jonathan

... et un possible épisode de fortes précipitations début septembre du côté de la méditerranée comme l'a évoqué Willi mercredi dernier.

Cherche du côté des sites consacrés au surf, c'est un paramètre qui est souvent évoqué par les amateurs de glisse lorsqu'il prévoient de faire un trip dans une contrée lointaine. De ce que j'ai lu et entendu des fanas de glisse, il semble que la température à Essaouira ne varie pas beaucoup durant l'année : autour de 18°C apparemment mais c'est à vérifier...

Résumons : Cette semaine du 14 au 20 marquerait tout d'abord la poursuite d'un temps généralement frais, humide et venté pour marquer le retour progressif (durable ?) à des conditions estivales en fin d'échéance.

C'est vrai que c'est un gros souci ce plantage de juillet et pas seulement pour toi Florent ; quand on voit les prévisions du MetOffice par exemple, et pour ne citer qu'eux. Malheureusement, l'intérêt de la prévisions saisonnière, outre l'immense domaine scientifique à explorer (et c'est toujours utile au final d'en savoir plus, de se poser des questions, même les "mauvaises"), c'est bien de pouvoir cerner les moments où le climat peut s'avèrer dangereux (sans aller dans les détail évidemment). C'est, en terme de risque ou de probabilité qu'il faut informer sur une future sécheresse, tempête, vague de froid, canicule... Du moins, c'est un petit peu l'attente de la société vis à vis des spécialistes de la question, afin d'anticiper la situation. Or, c'est précisemment au niveau de ces "mois" (périodes) extrêmes que les deux méthodes (analytique ou statistique) ont le plus de difficulté. C'est logique, ce n'est pas un temps normal ou des conditions qui n'interviennent pas en temps normal. Florent, tu parlais dans un message du possible impact du réchauffement climatique, en tant que catalyseur de l'option "chaude" quand le scénario existe. Voilà peut-être une piste à explorer : bien que le très fort excédent n'occupe qu'un faible pourcentage au sein de toutes les possibilités, si aucune option majoritaire ne se dégage, celle-ci pourrait prendre de plus en plus l'avantage en raison d'une sorte de nouveau forçage. Pour finir, je pense que ton cycle de périodicité de 55 ans, comme d'autres oscillations climatiques jouent un rôle majeur mais qu'il est indispensable de le recouper avec les autres facteurs intrinsèque au système Terre, ceux utilisés par les modèles numériques des grands centre de prévision. Modèle qui ont aussi leur défaillance puisqu'il sont également incomplés. Les deux méthodes sont sans doute complémentaires et une association ne pourrait qu'être positive.

Sauf qu'on n'est pas non plus à l'abri d'un excédent plus prononcé que ce que tu ne prévois à la faveur d'un positionnement plus "favorable" des centres d'action et surtout d'un plus grande durée (par récurrence et/ou auto-alimentation) de situations de ce type. Les exemples d'Octobre 2005 et Juillet 2006 sont là pour le prouver. D'ailleurs ta dernière phrase est équivoque, je trouve. Disons que je ne l'aurais pas aménée comme ça à ta place. - L'excédent serait-il obligatoirement moindre parce que toi tu prévois seulement +0,7° ? - Y'a-til une probabilité que Septembre soit frais ou est-ce totalement écarté ? Alors pourquoi ? - Ou, dans ce cas, est-ce la possibilité d'avoir un mois plus frais (au sein des scénarios probables) qui est elle à l'origine de ton résultat plus proche de la normale (par lissage, pondération ou je ne sais quoi) ? Enfin, concernant tes courbes et tableaux pour la fin de l'année, je constate que la fiabilité est mauvaise, non ? Hormis Novembre, les écartes à la normale devraient être minimes selon toi, mais la marge d'erreur est souvent supérieure à celui-ci. Surtout janvier, qui dans le pire des cas, au lieu d'être légèrement doux (+0,2°C) comme annoncé peut, selon tes chiffres, s'avèrer carrément froid (-3°C). Avec des résultats peu tranchés mais une marge d'erreur si importante, ne t'exposes-tu pas à des plantages, non pas sur l'amplitude (type juillet dernier), mais cette fois-ci sur la tendance même (et bien qu'en absolu l'erreur ne soit pas si manifeste) ?

