Aller au contenu

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

Christophe30

Membres
  • Compteur de contenus

    15767
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Christophe30

  1. NOUVEAU RECORD ABSOLU : avec +43.4°C, la commune de Argeliers dans l'Aude bat son record absolu de chaleur ANNUEL qui datait du 23 août 2023 avec +43.1°C. Les relevés ont débuté en mai 1946 sur cette station. NOUVEAU RECORD ABSOLU : avec +42.2°C, la commune de Prades-le-Lez dans l'Hérault bat son record absolu de chaleur MENSUEL (pour un mois d'août). Il détrône les +42°C du 14 août 2003. Début des mesures : 1980. NOUVEAU RECORD ABSOLU : avec +41.4°C, la station de Pezenas-Tourbes dans l'Hérault bat son record absolu de chaleur MENSUEL (pour un mois d'août). Il détrône les +40.4°C du 23 août 2023. Début des mesures : 1993. NOUVEAU RECORD ABSOLU : avec +40.9°C, la station de Nîmes-Garons dans le Gard bat son record absolu de chaleur MENSUEL (pour un mois d'août). Il détrône les +40.4°C du 20 août 2023. Début des mesures : 1964.
  2. A la volée, vite fait, et juste >/= 40.0°C : Durban-Corbières (11) : 41.6°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 40.9°C du 16/07/2022 Cadenet (84) : 41.4°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 39.9°C du 20/07/2024 Nîmes-Courbessac (30) : 41.3°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 40.3°C du 15/07/2022 Villevieille (30) : 41.1°C Montolieu (11) : 41°C Moulès-et-Baucels (34) : 41°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 40.8°C du 15/07/2022 Siran (34) : 40.8°C Lézignan-Corbières (11) : 40.6°C Argeliers (11) : 40.5°C Saint-André-de-Sangonis (34) 40.5°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 39.9°C du 15/07/2022 Lagrasse (11) : 40.5°C Prades-le-Lez (34) : 40.5°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 39.5°C du 07/07/1982 Saint-Jean-de-Minervois (34) : 40.3°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 39.3°C du 16/07/2022 Saint-Christol-lès-Alès (30) : 40.3°C Nîmes - Garons (30) : 40.3°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 40.1°C du 15/07/2022 Arquettes-en-Val (11) : 40.2°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 39°C du 30/07/2024 La Rouvière (30) : 40.2°C Avignon (84) : 40.2°C NOUVEAU RECORD ABSOLU EN JUILLET qui met fin aux 39.6°C du 31/07/2017 Soumont (34) : 40°C
  3. Nîmes-Courbessac, +41.3°C en Txx. Il n'est pas impossible que cela soit un peu amélioré dans la prochaine demi-heure. Nombreux records mensuels sur Vaucluse, BDR, Gard, Hérault & Aude.
  4. Oui, 40.6°C à Nîmes ça parle. Vieille station du réseau principal. Vent de terre, ciel bleu, et forte subsidence. Peu de doute : on se dirige vers 41 ou plus. Il faut se rendre à l'évidence. Ce qui était exceptionnel il y a 10 ans ne l'est plus du tout. 40 à Nîmes, c'est un seuil facile à atteindre désormais malheureusement.
  5. Soulignons également le 26°C de Nîmes-Courbessac (intérieur des terres) qui compte aussi parmi les Tn les + élevées pour un mois de juin depuis 100 ans. Cela fait une bonne semaine qu'on le sait, mais c'est désormais acté : juin 2025 explose 2022 et 2003 sur toute la région. Les prochaines 48h glissantes vont enfoncer le clou. L'exception devient la norme, tout simplement.
  6. La station météorologique de Serralongue, située à 700 m d'altitude dans les Pyrénées-Orientales, vient d'enregistrer une température de +38.7°C. Cette valeur ÉCRASE l'ancien record de 36.9°C du 28 juin 2019. Début des relevés : août 1985 ! Cette valeur qui est potentiellement temporaire constitue une anomalie de +15.3°C au-dessus des moyennes saisonnières. Juin 2025 est sur cette station le + chaud depuis le début de ses relevés (40 ans).
