Paulo Posté(e) 21 septembre Les Sables d'Olonne Partager Posté(e) 21 septembre il y a 5 minutes, max87 a dit : Bonsoir à tous, J'ai planté des poireaux il y a deux semaines. Ils se sont bien redressés. Je crois ne les avoir pas assez épointés. Croyez-vous que je peux les recouper ? Oui sans problème, il feront rapidement une pousse de feuillage et la croissance du fût sera stimulée. 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Babarskaja Posté(e) 21 septembre Amiens Partager Posté(e) 21 septembre Il y a 3 heures, fran39 a dit : j'ai fait l'expérience du bocal, je trouverais du limon sableux, et je me demandais s'il existais des cartes de texture des sols très fines pour la région parisienne (où l'on ne soit pas dans une zone grise sur la carte "urbanisée"). La carte géologique du BRGM au 50000e devrait t'apporter toutes les réponses: https://infoterre.brgm.fr/viewer/MainTileForward.do Tu peux avoir le descriptif de la couche geol grâce à l'outil d'identification "i" dans la barre de menu en haut. 2 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Idéfix37 Posté(e) 22 septembre Touraine (37) et Plateau des Bornes (74) 950m Partager Posté(e) 22 septembre (modifié) “La couche géologique” ne fournit pas d’indication sur la texture du sol. Elle décrit seulement la nature des roches au-dessous du sol. À la limite une carte pédologique serait plus appropriée, et encore. La texture du sol s’apprécie par l’analyse granulométrique ou par observations personnelles (test du bocal, test du boudin en phase humide, test entre pouce et index en phase sèche….). https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Texture_du_sol Modifié 22 septembre par Idéfix37 6 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Babarskaja Posté(e) 22 septembre Amiens Partager Posté(e) 22 septembre Il y a 3 heures, Idéfix37 a dit : “La couche géologique” ne fournit pas d’indication sur la texture du sol. Elle décrit seulement la nature des roches au-dessous du sol. À la limite une carte pédologique serait plus appropriée, et encore. La texture du sol s’apprécie par l’analyse granulométrique ou par observations personnelles (test du bocal, test du boudin en phase humide, test entre pouce et index en phase sèche….). https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Texture_du_sol En effet j'ai lu en travers,merci d'avoir reprecisé. La carte géologique permet tout de même d'apprécier le type de sol (pédologique) que tu es susceptible de rencontrer. De plus les couches représentées ne sont pas forcément des roches mères mais aussi des couches mobilisées tapissant la roche mère (cas des alluvions en vallée). 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Idéfix37 Posté(e) 22 septembre Touraine (37) et Plateau des Bornes (74) 950m Partager Posté(e) 22 septembre (modifié) Pas vraiment d’accord. Je pourrais citer plein de cas où le substrat géologique ne présage pas du type de sol au sens pédologique et encore moins de la texture de la couche arable. Sans rentrer dans les détails techniques, la nature des roches sous-jacentes n’induit que rarement une texture du sol. Le climat, la végétation que le sol a porté pendant des milliers d’années, l’apport éventuel de limons éoliens sont des facteurs très importants qui ont façonné la nature d’un sol. Bon, c’est vrai qu’un spécialiste pourra en tirer certaines conclusions de la géologie, mais pour un amateur autant se référez à l’article que j’ai fourni dans mon post précédent. Modifié 22 septembre par Idéfix37 4 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Llop Posté(e) 23 septembre 35 km au sud de Paris Partager Posté(e) 23 septembre (modifié) Le 21/09/2024 à 17:47, fran39 a dit : @Llopje serais vraiment intéressé par cette variété de haricots portugais c'est quoi ? ce sont des grimpants ? Merci Hello Il s'appelle bragançano, oui c'est un grimpant assez vigoureux. J'étais à Valence (Espagne) la semaine dernière et manifestement ils le plantent bcp là bas aussi les maraichers en vendaient