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Ciel d'encre

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Cumulus humilis

Cumulus humilis (7/24)

  1. Si tu es à Nantes, tu peux prendre le train jusqu'à Saint-Hilaire-de-Riez et on ferait le trajet en voiture ensemble. Proposition.
  2. Pour moi, ça pourrait être le week-end du 8 mai, ou celui de l'ascension ou de la Pentecôte. Par exemple !
  3. On fait grève pour une augmentation des températures et une élévation de l'altitude des nuages.
  4. Pourquoi pas la côte Vendéenne, du côté de La Faute par exemple ? Je pourrai éventuellement programmer une petite rencontre avec quelques sinistrés de Xynthia.
  5. Bonjour, Avec plaisir si je ne suis pas trop booké à ce moment-là, et si ce n'est pas trop loin.
  6. Je suis d'accord avec toi. Tant que cela n'impactera pas des besoins essentiels comme boire et se nourrir (à moindre coût), le déni l'emportera. Mais, à ce moment-là, il sera naturellement trop tard pour espérer changer la donne. Le déni l'emporte déjà d'autant plus aujourd'hui que la communication institutionnelle sur ces sujets est maladroite...et que, en provoquant la crainte sur des bases qui ne sont pas concrètes mais qui s'appuient sur un registre apocalyptique quasi mythologique (façon "les dix plaies de l'Egypte"), elle favorise le déni en cultivant un sentiment d'irrationnalité. Notre attachement à notre mode de vie provoque une résistance naturelle au changement, jusque dans notre façon d'imaginer l'avenir. Toute communication pouvant être interprétée comme apocalyptique entretient cette résistance. J'en mesure tous les jours la portée sur un autre sujet : le risque de submersion marine. C'est une logique du même ordre.
  7. Le pauvre, il est déboussolé. Il a perdu le sud. Il est en Normanguedoc.
  8. C'est normal, Dionysos c'est juste Denis qui a trop picolé !
  9. Les hauts des rochers à Plougrescant portent encore des traces de l'Amoco. Car c'est arrivé en très grande marée et certaines giclées sont encore visibles. Elles n'ont pas encore été rincées par les vagues de toutes les grandes marées depuis 47 ans. Je n'ai pas connu cette marée noire. Mais j'ai souvenir de celle du Tanio. J'étais pourtant tout petit, mais j'ai encore devant les yeux cette image de l'eau brune et des galets noircis.
  10. Quand on parle de "pluie en trop". Il me semble que le climat méditerranéen se caractérise moins par son cumul annuel (assez élevé globalement, jusqu'à 600-800 mm) que par son régime (force et irrégularités des pluies de printemps et d'automne) ? Pour en revenir au sujet, sur l'île d'Yeu, le cumul annuel est de 770 mm. Noirmoutier, 704 mm.
  11. Le courant sur toute la chaussée entre Le Conquet et Ouessant est le plus dangereux car, au-delà des pointes rocheuses (quand on connait la hauteur d'eau et la localisation des têtes de roche on les évite facilement), il est exposé à grosse houle du large, le plus souvent venue du Golfe de Gascogne. La houle océanique qui arrive contraire au courant (deux fois par jour) produit des vagues très creuses. Et comme le plancher est peu profond, ces creux déferlent. C'est ce qui rend la navigation très périlleuse. Le raz Blanchard est très dangereux également. Le puissant courant sur les fonds rocheux très rugueux, souvent associé à de la houle (certes moins forte qu'en Iroise) provoquent des remous qui s'apparentent à un véritable bouillon. Ci-dessous, le raz Blanchard (vue partielle trouvée sur le net) : Le courant de la Jument, bien que très fort, est plus lisse. Il est abrité de toute houle.
  12. Il y a aussi le courant de la jument dans le Golfe du Morbihan qui est très puissant (et très impressionnant à voir). Un vrai fleuve en furie par forte marée. Il serait le 2ème plus fort courant d'Europe. Il est cependant beaucoup moins large que le raz Blanchard. Il s'agit de courants produits par la propagation de l'onde de marée, et le fort différentiel de niveau d'eau en des points relativement proches : le raz Blanchard est généré par le différentiel des niveaux d'eau entre la Manche occidentale et orientale (accentué par la pointe du Cotentin). Pour la Jument, c'est celui entre l'entrée et le fond du Golfe du Morbihan : le marnage est nettement plus faible qu'en Manche, mais il y a un retard de marée de près de 2h30 entre l'entrée et le fond du golfe du fait de l'important découpage de la côte et des nombreuses îles. En mer Egée, c'est n'est plus la marée mais lié à des facteurs de différentiels de pression / vent entre les îles, avec des effets de détroit. La force des courants est moins régulière. Exemple : le raz Blanchard hier à marée descendante. (coefficient 90) Et à marée montante Le Fromveur à marée montante hier. Et la Jument. On n'est pas sur la même échelle. C'est donc moins impressionnant sur la carte, le courant de la Jument étant beaucoup plus étroit.
  13. Attention, c'est un cumul équivalent des précipitations. Ce n'est pas une prévision de l'épaisseur de la couche. La couche prévue est celle-ci (ICON). Sur les hauteurs du Poitou, c'est à peine un saupoudrage. Et sur UKMO on ne voit presque rien.
  14. Je confirme, ça n'en fait pas un climat méditerranéen. Il n'y a que les mimosas qui arrivent à se développer et pousser spontanément (trop, car ils prolifèrent). Le figuier de barbarie se porte très bien. Il donne régulièrement de nouvelles raquettes, de jolis fleurs et fruits (il est très âgé, je ne sais combien de temps un plan peut vivre). Par contre, l'olivier, le palmier et le pied de vigne se maintiennent sans s'épanouir (on voit que les conditions locales sont à la limite du supportable).
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