Appollondu75 Posté(e) 19 avril 2013 Paris Partager Posté(e) 19 avril 2013 Bonjour à tous, Ma question porte plutôt sur la climatologie, donc je ne sais pas si ce forum est bien le bon pour la poser... Tout d'abord (rappel des faits), voilà une courbe de l'évolution des anomalies des températures sur Terre sur les 30 dernières années : La tendance est évidemment à une montée des températures. Mais en regardant bien, on peut observer qu'il y a des minima de températures à peu près tous les 7 à 8 ans : les pics se situent en 1985, 1993, 2000 et 2008. Ma question est finalement bien simple : d'où provient ce minimum de températures (au sein même du réchauffement climatique) qui survient avec une telle régularité ? De quelle cycle s'agit-il ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Orage Multisupercellulaire Posté(e) 19 avril 2013 Partager Posté(e) 19 avril 2013 Pour ma part , je pense qu'il s'agirait simplement d'un phénomène cyclique comme parmi tant d'autre , sans avoir , pour le moment trouvée une explication scientifique... Mais il est bien de le remarquer quand même /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 19 avril 2013 Dax (40) Partager Posté(e) 19 avril 2013 Mais en regardant bien, on peut observer qu'il y a des minima de températures à peu près tous les 7 à 8 ans : les pics se situent en 1985, 1993, 2000 et 2008. Ma question est finalement bien simple : d'où provient ce minimum de températures (au sein même du réchauffement climatique) qui survient avec une telle régularité ? De quelle cycle s'agit-il ? Les oscillations très courtes des anomalies globales sont principalement pilotées par l'oscillation du Pacifique, l'ENSO (alternance Niño / Niña). Tu peux ainsi constater que les pics chauds des anomalies globales correspondent presque systématiquement à des épisodes de Niño, alors que les pics froids correspondent aux épisodes de Niña (voir ici l'indice ONI qui représente une moyenne trimestrielle des températures de surface en zone Niño 3.4). Tu remarqueras que trois des quatre années froides que tu cites, correspondent à trois des quatres plus gros épisodes de Niña de la période. La seule exception est 1993, qui a une origine volcanique puisque ce pic froid fait suite au refroidissement engendré par l'éruption du Pinatubo. On a aussi une grosse éruption en 1982, celle d'El Chichon, mais son effet s'est en partie neutralisé avec celui d'un super El-Niño en 1983 d'où l'absence de gros refroidissement (sans cette éruption on aurait du avoir un pic chaud très élevé, ou sans El Niño on aurait assisté à un refroidissement très significatif). Après, le fait que cela se reproduise à quelque chose près tous les 7 ans est un hasard du chaos climatique (pour le refroidissement de 1993, c'est le Pinatubo qui sauve la série). Je sais que cela peut être très barbant, mais si tu t'intéresses au sujet tu peux aller relire depuis le début le topic "statistiques et anomalies climatiques globales" dans le forum évolution du climat, tu trouveras pas mal de choses sur ce point - moi j'avais évoqué à l'époque un cycle de 10 ans qui était très net sur les tendances, mais qui s'est cassé la binette depuis /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">) Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 19 avril 2013 Partager Posté(e) 19 avril 2013 C'est vrai qu'entre la climatologie et la météo, il y a la macrométéo: http://www.techno-sc...news&news=11416 Un domaine, qui fait de plus en plus réagir, le fourre tout: on notera la neige tombée a Lille le 12 mars...lol http://www.20minutes...atique-ralentit Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
ngocanh91 Posté(e) 19 avril 2013 Partager Posté(e) 19 avril 2013 Il prend bien le temps de t'expliquer les choses, de te faire comprendre comment ça fonctionne pas juste te dire "tiens tu cliques là ça fait joli". Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Appollondu75 Posté(e) 19 avril 2013 Paris Auteur Partager Posté(e) 19 avril 2013 Merci pour vos réponses. Treizevents : en effet, le topic que tu cites est une mine d'informations intéressantes. J'étais d'ailleurs en train de lire les premières page tout à l'heure... Merci aussi pour tes explications. Intéressant de savoir qu'une éruption volcanique peut avoir de tels effets sur le climat en général (on a perdu 0,1° rien qu'à cause des particules éjectées dans l'atmosphère par cette éruption... pas mal !). Donc en gros, ce "cycle" serait un joli hasard, dommage... La régularité avec laquelle tombaient les minima froids était pourtant prometteuse, je me voyais déjà en 2015 en train de lire des articles sur un possible refroidissement climatique Orage Multisupercellulaire : peut-être n'y a-t-il pas tant de cycles que ça qui soient indépendants les uns des autres. En fait, j'ai l'impression que le tout est de