sur les marchés. Les gousses sont grosses et un peu irrégulière, c'est peut-être pour ça qu'on ne les voit pas trop en vente en France. Mais ils sont très bon et sans fil même quand les grains sont bien formés. Modifié 23 septembre par Llop 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Llop Posté(e) 23 septembre 35 km au sud de Paris Partager Posté(e) 23 septembre (modifié) Le 09/09/2024 à 13:04, Mamma34 a dit : J'ai 23 ou 25 cépages différents alternés sur un même rang de 50 m je n'ai jamais eu de variations sur une grappe avec du blanc, du rosé, du rouge, des petits grains des gros, des ronds des en forme d'olive etc... A mon avis une hybridation ou une mutation s'obtiens sur une seconde génération cad après un semis des graines, si tu la vois directement la cause est autre et possiblement du aux conditions de culture. Attention à la confusion entre hybridation et mutation qui n'ont rien à voir. Pour la mutation elle peut apparaître n'importe où y compris sur une partie d'une grappe de raisin. Ce n'est pas du tout spécifique à une seconde génération après semis (et là on peut avoir une hybridation). C'est comme pour nous, nous somme tous truffés de mutations qui touchent une partie seulement du corps, dont la plupart sont anodines (mais d'autres bcp plus rares conduisent à des pathologies... cancer par ex) Sur la vigne, il y a déjà des cas documentés de mutation sur une même grappe, par ex montré ici https://www.linkedin.com/pulse/exemple-de-mutations-spontanées-au-vignoble-ou-comment-arnold/ Le premier cas montré dans le lien est intéressant : il s'agit de gewurztraminer (le gewurztraminer provient d'une mutation, plus colorée et plus aromatique, du savagnin blanc), qui a remuté sur une partie du plant pour redevenir un savagnin blanc. Ainsi la grappe montre qqs grains de gewurtz et une majorité de grains de savagnin. Du coup Matpo le semi reste intéressant Modifié 23 septembre par Llop 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mamma34 Posté(e) 24 septembre Combaillaux (34) alt 87m Partager Posté(e) 24 septembre @Llop @Matpo Tu as peut être raison llop mais pour ma part je ne vois aucune mutation comme je l'ai déjà exprimé. L'inflorescence de la vigne est une entité ce qui ne plaide pas pour une mutation de plus le fait que les grains soient moins sucrés et ont loupés leur véraison me font plus penser à un problème cultural. De plus je ne pense pas la vigne sujette aux mutations malgré mon expérience je n'ai jamais était confronté à ce phénomène même une mutation instable. Suivre le plant l'année prochaine pour voir si le phénomène se reproduit, pour le semis c'est 5 ou 6 ans de culture au moins, faut avoir du temps à perdre.🙄 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
DoubleKnacki Posté(e) 25 septembre Nastringues (24) & Tercis-les-Bains (40) Partager Posté(e) 25 septembre De notre côté, on ramasse des tomates quasiment chaque jour et il y en a encore des kilos à murir, mais je doute qu'on puisse toutes les récupérer. A cause de ce temps, la maladie commence à attaquer clairement certains pieds et ça fait exploser ou pourrir certaines tomates d'un bon calibre. Dommage, mais c'est ainsi. Bonne voire très bonne récolte du jardin cette année. 3 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claude33 Posté(e) 25 septembre Saint-Germain-Du-Puch (33) Partager Posté(e) 25 septembre il y a 27 minutes, DoubleKnacki a dit : De notre côté, on ramasse des tomates quasiment chaque jour et il y en a encore des kilos à murir, mais je doute qu'on puisse toutes les récupérer. A cause de ce temps, la maladie commence à attaquer clairement certains pieds et ça fait exploser ou pourrir certaines tomates d'un bon calibre. Dommage, mais c'est ainsi. Bonne voire très bonne récolte du jardin cette année. Aujourd'hui j'ai arraché tous les pieds de tomate, à l'exception de mes 2 pieds de tomates cerise. Vu la précocité de l'automne cette année, aucune chance que les tomates encore vertes murissent, les quasi-mures