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lds

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  1. Quelques commentaires sur les jugements peremptoires de Florent : "Merci pour ces renseignements précis... il n'empêche que ça ne marche pas... Des modèles purement probabilistes et statististiques pour prévoir les tendances saisonnières, je n'y crois pas..." Il faudrait d'abord savoir de quoi on parle : la prévision probabiliste ou encore appelée prévision d'ensemble n'a AUCUN rapport avec une modélisation "purement probabiliste". Il s'agit, pour ce qui est de la prévision probabiliste faite au NCEP et au CEP d'un certains nombres de run différants de par leur condition initiale. Le but de la prévision ensembliste (ou probabiliste) est d'echantilloner la fonction de densité de probabilité des états de l'atmosphère. C'est en cela que la notion de probabilité intervient et en rien d'autres. Les modèles utilisés sont globalement les mêmes que ceux utilisés pour la prévision deterministe et n'ont donc rien de "purement probabiliste". Si cette prévision probabiliste est surtout utilisée à l'echelle synoptique, des démarches ont eupour but de faire de l'utiliser également pour la prévision saisonnière (avec bien sur un modèle de prévi saisonnière qui est différent de ceux utilisé pour la prévi à courte ou moyenne échèance) dans la plupart des grands centres météorologique. Penser que la prévision probabiliste relève du "hasard" relève d'une méconnaissance totale du sujet qui, si elle est tout à fait compréhensible, devrait au moins éviter de porter des jugements "définitifs" du genre de ceux que j'ai lu. En ce qui concerne ton jugement sur l'utilisation de staistiques dans la prévision saisonnière, il est assez drole quand on sait que l'étude des cycles que tu tentes de mettre à jour se base sur une étude purement statistique d'une série de température Enfin affirmer que les interactions océan-atmosphère tel el nino sont , je cite "secondaire" en terme d'impact sur le climat par rapport à l'activité solaire c'est également me semble t-il plus que gonflé. As tu au moins des références pour affirmer cela, sur quelles études te bases tu sinon sur ton seul "sentiment"? Avant d'être aussi affirmatif sur un tel sujet au moins faut il etayer ses affirmations. De nombreuses études ont été menées sur les "teleconnections" océan-atmosphère (Certaines ont par exemple montrées l'influence d'el nino sur le climat nord américain) et leur importance sur le climat. Les références sont légions sur les sites de l'AMS de la RMS de la JMS ou de l'EGU. Peut être les modélisateurs américains ou européens qui ont travaillé sur les modèles climatiques du NCEP ou du CEP ont-ils tort en prenant en compte la première importance de ces intéractions, du moins ont ils, à mon avis, étudié sérieusement la question avant...
  2. En effet, une dépression explosive est une dépression qui se creuse très rapidement et sur une période très courte et qui n'est pas vue par les modéles. Il n'y a aucune raisons pour que les modèles ne voient pas un creusement rapide de type "explosif" même si cela se révèle souvent délicat compte tenu de la période trés courte du développement. Pour ce qui concerne la dépression qui circulera ce jour, ecmwf l'avait vue depuis plusieurs jours (voir le champ de vent à 850 hPa)
  3. En moyenne pour une depression et une perturbation entre 1 et 10 jours. Il y a cependant parfois de fortes variabilités.
  4. lds

    C'est quoi un AMP ?

    l'eau initialement au dessus de l'eau Il faut bien sur lire :"l'eau au dessus de l'huile"
  5. lds

    C'est quoi un AMP ?