  7. En même temps : prévoir un été chaud est quand même une option plausible. De la même façon qu'annoncer un hiver doux est une quasi certitude d'avoir raison. ...
  8. La base c'est = hiver doux. Tu veux réussir une prévision saisonnières à l'avance, t'es quasi certain d'y parvenir. Au milieu, on peut avoir "un accident" et généralement cet accident n'est pas détecté par la prévi saisonnière (CF 2012, mais ce n'est pas exhaustif). Nous sommes (ici en Europe) les grands perdants de 'l'évolution du climat' puisque les réanalyses montrent parfaitement que la dorsale anticyclonique autrefois récurrente près des Açores remonte de plus en plus facilement vers l'Europe de l'Ouest, cela en toutes saisons. Est-ce que la empêchera à l'avenir qu'une véritable vague de froid se produise ? Non. Cela dit, elles sont de moins en moins fréquentes et de moins en moins fortes de notre côté de l'hémisphère.
  9. C'est chaque année la même histoire : un hiver + doux, bien + doux que la normale avec quelques incursions froides temporaires qui n'ont pas le potentiel de renverser la tendance de fond. C'est dur à accepter... mais on en est là 😴
  10. Bonjour à tous, Juste pour vous informer que l'on souhaite recruter un "profil météo" au plus tard printemps 2025 pour renforcer les équipes ARHYA. J'adresse ci-dessous l'offre générale : " ℹ️ A PARTAGER SVP – NOUVELLE OFFRE D'EMPLOI - MÉTÉO LANGUEDOC RECRUTE UN PRÉVISIONNISTE MÉTÉO ⬇️ 📶 La structure ARHYA/Météo-Languedoc est un bureau d’études et d’expertises météorologiques à destination des professionnels météo-sensibles. Basée à Alès dans le Gard, notre société propose à ses clients des services météorologiques uniques, dans plusieurs pays de l'Europe et de l'Afrique. Afin de répondre à un développement toujours grandissant, nous sommes à la recherche d’un prévisionniste qui aura pour missions : ⚡️ Suivi en temps-réel lors d’épisodes météorologiques particuliers (orages, épisodes pluvieux, chutes de neige, gel, tempêtes…) ☀️ Réaliser les prévisions météo sur nos différents supports (site internet, application) avec un aspect météo agricole prononcé ✅ Participer ponctuellement à d’autres taches de la société (sensibilisation aux risques naturels dans les écoles, conférences, rédaction d’articles, installation de matériel, etc.) 📍 Poste : CDD de 6 mois à temps-partiel débouchant sur un CDI à temps complet Nous recherchons idéalement un profil ayant de l’expérience dans l’expertise météorologique (compréhension de la météo en général, analyse des modèles et des cartes en temps-réel). Demande de présence dans nos bureaux à Alès. Télétravail possible selon la situation (quantité à définir au cas par cas). A discuter ensemble selon contexte. 📊 Salaire sur une base de 1500€ NET en 35h (prorata pour temps-partiel), pouvant être réévalué immédiatement selon expérience et étant amené à évoluer rapidement au sein de l’entreprise. Si vous souhaitez rejoindre une équipe dynamique, en plein développement, avec des projets novateurs et originaux, merci de nous adresser votre candidature par mail à contact@arhya.fr avec un CV et une lettre de motivation. NB : nous recherchons un profil ayant une bonne maitrise de l'orthographe. Nous vous remercions une nouvelle fois de partager cette offre d'emploi massivement ! 🙂 L'équipe Météo-Languedoc / ARHYA" N'hésitez pas à nous contacter (par MP ou mail) et sachez que nous sommes "ouverts" à discussion selon le profil. Merci christophe
      • 2
      • Merci
  11. C'est drôle de voir CEP s'enliser sur un scénario à quelques cms de neige sur les plaines intérieures du Gard aujourd'hui. Il est bien évidemment le seul... On en sera pas loin, mais je pense du mauvais côté. Pessimiste en tout cas me concernant. A voir pour Vallérargues/Pouzilhac autour de 300 m. Par contre niveau flotte, surement 60/80 mm dans l'intérieur des terres, c'est génial.