Hors sujet : Pourquoi on le garde ton message toi, quand tu parles de froid et de neige après une intervention de JB ? Dans le sujet : En tout cas, maintenant que le run "pessimiste" de 6h est devenu l'avant dernier, la donne est différente. Au risque de me répéter, il y a une précédente goutte froide qui n'est pas encore gérée avec brio et dont l'influence sur notre pays varie en moyenne de 48 à 120 h suivant les runs de ce même modèle. Sur le run de 12h, par exemple, la façade atlantique resterait anticyclonique jusqu'à son terme. Disons qu'en ce qui concerne GFS, dans la même journée, il y a de grandes chances que nous ayons eu les deux versions les plus extrêmes coup sur coup. Sinon, après une lecture globale des modèles, j'en conclu que la première goutte froide aurait du plomb dans l'aile même si elle pourrait cependant "embarquer" un front secondaire dans son épopée vers le sud. Quand à la seconde, rien ne prouve qu'elle puisse nous concerner réellement pour l'instant (en tout cas progresser autant que la précédente). Les géopotentiels auraient tendance à monter par le sud. D'ailleurs, cela corrobore l'évolution en GA, qui n'est pas non plus synonyme de flux de nord, en cette saison en particulier (n'était-ce pas le type de situation synoptique qui, pendant un temp, a accompagné cette chère canicule ? Allez voir du côté des archives des bulletins de Guy Plaut si vous doutez). Il est probable (mais nullement sûr) que ces deux gouttes froides s'agglomèrent pour n'en former plus qu'une dans les parrages de la Norvège laissant enfin la possibilité aux HP de se reconsituer sur le continent. Parallèlement, une évolution en GA peut aussi être le signe d'un blocage en voie de perdition donc... Pour finir, perso, je constate que les dégradations franches et massives sont, lorsque l'échéance approche, de plus en plus réduites. Il est vrai que cela est plus valable pour l'ouest que pour l'est du territoire national en ce moment. Mais, quand même, le long du Golfe de Gascogne, point de pluie pour ce premier front de la semaine (dont les restes nuageux sont en plus passés dans la nuit chez moi ) et peut-être point ou très peu de pluie durant le week-end prochain. Tout juste un fond de l'air un peu frais et ce vent de NNE qui dessèche, une horreur /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> !

Retour des conditions franchement estivales à J+8 dans le prochain run de GFS /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> ! Attends de voir comment les modèles gèrent la prochaine goutte froide prévue pour le week-end prochain. A J+8 environ, certains runs de GFS voyaient du très gros mais cela à l'air d'être minimisé à mesure que l'échéance approche (décallage à l'est et comblement plus rapide). Moi, je pense que le run dont tu parles n'a d'autre intérêt que de confirmer la tendance à la poursuite du blocage, avec un talweg qui persiste sur l'Europe. Et, je trouve, qu'au même titre que la canicule de juillet, avoir le même type de temps pendant des semaines, ça devient quand même limite lassant ...

Par contre, côté température, rendons à Florent ce qui appartient à Florent : la tendance est globalement très bien perçue grâce à sa méthode. Il lui reste donc de ce côté là à améliorer l'outil pour une meilleure appréhension des amplitudes des anomalies. Pour les précipitations, l'enjeu est de taille, mais l'exercice bien plus difficile. Cet été, des régions vont s'en sortir avec un certain excédent, d'autres souffrant sempiternellement de cette foutue sécheresse . Et quand je parle de région, c'est même parfois à l'échelle cantonale que ces disparités apparaissent lors des périodes à potentiel orageux.

