bill43

la DNCG n'en veut pas non plus

allez encore une ! Tx de 30.3°C...ridicule quand on comparera à celle de demain En revanche toujours des Tn (11.2°C ce matin) qui permettent d'aérer efficacement pendant de longues heures et évitent encore le recours à la clim. (23.9°C de T°int en fin d'après midi) Ta de 17.9°C ça ventile gentiment

Bon arrêtons de cracher sur les mécènes, il y a tellement d'assos qui survivent grâce à eux et on ne fouille pas les fonds de poubelles pour les disqualifier. C'est un peu dommage que certain(e)s s'attachent à ce détail, car le projet est intéressant pour ne pas dire vital pour nous informer, axer nos choix futurs, que ce soit dans les domaines de l'agriculture, l'industrie, l'énergie, les transports...avec, on n'en doute pas, des propositions réalistes établies par de vrais pros Sinon à part les méchants mécènes ...près de 3.6 millions d'euros déjà récoltés pour 28552 contributeurs à ce jour...👍 et il reste encore 4 jours pour contribuer...

Un peu moins chaud qu'hier avec quelques passages nuageux plus précoces et surtout un vent plus soutenu et qui plus est de nord (25km/h en rafale) Sauvé, pour l'instant, par les Tn 15.9°C ce matin, Ta de 28.8°C à 14h (30.1°C hier) ...la suite se passe de commentaires Hier beaucoup de bruit pour rien ici; RR 0mm....mais pas de dégâts

Je vais tenter une explication... L'arrêt d'un réacteur à Bugey est une situation classique en été et cette année n'y dérogera pas, surtout avec la situation hydro de ce début d'été (v.+ bas) L'arrêt, pas encore acté semble-t-il *, se fera (sauf autre contrainte) sur l'un des réacteurs (le 2 ou le 3 ou les 2 quand la situation estivale le requerra ) qui sont en circuit "ouvert" un réacteur en circuit fermé (avec tour aéroréfrigérante) a beaucoup moins d'impact en augmentant la T° du Rhône de seulement 0.1°C. Alors pourquoi Bugey est ciblé avant Saint-Alban ? - les 2 réacteurs (2 et 3) à Bugey sont peut-être plus "souples" à arrêter : 900MW vs 1330MW à ST-Alban (qui a aussi une capacité de baisse + importante) - un débit d'eau du Rhône supérieur en aval à St-Alban (+Ain + Saône+..) détourner 10% du débit du Rhône n'a pas le même impact que 8% - une contrainte moindre de la température maxi admissible du Rhône --> 26°C (en aval Bugey) vs 28°C (en aval St-Alban) - EDIT Puissances électrique/thermique d'un réacteur et efficacité (si les chiffres sont corrects) Bugey 910MW et 2785 MWth (3060 MWth/GW à éliminer) St-Alban 1330MW et 3817MWth (2870MWth/GW à éliminer) Pour les productions, je pense que le nucléaire n'a pas été plus "bridé" ces derniers jours, il a surtout évolué en fonction de nos consommations et de nos exports, comme le solaire qui a été largement bénéficiaire d'une consommation supérieure en journée par la climatisation, battre le record mercredi dernier est un exploit malheureux La climatisation va devenir un vrai fléau dans les villes si on continue à installer des systèmes d'un autre âge (air/air) complétement déconnectés du chgt climatique. Alors que cette énergie gaspillée en partie en milieu journée serve à climatiser pourquoi pas, mais il ne faut pas oublier que les locaux sont aussi climatisés après 19h... et alors qui pour fournir cette énergie ? Une règle devrait pourtant s'imposer : Bugey qui pollue thermiquement le Rhône arrête 1 réacteur sans compensation financière--> normal, le parc intermittent truc muche qui déleste par surcapacité ne devrait pas être indemnisé pour cette action ou plus drastiquement, en amont, l'autorisation d'installation d'un parc devrait être conditionnée à l'ajout d'un parc de stockage de x% (à définir) de la capacité de ce même parc... pas de stockage --> pas de parc Peu de pays sont aussi généreux que la France : de nombreux pays en Europe (Croatie, Grèce, Finlande, Pologne, Roumanie, Espagne Suède) n'offrent actuellement pas de compensation pour la réduction de production des énergies renouvelables, sachant que 2 gros producteurs RU et Allemagne (arrêt total de la rémunération des centrales EnR à partir de la première heure de prix négatifs, sans indemnisation) s'apprêtent à ne plus financer ce non service Sur les productions éoliennes qui posent pourtant beaucoup moins de problèmes de surcapacités ponctuelles c'est effectif ici : Enfin pour revenir à l'hydraulique la situation estivale se présente mal, on est tombé sur des minima fatals (productions au fil de l'eau) bien bas ( << 4GW) il faut remonter à l'été 2022 pour observer une telle situation EDIT * je viens de voir ceci, sera-t-il mis à l'arrêt mercredi...?