savoir discerner si certains cycles ne sont pas la conséquence, directe ou indirecte, d'autres cycles... La PNA n'est-elle par exemple pas (du moins en grande partie) liée à l'ENSO ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Miaow Posté(e) 20 avril 2013 Dordogne Partager Posté(e) 20 avril 2013 Visuellement, cela donne l'impression d'une périodicité approximative. Ce n'est guère convaincant malgré tout, subjectivement on accepte trop facilement de telles impressions. Cette impression ( illusoire ? ) est renforcée par le côté + comme le -. Il faudrait une analyse statistique ( je ne sais pas comment la faire ;-)) ) et voir si cela donne quelque chose. La fenêtre de 30 ans, soit seulement 4 périodes de 7 ans, est trop courte pour être vraiment significative, ouvrant la porte à de fausses conclusions. Amusant de trouver 7 ans, nombre chargé de mysticisme dans les traditions et la Bible. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jocelyn Posté(e) 20 avril 2013 Partager Posté(e) 20 avril 2013 Bonjour à tous, Ma question porte plutôt sur la climatologie, donc je ne sais pas si ce forum est bien le bon pour la poser... Tout d'abord (rappel des faits), voilà une courbe de l'évolution des anomalies des températures sur Terre sur les 30 dernières années : La tendance est évidemment à une montée des températures. Mais en regardant bien, on peut observer qu'il y a des minima de températures à peu près tous les 7 à 8 ans : les pics se situent en 1985, 1993, 2000 et 2008. Ma question est finalement bien simple : d'où provient ce minimum de températures (au sein même du réchauffement climatique) qui survient avec une telle régularité ? De quelle cycle s'agit-il ? Il y a probablement un système de régulation qui stabilise la température de la planète.Ce système n'est sans doute pas simple à décrypter, mais quoi qu'il en soit, "pour qu'il y ait régulation, il faut qu'il y ait écart". La dent de scie est emblèmatique d'un système régulé (pour que ta chasse d'eau se remplisse, il faut d'abord qu'elle manque d'eau). Après, les cycles d'ENSO peuvent être liés, oui, sûrement, mais ils peuvent aussi en être une conséquence sans forcément en être une cause. Les causes, d'oscillations pourraient être la nébulosité qui génère du froid, par émissions, dans la haute atmosphère, mais qui dépend elle même de la chaleur convective, elle même dépendante de la température moyenne (action et contre réaction dans une boucle de feed back). Mais il se pourrait également que l'albedo soit important dans ce cycle, dailleurs, l'Hémisphère Sud est plus stable, en température, que l'H.N et dans ce cas, c'est l'albedo moyen qui fait la différence. La mer possède une inertie colossale, elle est incapable de restituer rapidement ce qu'elle a emmagasiner, l'inverse est vrai aussi, elle a un pouvoir de contre réaction très lent. L'homme peut aussi influencer les mesures de températures moyennes, par ses ilots de chaleurs urbains. Les températures relevés sont trop souvent proches des villes, ce qui amplifie les écarts (quand un été est frais, les températures relevées dans ces ilots de chaleur, sont moins amplifiés que lorsque les étés sont chauds. Des pistes, il y en a beaucoup, il faudrait les analyser une par une, le débat devrait être intérressant tu as eu raison de l'avoir lancé Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flash34 Posté(e) 20 avril 2013 Saint-Geniès-de-Fontedit (34) à 15-20 km au nord de Béziers / Montpellier (34) Partager Posté(e) 20 avril 2013 Bonjour à tous, Ma question porte plutôt sur la climatologie, donc je ne sais pas si ce forum est bien le bon pour la poser... Tout d'abord (rappel des faits), voilà une courbe de l'évolution des anomalies des températures sur Terre sur les 30 dernières années : La tendance est évidemment à une montée des températures. Mais en regardant bien, on peut observer qu'il y a des minima de températures à peu près tous les 7 à 8 ans : les pics se situent en 1985, 1993, 2000 et 2008. Ma question est finalement bien simple : d'où provient ce minimum de températures (au sein même du réchauffement climatique) qui survient avec une telle régularité ? De quelle cycle s'agit-il ? Je vais peut-être sortir une bêtise.. Mais sur ce diagramme en raisonnant en termes de minima de températures ( donc en période de temps entre deux pics ), je dirai plutôt des cycles de 4 ans.. Des pics d'anomalies de températures en 1985, 1989, 1993, 1997, 2000, 2004, 2008, 2012. On peut également noter un réchauffement global à savoir un frein aux anomalies négatives cycliques ( entendre par ça des anomalies négatives de moins en moins fortes ) a contrario des positives. Une thermorégulation qui pourrait s'expliquer par de nombreux facteurs en somme. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Miaow Posté(e) 20 avril 2013 Dordogne Partager Posté(e) 20 avril 2013 Je pencherais pour des oscillations fractales chaotiques, du style classique de la population des lapins et des renards. Malheureusement les possibilités de prévisions sont très faibles ( nulles ? ) dans un tel cas. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 21 avril 2013 Dax (40) Partager Posté(e) 21 avril 2013 [...] Des pistes, il y en a beaucoup, il faudrait les analyser une par une, le débat devrait être intérressant tu as eu raison de l'avoir lancé . Honnêtement Jocelyn, je vais peut-être être assez direct mais un jour, prends le temps d'arrêter de lancer par paquet de dix des principes qui n'ont rien à voir avec le sujet initial sous un air de "c'est un système dur a décrypter", sors un peu du cadre de tes connaissances très étayées dans ton domaine professionnel mais qui ne font pas de toi pour autant un expert en climatologie, et va lire les centaines d'articles, de synthèses et de résumés disponibles sur le sujet qui montrent que non, ce n'est pas si dur à décrypter, et qu'on maîtrise quand même bien aujourd'hui tous les facteurs à l'origine des variations courtes des anomalies globales. Ce n'est certainement pas en déviant systématiquement tous les sujets dans des avalanches d'arguments qui n'ont aucun rapport avec le questionnement de départ, et en prenant pour des gosses impolis et incompétents tous ceux qui ont le malheur de te contredire (que ce soit moi, ChristianP, phoenix, Gaet, Grecale, Mike ou autres), que tu feras avancer les choses. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
phoenix Posté(e) 21 avril 2013 Partager Posté(e) 21 avril 2013 Les oscillations très courtes des anomalies globales sont principalement pilotées par l'oscillation du Pacifique, l'ENSO (alternance Niño / Niña). Tu peux ainsi constater que les pics chauds des anomalies globales correspondent presque systématiquement à des épisodes de Niño, alors que les pics froids correspondent aux épisodes de Niña (voir ici l'indice ONI qui représente une moyenne trimestrielle des températures de surface en zone Niño 3.4). Tu remarqueras que trois des quatre années froides que tu cites, correspondent à trois des quatres plus gros épisodes de Niña de la période. La seule exception est 1993, qui a une origine volcanique puisque ce pic froid fait suite au refroidissement engendré par l'éruption du Pinatubo. On a aussi une grosse éruption en 1982, celle d'El Chichon, mais son effet s'est en partie neutralisé avec celui d'un super El-Niño en 1983 d'où l'absence de gros refroidissement (sans cette éruption on aurait du avoir un pic chaud très élevé, ou sans El Niño on aurait assisté à un refroidissement très significatif). Après, le fait que cela se reproduise à quelque chose près tous les 7 ans est un hasard du chaos climatique (pour le refroidissement de 1993, c'est le Pinatubo qui sauve la série). Je sais que cela peut être très barbant, mais si tu t'intéresses au sujet tu peux aller relire depuis le début le topic "statistiques et anomalies climatiques globales" dans le forum évolution du climat, tu trouveras pas mal de choses sur ce point - moi j'avais évoqué à l'époque un cycle de 10 ans qui était très net sur les tendances, mais qui s'est cassé la binette depuis ) En effet l'ENSO pilote les anomalies terrestres. D'ailleurs on peut observer l'impact à l'échelle mondiale du puissant el nino de début 1998 ( et de 2010 dans une moindre mesure). De plus on voit sur le graphique 2 petit pic vers le bas en relation probable avec les 2 nina consécutive de ces 2/3 dernières années. ( en relation avec l'activité solaire ? peut être ) Par contre 13vent, l'éruption du St Helens a eu pas mal d'impact également ? Il y a probablement un système de régulation qui stabilise la température de la planète. Ce système n'est sans doute pas simple à décrypter, mais quoi qu'il en soit, "pour qu'il y ait régulation, il faut qu'il y ait écart". La dent de scie est emblèmatique d'un système régulé (pour que ta chasse d'eau se remplisse, il faut d'abord qu'elle manque d'eau). Après, les cycles d'ENSO peuvent être liés, oui, sûrement, mais ils peuvent aussi en être une conséquence sans forcément en être une cause. Les causes, d'oscillations pourraient être la nébulosité qui génère du froid, par émissions, dans la haute atmosphère, mais qui dépend elle même de la chaleur convective, elle même dépendante de la température moyenne (action et contre réaction dans une boucle de feed back). Mais il se pourrait également que l'albedo soit important dans ce cycle, dailleurs, l'Hémisphère Sud est plus stable, en température, que l'H.N et dans ce cas, c'est l'albedo moyen qui fait la différence. La mer possède une inertie colossale, elle est incapable de restituer rapidement ce qu'elle a emmagasiner, l'inverse est vrai aussi, elle a un pouvoir de contre réaction très lent. L'homme peut aussi influencer les mesures de températures moyennes, par ses ilots de chaleurs urbains. Les températures relevés sont trop souvent proches des villes, ce qui amplifie les écarts (quand un été est frais, les températures relevées dans ces ilots de chaleur, sont moins amplifiés que lorsque les étés sont chauds. Des pistes, il y en a beaucoup, il faudrait les analyser une par une, le débat devrait être intérressant tu as eu raison de l'avoir lancé 1) Oui il y a un système de régulation de la température de la planète tu n'as pas inventé le fil à coupé le beurre. 