    Je reviens sur le "sa densité devrais le freiner". Mets deux fluides de densité différente cote-à-cote, par exemple, sur un fond plat d'une casserole, 2 cm d'eau juxtaposés à 2 cm d'huile. Que se passe-t-il ? L'eau, fluide plus dense que l'huile, va se glisser très vite sous l'huile ! Puis l'équilibre sera atteint, l'eau et l'huile se superposant. Si l'on prend ton exemple anecdote on s'apercoit que ce que tu décris est un mouvement uniquement vertical. En effet, l'eau initialement au dessus de l'eau va se retrouver en dessous, mais il n'y a la que des mouvements VERTICAUX (ajustement du gradient de pression vertical) aucun mouvement HORIZONTALE. Le poids (force dirigée vers le centre de la terre) de l'eau est plus grand du fait de sa densité supèrieure à celle de l'huile, il va donc y avoir dans la casserole un équilibrage des forces VERTICALES du gradient de pression. Ces mouvements VERTICAUX n'expliquent en rien le soi disant déplacement horizontale des AMP. Par contre c'est un assez bon exemple simple du phénomène de convection en été. En effet, l'été, l'air surchauffé prés du sol devient moins dense que l'air qui le surplombe, il y a alors un réequilibrage des forces verticales, l'air "chaud" monte , c'est la convection (bien sur dans la réalité beaucoup de paramètres entre en ligne de compte et c'est plus compliqué).
  6. lds

    C'est quoi un AMP ?

    Je ne doute pas que beaucoup de site dont le thème est l'opposition à la théorie du réchauffement, n'utilisent les AMP. En ce qui concerne les journaux de recherches sur la météo, nada, rien. Alors, tu vas me dire, anecdote, que ces journaux sont pro-réchauffement ou instrumentalisés ou je ne sais quoi (le fameux complot). Le problème ne serait il pas plutot qu'avant qu'il soit publié dans ces revues, un article est relu, vérifié et critiqué...
  7. lds

    C'est quoi un AMP ?

    Pour 41350 Rien non plus avec polar mobil highs
  8. Sans entrer dans une nouvelle polémique, tu reproches à MF de ne pas être impartiale dans ses études mais tes commentaires sont-ils impartiaux??? Ne le prend pas mal Florent, je comprends bien que tu doutes du réchauffement de la planète (c'est ton droit) et franchement je préfères ton second post avec des liens trés interessants plutot que la critique stérile d'une étude dont tu ne sais pas vraiment comment elle a été faite.
  9. lds

    C'est quoi un AMP ?

    François, tu peux essayer mobile polar anticyclone ou polar mobile anticyclone ou, plus correct, moving polar anticyclone cela ne change rien
  10. Ceux qui consulte TWO depuis quelques mois peuvent tempérer un peu les éloges. Franchement en novembre-décembre et même janvier c'était vraiment pas terrible. Je n'ai pas compté le nombre de périodes froides prévues en novembre ou décembre qui ne sont jamais arrivées. Je ne suis pas sur que des stats sur leur prévi au long de l'hiver soient bien flatteuses pour eux. "En tout état de cause, je ne pense pas qu'il faille encore tirer un trait sur l'hiver jusqu'à la mi avril : de bonnes gelée et des maxis proche des 5° sur le nord de la France sont encore très possibles" Ben oui Florent, un peu comme la plupart des années sur la moitié nord quoi même si il devient très probable que nous connaitrons en revanche un épisode où nous approcheront les 20° d'ici là. A la vue des modèles de ce matin c'est effectivement plus que probable la semaine prochaine sur le sud-ouest au moins
  11. lds

    C'est quoi un AMP ?

