraire et ne le dirais jamais. C'est un savant qui possède de grandes connaissances et qui a pas mal aidé la recherche. J'ai d'ailleurs moi-même lut avec plaisir certaines de ces écritures. Mais voilà sur certains thèmes je ne peux être d'accord avec lui et je ne dis pas qui a tord et qui a raison contrairement je pense à lui.

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Mr le Professeur Leroux est peut-être un excellent géographe(encore il faudrait voir) mais au point de vue thermique c'est une nullité crasse.

Quand on dit ce qui compte ce ne sont pas les GES mais les transferts entre les masses d'air froid et les masses d'air chaud c'est une preuve manifeste qu'on a rien compris à la thermique générale ni au transfert radiatif.

C'est navrant et en même temps cela me rassure de voir à quel genre de Saint se réfèrent les négateurs qui pullulent décidément de plus en plus sur ce site.

Dommage de voir tant de naïfs c'est un peu désespérant.

Il est certain que laisser passer de tels propos et discours discrédite un peu le forum et empêche d'éventuels vrais scientifiques bien au fait des phénomènes qui régissent le climat de s'exprimer.

Enfin il faut faire avec , c'est l'écume des jours.

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Invité Guest

"Tout le monde s’accorde à dire que la planète se réchauffe.

Qu’en pensez-vous ?

En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C’est d’ailleurs la position de la Russie, qui considère qu’un réchauffement serait bénéfique. En effet, cela nous ferait faire d’immenses économies de chauffage, et donc de matières premières comme le pétrole.

En outre, nous gagnerions de larges étendues de terres cultivables en direction des régions subpolaires, comme cela fut le cas dans les années 1930 à 60. A l’époque, les exploitations agricoles du nord du Canada et de la Scandinavie s’étaient en effet déplacées vers le nord. Dans les années 1970, lorsqu’il était plutôt à la mode de parler du retour du petit « âge de glace », elles ont rétrogradé vers le sud. La même chose s’est d’ailleurs produite en Afrique subsaharienne, où les éleveurs se sont d’abord déplacés vers le nord, puis sont redescendus vers le sud, lorsque la sécheresse a commencé dans les années 1970. Car lors de toute période chaude, à l’échelle paléoclimatique comme à l’échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n’est pas le cas."

Il ne faudrait pas que si réchauffement il ya, il y ait beaucoup de personnes comme moi, sinon il n'y aurait aucune économie à avoir un réchauffement.

En effet, par exemple à mon bureau, je dispose d'une climatisation "réversible", à savoir elle chauffe en période hivernale et elle refroidit en période estivale.

Dans mon cas, la clim ne fonctionne jamais en hiver, en effet je ne chauffe pas en hiver, par contre depuis quelques temps et durant toute la période estivale, elle tourne à plein régime.

Je ne supporte pas la chaleur et adore le froid, d'où cette utilisation souvent à l'inverse de mes collègues, c'est pourquoi il ne faudrait pas dans le cas d'un réchauffement important qu'une majorité de personnes fasse comme moi, sinon la théorie de Mr Leroux sur le fait d'économiser de l'NRJ serait fausse.

Pour ma part, je n'ai pas d'avis sur la réalité de ce réchauffement, je ne le souhaite pas par contre sauf dans le cas où il provoquerait paradoxalement un refroidissement sur l'Europe de l'Ouest, mais cela aussi est très controversé.

Olivier.

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Posté(e)
Paris 75105, LagardeFreinet-Var, Pontarlier-Doubs, Fresse/Moselle-Vosges

Leroux s'exprime bien, ça l'empêche pas d'avoir tout faux.

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Les AMP représentent l’exemple même de discontinuité que les modèles informatiques refusent d’incorporer. En outre, ils pointent du doigt le comportement particulier et l’importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais au contraire se refroidissent.

Vous voulez dire qu’il n’y a pas de fonte des calottes glaciaires ?

C’est un fait incontestable ! Cependant, évitons de généraliser : dans le détail, la glace de mer fond au nord de la mer de Norvège ou dans la région des Aléoutiennes dans le Pacifique nord, où arrivent de l’eau marine et de l’air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada. Comme l’écrit correctement M. Postel-Vinay, rédacteur de la revue La Recherche, « le gros de la calotte antarctique n’a pas fondu depuis sa formation, voici 60 millions d’années. » L’observation satellitale montre même qu’au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre de l’île, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves.

Je ne porterai pas ici de jugement sur la position théorique qui est présentée, mais je ferai une remarque méthodologique. La problématique est suffisament complexe pour qu'on fasse au moins l'effort d'éviter de tomber dans deux écueils qui peuvent enlever toute crédibilité scientifique à une analyse.