  12. Les modèles ont reculé sur le potentiel neigeux "très bas" hier soir, mais ça regagne un peu ce matin, notamment sur CEP. Bon, il faut lire entre les lignes bien entendu... Mais à surveiller sur les plateaux du nord Gard au-dessus de 250/300 m. La surprise n'est pas assurée mais reste possible. Cumuls neigeux importants entre Mont Lozère, Cévennes, Tanargue et Pilat sinon.
  13. La neige tombe car le profil est parfaitement isothermique. C'est saturé en eau précipitable, ça se refroidit nettement en Z850, et le vent de terre souffle plein fer (mistral noir). Le doute pour moi : où va se situer le drain principal de l'alimentation en RR ? S'il est comme vu ce midi, tous les plateaux du Haut Gard vont franchement blanchir dès 200/300 m. On verra même les flocons plus bas. S'il se fait plus à l'Est, il ne sera passera rien sous 500 m. Ce midi, les PE avantagent nettement l'axe 30, 07 et 26. Mais il reste encore 48h donc à voir.
  14. T'inquiète Eric, on connaît la messe sur une bonne partie de la région. Sans surprise, recul général des modèles à quelques heures de "l'épisode". Un épisode dont nous n'aurions parlé il y a quelques années, tant il était faiblard déjà sur les modèles. A LT, on conserve le retour des BP/BG mais avec une tendance de fond qui est difficile à accepter : un flux majoritairement courbé à l'Ouest/Nord-Ouest. Il y a une chance qu'un talweg arrive à passer. Mais on peut aussi rester à l'écart de tout. Je mise sur : Roussillon au sec, miettes en Languedoc et quelques pluies en PACA. De la bonne dynamique pour l'Italie voisine. Trois flocons sur les reliefs. Bon, vivement cet été qu'on pétarde tous les records de chaleur (là-dessus, on peut être confiant )
  15. Je le disais en début d'hiver sur ce topic, je le redis en fin d'hiver : quel ennui ! Notre climat méditerranéen est devenu d'un ennui incroyable. Les projections en deuxième quinzaine de février confirment l'idée du retour des bas-geopotentiels sur la France. Au gré des ajustements, ça sent la courbure du flux à l'Ouest/Nord-Ouest. On prendrait alors le chemin, une fois de plus de : - Rien sur le Roussillon - des miettes en Languedoc et ouest Provence - peut-être un semblant de quelque chose sur la CA si ca creuse au large de la PACA (ce qui est très incertain) En attendant, on est 1er en Txm sur plusieurs villes de la région au 15/02 (100 ans de relevés). On enchaîne les Tx > 20°C à une allure répétitive tout simplement JAMAIS égalée.
  16. Exactement. Et c'est l'une des grandes (si ce n'est la principale) caractéristique de l'évolution climatique : la dorsale anticyclonique Açorienne remontant de plus en plus fréquemment et de plus en plus durablement vers l'Europe de l'ouest. C'est le cas en toutes saisons sur les 10 dernières années et c'est logiquement une tendance qui va encore s'accentuer dans les années à venir. Nous dans le sud (méditerranée) on a déjà senti la cassure. Mais c'est bien évidemment plus étendu qu'à nos régions. Curieux de voir jusqu'où l'évolution climatique va pousser cette dorsale, car ça bouge tellement + vite que prévu que ça pourrait finir par engendrer de nouvelles évolutions synoptiques profondes plus tard. Mais en attendant, il ne fait pas bon d'être hivernophile.
