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Prévisions Nord-Est - Juillet 2021


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Les ensembles des modèles globaux envoient des signaux de fortes pluies, tels IFS ENS 00Z ci-dessous. Les EFI sont significatifs et l'évolution des modélisations est à l'amplification.

Mais en effet, le vent à différentes altitudes jouera avec les reliefs. De plus, il me semble que l'intensité des pluies est incertaine. L'apport des modèles régionaux fins ajoute ce "suspense".

Un aspect flou pour cet épisode. ;)

 

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C'est  parce que je suis en Alsace  que le  NE a des pluies mediterraneennes  ?   

Salut,   Il est préférable de regarder une goutte froide à 500 hPa plutôt qu'à 850 hPa : c'est un système dépressionnaire en haute troposphère, à coeur froid, isolé de la circulation général

Pour le fun (mais scénario probable vue le karma météo du secteur depuis quelques mois), la région nancéienne et touloise complétement à l'écart de la dégradation, du moins dans un premier temps.

Images postées

Il y a 12 heures, RomainD a dit :

Côté masse d'air, la goutte froide est plutôt une goutte tiède

 

Il y a 12 heures, RomainD a dit :

Ce qui se traduit par une température potentielle à 850 hPa élevée

 

Salut,

 

Il est préférable de regarder une goutte froide à 500 hPa plutôt qu'à 850 hPa : c'est un système dépressionnaire en haute troposphère, à coeur froid, isolé de la circulation générale. L'amplitude diminue plus on va vers la surface, où d'ailleurs on ne retrouve pas nécessairement une circulation cyclonique ou en tout cas une signature évidente de goutte froide. En basses couches, la masse d'air est donc relativement plus chaude, d'où l'accroissement du lapse rate et l'instabilité généralement qui accompagne l'arrivée d'une goutte froide. Le cut-off va entrer dans une lente phase de résorption ou de maintien au fil des jours, en fonction de l'environnement avec lequel il interagit, et de la stabilité de l'air en fait, la convection et les processus diabatiques qui l'accompagnent jouent un rôle important dans l'évolution de la goutte froide. Ta carte montre un enroulement de l'air chaud et humide autour du minimum en basses couches, d'où les valeurs importantes de theta-e. ;) 

 

La theta-e, pour température potentielle équivalente, est comme rappelé par _sb différente de la température potentielle theta.

 

Par définition, la température potentielle d'une parcelle d'air à un niveau donné (par exemple 850 hPa) est simplement la température qu'elle aurait si elle était ramenée adiabatiquement à 1000 hPa (niveau de référence choisi, pour pouvoir comparer). On ne tient pas compte de l'humidité de la parcelle. Pour donner un exemple en faisant simple, si une parcelle d'air avec une T de 10 °C à 850 hPa (environ 1450 m) est ramenée adiabatiquement à 1000 hPa (disons 100 m d'altitude), alors sa température augmente (par compression) suivant le gradient adiabatique sec (~ 1 °C / 100 m) : (1450 - 100) / 100 = +13,5 °C. Sa température potentielle vaut donc ~ 10 + 13,5 = 23,5 °C. Plus exactement, on montre que theta = T*(1000/p)^(R/Cp), avec T en Kelvin et R/Cp = 2/7 est le rapport entre la constante des gaz parfaits pour l'air sec et la capacité thermique massique de l'air à pression constante. Ex. : theta = (273,15 + 10) * (1000/850)^(2/7) = 296,6 K soit 296,6 - 273,15 = 23,5 °C. Ouf, on retrouve bien le même résultat ! :D 

 

