Ophrydium

Hmm! Z'avaient pas bu que de l'eau les "flacons" sur Egletons cette nuit ! Toujours aussi Hypnotique. Je ne m'en lasse pas. https://youtube.com/clip/UgkxpLMychNNIyCtU2jhxUKQQ2sqxJK9bxVN?si=g8nvuvhbrs4mqugL

Bonjour à tous ! En ces temps de grisaille les 1ére fleurs de mimosas apportent un peu de soleil au jardin. Un cycle s'éteint, un autre s'amorce ! Il s'agit probablement d'un Acacia dealbata 'Mirandole X' ou encore appelé 'Mirandole Radian'. Ici, à Murviel, il commence à fleurir après le 15 novembre. Il tolère le calcaire et drageonne très peu. J'ai testé la rusticité à près de -10C° en février 2018. Curieusement les dégâts furent très inégaux, les branches extérieures ayant moins souffert que les charpentières J'ai laissé faire la nature, et chose étonnante des lambeaux d'écorces se sont transformées en charpentières en quelques années. Je mettrais quelques photos pour illustrer mes propos !

Bonjour, J'ai un mimosa qui semble fleurir tous les ans un peu plus tôt. Comme vous pouvez le voir sur la photo prise le 17 novembre, les 1ères fleurs sont apparues il y a quelques jours. Cela me semble anormal, mais je ne suis pas spécialiste ! Connaissez vous d'autres mimosas déjà en fleurs au 15 novembre ? Est-ce un effet du "réchauffement" global ? Un micro climat (effet clairière), le pied se situe en lisière de grands pins d'Alep Une caractéristique génétique de ce pied ? A priori pas de greffe, il drageonne beaucoup et les rejets ont les mêmes caractéristiques florales. Une maladie / parasite ? Le pied a été "traumatisé" par le gel / neige de février 2018, création de branches en "court-circuit" mais n'a pas dépéri. Autres idées ? , Qu'en pensez-vous ?

Un Excellent Noël à tous ! Printanier à Murviel les Mpt, ensoleillé et sans vent. La faune et la flore bénéficient de la douce humidité de ce début d'hiver (toujours aucune gelée à ce jour) Les tortues d'hermann n'hibernent pas encore, les iris sont en fleurs, les mimosas embaument depuis mi-décembre et offrent aux insectes un festin fort apprécié, au regard des dizaines de butineurs présents (bourdons, abeilles ..)

Bonjour, Je ne sais pas si ces photos ont leur place sur ce topic. Merci aux modos de les placer dans la bonne rubrique ou de me l’indiquer. Ces images liées au Orages de fin juillet dans la Sud-Ouest ont été réalisées à environ 3km à l’est de Sanvensa (12200) sur 3 ou 4 km. Je roulais pour mon job, en ce 1er aout, chaud et ensoleillé, lorsqu’une impression étrange de déjà-vu me surpris. En fait, j’étais déjà passé à cet endroit en mars, et le paysage n’avait pas changé ! Les prés étaient verts, les champs à nu, sans culture, les arbres et les haies sans aucune feuille ! Photo N°1 Les feuilles des arbres et des haies ont disparue. Les Maïs ont été « vaporisés » , il n’en reste aucune trace, juste quelques pieds deci delà à l’abri des haies soulignent leur présence récente. Dans les hameaux, bien sûr, de nombreuses toitures arrachées, des bâtiments écroulés. Photos N°2 Les arbres et arbustes paraissent morts. Leurs branches ont été sectionnées jusqu'à 1 cm de diamètre et les écorces pelées. Ici un pommier sur lequel il reste une pomme séchée de 2012. En arrière-plan un champ de maïs. Photo N° 3 Les blés broyés. Par endroit des balles de foins avaient été projetées par-dessus la route dans la forêt. Pour d’autres, le côté exposé aux intempéries était comme haché. Photo N° 4 Un paysage de fin d’hiver Questions, A-t-on idée de l’importance du phénomène (densité de la grêle, force du vent, durée …) Qu’en est-il de la faune ? Il serait intéressant d’évaluer la résilience des ligneux à ce type de traumatisme. J’ai observé il y a quelques années en Corrèze une parcelle d’une dizaine d’hectares de pins sylvestre dépérir puis mourir en à peine 2 saisons après un phénomène similaire. Dans le cas présent, à moins d’une épidémie végétale, je pense que 2014 aura effacé toutes traces du sinistre.