Tx de 33.6°C ...il semble que ça plafonne, 24.1°C indoor... pas loin de mon seuil de tolérance (25°C) La bonne nouvelle du jour c'est que la durée de l'ensoleillement journalier amorce sa baisse 👍 De faibles orages glissent le long de la frontière ardéchoise (de St-Etienne-de-Lugdarès à St-Agrève) mais se cantonnent pour l'heure sur le 07 Bauzon RR 2.0mm On aimerait pourtant qu'ils débordent de ce côté ci

Les Tn s'amenuisent en intensité mais aussi en durée, ce matin les 20°C ont été atteint à 8h avec un mini de 13.9°C Les Tx progressent comme prévu (Tx de 30.6°C en provisoire) mais sont heureusement limitées (Ta 29.5°C à cette heure) par un ciel esthétique Ces cumulifications limitent c'est certain l'envolée des Tx et on ne s'en plaindra pas, ...demain sera un autre jour ci-dessous aux Estables avec une montée erratique de la Tx

Oui et la généralisation des systèmes de climatisation libérant de la chaleur dans les rues va aggraver très sérieusement les vagues de chaleur dans les centres-villes, déjà impactés par le phénomène "d'îlot de chaleur urbain" un phénomène souvent mal appréhendé du fait des suivis de T° loin de ces centres. Des études ont démontré que l'on pourrait déjà nettement limiter les augmentations de T° (liées à la climatisation) de villes moyennes (à +0.5°C) avec des petits réseaux collectifs (avec tour de réfrigération*) plutôt qu'avec des climatiseurs individuels (à +1.5°C) avec le parc de climatiseurs actuels, parce qu'avec avec la généralisation de la climatisation dans certaines villes les augmentations des T° intra-muros liées à cet usage vont nettement dépasser ces seuils. *sauf que la climatisation par des réseaux de froid dépendant de tours aéroréfrigérantes posera certainement des problèmes... d'eau ! Une solution : développer des réseaux de distribution de chaleur et de froid issu de PAC géothermiques qui elles n'auront pas d'impact thermique... hormis des apports très minimes par l'effet Joule des compresseurs, pompes de circulation, transfos... Une étude (2020) sur Paris à été reprise en partie ici À Paris, la climatisation risque d'aggraver les canicules – WE DEMAIN La carte représente la température de l’air (à 2 m) dans les rues à 4 heures du matin, après 9 jours d’une vague de chaleur similaire à celle de 2003 si aucun climatiseur n’est utilisé. L’effet d’îlot de chaleur urbain est bien visible, avec une différence de température de 6 °C entre le centre de Paris et la campagne. a) Variations de la température de l’air dans les rues en raison de l’émission de chaleur, à 4 heures du matin*, après 9 jours d’une vague de chaleur similaire à celle de 2003 --> la température de l’air augmente de 2,4 °C. b) Variations de la température de l’air dans les rues en raison de la libération de chaleur des climatiseurs, à 4 heures du matin*, après 9 jours du type de vague de chaleur la plus intense considérée dans cette étude --> la température de l’air est augmentée de 3,6 °C * L'augmentation de T° plus importante la nuit que le jour semble contre-intuitive avec des dégagements de chaleur plus élevés pendant la journée mais cela est dû à la couche limite atmosphérique moins profonde pendant la nuit. Il faut également souligner que, pendant la canicule, la consommation potentielle d’énergie supplémentaire est loin d’être négligeable, puisqu’elle est égale à 105 GWh par jour. Cette augmentation représente # 80 % de la consommation quotidienne moyenne actuelle d’électricité des bureaux et logements en région parisienne. Certains diront qu'avec toute l'énergie que l'on perd en déclenchant les productions intermittentes l'été ça pourrait être une solution anti gaspi ! en partie vrai ...car ça serait oublier que ces déclenchements ne se font que sur 4/5h en milieu de journée alors que les clims tourneront 24h/24