    En ce qui concerne les publications dans les revues scientifiques météorologique, aucune des revues de l'AMS (american meteorological society, c'est la référence en matière de publication météo il y a plusieurs revues) ne contient un article sur les AMP, de Mr leroux ou qui que ce soit d'autre. Il faut dire que les articles doivent d'abord être soumis avant d'être publiés. Même chose chez les anglais de la Royal meteorological Society. ( Pour vérifier mes dire, aller sur le site de l'AMS ou celui de la RMS et taper dans le moteur de recherche AMP ou Leroux.) Bref les publications AMPistes tu les retrouvent, par pur hasard, dans les revues plus ou moins liées à la fac de Lyon ou Mr leroux enseigne. En ce qui concerne les bouquins publiés sur la théorie des AMP, la liste des livres traitants de choses plus ou moins farfelues et disponibles dans toute bonne librairie est trés longue...
  12. C'est beau l'imagination... En gros tous ce que le commun des mortels peut voir c'est une toute petite inversion avec une T stable sur la vertical au niveau de la couche limite (vers 1200m). Voila c'est tout.. Alors avec beaucoup beaucoup d'imagination on peut voir le plafond d'un AMP, ou de ce que l'on veut...
  13. Je pense que l'on nomme pluies convectives celles issues de nuages de type convectif, à savoir cumulus congestus, cumulonimbus. Elles sont plus généralement caractérisées par leur intensitée et je me demande même si elles ne prennent pas ce nom de "convectives" au dela d'un certain seuil d'intensité.
  14. Anecdote non ça repose sur des images satellites, des radiosondages, des mesures de température, d'humidité, de pression, de précipitation etc. Bien sur...les images sats ou l'on voit les amp. Super fort, sur une image sat visible on ne voit que des zones avec des nuages et d'autres sans nuages, le reste c'est de l'INTERPRETATION imaginaire. Aucune preuve, rien, juste des ON VOIT BIEN..il faut avoir le 6ème sens AMP pour pouvoir les imaginer. AUCUNE preuve scientifique de leur existence n'existe. Un R.S d'AMP c'est quoi? UN R.S avec une couche d'air froid en basse couche c'est ça? Ben oui bien sur, de l'air froid en basse couche donc un AMP, brillante démonstration du royaume des mots. non on est dans le réel ! En admettant le modèle AMP, tu expliques beaucoup de phénomènes En admettant, ben oui c'est ça fautes de preuves scientifiques il faut admettre les "évidences" AMP sans aucune démonstration de leur existence bonjour le propos vague ! pour lever tes craintes, il faut comprendre le fonctionnement du climat ! Le climat des mots, celui qui ne s'explique qu'avec de belles phrases et surtout pas avec d'horribles équations. Le climat virtuel. tu vas me faire pleurer... cette tentative de culpabilisation larmoyante est classique, mais je n'y céderai pas. Le principe de précaution appliqué par la réduction des gaz à effet de serre coute extremement cher et on pourrait depenser cet argent à des fins plus utiles comme l'assainissement des eaux en Afrique, mais ça tu t'en fous, de toutes façons ce n'est pas toi qui paye. Cette phrase est vraiment ecoeurante, comment oses tu dire que je me fous du pb de l'eau en Afrique! C'est vraiment le degré zéro de l'argumentation et de la réflexion. C'est drole mais cette hargne me rappelle un peu celle de certains articles des tenants des AMP, lamentable...
  15. Anecdote, Il y a un point sur lequel nous sommes d'accord, oui les conséquences du réchauffement climatique (sur lequel peu de gens ont encore des doutes) sont mal connues et sont encore aujourd'hui le sujet de nombreuses contreverses. Pour reprendre ton exemple des tempêtes, un réchauffement implique t-il plus de tempête? Tout le monde n'est pas d'accord sur le sujet oui c'est vrai. Mais le on nous ne sommes plus d'accord c'est quand tu en déduis allégrement que cela montre que les théories expliquant la formation des tempêtes sont nulles puisque tout le monde n'est pas d'accord. Connais tu beaucoup de domaines de la physique ou des questions ne se posent plus? Il y a des théories qui expliquent la formation des tempêtes, l'instabilité barocline par exemple, et bien sur ces théories soulèvent des questions et évoluent. Elles sont critiquées, ont les améliorent, on tente de mieux comprendre certains phénomènes et donc de mieux les modéliser ( L'instabilité barocline est une théorie qui date de 1947 et qui a beaucoup évoluée depuis). Pour un système aussi énorme et complexe que l'atmosphère les réponses ne sont pas forcément simples et évidentes. Ce que tu prends pour LA réponse (les AMP) ne repose que sur des mots et des images auxquelles ont faire dire ce que l'on a envie. Aucune preuve n'a jamais été amenée de sa véracité (alors qu'une simulation numérique peut se faire sur un pc ou qu'un essai de prévi serait bienvenu) mais elle séduit parcequ'elle apporte des solutions magiques ( avec des mots c'est si simple) à toutes tes questions. Oui je reconnais, les théories classiques sont souvent frustrantes car elles soulèvent parfois autant de questions qu'elles en résolvent. Oui elles sont souvent rudes et barbantes car basées sur les maths et la physique. La météo est une science jeune (à peine plus d'un siècle), comme toute les sciences elle évolue et progresse. Non les théories classiques ne possèdent pas toutes les réponses mais leurs bases sont scientifiques et sérieuses et elles progressent. Penser que l'on doit tout savoir, tout comprendre d'un système complexe que l'on étudie vraiment depuis un gros siècle est un peu illusoire et conduit parfois vers des chimères autrement appelées AMP. Pour finir et revenir sur les conséquences du réchauffement je suis d'accord pour dire qu'un surplus de catastrophisme existe dans les médias. Mais on ne peut exclure que le réchauffement puisse avoir de facheuses conséquences sur notre climat même si elles sont mal connues. Doit on attendre qu'elles arrivent vraiment (peut être) pour prendre des mesures, pas si terribles, pour les prévenir. Est ce que réduire la pollution mondiale est une chose si mauvaise qu'il faut attendre, pour la mettre en oeuvre, d'être certain de sa nécessité absolue pour sauver le climat. Que diras tu aux éventuelles victimes de déreglements climatiques dans 20 ou 40 ans, ...on était pas certain?
  16. lds