Hors-sujet aussi : Merci pour la précision que tu apportes. Mais voulant faire de l'humour /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> , j'ai pêché en précision sans même vérifier. De toute manière, cette partie du message a été effacée (?!) Dans le sujet cette fois : Déjà de gros points de divergence sur les conditions de départ durant cette semaine et le niveau d'influence de la goutte froide qui va aborder le pays vendredi prochain. Par exemple, sur NOGAPS, JMA ou le GFS de ce matin, elle perdrait nettement en "puissance". Les autres sont plus incisifs et plaident même parfois pour un recreusement sur place (GME pour ne pas le citer). Pour la suite, malgré ces différences de point de vue dans la gestion de la goutte froide, peu ou pas de modèle ne laisse entrevoir une possible fin à cette situation de blocage. Donc, pour l'instant, on se dirrigerait vers une poursuite du flux de nord avec, peut-être, un anticyclone de plus en plus présent par l'ouest (du moins je l'espère, ne serait-ce que pour pouvoir prendre l'apéro dehors le soir par exemple).

Le run de 12h, plus dépressionnaire que ses prédécesseurs, ne voit cependant pas la seconde groutte froide s'insérer autant au sud. Si l'on "globalise" tous ces derniers runs, on devrait (ce que je pense pour l'instant) avoir vu passer le plus gros ce week-end /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> .

... dans ma région. ! Chez moi (côte Atlantique), par exemple, il n'a plu que mercredi dernier. Depuis le temps est estival et les touristes ont la banane

Les prévisions de MF à partir du 11 ne sont pas du tout en accord avec les modèles, sauf NOGAPS éventuellement. Indice de confiance 4/5 pour un temps ensoleillé et sec sur la majeure partie du pays et températures similaires à celles que l'on a en ce moment. Serait-ce l'effet "week-end du 15 août" qui les pousse à l'optimisme comme ça ?

Oui, finalement, beaucoup d'exitation pour un début de semaine somme toute assez normal. Donc, pas de "grand froid" pour les amateurs, ni de retour de la grosse chaleur pour leurs opposants. Enfin de quoi mettre tout le monde d'accord /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Pour la fin de semaine, c'est bien plus compliqué avec cette goutte froide en approche. A noter quand même que GEM a rejoint ce matin GFS dans le scénario de la "plongée franche vers l'Europe de l'ouest". Il a déjà été remarqué que GFS gère à long terme, et bien il avait perçu (quelques runs) y'a un bon moment cette éventualité. Il est sans doute un peu extrême (cf. le comblement de la précédente goutte froide fut beaucoup plus rapide que sur les premières simulations relatives à l'événement), on verra bien. A la vitesse où tout semble se décaler à l'ouest (surtout pour ceux qui plageaient, comme moi, sur une poussée plus franche de la dorsale, voir une jonction sur le continent /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> ), l'éventualité de la mise en place d'un talweg sur le proche Atlantique, et non sur le continent, n'est pas non plus à écarter. Les conséquences en seraient une inversion du dégradé que l'on connaît aujourd'hui et la possibilité de voir le retour de précipitation orageuses. Cela représente une toute petite minorité des runs d'ENS, mais il faut bien défendre les minorités dans ce monde brutes

Sinon, que va faire cette patate en fin de semaine prochaine, rester au mouillage sur l'océan ou rendre une visite à nos amis british ? Voici la réponse du run de 12h (GFS) : il sera "So British"... mais pas avant le 15 août. Autrement dit, rien n'est moins sûr /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">

L'hiver en deuxième décade, et le retour des hirondelles pour la rentrée /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Actuellement sur Oléron, y'a des touristes à la pelle sur les plages malgré le vent. Et si tu mets pas de crême, tu peux vite prendre un coup de soleil, crois-moi ! Au fait, pour info, T850 = 8°C ; normalement le creux de la vague pour cette semaine Sinon, que va faire cette patate en fin de semaine prochaine, rester au mouillage sur l'océan ou rendre une visite à nos amis british ?