Un témoignage personnel, qui corrobore vos dires et sera peut être intéressant, car il se déroule sur plus de 30 ans. Le Cadre J’ai donc grandi en forêt, en Corrèze dans un secteur que l’on nomme « le plateau des étangs » C’est un plateau entre 500/600 m d’altitude Le substrat est globalement granitique, Les bas-fonds, sont souvent occupés par des tourbières qui pour beaucoup ont été drainées au cours des siècles et transformées en pacages, ou en étangs. Les hauteurs sont couvertes de forêts essentiellement des Pins Sylvestres, chênes, bouleaux, et plus récemment de Douglas ; de landes en régression, de prairies. La température moyenne annuelle est d’environ 10°C Printemps : 9°C / Eté : 17°C / Automne : 11°C / Hiver : 4°C Le Cumul de précipitations est en moyenne de 1250mm annuel Printemps : 300mm / Eté : 200mm / Automne : 350 mm / Hiver : 350 mm Les évolutions D’un point de vue climatique, aucun changement notable, aussi loin que je me souvienne, en gros de la sècheresse de 76 à aujourd’hui. La Faune, Arrivée du chevreuil à la fin des années 80 et des cervidés au milieu des années 90. Aujourd’hui, on peut les observer quasi quotidiennement, alors qu’adolescent, c’était rarissime. Effectif des mustélidés et renards, à peu près stable Apparition des loutres La Flore, Aucun changement notable sur mon secteur. La forêt, quasi inexistante au début du 20ème siècle avait conquis 80% du territoire dès la fin des années 60. L’évolution tient plutôt à la nature des peuplements (enrésinement) ainsi qu’à la reforestation naturelle (aulnes, bouleau, pins ) des pacages abandonnés. Lyme Nous avons vécu la forêt jusque dans les années 90 sans aucune morsure de tiques et pourtant, nous ne prenions aucune précautions : couché dans l’herbe, ou cachés dans les fougères en short et torse nu en été, juste des bottes à cause des aspics, … Sans traitement, nos animaux, chiens et chats étaient exceptionnellement atteint. Aujourd’hui, toutes activités en forêt se traduisent par la présence de tiques sur nos vêtements. Nous avons modifié nos comportements : Eviter la végétation hautes ( 1m) et particulièrement les fougères Vêtements couvrants, permettant aux tiques de « glisser », personnellement : Treillis et Rangers A la fin de la journée : douche obligatoire puis inspection minutieuse seul (bonjour les contorsions !) ou à 2, tous les vêtements partent au lave-linge. Malgré ces précautions, les nombreuses morsures de tiques que j’ai pu subir (en moyenne 4 à 5 par an depuis 15 ans) présentent des constantes : Abdomen, entrecuisses, cou, intérieur des cuisses des bras des genoux En général, les endroits « tendres » et dépourvus de pilosité. Cela pourra paraitre curieux, mais si je passe une nuit avec une de ces jolies suceuses sans m’en apercevoir, je «sais » qu’une tique est en train de mordre : nuit agité, speed au réveil. Commence alors une recherche souvent couronnée de succès, la belle ayant pris du poids durant la nuit. J’ai aussi remarqué que certaines personnes fixaient plus fréquemment les tiques que d’autres. Pourquoi ? Epaisseur de la peau, pilosité, odeur ?? Ma mère habite toujours ce secteur, et n’a pratiquement pas modifier son style de vie. Jusqu’au début des années 2000, quelques morsures sans conséquences. Depuis, elle a contracté 3 fois la maladie de Lyme, avec des conséquences articulaires malgré les traitements. Ma tante 1 fois. A l’heure actuelle, nous sommes en attente de ses dernières analyses qui ont été envoyée sur Paris. En conclusion, S’il est vrai que sur ce secteur, les populations de tiques ont explosé depuis 15 ans, je ne pense pas que cela soit du a une modification climatique ni de façon directe une modification du Biotope ; mais je m’interroge sur une possible corrélation avec les cervidés. J’ai aussi remarqué, qu’en forêt nous avions tendance à utiliser inconsciemment les mêmes sentiers qu’eux. Pour ceux que ça intéresse, le 1er cas documenté de la maladie de Lyme dans l’histoire de l’humanité date de …..5300 ans ! Suivez notre cher Ötzi !