    cylces solaires

    L'hiver 56 n'a jamais était un hiver froid car le froid n'a duré qu'un seul mois ! Tu en connais beaucoup des périodes de grand froid de plus d'un mois au 20 ème siècle? Janvier 85 fut trés froid, mais décembre 84 et février 85?
  17. lds

    Le gulf stream

    Un mot pour 41350. Si tu as conservé ton étude, je serais trés interessé de la consulter. Peux tu la remettre en post? La façon dont tu as procédé m'interesse surtout (j'avoue ne pas avoir bien compris ton post). Tu as pris en compte uniquement les mois de janvier? (tu parles à un moment de février 1987) Tu dis que tu as calculé la T moyenne pour, par exemple le mois de janvier tous les 23 ans. Est ce que par exemple cela signifie que tu as calculé T moy en janvier en 1757 puis 1780, 1803,....? Puisque tu ne prends en compte que le mois de janvier, février 1956 passe t-il à la trappe? Bref le plus simple serait de pouvoir retrouver ton étude...merci d'avance Un mot pour Torrent tu dis :" Si la réponse etait aussi evidente et mécanique cela se saurait et on ne discuterait pas quelle est la part de l'activité solaire, de l'effet de serre, du volcanisme et des courants marins." je suis tout à fait d'accord et c'est bien ce que je voulais dire, il n'y a rien d'évident, c'est pourtant toi qui me disait quelques posts plus hauts..."LDS Il ne sert à rien de nier les évidences," à propos des cycles climatiques. William merci pour le lien que je vais consulter...
  18. lds

    Le gulf stream

    Une remarque pour dire que la tropopause au pole est moins froide car plus basse qu'à l'equateur. Si on admet qu'en effet le rayonnement solaire qui arrive dans l'atmosphère est moindre, dans quel proportion cela se fait il? Il ne faut pas oublier non plus qu'il y a aussi le rayonnement terrestre et atmosphèrique. La réponse de l'atmosphère à cette "anomalie" est-elle immédiate? Et encore une fois, même si effectivement la T moyenne terrestre diminue, est ce partout la même chose, existe il alors des cycles climatiques partout dans le monde? Enquoi une baisse de la T moyenne engendre plus de vagues de froid (voir mes posts précédents). Je ne nie pas l'influence de l'activité solaire mais pense qu'en l'abscence de réponses aux diverses questions (et à d'autres) posées ici ou dans les autres posts, conclure que les cycles climatiques en europe sont une évidence me parait un peu spéculatif.
  19. lds