Ce probable déplacement vers l'est est vu de plus en plus lent. Serait-il compromis ? Le pays devrait de toute manière être situé sur la face orientale du dit blocage pendant toute la semaine. Les résultats de cela ont déjà été largement commentés ici. Mise à part la possible dégradation à étudier de près, le début de la semaine est relativement bien cerné. Mais, c'est loin d'être le cas des jours suivants. Les derniers runs de GFS, par exemple, hésitent entre la faiblesse de l'AA et la mise en place d'un flux de NO (plus humide et peut-être même encore plus frais) ou un franc positionnement vers les île britanniques faisant basculer le flux à l'est (temps plus sec, plus ensoleillé et donc un recul progressif de la fraîcheur durant le week-end).

Avec un peu plus de 50% de fiabilité, je vous annonce une situation de blocage, actuellement en formation sur le proche Atlantique et évoluant lentement vers l'est en fin d'échéance. Pour les températures, la nébulosité, les précipitations, la vitesse et l'orientation du vent à un endroit donné, soyons sérieux, à J+10, cela ne veux pas dire grand chose. On peut simplement s'avancer à dire qu'il se profile un dégradé SO/NE qui englobe tous ces paramètres, et respectiement du + au - estival.

Va faire un tour sur le run de 18h pour bien percevoir les réglages fins /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Simplement pour dire qu'août ne fait que commencer et que c'est bien la réalité qui sanctionnera vos prévisions et non un run ou quelques suspicions qui pourraient coller à celles-ci.

Dernier run de GFS de la journée et poursuite de l'alternance "run chaud"/"run froid". Dans les grandes lignes : GFS 18h = JMA ; c'est à dire chaud, voir très chaud ! On ne peut en tirer aucune conclusion, loin de là. Simplement que le retour de la chaleur garde un certaine probabilité dans la mélasse où sont plongés les modèles. Ce qui est à noter, c'est qu'il n'y a définitivement pas de juste milieu en ce moment (cf. aussi le changement, à l'inverse, entre le CEP 00h et le 12h pour s'en rendre compte).

Continuons dans les certitudes alors... Tempête sur la Bretagne le 15 août /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> (source : GFS 12h ou L. Cabrol, la fiabilité est la même). Plaisanterie faite, voici la question pour la semaine du 07 au 13 (et dans la continuité de celle de la semaine en cours) : Pliera ou pliera pas la barrière anticyclonique ? Voici quelques éléments de réponse sous forme d'opposition des différents modèles à l'échéance de J+7 (normalement date charnière), et selon l'évolution prévue ensuite pour ceux qui vont plus loin. NB : comme c'est pile ou c'est face, le classement d'un modèle dans une case ou l'autre relève d'une extrême subjectivité mais je tâche d'être objectif. 1) Plie mais ne rompt pas : GME (un vrai rempart qui fait suite au fêtu de paille de ce matin ), GEM, UKMO (toujours plus "rouge" que les autres), JMA (qui tend vers un bonne chaleur par la suite) 2) Crac ! : GFS (après la ligne maginot du 6h ) et NGPS (qui garde le cap) surtout et, le CEP (lègèrement plus anticyclonique toutefois) Pour ce qui est du sentiment personnel, après un petit retour sur nos conversations pour vous rapeller que le débat de la semaine dernière portait essentiellement sur la persistance ou non des "mauvaises conditions" et la temps que prendrait le retour de l'anticyclone (rapide finalement), je pense à un "effet roseau" tout de même. De toute manière, c'est le scénario surprise (sans doute intermédiaire) qui prendra le dessus pour nous confirmer qu'un modèle reste un modèle.