La température potentielle équivalente, theta-e, est la température ramenée adiabatiquement à 1000 hPa après qu'on ait cependant retiré par une transformation pseudo-adiabatique toute la vapeur d'eau de la parcelle. Penser à l'effet de foehn : lorsque l'air humide (contenant de la vapeur d'eau, mais initialement non saturé) est soulevé adiabatiquement depuis le sol le long d'une pente montagneuse, sa température diminue selon le gradient adiabatique sec, éventuellement jusqu'au point de condensation par soulèvement (LCL, lifting condensation level) : le rapport de mélange est conservé jusque là mais il devient égal au rapport de mélange saturant (lequel est une fonction croissante de la température). Ensuite, l'air peut continuer à monter mais une partie de la vapeur d'eau se condense alors. Un nuage peut se former et l'eau précipiter, et comme de la chaleur latente est libérée à l'intérieur de la parcelle d'air lors du changement d'état, le taux de décroissance de la température avec l'altitude est en valeur absolue moindre : la température diminue selon le gradient adiabatique humide. Lorsqu'une fois atteint le sommet l'air redescend de l'autre côté du relief, il subit une compression et un réchauffement adiabatique sec. Comme il a perdu de la vapeur d'eau, sa température à un niveau donné est maintenant plus élevée. Pour obtenir la theta-e à 850 hPa, le principe est quasi-identique sauf que la transformation pseudo-adiabatique est maintenue jusqu'à condenser et éliminer la totalité de la vapeur d'eau contenue dans la parcelle, avant de redescendre selon l'adiabatique sèche. C'est en quelque sorte l'effet de foehn maximal. 

 

Sur le diagramme thermodynamique ci-dessous, je montre un exemple de détermination graphique. La courbe d'état (température vraie) est en rouge, et la courbe verte représente la température du point de rosée. Les courbes correspondant aux adiabatiques sèches et aux pseudo-adiabatiques sont également représentées (voir la légende). J'ai mis en évidence le niveau 850 hPa (trait orange). A ce niveau, sur le sondage prévu (GFS, Bas-Rhin, jeudi), on lit une température de 10 °C. Le trait ajouté en bleu-gris montre le trajet d'une parcelle ramenée adiabatiquement à 1000 hPa : on retrouve la température potentielle theta calculée précédemment, à savoir environ 23 °C.

 

Visiblement, l'air à 850 hPa est déjà saturé ici, avec un rapport de mélange proche de 9 g/kg (la courbe verte et la courbe rouge se confondent). On monte alors selon la pseudo-adiabatique (trajet mis en évidence en noir) jusqu'au retrait total de vapeur d'eau. On remarque qu'à un certain niveau, l'adiabatique sèche et la pseudo-adiabatique tendent à se rejoindre : normal, l'air s'assèche ! :) En redescendant selon l'adiabatique sèche correspondante jusqu'à 1000 hPa, on obtient la température potentielle équivalente, ici pas loin de 50 °C (tellement élevée, qu'on sort à la limite de la figure, cercle violet) ! Si notre air à 850 hPa (toujours à 10 °C) était insaturé, sa température potentielle équivalente aurait été plus basse, et d'autant plus proche de la température potentielle theta que l'humidité relative est basse.

 

Finalement, l'intérêt des températures potentielles est leur propriété conservative lors d'évolutions particulaires (ou lagrangiennes), pour pouvoir suivre (on parle de traceur) et comparer les masses d'air. La température potentielle par rapport à la température vraie permet de s'affranchir des effets liés aux changements d'altitude : une parcelle d'air soulevée adiabatiquement (= sans échanger de chaleur avec son environnement) va voir sa pression et sa température baisser, mais pas sa température potentielle qui elle est conservée (logique, la parcelle ne reçoit ni ne perd de chaleur au sens de l'énergie), à condition cependant qu'il n'y ait pas de changement d'état de l'eau ! De l'air à -15 °C à 500 hPa est potentiellement (= du point de vue de la température potentielle) plus chaud que de l'air à +10 °C situé à 850 hPa !

 

L'intérêt de la theta-e par rapport à la theta est la prise en compte des effets diabatiques liés à l'eau : lorsqu'il y a changement de phase, la conservation se fait sur la theta-e, et non plus sur la theta. On utilise aussi souvent la température pseudo-potentielle du thermomètre mouillé, theta-w, bien adaptée à nos latitudes : c'est la température obtenue en ramenant une parcelle d'air au niveau 1000 hPa par une évolution pseudo-adiabatique depuis le LCL (theta-w à 850 hPa d'environ 17 °C sur le diagramme dans l'exemple).