2) Non les cycles de l'ENSO jouent tout de même un rôle majeur jusqu'à preuve du contraire. 3) Après tu nous apprend qu'il y a plus de mer dans l'HS, oui on sait lire une carte. Après comme je te l'ai déjà dit sur la suite de ton "exposé", tu n'invente pas le fil à coupé le beurre. ( ça devient lassant) Depuis le temps le capitaine a du vieillir depuis le temps que jocelyn repend ces commentaires extrêmement utile à la communauté. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 21 avril 2013 Dax (40) Partager Posté(e) 21 avril 2013 Par contre 13vent, l'éruption du St Helens a eu pas mal d'impact également ? Non, l'éruption du Mont St Helens n'a eu que très peu d'impact sur le climat, même si je ne me rappelle plus pourquoi (je l'avais lu à l'époque mais des fois je suis tête en l'air /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">). Peut-être que le panache ne contenait que très peu de soufre qui est l'élément principal pour générer un refroidissement, ou que les quantités éjectées en haute atmosphère n'ont pas été suffisantes pour avoir un effet sensible, mais bon cela serait à vérifier. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
phoenix Posté(e) 21 avril 2013 Partager Posté(e) 21 avril 2013 Non, l'éruption du Mont St Helens n'a eu que très peu d'impact sur le climat, même si je ne me rappelle plus pourquoi (je l'avais lu à l'époque mais des fois je suis tête en l'air ). Peut-être que le panache ne contenait que très peu de soufre qui est l'élément principal pour générer un refroidissement, ou que les quantités éjectées en haute atmosphère n'ont pas été suffisantes pour avoir un effet sensible, mais bon cela serait à vérifier. Oui le souffre a tendance à refroidir la stratosphère si je ne dis pas de bêtise. Par contre il se pourrait qu'il y ait une corrélation entre le refroidissement au début des années 90 et des hivers doux en France ? SI la stratosphère s'est refroidit cela à eu probablement tendance à renforcer le VP donc à renforcer le zonal en Europe de l'ouest donc de favoriser les hivers doux des années 90. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 21 avril 2013 Brest Partager Posté(e) 21 avril 2013 2008+7 = 2015 Ca veut dire qu'en 2015 il fera anormalement chaud en France (puisqu'en France on est souvent à contre-courant des anomalies globales...) /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Sinon je pense comme les autres : - à vérifier que cette périodicité de 7 ans soit significative, autre que du hasard - à incriminer au mieux: ENSO Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Damien49 Posté(e) 22 avril 2013 La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire) Partager Posté(e) 22 avril 2013 Attention aussi au biais statistique. Ici la courbe noire semble être calculé en lissant les données sur 10 ans. Si tu fais la même chose sur 5ans, 15ans ou 30ans tu n'obtiendra plus du tout la même courbe et sans doute plus cette régularité cyclique autour de 7ans. Pour trouver des vraies cycles en climatologie, il faut fonctionner inversement. D'abord trouver physiquement et conceptuellement des phénomènes externes susceptibles de créer des cycles (Exemple ENSO), puis seulement ensuite vérifier statistiquement si on les repère dans le bruit (en vérifiant avec un coefficient de corrélation). Tu trouveras sinon des centaines de cycles qui ne correspondent à rien ou bien à des choses totalement différentes et dépendent simplement de la façon dont tu calcules tes données. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Miaow Posté(e) 22 avril 2013 Dordogne Partager Posté(e) 22 avril 2013 Voir: http://chaos.pagesperso-orange.fr/tpeII2b.htm C'est très instructif. On obtient dans ces systèmes chaotiques des évolutions qui donnent des impressions de périodicité. Nous avons un système climatique qui n'est probablement pas purement chaotique, mais qui s'en rapproche. Maintenant, l'intérêt d'émerger une périodicité est limité et surtout intellectuel si cela n'aboutit pas à une prévision. De toute manière la fenêtre de 4 périodes pour un phénomène causal multiple ne permet rien de concret. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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