LE PREMIER consiste à privilégier systématiquement certaines données, certains mécanismes, certaines évolutions et à négliger ou a écarter systématiquement toutes les autres. Le Pr. Leroux n'évite pas cette erreur et il n'est malheureusement pas le seul.

LE SECOND consiste à manquer de rigueur dans les notions et les définitions et - finalement - à mélanger ou confondre tout.

C'est ce qui se passe ici: les notions de calotte glaciaire et de banquise sont allégrement mélangées.

Or elles sont très différentes et la dynamique de ces formations peut être également très différente.

Soyons précis:

Une "calotte glaciaire" est une masse de glace en forme de dôme recouvrant une zone située en altitude.

L'expression "nappe glaciaire" désigne une masse de glace non flottante recouvrant une région polaire. On peut à la rigueur admettre l'utilisation de l'expression "calotte polaire" dans le même sens.

Le mot "banquise" désigne une étendue flottante de glace de mer, souvent en grande partie permanente dans les régions polaires.

Un "shelf" est une portion de banquise contigue à une cote et qui s'est suffisament épaissie pour s'ancrer sur les hauts fonds. (exemple: le shelf de Ross à coté de l'Antarctique.

La dynamique de ces différentes formations peut être très différente, surtout si l'on distingue Arctique et Antarctique, et si l'on tient compte de l'altitude, des courants, de l'inégalité et de la variabilité de la répartition des masses d'air chaud et/ou froid, etc.

Autre exemple de manque de rigueur dans l'expression: qualifier le Groenland d'ile, alors qu'il s'agit en réalité de trois iles recouvertes par une même nappe glaciaire. Ce n'est pas sans intérét, si l'on sait qu'environ la moitié de cette nappe glaciaire repose sur un socle situé à environ 200 m au dessous du niveau de la mer. Bien sur, la majorité des gens commettent la même erreur, mais il est tout de même surprenant - comme les imprécisions précédentes - de la trouver ici sous la plume d'un géographe.

Je serai par contre bien plus indulgent pour les simples lapsus voire même les erreurs d'appréciation génantes mais excusables dans un domaine aussi complexe que la climatologie.

Encore faudrait-il avoir le courage de reconnaitre ses erreurs quand elles apparaissent indiscutables et de les corriger, seul voie saine pour progresser. Opprobre, invective et aveuglement n'ont jamais été la marque d'un esprit scientique.

Alain

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Je fais remarquer qu'on parle rarement des années 30, 40 pour les températures en Arctique notamment, périodes où elles sont plus élevées que ces derniers temps : cf. le lien de JBR.

On peut toujours douter de la validité de mesures anciennes mais au moins quand on veut être objectif, on se doit de signaler cette chaleur du milieu du XXème siècle.

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La fameuse courbe du GIEC n’est qu’un artefact, constamment démenti par les mesures et les observations satellitaires.

En dehors des prises de position infantiles de Mr Leroux sur pas mal de points plusieurs contre-vérités comme par exemple le fait que les mesures satellitaires ne vérifieraient pas le réchauffement globalVoici un petit lien pour tenter de rétablir la vérité à ce sujet ici.

En fait on pourrait contredire assez facilement Mr Leroux sur chacun des points de cette note décidément très pusillanime (mais peut-être est-elle destinée à des enfants?)

En tous cas on ne peut que s'interroger sur l'état de l'université de Lyon-III qui place à la tête de départements de telles personnalités.

Quelque part c'est assez grave.

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Invité Guest

je reconnais bien ici la pensée unique francaise.ne surtout pas cherchez a deranger la vérité établie (le réchauffement de la planete ici,mais c est le cas dans tout les domaines),et si vous le faites, alors vous serez un moins que rien, un abruti, a la botte des grands méchants de notre planete qui n y connait rien.

je préfere le canada moi...

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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

J'aimerais revenir sur certains propos qui me dérangent. On a ledroit de ne pas être d'accord. On a le droit de penser différemment. On a le droit d'être ouvert.

Je suis du même avis ou presque sur le fond avec Météor mais je trouve tes propos quelques peu choquant. Restons calme. Que tu ne sois pas d'accord avec les thèses de Mr Leroux. Ok c'est mon point de vue également, mais tu n'as pas le droit de le jeter dands la crasse gratuitement. Mr Leroux, bien que controversé à le droit de s'exprimer et de défendre ses théories. C'est un principe démocratique et même scientifique d'écouter ce qu'on a dire les autres. Une vrai position scientifique est de ne pas rejeter tout en bloc. C'est de discuter et de peser le pour et le contre. C'est parfois entre deux hypothèses différentes que se trouve la vérité.

Tu appelles ça de la naïveté, j'appelle ça de la prudence et de la modération.

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