sont pas belles, éclatées ou avec un début de pourrissement, et j'avais la moitié des branches marron de maladie. Le bilan de l'année est tout de même de 40 kg pour 10 pieds, plus 10 kg de tomates cerise (2 pieds), ce qui est plutôt positif. Pour le reste de mon petit potager, les carottes sont magnifiques, et les betteraves rouges très belles (après un échec l'an dernier). Les poireaux sont moyens, et je n'en n'ai pas beaucoup car j'ai eu du déchet lors des semis et du repiquage. Je continue également les courges longues de Nice (même si on commence à en avoir marre d'en manger 😆). A la place des tomates j'ai semé 3 rangs d'épinards d'hiver. Prochaine étape : la laitue d'hiver, et plus tard les petits pois... 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
boubou07 Posté(e) 26 septembre Aubenas en Ardèche méridionale Partager Posté(e) 26 septembre Il y a 10 heures, Claude33 a dit : Aujourd'hui j'ai arraché tous les pieds de tomate, à l'exception de mes 2 pieds de tomates cerise. Vu la précocité de l'automne cette année, aucune chance que les tomates encore vertes murissent, les quasi-mures sont pas belles, éclatées ou avec un début de pourrissement, et j'avais la moitié des branches marron de maladie. pareil chez moi. il ne reste que les tomates cerises. le reste était pourri sur pied. j'ai laissé aussi les aubergines mais sans grand espoir... au moins elles auront bien donné. pour les piments dans la serre je croise les doigts. ils peuvent possiblement tenir jusqu'à la Toussaint mais une seule nuit froide peut tout anéantir d'ici là. j'avoue que chaque année, ça me fout les boules, toutes ces plantes qui arrivent à leur maximum en terme de rendement, au moment où la météo les bousille... et cette année, le créneau a été particulièrement court, avec ce mois de mai et début de mois de juin frais et humide. j'ai semé les salades d'hiver et ça commence à sortir. mais je sent que les limaces et les escargots vont faire un carton (ça grouille de partout) 4 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mamma34 Posté(e) 26 septembre Combaillaux (34) alt 87m Partager Posté(e) 26 septembre Ici encore quelques tomates mais beaucoup de vertes qui j'espère arriveront à murir en octobre... Des courgettes aussi sur des pieds qui n'ont pas connu l'oidïum ce qui est rare chez moi. J'ai commencé hier la récolte du poivre du Sichuan qui commencait à tomber tout seul. Hier soir à la tombée du jour nettoyage des choux contre la razzia des limaces, les dégâts sont déjà énormes et certains décapités ne repartiront pas je ne sais pas d'où elles sortent d'habitude elles viennent peu sur mon sol labouré et biné, les salades à côté sont indemnes. 1 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pim82 Posté(e) 26 septembre Ouest du Tarn et Garonne (82) Valence d'Agen Partager Posté(e) 26 septembre il y a 38 minutes, Mamma34 a dit : Ici encore quelques tomates mais beaucoup de vertes qui j'espère arriveront à murir en octobre... Des courgettes aussi sur des pieds qui n'ont pas connu l'oidïum ce qui est rare chez moi. J'ai commencé hier la récolte du poivre du Sichuan qui commencait à tomber tout seul. Hier soir à la tombée du jour nettoyage des choux contre la razzia des limaces, les dégâts sont déjà énormes et certains décapités ne repartiront pas je ne sais pas d'où elles sortent d'habitude elles viennent peu sur mon sol labouré et biné, les salades à côté sont indemnes. Pour les choux, je pose un filet dés le départ et par la suite plus de problème de chenilles. A force de me les faires bouffer chaque année j'ai compris! 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