Quelle chance ici avec des Tn qui ne sont pas seulement basses mais qui restent durables (le seuil des 20°C dépassé seulement après 10h) Tn de 10.2°C; Ta de 20.7°C à 11h; un petit vent de nord, même si moins présent qu'hier, accentue le coté très agréable de la sortie du matin dans le village. Le seuil d’1,5 °C de réchauffement fixé il y a dix ans par l’accord de Paris n’est plus un objectif réaliste tranche un collectif d’experts. «L’inertie sociétale est telle, que cet objectif est inatteignable, assume le climatologue Christophe Cassou L'heureux gagnant du séjour de 10 jours (sous tente) sur le parvis de la Maison carrée est prié de se faire connaître

les données MF ne laissent aucun doute là dessus... 17 vagues de chaleurs en 53ans 1947--> 2000 32 ..................................... 24ans 2001-->2024

9.2°C de Tn 26.2°C de Tx, petit vent de nord ; parfait en attentant la suite... L'actualité a été beaucoup axée sur les orages, là ça va être les Tx qui vont faire la une ...la sécheresse des sols ne fait pas encore recette mais ça ne saurait tarder

si c'est pour le jeu des 7 erreurs... désolé je rend les armes

Tn de 7.9°C et une Tx raisonnable de 25.9°C n'auront pas suffit à limiter la hausse de la T° intérieure (presque 23°C !) Pour la suite c'est évidemment une autre affaire...même si on ne sera pas les plus à plaindre

Ce que je retiens et qui ne me surprend pas : « le système ne disposait pas d’une capacité suffisante de contrôle de la tension » ce qui ne veut pas dire qu'il sera incapable de le faire demain ou... après demain Le réglage de la tension est indispensable pour l'exploitation de nos réseaux électriques. Les niveaux de réglage de la tension sont réalisés aujourd'hui par des alternateurs synchrones de grande puissance (alternateurs des centrales fossiles, hydrauliques ou nucléaires) qui constituent les principales sources de tension sur le réseau (Une machine synchrone tourne exactement de manière synchrone avec le champ tournant imposé par la fréquence du réseau , c'est une machine réversible qui couplée à un réseau peut tourner aussi bien en moteur qu'en générateur) Des dispositifs de réglage dans le domaine du régulé (FACTS, inductance, condensateur) participent à ce réglage mais aussi les parcs éoliens et photovoltaïques qui peuvent compléter les actions des alternateurs synchrones mais dans le domaine du dérégulé. Les installations photovoltaïques et éoliennes équipées d’onduleurs participent de plus en plus et elles peuvent ajuster leur facteur de puissance et injecter de la puissance réactive pour aider à réguler la tension locale. Des parcs batteries avec onduleurs peuvent également agir comme des compensateurs statiques Pour le futur, des solutions techniques existent et devront être testées à grande échelle: inertie synthétique ou onduleurs grid-forming (générateur synchrone virtuel) J'avais trouvé, sur ce sujet, cet article très complet (18) Régulation de la tension et de la fréquence : comment ça fonctionne sur le réseau électrique ? | LinkedIn