    Le gulf stream

    "Ceci dit ces rayonnements durs entrent en contact avec la magnetopshère et la ionosphère et y induisent des echauffements importants, donc la temperature de la stratosphère decroit plus que celle de la troposphère dans les phases basses du cycle. Il ne faut pas oublier que la temperature de la stratosphère augmente avec l'altitude au dessus de 30 000 m, la zone la plus chaude se situant vers 80 km d'altitude et s'appelant la thermosphère, la pression y est alors trés faible mais les molecules d'air se trouvent portées à des centaines de degrés" Attention, l'ionosphère commence en gros vers 70-80 km d'altitude alors que la statosphère s'étend, en gros de 12 à 50 km d'altitude. L'ionosphère s'étage sur la mésosphère (en partie) la thermosphère et l'exosphère. La tempé augmente tout au long de la stratosphère (entre 12 et 50 km) pour atteindre en gros 0°C vers 50 km. La tempé rebaisse dans la mésosphère (50-85 km) jusque vers -80°C puis remonte fortement dans la thermosphère (au dela de 85 km jusque vers 500 km) jusque vers 500°C voir plus. En supposant, par exemple que la baisse du rayonnement solaire affecte principalement l'ionosphère comment cela se répercute sur la stratosphère. Ensuite, sachant que l'air stratosphèrique juste au dessus de la tropopause est plus chaud que l'air troposphérique, comment un éventuel apport d'air troposphérique (qui se ferait comment et en quel quantité) peut-il "refroidir" la troposphère?? Je ne vois décidemment rien qui implique un refroidissement évident de la troposphère Si williams ou qui que se soit à des précisions merci d'avance
  20. lds

    Le gulf stream

    Encore une fois Torrent, je ne nie pas l'existence de cycles dans l'activité solaire mais je doute que l'implication de ces minimas soient aussi simples que : baisse d'activité solaire = hiver froids en europe. Dans un des posts précédents je pose quelques questions à Williams, peut être pourras tu y répondre. Si une baisse d'activité solaire implique un rayonnement moindre qui parvient jusqu'à la terre, cette perte d'énergie a t-elle été chiffrée et est elle significative? (de combien de % en moins par rapport à la moyenne). Si cela implique une baisse de la T moyenne terrestre, le phénomène ne serait il pas global? Il n'y a aucune raisons à prioris pour que la T baisse en europe et pas en Asie ou en Afrique, non? Dans ce cas a t-on constaté une baisse de la T dans le reste du globe, par exemple des étés moins chauds en australie au niveau des cycles ou des hivers plus rigoureux aux usa, en russie, etc... Encore une fois si l'energie recue, par exemple sur l'hemisphère nord, est plus faible, peut on chiffrer l'impact sur la T moyenne, est ce significatif? Les "vagues" de froid ou de douceur sont à prioris des réponses de l'atmosphère au différentiel pole-équateur, si la T baisse partout sur le globe ce différentiel ne change pas et il n'y a alors aucune raison pour que les vagues de froids se multiplient... Bref je ne suis pas bien sur que l'on connaisse beaucoup de choses sur les liens: variation de l'énergie envoyé par le soleil, implications sur le climat à l'echelle de l'europe (ou des usa etc...) . Alors conclure, à l'évidence de cycles du climat en europe...
  21. lds