boubou07 Posté(e) 26 septembre Aubenas en Ardèche méridionale Partager Posté(e) 26 septembre (modifié) ce matin j'ai ramassé une bonne cinquantaine de limaces dans la serre, ainsi qu'une douzaine de petits escargots. et j'imagine que c'était seulement la partie émergée de l'iceberg... j'ai trouvé notamment plusieurs grosses limaces grises qui avaient creusé un trou dans un piment et attaquaient le coeur de celui-ci et pas des piments doux, des extra-fort type Habanero ! je savais que les oiseaux étaient insensibles à la capsaïcine mais on dirait bien que les limaces également... c'est la première fois que j'observe ça, d'habitude elles ne mangent que les feuilles. et bizarrement elles ne s'attaquent qu'à cette espèce de piments, les autres ne se font manger que les jeunes feuilles. Modifié 26 septembre par boubou07 1 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Llop Posté(e) 28 septembre 35 km au sud de Paris Partager Posté(e) 28 septembre Hello Ici, salades, haricots, carottes... Et toujours courgettes, poivrons et aubergines (mais je crois que c'est la fin pour ces dernières). Malheureusement plus de tomate fraiche pour la ratatouille. Et la chayotte - qui a eu un développement énorme dans tous les sens et je l'ai laissée faire- a décidé enfin de faire des dizaines, ou probablement des centaines de petits fruits J'ai toujours du mal à savoir quand les ramasser, vous savez ? 4 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Llop Posté(e) 28 septembre 35 km au sud de Paris Partager Posté(e) 28 septembre (modifié) Le 24/09/2024 à 12:12, Mamma34 a dit : @Llop @Matpo Tu as peut être raison llop mais pour ma part je ne vois aucune mutation comme je l'ai déjà exprimé. L'inflorescence de la vigne est une entité ce qui ne plaide pas pour une mutation de plus le fait que les grains soient moins sucrés et ont loupés leur véraison me font plus penser à un problème cultural... Suivre le plant l'année prochaine pour voir si le phénomène se reproduit, pour le semis c'est 5 ou 6 ans de culture au moins, faut avoir du temps à perdre.🙄 Ca ne marchera pas si c'est une mutation. Si une mutation s'est produite au sein de l'inflorescence (ce que d'autres ont déjà observé apparemment), de toute façon la grappe va tomber et la partie mutée ne survivra pas. Et il n'y a vraiment aucune raison que la même mutation se reproduise l'année prochaine, se serait assez extraordinaire si ça se produisait. La seule partie pérenne de l'éventuelle zone mutée se sont les graines, rien n'en restera sur le cep. Si ça se reproduit l'an prochain se sont plutôt les facteurs abiotiques qui en seraient responsable. De la photo publiée pas Matpo, je ne suis pas certain que la véraison ait loupé dans la zone blanche, le dévelopement des grains semble indentique entre les grains noirs et blancs. Par contre le fait que les grains blancs soient moins sucrés pourraient le faire penser effectivement. A suivre mais il va falloir être patient pour avoir le fin mot. Modifié 28 septembre par Llop 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
DoubleKnacki Posté(e) 28 septembre Nastringues (24) & Tercis-les-Bains (40) Partager Posté(e) 28 septembre Arrachage de tous les pieds de tomates ce jour, après une attaque ultra-fulgurante de la maladie (3/4 jours 😬). J'ai pu récupérer pas mal de grosses tomates vertes que je vais laisser mûrir. Il reste encore des poivrons et j'ai laissé seulement le pied de tomates cerises qui semble tenir le coup... Bien dommage tout ça... 6 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
catlino Posté(e) 29 septembre Ban de Laveline alt 420 m Partager Posté(e) 29 septembre Sur les DNA aujourd'hui. Vendanges tardives : des sols calcaires favorables au botrytis noble Pas gentil pour MF. 😂 A Rorschwihr, Pierre Gassmann se fie plus volontiers à l’observation et à la tradition locale... Son équipe de vendangeurs coupera les premiers raisins le 2 octobre, un mois après l’ouverture du ban. Le botrytis noble est privilégié pour produire des vins de terroirs, quel que soit le temps... Pierre Gassmann se fie plus volontiers à l’observation et à la tradition locale qu’aux prévisions de Météo France. Son équipe de vendangeurs coupera les premiers raisins le 2 octobre, un mois après l’ouverture du ban. Le botrytis noble est privilégié pour produire des vins de terroirs, quel que soit le temps. 