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jonathan

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  1. Si, on trouve aussi chez GEFS des scénarios avec creusement très prononcé. C'est un état accessible de l'atmosphère et on ne peut l'ignorer. Si le CEP continue à persister, il faudra surveiller ça de près. Mais de toute façon, c'est pas encore fixé ne serait-ce que pour le court terme (trois scénarios selon le NHC). C'est typiquement le genre de truc qui peut disparaître/apparaître à répétition d'un run à l'autre. Enfin bref, la saison cyclonique est lancée dans l'Atlantique Nord... Bertha va nous aider à reprendre la main
  2. Oui et re-oui ! Et d'ailleurs, si ça se trouve les deux remarques marchent ensembles. Je dis ça je dis rien... question de synoptique, qui aurait (toutes proportions gardées) sa place au panthéon des situations transitoires mais non moins extrêmes en période... automnale. Ben si, les épisodes pluvieux méditerranéens et les "été indiens" en contrée nordique c'est normalement par là que ça se passe. Mais on a un type de circulation qui colle à la peau. Je me trompe ou certains modèles long terme (type quasi saison) avaient plus ou moins vu le truc venir avec des anomalies basses susceptibles de plonger sur mare nostrum et donc par déduction un élément en aval capable de les dérouter En tout cas, force est de constater qu'une des évolutions possibles du plus que probable changement de contexte au sens climatique du terme commence à prendre du galon : les types de régime et donc types de temps sur une période et sur une surface données tendent un chouilla à s'éterniser. Manquerait plus que le terme "récurrence" devienne à la mode tiens
  3. Même remarque qu'om87, Gouf tu t'es perdu dans les cartes ou quoi Ou alors il s'agit d'une extrapolation du CEP au delà de 240h , ce qui n'a bien entendu strictement aucune valeur prévisionnelle... HS : je crois que c'est la première fois que j'insère l'alien (lol).
  4. D'accord avec momo pour le constat hémisphérique GFS du soir ne ressert le même plat jusqu'à l'indigestion : poussée de fièvre, talweg et dégradation orageuse, puis ainsi de suite. Mine de rien, ça commence à sérieusement devenir la signature de l'été 2014, moyennant bien entendu quelques variantes. Je ne serais pas étonné que les températures grimpent plus vite qu'il n'y paraissait jusqu'à présent sur les modèles. Pour rappel, sur les premières page du topic on trouve des expressions du style "dépression automnale", "prudence", "on sauve les meubles", etc... Ce qui serait statistiquement notable, mais bon rythmicité quand tu nous tiens, ce serait de s'enfiler un énième week-end orageux
  5. Début HS Pas de soleil, pas de système solaire, pas de terre habitable et son atmosphère vivable. D'accord, cette grosse boule jaune et brûlante est à l'origine de bien des choses. Mais de là à l'invoquer comme raison première pour prévoir systématiquement des hivers glaciaux (citation à l'origine du glissement dans la conversation) sur un lopin de terre soumis à un climat océanique tempéré (et à peine dégradé dans la partie est)... c'est risible, point barre. Qu'on intègre cet ingrédient dans une analyse multifactorielle et en étudiant de multiples interactions possibles entre ces facteurs, quoi de plus logique pour comprendre un phénomène complexe. Je reste toutefois persuadé que les forçages endogènes (humeurs de l'atmosphère terrestre) restent prépondérants par rapport aux variations du contexte cosmique pour un exercice tel que la prévision saisonnière et a fortiori plus encore sur le pas de temps métérologique. Question de temporalité, pour les uns on parle d'oscillations se comptant en jours/semaines/mois, pour l'autre ça se joue décennies/siècles en termes d'influences significatives. Nonobstant, l'activité solaire joue indéniablement sur le comportement des grands éléments qui régissent la circulation atmosphérique planétaire (vortex, jet stream et cie...). Mais on en revient au point de départ : si d'aventure des SSW venaient à multiplier en masse, avec VP super-éclaté tous l'hiver, est-ce que ça donne immanquablement un hiver glacial sur la France ??? Fin HS Pour l'automne, si l'on s'en réfère aux piètres modèles saisonniers (qui ont tout de même demandé pas mal de temps, d'argent et de compétences pour être développés), on constate une relative convergence : en ce 1er août, on peut poser l'hypothèse d'un excédent thermique assez probable sur une partie non négligeable du continent Européen... mais sans pouvoir cibler précisément les régions plus particulièrement visées... et sachant que cela a encore le temps de changer. MetOffice : http://www.metoffice.gov.uk/images/prob_ensemble/20140701/3up_20140701_temp2m_months35_europe_prob_public.png IRI : http://iri.columbia.edu/climate/forecast/net_asmt/2014/jul2014/images/SON14_Eur_temp.gif NCEP : http://www.cpc.ncep.noaa.gov/products/CFSv2/imagesInd3/euT2mSeaInd2.gif
  6. Momo, ça fait moins trois jours qu'on a cette "barrière anticyclonique" d'esquissée sur les ensembles, mais à une latitude un peu moins importante. Des ENS qui ne font que confirmer run après run l'installation d'un régime un peu plus habituel pour la saison, en dépit d'une résistance hors norme (par renouvellements incessants) du blocage russo-scandinave. In fine, il n'y a pas une différence fondamentale avec le pattern de début et mi juillet. Mais, surtout, on observe un décalage vers l'est qui nous libère de l'emprise de l'axe de talweg évoluant entre les deux cellules anticycloniques (AA et ARS). Le seul hic, déjà soulevé par funkytiempo et Sky Blue (carte de jets et vents d'altitude), c'est que les hautes latitudes (zone Groënland - Mer de Norvège - Scandinavie) sont toujours plus ou moins encombrées de hauts géopotentiels, donc toujours prompts à barrer la route aux anomalies basses. Celles-ci étant contraintes de plonger vers l'Europe. Il faut, pour le moment, tirer vers des échéances sans nom pour retrouver un profil de circulation qui nous mettrait longtemps à l'abri, pour le moment...