Nouveau record en puissance des productions solaires aujourd'hui avec 18.73GW Possible grâce à une très faible production éolienne (1.9GW) de l'hydro fatal bas également (5.3GW) ainsi que le Nuc. nettement abaissé (35.7GW) Au pic de production, le solaire représentait 29.7% de la production française et près de 38% de notre consommation Concernant le VE ? joker ...il ne suffit pas d'aller piocher dans des tiroirs bien choisis pour appréhender toutes les réalités Sinon pour l'avenir on reste dans le flou... Électricité, nucléaire, renouvelables : la France dans le brouillard énergétique Par Géraldine Woessner Publié le 16/06/2025 à 18h22 "La France aime se raconter qu'elle a « un mix unique au monde »… Encore faudrait-il savoir l'organiser. Depuis lundi, l'Assemblée nationale planche sur la proposition de loi du sénateur Alain Grémillet, censée combler un vide devenu préoccupant : la France n'a plus de cap énergétique écrit noir sur blanc. La Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), texte phare qui devait ordonner la trajectoire de production et de consommation pour la décennie à venir, est toujours dans les limbes. Promise pour 2023, annoncée puis repoussée après chaque soubresaut ministériel, elle ne sera publiée qu'« avant la fin de l'été », a promis le ministre de l'Industrie et de l'Énergie Marc Ferracci. Par décret. Et au mieux… Initialement, la proposition de loi Grémillet devait donc permettre de préserver un semblant de débat parlementaire, en figeant dans la loi quelques points de repère : quelles capacités nucléaires seront prolongées, combien de réacteurs neufs commandés, quelle part réserver pour le solaire, l'éolien, le thermique… Qui doit piloter quoi. Dans sa version sénatoriale de l'automne dernier, le texte rappelait la ligne fixée par Emmanuel Macron lors de son discours de Belfort : prolongation du parc nucléaire existant, construction d'au moins 14 EPR d'ici 2050, et un développement maîtrisé du solaire et de l'éolien. Mais à l'Assemblée, la mécanique s'est enrayée, et les travaux ont tourné à la foire d'empoigne. Le nucléaire toujours en débat Première victime : l'article 3, pourtant clé de voûte du plan de relance nucléaire, a été rejeté en commission des Affaires économiques, le 4 juin. La gauche a voulu limiter la relance. Écologistes et Insoumis ne voulaient rien du tout. Le RN, à l'inverse, en voulait beaucoup plus : une quarantaine d'EPR2, un volume pourtant jugé intenable par tous les acteurs industriels. Les débats se sont aussi tendus sur les objectifs de renouvelables, jugés insuffisants pour les uns, totalement irréalistes pour les autres, la majorité s'accrochant à une sorte de « en même temps » difficile à justifier rationnellement : la version actuelle du texte promet 18 gigawatts d'éolien maritime raccordés en 2035, par exemple, contre 1,5 GW aujourd'hui. Un objectif surprenant, alors que les coûts de construction explosent, que le nombre de navires capables de poser des turbines géantes est insuffisant, et que les industriels désertent déjà certains appels