  17. Hello Jérôme, Sur les PE américaines (GEFS) on a ce signal d'AO- mais d'une NAO neutre, même si petit à petit ça semble emboiter le pas du faiblement négatif. Y a rien à faire... Ces indices ça fait des années qu'on en mange, et c'est quand même une bonne représentation des changements de temps sur nos contrées. Pour le reste, il faudra effectivement voir les ajustements fins. On peut se prendre un flux de NE moribond, comme se taper un flux d'Est sérieux. Même si l'hiver est voué à "s'affaiblir" sur une grande partie de l'Europe au fil des décennies (c'est déjà en cours) on peut encore sur un malentendu faire quelque chose Pendant qu'on refendait du bois par +23°C ici, nos amis d'Arras battaient leur mensuel absolu de froid. Bon... un record de froid, pour des centaines de chaud quand même. C'est ça le ratio du 21ème. Plus sérieusement, à suivre les évolutions à venir. Suis optimiste sur ce coup.
  18. Oui. Il y a des échanges méridiens en début et milieu d'hiver. Ces dernières années, ils sont devenus plus efficaces sur les fins d'hiver, lors de la destruction du vortex polaire. On potentialise mieux. Cela reste neanmoins possible durant tous les mois de l'hiver, bien évidemment. Pour être plus précis, les vagues de froid tardives ont été + fréquentes ces dernières années qu'en plein cœur de saison. On le ressent encore plus nous, dans le sud de la France. C'est moins flagrant dans le nord. Et ça sera sûrement une fois de plus le cas cette année.
  19. Bon, ça se précise quand même du côté des modèles saisonniers. Probable dorsale aux abords de l'Islande. Bascule autour du 10 ou 12/02 (flux de nord dépressionnaire ?) puis probable continentalisation du flux en deuxième quinzaine de février ? J'y crois, sans rêver. Après nos records de douceur ici (qui s'enchaînent non stop) on a une carte à jouer sur la fin d'hiver (c'est aussi l'un des constats de l'évolution du climat : c'est plus simple de concrétiser fin février/mars qu'en plein hiver au niveau des échanges méridiens). Voilà, donc pas d'analyse bien technique, mais assez confiant sur une deuxième quinzaine de fév hivernale en France. A+
  20. Ici dans la région on atteint les 25°C en janvier, donc s'il fait 25 à 30 en mai... 😅 sous 40 ça ne compte plus. Quant à la pluie, la récurrence des hautes pressions entre l'Espagne et la méditerranée laisse craindre l'accentuation d'une sécheresse déjà qualifiée d'historique. De nombreuses espèces de végétaux n'ont pas réussi à démarrer dans notre région malgré la douceur, par manque d'eau. De nombreuses rivières ne coulent plus, depuis des mois. On a été globalement frôlé par les canicules l'année dernière les signaux printaniers confirment l'étonnante capacité des dorsales à nous atteindre. Je mise sur le traditionnel coup de gel de 5 jours entre mi mars et début avril, puis place à la chaleur et au sec (sud France).
  21. Merci pour Renaud pour tes propos très intéressants. Un sujet qui devrait concerner tous les Français ! Ci-dessous, projection de l'anomalie des T2M en première semaine de février. Les derniers scénarios sont sans appel : les records mensuels de fevrier pourraient tomber par endroits avec à nouveau des valeurs > 20°C On sera soit dans du remarquable, soit dans de l'exceptionnel. Je le sent arriver, ce cru 2024 va faire mal pour les Tx.