1 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Matpo Posté(e) 1 octobre Toulouse, fontaines/Bayonne, en plein ICU, bien trop loin de la neige de mes montagnes tarnaises et cevenoles Partager Posté(e) 1 octobre Avant goût des goûts futurs... L hiver se mourant, sur le long terme, ça va finir par devenir faisable de plus en plus même si bien sûr pour le moment c est très confidentiel et dédié aux littoraux spécifiques... Peut être que @13008 tu connais ? Par contre je me demande vraiment si, en parallèle des Tnn qui augmentent progressivement (même si des épisodes frais peuvent encore survenir mais moins fréquemment) rendant de plus en plus possible ce genre d expérimentation, l émergence de Tx extrêmes ne va pas freiner ce type de cultures Sans être fin connaisseur des climats d origine de ces espèces ni de celui très particulier du littoral varois, il me semble que les Tx violentes vers lesquelles nous tendons sont inconnues dans bon nombre de régions tropicales humides ou le gel ne survient jamais d ou viennent la plupart de ces plantes (manguier d Afrique excepté peut être ?) Je me doute que certaines de ces espèces connaissent déjà des extrêmes chauds dans leur climat habituel mais il me semble que pour beaucoup d autres ce n est pas le cas 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Llop Posté(e) 1 octobre 35 km au sud de Paris Partager Posté(e) 1 octobre (modifié) Il y a 7 heures, Matpo a dit : Avant goût des goûts futurs... L hiver se mourant, sur le long terme, ça va finir par devenir faisable de plus en plus même si bien sûr pour le moment c est très confidentiel et dédié aux littoraux spécifiques... Peut être que @13008 tu connais ? Par contre je me demande vraiment si, en parallèle des Tnn qui augmentent progressivement (même si des épisodes frais peuvent encore survenir mais moins fréquemment) rendant de plus en plus possible ce genre d expérimentation, l émergence de Tx extrêmes ne va pas freiner ce type de cultures Sans être fin connaisseur des climats d origine de ces espèces ni de celui très particulier du littoral varois, il me semble que les Tx violentes vers lesquelles nous tendons sont inconnues dans bon nombre de régions tropicales humides ou le gel ne survient jamais d ou viennent la plupart de ces plantes (manguier d Afrique excepté peut être ?) Je me doute que certaines de ces espèces connaissent déjà des extrêmes chauds dans leur climat habituel mais il me semble que pour beaucoup d autres ce n est pas le cas Merci ! Ca fait rêver... Pour le manguier, je crois qu'il est plutôt originaire d'Inde - ce qui fait qu'il ne craint pas du tout les très fortes chaleurs. D'ailleurs c'est pour ça qu'il se plait aussi bien en Andalousie ces dernières décennies - avec irrigation toutefois... Pour les papayers ils sont originaire du sud du Mexique, vers le Yucatan ou à part au bord de la mer, les records de Tx dépassent allègrement les 40 pendant "l'été" chaud et sec d'avril/mai juste avant les pluies (comme en Inde en fait) , donc pas de pb non plus pour les papayers... Dans le Sud de la Chine, en Birmanie, en Thaïlande - où poussent les litchi par ex, on a aussi des poussées à 40° et plus hors zone littorale, toujours à la même période (printemps chez nous), avant les pluies tropicale. Il n'y a que dans les arbres des zones vraiment équatoriales sans saison sèche que ça doit poser pb finalement. J'ai vu dans le doc que les papayers produisent dès la première année (même à partir de graines !) et ne vivent que 5 ans (ils poussent incroyablement vite). Ca vaut le coup de les cultiver en zone limite, s'il y a une gelée qui les tue ce n'est pas très grave ce n'est pas comme pour un manguier ou un litchi ! L'Andalousie en produit aussi, ça viendra bientôt chez nous... à condition d'avoir de l'eau. Modifié 1 octobre par Llop 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