d'offres faute de rentabilité garantie… « Nous ne voterons pas un mensonge d'État », a martelé, ce 16 juin, le député du Rassemblement national Jean-Philippe Tanguy, fermement opposé à leur développement. « Tout le monde sait qu'on n'a pas les chantiers, ni les financements, ni le réseau pour raccorder ces 18 gigawatts. Mais tout le monde signe la promesse pour cocher la case européenne », admet un député de la majorité. En coulisse, tous les acteurs admettent que le raccordement de ces parcs coûtera bien plus cher que prévu, surtout s'ils deviennent flottants pour s'éloigner des côtes… « Nous ne voyons que des postures politiques, où chaque groupe pousse ses propres objectifs, déconnectés de la réalité », soupire Alexis Quentin, du syndicat CFE Énergie. Le Parti socialiste entend graver dans le marbre 50 GW de solaire installés d'ici 2030, alors que le parc français n'atteint même pas la moitié, après quinze ans de subventions massives. Les Républicains, comme les Communistes, réclament 85 TWh de biogaz injectés dans le réseau en 2030, soit un bond de près de 400 % par rapport à aujourd'hui. « À ce rythme, il faudrait tripler le nombre de méthaniseurs », souligne le rapporteur (EPR) du texte Antoine Armand. Les Insoumis visent un mix reposant à 100 % sur les énergies renouvelables… Le fait que la France ait exporté l'an dernier 90 TWh d'électricité, faute de consommation domestique suffisante, altère à peine les débats… L'électrification promise – voiture électrique, pompes à chaleur, électrolyse pour l'hydrogène vert, etc. – avance trop lentement pour absorber ce surplus. « Nous devons éviter de fixer des engagements chiffrés, mais fixer des orientations, afin de pouvoir nous adapter à la réalité de la demande », plaide Antoine Armand La stratégie du flou Face à ce catalogue de promesses, la majorité présidentielle fait mine de tout concilier… Sans se passionner pour le débat parlementaire, puisque tout sera décidé dans la PPE, qui sera publiée par décret. En clair : la loi Grémillet peut fixer tous les objectifs qu'elle veut, c'est bien l'exécutif qui décidera du contenu réel et du calendrier. Dans l'hémicycle, chacun joue sa ligne : la gauche pour rappeler qu'elle veut réduire la dépendance au nucléaire, quitte à surévaluer la vitesse de montée des renouvelables. Le RN pour se poser en garant du « tout pilotable » et dénoncer un « mensonge d'État » sur l'éolien offshore. Les Républicains pour sauver le texte du Sénat, jugé plus réaliste, moins tapageur et plus lisible pour EDF. Mais tous savent que la version finale n'aura qu'une valeur symbolique. « Dans quelques semaines, la PPE sortira, calibrée pour contenter EDF sur la prolongation des réacteurs, et pour rassurer les acteurs du renouvelable, qui attendent les subventions liées aux prochains appels d'offres », anticipe un membre de la majorité. Les débats de cette semaine vont-ils simplement, comme il le suggère, « meubler le vide » ? La France, pour l'instant, continue de produire plus qu'elle ne consomme… et de promettre plus qu'elle ne peut construire.