  22. La situation observée dans les Pyrénées-Orientales depuis désormais plus de deux ans gagne du terrain sur une partie de l'arc méditerranéen. C'est en ça que c'est inquiétant, car on ressent bien que le problème est profond et ne se limite pas à un petit cycle de malchance, si je puis dire bêtement. Vu qu'on en parlait ces derniers jours, je vous confirme que toutes les variétés précoces ont démarré dans les bassins arbo que l'on surveille : Roussillon, Costières, Crau et même une partie de la vallée du Rhône. A voir comment le manque d'eau va impacter les arbres dans les prochaines semaines, et surtout s'ils ont droit au traditionnel et ultime coup de gel printanier. Perso, je vois février de la façon suivante ; 1) première quinzaine anticyclonique et douce (au-dessus des normales saisonnières) 2) coup de froid en deuxième quinzaine (globalement sec, mais à voir si on a un coup de chance avec une petite GF continentale). Donc poursuite du sec. Rares scénarios qui font onduler via l'Atlantique (baisse des indices AO/NAO confirmée après le 5/02) avec arrosages plus conséquents, mais scénarios minoritaires. En attendant, trois gouttes orographiques sur les reliefs. A+
  23. La "chute" (relative) de l'AO et NAO semble se confirmer autour du 5/02. On ressent bien la fragilité, mais il ne serait pas surprenant de voir les ondulations reprendre d'ici le 10/02, ou même d'assister à de nouveaux échanges méridiens. Avant ça, c'est bien évidemment plié
  24. C'est précisément la question que l'on se pose avec tous les arboriculteurs que je suis sur le Roussillon. Quasiment tous diversifient leurs cultures : agrumes et autres projets qui auraient paru farfelus il y a quelques années. Il y a certes des écueils à lever, mais il ne faut pas trop rêver : le climat change et même s'il y a des cycles, tout miser sur une arboriculture abricot/pêche ou vigne autour de Perpignan c'est l'assurance de se noyer sans vilain jeu de mot dans les prochaines années. Mais il reste les cultures habituelles : l'abricot, la pêche, bien évidemment. Les T°C du sol remontent déjà, on a les heures de froid, bref c'est propice au démarrage. Sauf que... et que tu l'as dit : il n'y a pas d'eau ! Ce manque d'eau va t'il contrarier le démarrage de la végétation ? Réponse dans quelques jours. La semaine dernière, les variétés ultra précoces commençaient à bouger. Avec le coup de chaud qui arrive, elles devraient vraiment démarrer. Si ce n'est pas le cas, CQFD ...
  25. No stress, l'ambiguïté est limitée : la proba d'atteindre ou dépasser localement les +25°C est sérieuse en deuxième partie de semaine sur l'Ouest Languedoc et le Roussillon. Quant à la sécheresse : elle a de beaux jours devant elle. Si tu regardes les modèles du court terme au long terme, aucune porte de sortie ne se dégage. L'évolution climatique (je parle bien d'évolution) est en faveur à priori d'une dorsale anticyclonique Açorienne de plus en plus souvent décalée vers l'Europe de l'Ouest. Cela limite clairement les possibilités de temps agité, même si ce sera à conforter dans les 20 ou 30 prochaines années. Nous sommes les grands perdants avec deux évolutions principales : ça se réchauffe (et vite) et ça s'assèche. Certains parlent de cycles (il y en a eu, c'est vrai) et peut-être qu'on a aussi l'association des deux (cycle + évolution climatique). Cela ne veut pas dire que les phénomènes intenses sont impossibles, mais qu'ils se raréfient. Aujourd'hui, la situation est telle dans certaines zones qu'on en viendrait presque à souhaiter de fortes intempéries pluvieuses. Car ce n'est pas avec 3 arrosages à 50 mm que les cours d'eau vont recouler. Il faudrait du lourd (des centaines de millimètres). Bon, en attendant, je vous souhaite une bonne fin Janvier haha. Je reviens en février si ça se débloque un peu (c'est un peu ce que je sens... le gros coup de froid en février après 3 ou 4 semaines de dorsales et surtout une fois que la végétation aura démarré). Car on a le quota d'heures de froid pour l'agriculture et même si ça manque d'eau, les conditions sont réunies au démarrage. A++
×
×
  • Créer...