 

Bien sûr, si l'air se réchauffe ou se refroidit indépendamment de la pression (ex. : chauffage solaire et turbulence => l'air reçoit de la chaleur), ses températures potentielles varient aussi dans le même sens. Le niveau 850 hPa reste peu influencé par le cycle diurne, sauf dans les zones de relief et en été lorsque la couche limite est plus profonde (ce qu'on peut visualiser parfois sur les diagrammes GEFS par exemple). Juste à côté du diagramme pour finir, il y a un graphe pression = f (theta-e). Quand la température potentielle équivalente augmente (diminue) avec l'altitude, l'atmosphère est stable (instable) du point de vue de la flottabilité.

 

Voilà, j'espère que çà éclaircit un peu les choses. :)

 

 

 

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Modifié par Cers
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Posté(e)
COLMAR OUEST (Haut-Rhin) Alt 192m

Même si les modèles modélisent un effet de foehn sur le centre Haut-rhin, je suis étonné.

Je n'ai jamais constaté de foehn sur un retour occlus d'est. Au contraire, c'est ce qui est le plus prolifique en terme de PP en principe... Certainement du à la saison estival car ça se constate le plus souvent en hiver ce genre d'occlusion... (tout en restant assez rare)

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il y a 13 minutes, judd a dit :

Même si les modèles modélisent un effet de foehn sur le centre Haut-rhin, je suis étonné.

Je n'ai jamais constaté de foehn sur un retour occlus d'est. Au contraire, c'est ce qui est le plus prolifique en terme de PP en principe... Certainement du à la saison estival car ça se constate le plus souvent en hiver ce genre d'occlusion... (tout en restant assez rare)

 

On est pas dans une configuration de retour d'est avec dépression sur l'Europe centrale ou l'Italie.

 

Sur les dernières modélisations le front descend depuis les Ardennes vers le SE, piloté par un minimum dépressionnaire situé sur le nord de l'Allemagne et qui se déplace lui aussi vers le sud (il suit le Rhin).

 

Le flux est donc orienté sur un cadran ouest (SO, puis ONO) et assez rapide à basse altitude, pas étonnant qu'un peu de fohen soit alors modélisé.

 

Modifié par thib91
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Bonjour, oui édifient les pp prévues en Alsace lorraine, en FC, on devrait avoir des cumuls moindres, entre 30 et 60/70 mm, ce qui reste très important, déjà les modèles avait vu ce changement il y a 1/2 jours, les mailles fines confirment. Cependant, les rivières devraient réagir et notamment le Doubs, aux prochaines précipitations, son niveau atteignant ce matin quasiment 5 mètres ! 

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Bonjour à tous,

quel temps devrait-il faire après cette perturbation ? Je compte venir à Strasbourg samedi, mais j’ai l’impression que le retour du soleil et sans cesse repoussé..

 

joyeux 14 juillet à vous ! 🇫🇷 

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Posté(e)
Schleithal (extrême nord Bas-Rhin/155m) et Niederbronn-les-Bains (Vosges du Nord/220m-581m)

J’ai l’impression que le front est décalé vers l’ouest non? 
Car MF parle de retour d’Est mais il n’y a rien au NE de l’Alsace, le gros est sur l’ouest de la Lorraine et la Belgique. 

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Les 50 à 100 mm annoncés dans le bulletin MF, ce ne sera pas partout néanmoins. D'après l'ensemble ICON-D2, ces cumuls impressionnants en ce laps de temps se retrouveraient avec une probabilité élevée sur l'ouest de la Moselle et de la M-&-Moselle, en Meuse et même une partie de la Champagne. Les contreforts ouest du massif vosgien et le Jura observeraient aussi de forts cumuls. Ailleurs, et notamment en Alsace, les cumuls sont globalement prévus en deçà de 50 mm, bien que notables.