Oui, elle n'est pas aquise. Prenons par exemple les spaghetti d'ENS 6h pour dimanche, sorte de donne de départ pour la semaine de ce post. Et bien, on a un écart (en longitude) d'un bon milier de kilomètres dans le positionnement de la ligne 576, avec comme terrain de jeu notre beau pays. Quand aux diagrammes, celui de Brest, sur ce même run, est assez déroutant /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

A force de faire la danse du temps pourri, ça va peut-être marcher JB. Super, des miliers de touristes (qui font /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> ou ) à rouler en bagnole sur la côte, complètement perdus parce que c'est intenable sur la plage. C'est vrai que ça ajoute du charme au littoral français. Et puis, bien sûr le SE qui entre dans une période à risque de départ de feu maximal. La canicule peut tuer (si on est pas bien préparé) mais un flux de nord, dynamique et persistant, a aussi ses conséquences négatives. Quand au décalage, Oozap, malheureusement il s'effectue plutôt vers l'ouest depuis 3/4 runs. Finalement, la Bretagne est LA destination cette année : juillet très supportable et position privilégiée en août. Alors que sur la côte d'Azur par exemple : chaleur écrasante suivie d'un mistral des plus /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

Retour des HP et nouveau blocage, la probabilité s'accentue de jour en jour. Les températures vont remonter doucement, mais sûrement. Et on ne devrait pas partir de si bas que ça (week-end précédent, donc le prochain, typiquement de saison déjà). Enfin, désolé pour le HS, je voudrais illustrer la stupidité d'une généralisation de son petit coin de terre à l'ensemble d'une zone comme la France : GFS 12h pour 2 stations françaises situées grosso modo à la même latitude. 1) Ile d'Oléron. Dégradation nuageuse et très peu pluvieuse (cumul < 10 mm dans tous les cas) durant 48h maxi. Tn mini sur la période : 16°C ; Tx mini : 21°C. 2) Lyon. Temps couvert pendant une semaine entière et pluvieux pendant 3 jours de suite au moins (cumul > à 20 mm dans tous les cas). Tn mini : 12°C ; Tx mini : 15°C.

Oui, ça pourrait pousser par le SO mais, globalement, c'est un dégradé des masses d'air tout ce qu'il y a de plus normal au coeur de l'été : T850 hPA du dit modèle.

Moi, en tant que surfer, ça me plaît pas du tout. Anticyclone sur l'océan = pas ni vagues /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Il semble, malheureusement que pour les adeptes de la glisse, la cellule n'ai pas (dans l'état actuel des modèles) l'intention de se déporter à l'est. Type de décallage cependant assez fréquent à de telles échéances (et parfois source de déception chez les amateurs de frimas durant la période hivernale /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> ). Alors pourquoi pas au mois d'août ?? En fait, tout dépendra de la goutte froide et ses effets induits, encore très mal négociés à la vue des runs d'aujourd'hui : - L'hypothèse d'une dorsale solide ne fait pas encore l'unanimité. Le run déterministe du CEP de ce matin, de JMA hier soir et, dans une moindre mesure celui NOGAPS, montrent qu'une nouvelle dépression pourrait prendre le sillage de Beryl et couper la barrière anticyclonique. Les conséquences ? Tout dépend de la latitude à laquelle cette dépression pourrait circuler. Cela va de la reprise d'un flux de Nord-ouest dépressionnaire à des conditions durablement anticycloniques (et relativement chaudes malgré le flux de NO en altitude). - De l'autre côté, les modèles tablant sur une puissante dorsale ont eux aussi des divergences. Son influence pourrait être minime ou bien plus prononcée lundi prochain ; dégradé classique Ouest/Est mis à part. Là aussi, cela change la donne. Seul point commun, donc, la propension des Hauts Géopotentiels (et HP associée) à se reconstituer par la suite (et quelque soit le scénario envisagé) sur le proche Atlantique. Ici aussi, il sera question d'air d'influence à définir pour logiquement prévoir le temps à venir en France.