    Le gulf stream

    pourtant il est bien logique que cela a des effets comme la radiation solaire et la variation de la nébulosite terrestre dû au rayon cosmique varie tout les 2 au meme momment. L'effet des rayons cosmiques sur la nébulosité terrestre a t-elle été prouvée, si oui en quelles proportions? Y a t il des articles traitant du sujet? Lors du minimum de l'activitee solaire : - on recoit moins d'energie Cela parait logique mais a t-on quantifié cette différence, que représente t-elle à l'echelle de la terre, connait t-on l'impact que cela a sur la température moyenne à l'echelle du globe? Si la T moyenne terrestre baisse à cause de cela, n'y a t-il pas forcément un temps de réponse de l'atmosphère à ce forcage? Toujours dans l'hypothèse d'un impact sur une T moyenne plus faible, quels seraient les conséquences à une échelle plus restreinte (l'europe ou les usa), les conséquences seraient elles les mêmes partout à savoir refroidissement (dans ce cas a t-on constaté des cycles "froids" en afrique, en asie, aux usa?) . Peut on chiffrer la baisse moyenne de la T que l'on aurait par exemple en europe, serait ce significatif? Si la T moyenne au cours de la période est plus basse et que cela est significatif, en quoi, si le phénomène est globale, cela impliquerait plus de vagues de froid en europe. A prioris les périodes froides ou douces que nous connaissons ne sont qu'une réponse de l'atmosphère au différentiel pole-équateur pour "réequilibrer" la situation. Si la T moyenne baisse partout de la même facon alors ce différentiel ne varie pas et il n'y a aucune raison pour que les "redistributions" soient plus fortes ou plus nombreuses. etc.. - plus d'energie solaire est renvoye vers l'espace par les nuages plus nombreux Oui si effectivement la nébulosité est plus abondante (est-ce prouvé) - la stratosphere ce refroidie ce qui nous fait parvenir le froid par le vortex polaire l'hiver Alors la peux tu éclairer ma lanterne s'il te plait? Tu sembles parler d'un transfert thermique entre stratosphère et troposphère. Si je ne nie pas qu'il y a bien intrusion de particules stratosphèriques dans la troposphère cela se fait il en des termes si important pour qu'un transfert thermique significatif existe? Qu'est ce que ce vortex polaire qui semble t il permet de nous transmettre la froid?
  22. lds

    Le gulf stream

    "LDS Il ne sert à rien de nier les évidences" Ben voyons, une évidence.... "1956 - 1963 - 1974 - 1985 - 1997 à des degrés divers ont éte les hivers les plus rigoureux de leur decennie, même si 1974 et 1995 ne sont pas tres marquants car situés dans une période plus chaude." Donc quand un hiver soit disant rigoureux ne l'est pas c'est pas parceque le fameux cycle ne marche pas mais c'est parcequ'on est dans une période chaude. C'est trés pratique mais encore faudrait il le prouver... "Quant à l'ecart il est habituellement de 11 ans mais parfois les cycles peuvent être plus courts ou plus longs, celui entre les hivers 1956 et 1963 a ete particulierement court son etiage se situant en 1965." Une des facultés les plus formidables des cycles climatiques, ils s'allongent ou se racourcissent au besoin. C'est formidable, cela permet de les traficoter, de les adapter à la réalité. je remarque d'ailleurs que pour florent la durée du cycle évoquée était plutot de 23 ans , non? Mais je ne doute pas que tu trouves des sous cycles et des sous sous cycles pour reussir à coller aux données. Bref, que des cycles dans l'activité solaire existent, d'accord mais, apparemment, ils sont "nombreux" et les a t on tous identifiés? Quand aux répercussions sur le climat et par contrecoup aux fameux cycles des hivers froids ou des étés chauds, l'EVIDENCE n'a jamais été prouvée. Beaucoup de traficotages en tous genre mais pas de preuves sérieuses ou alors je demande à voir. Je comprends qu'il soit tentant de faire une liaison : cycles solaire-régime atmosphèrique mais la réalité de ce dernier n'est sans doute pas aussi simple qu'on veut le faire croire..
  23. lds