 

cumuls_icon.thumb.JPG.589db2d68df5fbf7a4c5f6c00f587dd2.JPG

 

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Posté(e)
Schleithal (extrême nord Bas-Rhin/155m) et Niederbronn-les-Bains (Vosges du Nord/220m-581m)
il y a 4 minutes, Cers a dit :

Les 50 à 100 mm annoncés dans le bulletin MF, ce ne sera pas partout néanmoins. D'après l'ensemble ICON-D2, ces cumuls impressionnants en ce laps de temps se retrouveraient avec une probabilité élevée sur l'ouest de la Moselle et de la M-&-Moselle, en Meuse et même une partie de la Champagne. Les contreforts ouest du massif vosgien et le Jura observeraient aussi de forts cumuls. Ailleurs, et notamment en Alsace, les cumuls sont globalement prévus en deçà de 50 mm, bien que notables.

 

cumuls_icon.thumb.JPG.589db2d68df5fbf7a4c5f6c00f587dd2.JPG

 

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Oui c’est la réflexion que je me faisais également, l’Alsace ne semble pas devoir être trop touché par ces pluies, la Lorraine est bien mieux placée…🙁

C’est en rapport avec le front qui est actuellement sur l’ouest de la Lorraine et la Belgique, au NE de l’Alsace il n’y a rien du tout.

Modifié par alex67
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Posté(e)
Ringendorf (67) Alsace (220m)
il y a 4 minutes, Cers a dit :

Les 50 à 100 mm annoncés dans le bulletin MF, ce ne sera pas partout néanmoins. D'après l'ensemble ICON-D2, ces cumuls impressionnants en ce laps de temps se retrouveraient avec une probabilité élevée sur l'ouest de la Moselle et de la M-&-Moselle, en Meuse et même une partie de la Champagne. Les contreforts ouest du massif vosgien et le Jura observeraient aussi de forts cumuls. Ailleurs, et notamment en Alsace, les cumuls sont globalement prévus en deçà de 50 mm, bien que notables.

 

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icond2-25-32-2.png?14-09

 

 

 

 

 

Météo-France suit plutôt arpège pour cette épisode.  Et si on compare avec arome c'est aussi un peut à l'est sur Arome que pour icon : 

 

image.thumb.png.0a2e3fa9e7db55ac2353f13c42da5611.png

 

Donc à voir lequel sera le plus proche de la réalité. 

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il y a 3 minutes, Simon67 a dit :

Météo-France suit plutôt arpège pour cette épisode.

 

C'est vrai qu'il demeure encore des incertitudes. Que dit l'ensemble PE-AROME ou PE-ARP ?

 

Modifié par Cers
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Posté(e)
Schleithal (extrême nord Bas-Rhin/155m) et Niederbronn-les-Bains (Vosges du Nord/220m-581m)
il y a 1 minute, Simon67 a dit :

 

Météo-France suit plutôt arpège pour cette épisode.  Et si on compare avec arome c'est aussi un peut à l'est sur Arome que pour icon : 

 

image.thumb.png.0a2e3fa9e7db55ac2353f13c42da5611.png

 

Donc à voir lequel sera le plus proche de la réalité. 


Oui mais si on regarde le live on voit que le front est plus à l’ouest de notre région et je ne vois pas d’où viendrait les précipitations qui étaient censés toucher l’Alsace. 
D’ailleurs tous les modèles ont largement revus à la baisse depuis hier soir, GFS qui voyait jusqu’à 100mm hier soir n’en voit plus qu’une trentaine…

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Posté(e)
Ringendorf (67) Alsace (220m)
il y a 6 minutes, alex67 a dit :


Oui mais si on regarde le live on voit que le front est plus à l’ouest de notre région et je ne vois pas d’où viendrait les précipitations qui étaient censés toucher l’Alsace. 
D’ailleurs tous les modèles ont largement revus à la baisse depuis hier soir, GFS qui voyait jusqu’à 100mm hier soir n’en voit plus qu’une trentaine…

 

Suffit de regarder les modélisations...  Il n'était jamais vu des précipitations venir de l'est... Mais plutôt du nord/nord-ouest : 

 

animvti2.gif animekg8.gif

 

Quand à regarder gfs c'est de la maille très large à cette échéance on dispose de mailles plus fines...  