boubou07 Posté(e) 1 octobre Aubenas en Ardèche méridionale Partager Posté(e) 1 octobre tout à fait d'accord avec @Llop je pense même que pour ces acclimatations, les coups de froid sont bien plus à craindre que les coups de chauds... les littoral varois est moins sujet aux chaleurs extrêmes que l'intérieur des terres. et surtout, dans les régions d'origines de ces espèces tropicales, la chaleur est effectivement parfois très fortes, mais il faut aussi prendre en compte le ressenti, c'est à dire l'intensité de l'insolation et l'humidité ambiante (l'humidex). et à ce niveau là, la chaleur estivale du midi de la France, même dans notre climat réchauffé, ça reste très gentil en comparaison aux saisons chaudes aux basses latitudes. en Guyane on plante les bananiers en plein soleil, dans les coins du jardins où ça chauffe le plus. et là-bas en septembre/octobre dans les terres, on est sur du 35/36°C à l'ombre avec humidex 46/48 et un soleil vertical surpuissant. et les bananiers supportent ça sans broncher, ils en ont même besoin pour faire de bonnes grosses bananes bien mûres quant aux manguiers effectivement, ils sont encore plus coriaces. ils en poussent des "échappées des jardins" (sans irrigation donc) au Mali et au Burkina, dans des coins où les Txm dépassent les 40°C en saison chaudes, avec de fréquentes pointes à 45°C et une insolation "à tomber par terre" avant qu'ils aient trop chaud dans le Var, il y a de la marge... les papayer sont très costauds aussi, j'en ai vu fructifier sur l'île de Socotra (de même que des bananiers) dans le golfe d'Aden, un des coins les plus chauds du globe, là par contre, ils ont besoin d'irrigation... 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claude33 Posté(e) 1 octobre Saint-Germain-Du-Puch (33) Partager Posté(e) 1 octobre J'ai cru comprendre, lors de visites touristiques à Tenerife, que le bananier était plutôt gourmand en eau, ce qui n'est pas très compatible avec le climat estival naturel des côtes méditerranéennes, sans compter qu'il a horreur du vent. A Tenerife les exploitations sont irriguées et protégées du vent par des toiles (peu esthétiques d'ailleurs) et/ou des murs ajourés, et par ailleurs largement en difficulté et massivement soutenues financièrement par l'état. Certaines variétés doivent supporter de petites gelées vu qu'il y en a dans certains jardins de ma région de l'Entre-deux-Mers (mais je n'ai pas vu beaucoup de régimes 😆 ) 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
boubou07 Posté(e) 1 octobre Aubenas en Ardèche méridionale Partager Posté(e) 1 octobre (modifié) il y a 43 minutes, Claude33 a dit : J'ai cru comprendre, lors de visites touristiques à Tenerife, que le bananier était plutôt gourmand en eau, ce qui n'est pas très compatible avec le climat estival naturel des côtes méditerranéennes, sans compter qu'il a horreur du vent. A Tenerife les exploitations sont irriguées et protégées du vent par des toiles (peu esthétiques d'ailleurs) et/ou des murs ajourés, et par ailleurs largement en difficulté et massivement soutenues financièrement par l'état. Certaines variétés doivent supporter de petites gelées vu qu'il y en a dans certains jardins de ma région de l'Entre-deux-Mers (mais je n'ai pas vu beaucoup de régimes 😆 ) le bananier est moins gourmand en eau que beaucoup d'autres cultures tropicales. ça reste néanmoins une plante de zone humide. cela dit, ils peuvent supporter de vraies saisons sèches marquées. ils ont des racines très profondes... à Ténérife il faut irriguer car c'est un climat semi-aride... la variété qui supporte le froid est la Musa Bajoo, aussi appelé bananier du Japon. c'est une variété ornementale rustique qu'on peut cultiver dans tout le sud de la France hors relief. dans de bonnes conditions ils peuvent faire des régimes mais les fruits sont immangeables... il y en a une collection magnifique à la bambouseraie d'Anduze ! par chez moi il yen a de plus en plus, c'est une plante à la mode présente dans toutes les jardineries. Modifié 1 octobre par boubou07 1 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mamma34 Posté(e) 2 octobre Combaillaux (34) alt 87m Partager