  7. "On peut avoir une poignée de semaines..." ne signifie pas "On va avoir tout du long...". En revanche, avec de la NAO++, il devient presque improbable de passer l'hiver en mode "Sibérie orientale" de A à Z. Mais bon, ce bout de discussion est une bonne occasion d'aller voir un excellent site Vu que c'est bien le topic de l'automne... Restons sur de la prévision automnale. Aller je me lance : quelques belles journées d'arrière saison estivale (surtout près de la Grande Bleue), un risque de Cévenole (surtout sur les contreforts des Cévennes, si si), les premières gelées de la saison hivernale (surtout près des Massifs de l'est et dans les trous à froid) et éventuellement des coups de vent sur la façade atlantique et le long de la Manche. C'est pas garanti à 100% mais, dans le lot, je trouverai toujours après coup de quoi vous dire que j'avais juste Quant aux humeurs du dieu Rê, ben ma foi elles sont actuellement magnifiques en sensation et ses rayons sont très agréables à vivre... surtout sur l'île charentaise du (presque) même nom
  8. Pour en avoir le coeur net, je me suis tapé 100 ans d'archives : activité solaire / type de régime sur l'Atlantique (indice NAO) / classification des configurations en Europe de l'ouest (Hess brezowsky) / données stationnelles pour la moitié de période la plus récente (Arc Atlantique). Résultat : pas de corrélation évidente. On peut très bien multiplier les SSW durant tout l'hiver et ne pas choper une seule vague de froid de l'hiver sur le sol hexgagonal... On peut très bien se les geler sous inversion pendant six semaines avec un contexte NAO+. A chaque fois que la topic de l'hiver commence, j'ai l'impression qu'on radote les mêmes choses ... Mais au fait ! ce serait pas plutôt le topic de l'automne ici
  9. D'où le... "du moins dans la foulée" C'était plus pour évoquer une forme de rythmicité de phénomène somme toute statistiquement rares qu'établir une prévision sur la base d'antécédents exhumés des archives (on sait que ça ne marche pas, que "chaque situation est différente", si ce n'est carrément unique). On verra en temps venu ce qu nous réserve la dernière décade d'août. En attendant, comme le dit Orage_Juice, les dernières corrections américaines pour la semaine prochaine vont dans le sens d'un retour finalement assez rapide des conditions de plein été après l'offensive dépressionnaire du week-end. En attendant toutefois un consensus plus robuste, l'européen et le canadien du matin étant encore plus que borderline, comme le souligne Météodu37. Dès 96h, il va falloir voir si l'anglais est prêt à boucher le trou... justement britannique. Par rapport à GFS (notamment), UKMO voit systématiquement ce premier creusement plus profond et donc au final des BP plus insistantes par une sorte effet d'attraction "gravitationnelle". Sur l'américain, c'est plutôt l'islandaise qui concentre le potentiel dépressionnaire, d'où de récents runs plus optimistes estivophilement parlant.