Modifié par Simon67
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il y a 3 minutes, alex67 a dit :

Oui mais si on regarde le live on voit que le front est plus à l’ouest de notre région

 

Sur ce point en effet, si on compare AROME 0 Z avec ICON-D2 6 Z pour la même échéance, ce dernier est à plus proche des dernières observations radar. AROME 6 Z va sortir.

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Je ne sais pas pourquoi MF parle de "retour d'est". J'ai l'impression que ce terme est souvent employé abusivement, lorsque les précipitations ne viennent pas directement de l'Atlantique.

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il y a 5 minutes, Simon67 a dit :

Suffit de regarder les modélisations...  Il n'était jamais vu des précipitations venir de l'est...

 

Oui, les pluies ne viennent pas directement de l'est, mais je n'avais pas compris ainsi le message d'Alex. Il y avait une incertitude sur la position (en longitude notamment), la durée et l'intensité des pluies.

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Posté(e)
Saint-Nabor (67) - 312 m au pied du mont Ste-Odile

En tout cas je ne dirais pas qu'il y a que "un peu de foehn", en effet certains coins du côté de Guebwiller pourraient recevoir moins de 5 mm d'après Arôme. C'est pas rien comme foehn.

 

canvaslqf0.png

 

Chez moi j'en serais plutôt à 20-30 mm, pour une fois je ne vais pas me plaindre du foehn :D

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il y a 3 minutes, pvaill67 a dit :

En tout cas je ne dirais pas qu'il y a que "un peu de foehn"

 

Et en coupe verticale ouest-est ce soir, çà donne çà : 

 

coupearome_538_317_591_329_20_3_1000_450

 

 

arome-1-20-2.png?14-05

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Posté(e)
Bust, Alsace Bossue dpt 67 (alt 310m)

Bon le dernier Arome qui vient de sortir voit une quarantaine de mm pour mon secteur, et ceci jusqu'à la fin de son échéance en accumulation.  Les sols sont certes bien saturés,  mais on est loin des 100 mm envisagés il y a encore quelques heures. 

Ce sera vraisemblablement très gorgé mais pas aussi alarmant et catastrophique que l'on aurait pu le craindre. 

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On notera que les pluies attendues pourront atteindre des intensités pour le moins assez inhabituelles sous un tel front occlus sur la région, particulièrement en Lorraine : 10-15 mm en une heure par endroit, c'est pas rien, une pluie soutenue. Ce qui devrait effectivement laisser, en raison du caractère relativement stagnant des précipitations, 40 à 80 mm d'ici demain jeudi en plusieurs endroits.

 

Actualisation AROME 6Z :

 

aromehd-1-15-2.png?14-12

 

 

aromehd-25-32-2.png?14-12

 

Edit : impressionnant les cumuls attendus en Allemagne de l'ouest.

Modifié par Cers
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Posté(e)
Baume-les-dames (25) 270 m.
Il y a 3 heures, sochalien 25 a dit :

Bonjour, oui édifient les pp prévues en Alsace lorraine, en FC, on devrait avoir des cumuls moindres, entre 30 et 60/70 mm, ce qui reste très important, déjà les modèles avait vu ce changement il y a 1/2 jours, les mailles fines confirment. Cependant, les rivières devraient réagir et notamment le Doubs, aux prochaines précipitations, son niveau atteignant ce matin quasiment 5 mètres ! 

 

En théorie passage en vigilance orange à 16h. Les sols sont encore saturer et certains sols près des cours d'eau sont encore sous l'eau.

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