Tn de 12.5°C, la Tx provisoire de 19.1°C et un soleil intermittent ont quand même fait grimper la température intérieure à 22.5°C alors qu'elle était descendue à 20.5°C ce matin ça promet pour la suite !

Comme très bien résumé dans le post précédent il y a tellement eu de bouleversements (dérive des continents, modification des cycles de variation des mouvements de la terre, orogénèse...) que comparaison ne serait pas raison mais on peut néanmoins faire quelques recherches... Au Pliocène (il y a 5,3 à 2,6 millions d'années), le climat de la Terre est devenu plus frais et plus sec, ainsi que plus saisonnier, marquant une transition entre le Miocène relativement chaud et le Pléistocène plus froid . Cependant, le début du Pliocène a été marqué par une augmentation des températures mondiales . Cette augmentation serait liée au cycle de modulation d'amplitude d'obliquité de 1.2 millions d'années (cycles de Milankovitch)..........................un peu court En revanche sur l'autre optimum climatique qui l'avait précédé (MMCO) j'ai trouvé plus d'informations et certaines pourraient certainement s'appliquer au second évènement (volcanisme...) Optimum climatique du Miocène moyen (le début du MMCO s'est produit à 16,9 Ma, le pic de chaleur à 15,3 Ma et la fin du MMCO à 13,8 Ma) La chaleur globale du MMCO résultait de ses concentrations atmosphériques élevées de dioxyde de carbone. Les enregistrements à base de bore indiquent que le CO2 variait entre 300 et 500 ppm pendant le MMCO. (Une estimation du p CO 2 du MMCO de 852 ± 86 ppm a été dérivée des paléosols de Railroad Canyon en Idaho). La cause principale de ce CO 2 élevé est généralement acceptée comme étant une activité volcanique élevée. L'altération hydrothermale par des digues magmatiques et des filons-couches de sédiments riches en carbone organique a également contribué à l'augmentation du CO2. L'activité du groupe de basalte du fleuve Columbia (CRBG) est considérée comme l'événement géologique dominant responsable du MMCO. On estime que le CRBG a ajouté 4 090 à 5 670 Pg de carbone dans l'atmosphère au total, dont 3 000 à 4 000 Pg ont été rejetés lors des éruptions du basalte de Grande Ronde, expliquant une grande partie de la chaleur anormale du MMCO. Le dioxyde de carbone a été libéré à la fois directement par l'activité volcanique et par le dégazage cryptique des filons-couches magmatiques intrusifs qui ont libéré le gaz à effet de serre des sédiments existants. Cependant, l'activité du CRBG et le dégazage cryptique n'expliquent pas suffisamment le réchauffement avant 16,3 Ma. L’activité tectonique accrue a conduit à un dégazage volcanique accru aux marges des plaques, provoquant une chaleur de fond élevée et complétant l’activité du CRBG en faisant monter les températures. La diminution de l'albédo due à la réduction de la surface terrestre couverte par les déserts et à l'expansion des forêts a été une rétroaction positive importante renforçant la chaleur du MMCO... La modélisation climatique a montré qu'il reste des mécanismes de forçage et de rétroaction encore inconnus qui ont dû exister pour expliquer l'augmentation de température observée au cours du MMCO, car la quantité de dioxyde de carbone connue pour avoir été présente dans l'atmosphère au cours du MMCO ainsi que d'autres conditions limites connues sont insuffisantes pour expliquer les températures élevées du Miocène moyen. ...des travaux récents ont apporté des preuves qui montrent que le MMCO s'est produit pendant un intervalle de faible enfouissement du carbone organique, probablement en raison d'une décomposition bactérienne accrue de la matière organique qui a recyclé le carbone dans le système océan-atmosphère, et que ce nadir d'enfouissement du carbone organique a contribué à la chaleur soutenue du MMCO.

...pareil et vraiment agréable ici 23.5°C de Tx , RR de 4.6mm ce matin juste pour réhydrater la prairie récemment coupée et qui commençait à faire la gueule Bon, je ne voudrai pas casser l'ambiance mais je pense que je ne vous apprendrai rien...

Bon et bien toujours au sec ici et finalement je ne m'en plaindrai pas quand je vois les dégâts qui s'enchainent chez certains @snow63 .... ....courage RR de 0.0mm donc, finalement la Tx n'est pas montée très haut hier 29.3°C, parti sur de bonnes bases ce matin avec 14.4°C de Tn La montée en puissance du vent de sud en début d'après midi n'est pas étrangère à cette limitation bienvenue, d'habitude la Tx grimpe régulièrement jusque vers 17h, ci-dessous à Loudes Naussac déstocke depuis hier matin (# 2m3/s) c'est dire le manque d'eau sur certains secteurs, l'an dernier le déstockage avait débuté le 4 juillet

23.3°C à minuit ! Il a fallut attendre 3h pour passer sous les 20°C, avec une Tn de 17.3°C ce matin et encore 17.9°C de Ta à 7h45 autant dire que ça ventile fort dans la maison. Vent nul ce matin, hier le vent de sud soutenu (35km/h) a évité que ça grimpe trop et on est resté sous les prévis avec 27.6°C de Tx... Sinon toujours au sec Des records thermiques aujourd'hui ?

