A.M.

Ca s'explique en grande partie par le déficit d'insolation. Les températures ressenties sont bien moins élevées si les rayons solaires ne caressent pas la peau, et ajouter à cela la luminosité moins vive en moyenne et vous obtenez un beau biais subjectif sur l'appréciation du temps.

Comment expliquer la dizaine de cycles de hausse et de baisse au cours de ces 800 000 dernières années ?

Bilan de cet épisode orageux : 18,9 mm. Pas mal, mais les gains seront vite effacés si d'autres tardent à se développer.

Même pas. Admire la belle cellule qui se crée 2 km derrière chez moi (rond rouge). Bilan = 0 mm. Désolé pour le HS.

😠

1 - Mésosphère 2 - Thalweg (je sais, j'ai pas le droit mais je suis incorrigible).

C'est bien ce que je pensais.

Euh, comment dire... Un mois de mai excessivement sec mais qui arrive à rendre la totalité de ses journées orageuses ? Cet exemple absurde me fait prendre conscience que cet indicateur ne vaut rien. D'ailleurs, quelle est la méthode de comptabilisation des orages ? Un seul impact, un seul coup de tonnerre entendu sous un cumulonimbus sans précipitation et la journée est considérée comme autant orageuse que si il y avait eu 10 000 impacts noyés dans des intensités diluviennes ?

15,2 mm pour mai, 85,7mm pour les 3 mois de printemps, soit 50% de déficit et seulement 13 jours de précipitations. C'est ridicule.

Il semblerait que les côtes de la manche soient le lieu privilégié en France. Si ça devait se reproduire, essaie de noter les données météo locales (vent, T°, pression...) et de capturer les cartes nationales d'observation pour identifier les configurations propices.

Il n'aime pas transpirer, et pour cela entre les tropiques est probablement le pire endroit sur Terre.

De savoir que tu ne pourras jamais échapper aux grandes journées ne t'aide pas à relativiser ? A faire un travail sur soi ? Essaie de trouver du positif dans tout. Par exemple les orages, tu les apprécies et tu ne peux les avoir qu'au printemps et en été... Oh wait... mauvais exemple. Oui, sécheresse et canicule risquent de devenir le lot de chaque été. Déménager près du littoral breton ou de la Manche pour avoir des étés plus tempérés me semble la meilleure option.

L'été est immuable et tu ne peux pas lutter contre. Tu es donc amener à subir cela le reste de ta vie. Est-ce dû à un traumatisme ? Ou ça s'est installé comme ça, sans crier gare ?

Comptes-tu réutiliser des mots de ces mots croisés là ? Parce que j'apprécierai énormément de connaître les réponses. Pour les mots planqués, peut-être ai-je mal lu les sens de lecture possibles. Ca peut être ça par exemple ?

Même quand _sb ne poste qu'un point, les gens l'acclament!

Oui, si on s'arrête au code couleur, on devine sans peine la signification des numéros. Mais comme dit, j'ai osé pousser la réflexion en lisant leur légende, et je me retrouve avec deux choses qui me semblent contradictoires, comme dans cet exemple :

Peut-être est-ce moi qui a un esprit "différent" de la moyenne, mais quand je lis "rang du cumul agrégé", le numéro 1 est censé être le plus grand nombre, donc le plus fort cumul. Le code couleur et la connaissance de la situation actuelle me font deviner que c'est l'inverse, mais franchement, pour un site tout public, ça risque d'en perdre certains. Dommage.

Bon ben voilà, la dernière averse est passée. 4 misérables mm pour l'ensemble de l'épisode, quand d'autres se gavent de cellules rouges vif. Et c'est reparti pour des semaines de sécheresse...

Hier, vers 23h, je regarde vers le sud-est et aperçois des flashs et même parfois des éclairs au sommet de nuages. Mon ciel était clair, avec les étoiles, et le rendu avec tous ces flash soutenus était saisissant. Je regarde par curiosité sur le radar où se trouve cet orage, et je suis alors estomaqué de voir qu'il est à 250 km de ma position (point rouge), vers Besançon. C'est une claque car j'ai l'impression qu'en journée, on ne les voit a priori jamais d'aussi loin!

C'est moi ou Metz et Nancy ont été royalement snobées par le gros des orages ?

A vue de nez, je dirais que ça passera pile au nord.

c'est marrant que tu parles de ça car ça m'évoquait plus une cage thoracique.

J'ai rarement vu un défilé de fronts orageux comme cela, où on devine même le prolongement des branches vers le sud, même si c'est discontinu.

Bon, ce dernier orage aura fourni un coup de tonnerre extrêmement sec comme j'en avais rarement entendu, mais niveau RR ça s'est totalement désagrégé, à 500m près. J'ai l'habitude.

Une première cellule orageuse est née dans l'Yonne et se renforce au fur et à mesure qu'elle progresse vers le NE. La foudre est principalement inter-nuageuse. 2 misérables millimètres mais j'ai espoir d'un peu plus avec une autre cellule, plus petite et active, dans l'ouest aubois. Je passe le relais à la Lorraine.