Posté(e) 2 octobre Il y a 10 heures, Claude33 a dit : J'ai cru comprendre, lors de visites touristiques à Tenerife, que le bananier était plutôt gourmand en eau, ce qui n'est pas très compatible avec le climat estival naturel des côtes méditerranéennes, sans compter qu'il a horreur du vent. A Tenerife les exploitations sont irriguées et protégées du vent par des toiles (peu esthétiques d'ailleurs) et/ou des murs ajourés, et par ailleurs largement en difficulté et massivement soutenues financièrement par l'état. Certaines variétés doivent supporter de petites gelées vu qu'il y en a dans certains jardins de ma région de l'Entre-deux-Mers (mais je n'ai pas vu beaucoup de régimes 😆 ) Il y avait déjà des bananiers dans mon jardin de l'entre deux mers il y a plus de 50 ans🙄 utilisé comme ornementale. Il était utilisé comme ornementale abrité contre un mur en sud souvent, la souche protégée avec de la paille en hiver. 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Matpo Posté(e) 2 octobre Toulouse, fontaines/Bayonne, en plein ICU, bien trop loin de la neige de mes montagnes tarnaises et cevenoles Partager Posté(e) 2 octobre Oui, dans le Tarn aussi on voit parfois des bananiers en haute Garonne aussi, par contre je n en ai jamais vu en fruits (une fois des toute petits pas mûrs pas mangeables comme dit plus haut, sûrement des ornementales quoique l'ami que je connaissais l avait ramené d Afrique il y a bien longtemps (50 ans ?)) Merci pour toutes vos précisions ! Pour l humidex effectivement, les régions à forte humidité+ chaleur c est un enfer pour nous...mais il me semble que pour les plantes a l inverse mieux vaut un 35 humide que sec ? Je pense en particulier à l effet sèche cheveux, 'secheresse éclair ', qui affecte toute sortes de plantes avec un combo vent + fortes Tx + air très sec qui fait bien du mal aux plantes (je sais que @Seziou / Zarge © à fait une étude sur l occurence de ce phénomène et ses conséquences chez nous) alors que nous au contraire on supporte mieux les fortes Tx par temps sec qu humide oui 👍 Juste une précision sur l humidex, j avais été très surpris de voir que malgré tout, dans le sud de la France on atteint ou dépasse tout de même par endroits les 50 quasiment chaque année maintenant (voir certaines stations des landes) On est pas encore au niveau de l'inde mais enfin c est quand même du lourd (souvent comparable ou au dessus de ce qu on trouve a In'Sallah quand j avais regardé cet été) Donc effectivement avec vos précisions ça ne semble pas tant être sur le plan des Tx que sur le plan de l humidité que certaines espèces originaires de milieux tropical humides auraient du mal sans irrigation Édit : au fait je suis passé au jardin, les tomates sont en pleine production comme si de rien n était et archi pleines de fruits de partout C est pas contre plus long a mûrir qu il y a un mois nettement (mais on fera de la confiture de tomates vertes c est super bon) surtout les Osso blue, ces tomates 'bleues' sont les plus longues à mûrir que j ai eues en plus du fait qu il fait les toucher pour voir car le changement de couleur à maturité ne se fait pas a chaque fois on dirait, particulieres ces tomates mais relativement bonnes tout de même Début de quelques pucerons à peine sur le bout de ma vigne, les deux vignes ont vraiment explosé cette année au delà de tout de ce je m imaginais et tant mieux Côté fraises ça aura été très moyen par contre, elles sont dans un carré que j ai amandé voilà 2 et 3 ans et commencent à fatiguer je crois (fruits comme déshydratés en début de saison par contre tout mes voisins ont eus la même chose) Je ne vois plus les magnifiques Apaires, peut être leur cycle de vie est il fini ? J ai pu suivre leur évolution leur déplacements, apparitions de nouvelles et changement de toiles c était intéressant et elles semblent se "connaître", souvent elles ont changé d emplacement en même temps 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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