Tn 12.8°C, Tx 28.0°C, RR 0mm, Ta 17.2°C à 22h 40 ...bon pas de quoi fouetter une chatte.

si la valeur est validée alors ce sera un record sur une première quinzaine de juin, bon on a encore malheureusement la possibilité d'ici samedi de faire mieux pire 26.7°C à ton ancienne VP2 le 9.06.2014 27.4°C à la VP2 du Lugik parc le 14.06.22 Ici 29.5°C heureusement les nuits sont fraîches, ailleurs sur le 43 pour les + chaudes mais qui sont loin de leurs records 33.0°C à Fontannes 33.6°C à Tiranges 33.8°C à Lavoûte-Chilhac

Si l'on parle de lieux habités, j'ai beaucoup mieux 70.3°C d'amplitude à Mouthe ! -36.7°C le 13.01.1968 33.6°C le 02.07.1968

BILANS mai 2024 mai 2025 (par Energy_Charts) .. Je n'avais pas prévu de poster ces bilans qui sont désespérants quand on fait le cumul des énergies décarbonées perdues mais quelques remarques sont néanmoins intéressantes : - pour le "cas" espagnol en soulignant l'intérêt d'avoir de solides et nombreuses interconnexions avec des réseaux nationaux préalablement consolidés - pour une énième antienne sur le manque de stockages (qui permettraient d'effacer rapidement les productions fossiles) - pour évoquer les productions pilotables, dont il faudra évaluer sérieusement la part globale minimale nécessaire mais indispensable à la stabilité et à l'inertie des réseaux européens. Tension et fréquence deviennent relativement maîtrisés par toutes les productions mais quand il s'agit d'encaisser de fortes perturbations c'est un autre challenge qu'il faudra relever. La météo de mai 2025 modestement chaude et fortement ventée conjuguée à une baisse des productions hydrauliques n'auront pas empêché le délestage des intermittentes (surtout le solaire) mais malgré ça on relève une très nette progression de celles-ci, l'éolien ayant fait un retour remarqué en mai. Les bilans deviennent de moins en moins représentatifs des variations mensuelles/annuelles européennes car s'il nous manquait déjà le bilan du R.U voila que les bilans de l'Italie (depuis avril) et des Pays Bas (depuis mai) sont totalement erronés sur Energy-Charts Les variations des intermittentes en Europe (+9.5% éolien et +3.2% solaire) ou sur l' U.E (+9.3% éolien et -2.7% solaire) ne sont en effet plus du tout représentatives de la réalité car par rapport à mai 2024 mai 2025 affiche : Pays scandinaves + 50% sur éolien et - 2% sur solaire G.B (Electricitymaps) +40% sur éolien et +27% sur le solaire France +35.5% sur le solaire et +23% sur l'éolien Allemagne +26% sur éolien et +21% sur le solaire Un constat : les pays d'Europe de l'ouest ayant une très forte proportion d'intermittentes sous performent Danemark +3.6% sur éolien et -0.4% sur solaire +2.3% sur intermittentes Portugal -47% sur l'éolien et +30% sur solaire --> - 11% sur intermittentes Espagne -21.3% sur éolien et -7.5%!!! sur les productions solaires alors que les capacités ont évolué de +10% depuis mai 2024 On peut zoomer sur cette contre performance espagnole des intermittentes avec en parallèle l'augmentation de la part des productions pilotables (gaz et nuc.) après le 28 avril --> le solaire (zéro inertie mécanique) à lui seul pouvait représenter avant le black out plus de 80% ! de la consommation espagnole. Puissance pilotable (gaz + Nuc.) : 5.5GW le 28.04 pendant le maxi solaire mais depuis cette date elle est passée dans une fourchette de 8 à 10GW Sur les productions gaz on voit bien, malgré le changement d'échelle, les creux (correspondant aux heures en milieu de journée) bien plus hauts en puissance après le 28.04, on passe de 1500MW à 4000MW et + Sur les productions nucléaires c'est plus net (même échelle) Pas d'interprétation hâtive mais juste une interrogation légitime sur ce changement évident de gestion des # productions

24.2°C ici à la même heure (23.1°C de Tx hier) ...ça promet jusqu'à samedi Tn de 6.5°C ce matin pour une température intérieure de 19.8°C (sans courants d'air nocturnes) Passé à la cascade du Salin ce WE, le débit est encore conséquent Cascade, ferme insoumise ... et la Roche Pointue sous un ciel à la "Michel " ......