  10. 2006, 2010 et maintenant 2014. Régulièrement la région "balto-russe" connait des blocages estivaux à longévité exceptionnelle. En regardant rapidement les archives correspondant aux deux précédents que je viens de citer, on remarque qu'après effondrement (enfin relatif), ces structures avaient été suivies par quelque chose d'assez indescriptible. On peut y décrypter une dominante qui pourrait s'apparenter à une sorte de régime AR (hautes pressions atlantiques), n'offrant pas vraiment la possibilité de voir du beau temps généralisé et durable en Europe d'Ouest, en tout cas dans la foulée... Histoire de rester dans les clous du topic, je crois qu'on aura tous vu que l'issue favorable (au sens de conditions estivales sur notre territoire) tient à un fil. Ce fil étant celui d'une dorsale propagée par le fainéant des Açores et susceptible de nous éviter le pire : l'axe dépressionnaire Atlantique/Méditerranée . Ce qui ressort des ensembles paraît assez fiable quand même : un régime associant des basses pressions islandaises (dit AL), ce fragile pont de hautes pressions et bien entendu le mastodonte de Carélie. En temps sensible et sans entrer dans le détail du jour par jour run après run, je crois que ça a déjà été dit, ça donne sur la France un dégradé Nord-Ouest / Sud-Est et des températures plutôt agréables avec sans doute quelques orages par évolution diurne, en priorité en montage et débordant parfois sur les piémonts.
  11. Oui, des cumuls très variables avec un arrosage particulièrement sélectif compte tenu du caractère "grains" de cette seconde vague. Je verrais bien le littoral charentais éviter le gros de la troupe, les îles notamment. La brise a ce dont de chasser l'encombrement nuageux dans le secteur, qui plus est quand ça descend du nord (programme différent quand ça vient de l'ouest). Avec 15 à 17 noeuds de moyen, de tout manière ça va vite circuler...
  12. C'est bon ça C'est ce que je pense aussi, en l'absence (ou presque) de modélisations franchement à l'ouest et très "patatoïde" sur la PE. Quand on commence à voir des pertus avec du gros géo tout rond et tout loin, c'est pas bon signe. A noter que la dép' açoréenne pourrait avoir un effet contrariant pour la mise en place d'un régime typiquement AR (au sens atlantique du terme). Tant qu'elle subsiste, ça peut glisser et s'étirer au dessus en notre direction... et donc pouvoir s'ancrer sur zone grâce à l'amplification du dôme africain. Oui et non, UKMO et GEM montrent qu'un cut off secondaire et moribond offrent des portes favorables à plus long terme, genre l'option 13vents, en tout cas évite le risque de toboggan. C'est pourquoi le run de l'anglais m'inspire plus que la reprise en circulation générale type CEP du matin (celui du soir, ben y'a pas !). Mais dans l'hypothèse d'un retour à la case départ, ce serait certainement défavorable. Sauf que la récurrence de ces dernières semaines, elle a du plomb dans l'aile...
  13. Quitte à reprendre une petite dose d'instabilité (enfin si passagère), je trouve que l'anglais présente un meilleur potentiel estival par rapport aux échéances qui nous intéressent, donc plus loin que celles du modèle. Or, extrapoler des runs est un exercice toujours risqué, voire hasardeux. Donc j'arrête là pour UKMO. GFS présente le risque d'un retrait de l'AA, comme l'on déjà évoqué plusieurs intervenants. Le CEP du matin aussi, et même davantage (à voir si le run du soir tempère ou insiste encore). A partir de là, mine de rien, on peut tabler sur au moins trois options possibles : un retour à la case départ (couple AA/AS et talweg made in France) ou les deux grands classiques que sont le régime AR (statistiquement en retard en effet) et le faible blocage ouest-européen ("probabilistiquement" en retard pour le coup). Je ne vous cacherais pas que la troisième option m'intéresserait, comme pas mal de français j'imagine. Si l'on en croit MF, c'est la seconde options qui pourrait sortir du lot. Je reste toutefois circonspect vis-à-vis de leur prévisions mensuelles (des idées/infos sur la méthode employée ???)... Quant à la dernière option, toujours (et encore !) possible, on va dire qu'on a eu notre dose et qu'il serait temps que Dame Nature change son fusil d'épaule. Sauf que là, ce n'est plus de prévision mais de la pure incantation... Juste histoire de planter le décor, avant même le début du topic : deux gouttes froides + deux blocs chauds et tout ce petit monde qui va bien entendu avoir la bougeotte...
  14. Non, juste qu'ils ne sont pas positionnés au dessus de notre tête (quoique juillet 2013...). La Russie, maintenant la Scandinavie sont largement servies en termes de blocage durable Sans oublier les machins type "big GA" comme en juillet 2011. Bref, je serais presque tenté de penser l'inverse : blocages à longévité et latitude grandissantes...
  15. On risque quand même la tendance orageuse en fin d'échéance. Et le spectre du diptyque AA/AS et talweg au milieu qui revient sur les dernier runs... C'est dingue cette incapacité à tenir des racines solides dans notre secteur. Mais bon, une bonne partie de la semaine sera très agréable, c'est déjà ça.
  16. D'après le radar, cela a l'air d'être assez intense au nord d'Oléron (oui, y'a des îles et des habitants au large de LR ).