[...] Plus tristement, le pronostique vital de cet homme semble engagé. Question : A t il était prouvé que le vent d'Autan rendait "Fou" ou bien cela relève t il des croyances populaires ?

Pour compléter, voici quelques photos des dégâts. En fait, semble t il, très localisés, les arbres sont cassés ou arrachés sur une "tranchée" de 100m de long / 50m de Large :

A priori, de gros dégâts sur la commune d'Eyrein, à 20 km au Nord Est de Tulle (source : Famille demeurant sur ce secteur) Caves inondées, Tuiles parties, arbres adultes (diam. >30 cm) coupés voir arrachés (On entend les tronçonneuses au travail !) ; Plus d'électricité ni de téléphone filaires, les lignes sont a terre. Orage exceptionnellement puissant avec un phénomène curieux à vérifier demain matin à la lumière du jour : la violence de la grêle aurait martelé la peinture du bâtiment ! Plus d'infos demain .

Bienvenue à Robert de la part d’un Corrézien en exil à Montpellier Millevaches est un point d’observation stratégique pour le climat du Nord-Ouest du MC. Aux premières loges lors des tempêtes hivernales, les hivers y sont parfois très rigoureux, Je me souviens de balades, étant jeune, vers les ruines des Cars où l’on escaladait des congères qui recouvraient par endroit les Fils téléphoniques ! De plus il me semble avoir lu que Millevaches détenait un record de froid en Europe lors de l’hiver 56, le 13 février avec – 35°C. La mise en opposition avec les relevés du Bassin de Brive la gaillarde ( 800 m de dénivelé) permettra un éclairage intéressant sur un département finalement plus varié climatiquement qu’on ne le suppose. C’est donc avec un réel plaisir que je suivrais tes relevés (et photos, peut-être ??)

Bonsoir, Un découpage sur un sujet aussi complexe, ne pouvant par essence être parfait, celui ci me semble être un bon compromis. Pour autant, aurait il pu être possible de penser différemment, et d'imaginer une répartition géographique et/ou climatique, (autres?) Plutôt que le sempiternel découpage administratif ? ( HS. D'autant que l'avenir des départements !) Ce type de partage a t il déja été réalisé sur I.C. ?

Alors que les éléments se déchainaient à quelques dizaines de kilomètres. La situation météo plutôt clémente sur le Montpelliérain a fait des heureux ! La perception d'une belle journée météo reste très subjective ! Encore bravo pour les photos des trombes.

Pour compléter cette information, un phénomène que j'ai trouvé assez spectaculaire c'est formé vers 15H30 à environ 1 Km en arriere du front de l'incendie, il s'agit d'un tourbillon de fumée (ressemblant a une tornade) . j'estime sa hauteur à environ 400 m, sa durée 5 mn. J'ai pris ces 2 photos avec un téléphone portable (de qualité médiocre) sur lesquelles on devine le mont St Bauzille (185m) et le tourbillon de fumée a gauche. Ma position était Nord Ouest du front de l'incendie, à 4 km, altitude 30 m. Le vent au sol était orienté environ Nord ouest. En observant la fumée : au niveau de l'incendie le vent au sol semblait etre Sud Est (Brise Marine), avec un cisaillement à environ 5 / 600 m d'altitude orienté Nord Nord Ouest. Au regard du nombre de spectateur de l'incendie, il est probable que des photos de meilleures qualités du phénomène aient été prises. Par ailleurs, quelques minutes plus tard un important tourbillon de poussières s'est formé à environ 1 km au sud ouest de Fabrègues Dimension approximative : Largeur environ 40 mètres, Hauteur 60/80 m, durée +/- 90 secondes

Bonjour, Nouveau sur le forum, je suis vos échanges (parfois virils) et souvent fort intéressants depuis, une demi douzaine d'années ! Je partage mon temps entre l'hérault (2km à l'ouest de Fabrègues) et la Haute Corrèze. Ici (34) L'orage accompagné de quelques beaux impacts aura laissé 17 mm.