    Le gulf stream

    "L'effet de l'activité solaire sur le climat est lui seul indiscutable à ce jour, seul le mode d'action est mal cerné." ...mal cerné est un euphémisme s'il s'agit des fameux cycles "climatiques" de 11 ou 22 ou autres dont aucune preuve sérieuse n'a été donnée mais que beaucoup considère ici comme un fait acquis voir même indiscutable. Ce qui n'empêche pas de lire parfois de beaux jugements péremptoires sur certaines études... aucune explication d'ensemble, que des hypothèses et des spéculations : si ce sont des chercheurs, qu'ils poursuivent leurs recherches au lieu de passer plus de temps avec les journalistes que devant leurs équations. Une recherche est toujours perfectible et il me semble qu'en la matière il reste beaucoup à faire On peut bien sur donner son avis, être critique, c'est même nécessaire, mais alors ne pas oublier d'appliquer ces mêmes critiques à nos propres études...
  24. Un ciel de traine peu ou pas actif , l'hiver constitue une des meilleurs conditions pour une bonne visi.
  25. lds

    Réchauffement des hivers...

    "Je ne suis pas d'accord. La circulation est d'autant plus rapide que le gradient thermique est fort entre pole et equateur. Un fort gradient thermique nécessite des vents + forts (rééquilibrage classique de la nature). On le voit à l'échelle saisonnière : en été, les anticyclones et dépressions sont peu marqués, la circulation est lente, du fait d'un relativement faible gradient thermique entre pole et équateur. En hiver, c'est le contraire, d'ailleurs c'est la saison des tempetes." entièrement d'accord avec toi Eh bien parce que l'air froid qui glisse sur l'ouest de l'Atlantique se réchauffe au-dessus des eaux en meme temps qu'il refroidit lesdites eaux (lesquelles vont propager ce refroidissement via les courants marins). Du coup, comme par exemple fin 1999, la douceur est présente en surface meme derrière les fronts froids (mais en altitude dans l'air libre, l'iso 0° est en fait assez bas). L'échange air-eau est ici capital. Pas du tout d'accord avec toi. L'échange air-eau est loin d'être trés important. Il existe bien sur, mais l'air est un assez mauvais conducteur thermique alors que l'océan, qui est en hiver plutot froid (moins de 12°C je pense), parvienne à réchauffer sur une couche assez importante de l'air qui viendrait du pole (et donc trés froid) jusqu'entre 5 et 10 degrés (tempé que l'on peut avoir en flux d'ouest) me parait plus qu'improbable. Tu surestime l'échange thermique air-océan qui est à prioris plus important, plus rapide, dans le sens air-océan que océan-air. Cette douceur en flux d'ouest vient simplement de ce que l'air qui nous arrive, à l'avant des Depressions, est de l'air "chaud" que la depression "remonte" vers le pole, l'air plus froid en traine traduit l'inverse, la "descente" d'air polaire vers les latitudes basses. La douceur, derrière un front froid est souvent lié au fait qu'en flux d'ouest les ondes chaudes se succédent à un rythme élevé et que l'air froid n'a pas vraiment le temps de s'engouffrer. "ta machine elle a besoin d'un fort gradient thermique justement... " Tout a fait d'accord "les modèles climatiques actuels prévoient un réchauffement plus fort au voisinage des poles qu'au niveau des tropiques, ce qui donc entrainerait un gradient thermique nord-sud plus faible, donc moins d'énergie potentielle pour les dépressions..." En ce qui concerne les dépressions de l'atlantique nord c'est le gradient "locale" c'est à dire vers 40-50° de latitude qui importe. Un fort gradient à ce niveau n'est pas incompatible avec un rechauffement globale. Les disparites et les desequilibres "locaux" pourraient être plus marqués. Ta remarque souligne le fait que les impacts locaux d'un réchauffement sont encore trés discutés. Je serais trés interéssé par des stats sur le nombres de tempêtes depuis 1995 (date à laquelle s'arrête ton graph). A titre personnel, je ne suis pas aussi convaincu qu'un réchauffement impliquerait une hausse du nombre de tempêtes ou de leur violence car si "le carburant" disponible devenait plus important cela n'implique pas que "le rendement" de la machine thermique dépression augmenterait lui aussi.
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