  17. C'est vrai. Mais généralement, on fait grise mine parce que ça ne "monte pas assez haut" (direction la Grande Bleue si voulez voir le soleil, titre classique de JT estival). Là, question de contexte, ce sont les incursions "malveillantes" sous blocage et des racines prenant l'eau qui dérangent. La faute au contexte synoptique "hors standard". A cette époque de l'année, la méd' elle est sous HG à haute dose. De même, les AS, c'est quand même plus un truc d'hivernaute. Même si il y a 2010 (la canicule russe), un poil plus à l'est, pour nous rappeler que ce genre de config peut durer. D'où la question sur les forçages supra... Et pour l'anecdote : des HP nordiques récurrentes et des gouttes froides méditerranéennes en plein été, ben ça peut aussi donner du 1976. Tout dépend des lieux précis des ancrages de la dite récurrence, avec de grandes conséquences pour le carrefour hexagonal.
  18. Avant toute chose, merci TreizeVents pour ton énoooorme analyse Je vais la faire beaucoup plus courte et citer dans le texte un certain Sky Blue (toujours aussi actif, c'est plaisant) : Scandinavie = championne des HP. Des idées sur les forçages supra-synoptiques susceptibles de rompre la dynamique ? Ou au moins une variante synonyme de temps stable durant plus de 72h sur l'Hexagone... Cela a peut-être déjà été évoqué mais, en ce moment, je n'ai pas trop le temps de zieuter tout ce qui se post sur le forum. On prend ce qui vient de toute façon. Mais ça devient lassant de se faire berner systématiquement par la prévision d'ensemble avec ces ajustements "défavorables" qui font planer le doute...
  19. Passage en régime AL, anticipé (espéré !) de longue date et plutôt par à coups, toujours en bonne voie. Cela fait plaisir de voir une projection partagée par les deux principaux ensembles avec enfin des BP à proximité (et bien recroquevillées près) de l'Islande associées à des HP nord-européennes pourvues de racines tropicales un peu plus solides en passant par l'Hexagone. En espérant que ça tienne, c'est encore méga loin... sans moi pour le commentaire run par run (pas le temps, ni l'envie).
  20. Ne pas sous-estimer la capacité des hauts géopotentiels à faire de la résistance, ainsi que celle des modèles à réduire la puissance de ce qui déboule de l'Atlantique à mesure que l'échéance s'approche. C'est assez flagrant avec UKMO. Sinon, d'accord avec kéké, à force de dorsales régulièrement bien placées, la récurrence fin juin - début juillet 2014 commence à s'effriter... tant mieux
  21. Y'a comme un petit air de 2011 là dedans... et GEFS suit. Un run qu'on espérerait bien qu'il soit isolé ou mieux, réfuté !
  22. Merci Sky, Bruno et Momo en particulier pour l'animation du forum. Sans vous, ce serez quand même un peu morne plaine pour les lecteurs... En dépit de runs parfois sympathiques, ça valait le coup de tabler sur une persistance du schéma synoptique en place. A long terme, on pourrait enfin quitter ce régime un peu bâtard et passer à quelque chose qui s'approcherait d'un régime "basses pressions atlantiques" (surnom cassoullien : AL). Enfin, perso, je ne vois pas d'autre modulation possible, si ce n'est la fusion des deux blocs anticycloniques (et le risque, en effet, de "big GA").
  23. Poursuite de la récurrence avec double pivot anticyclonique (AA + AS) et circulation dépressionnaire entre les deux, avec en point de mire la France. Hiver comme été, c'est un schéma théoriquement transitionnel (par rapport aux grands classiques synoptiques) a visiblement la peau dure depuis quelques années.
  24. Autant je trouve ton schéma simplifié parfaitement clair (et raisonnable) pour résumer le régime en place, autant j'ai du mal à comprendre l'intérêt de se concentrer à J+8 sur un petit machin comme il y a dans le cercle bleu. Tout a son importance, c'est vrai. Mais ce n'est pas ça qui va déterminer dans quelle case on va situer : poursuite de la configuration illustrée par ton schéma simplifié ou régime zonal ou autre. Selon les ENS : on aurait visiblement une tentative de passation de pouvoir, vers un régime AL (basses pressions atlantiques) et donc la fin du régime auto-bloquant qui domine depuis X temps et encombre tour à tour l'Irlande, la Mer du Nord ou la Scandinavie. On verra ce qu'il en restera à la fin. Mais le zonal bien rectiligne avec gros gradient de pression et baroclinité comme à la Toussaint, je crois qu'il déjà parti aux oubliettes. C'eût été plus simple pour tout le monde et pas forcément moins estival en temps sensible (sauf extrême nord-ouest)... Mais non, va falloir se prendre la tête, accepter de se tromper dans nos analyses ne serait-ce qu'au delà de J+4 ou J+5, bref être patient car il faut que ça se décante...
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