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Semaine du 24/07/06 au 30/07/06
fsd8tr a répondu à un sujet de QuentinL dans Evolution à plus long terme
Suite et fin: Bon pour Montsouris: GFS 0,5 de 12h donne 17,5°C à 850 hpa sur Paris. On peut donc remonter la fourchette entre 34,5 et 35,5 de maximale. Avec 34,7°C à 17h on est surement dans la fourchette. Pas bon pour Perpignan (GFS12h): 32 °C de maxi au lieu de 21,5 + 15,5 + 2 = 39°C La brise de mer (NE 14 à 18 km/h) a fait perdre 7 degrés. Pas bon pour Carcassonne: 34 °C de maxi au lieu de 22 + 14,5 + 2 = 38,5°C La brise de mer (ENE 25 à 30 km/h) a fait perdre environ 4°C. Presque bon à Toulouse: 38,3 °C de maxi au lieu de 23 + 14,5 + 2 = 39,5 Il est probable que les restes de l'entrée maritime (SE 10 à 15 km/h) ont fait perdre environ 1 ou 2 °C. -
Semaine du 24/07/06 au 30/07/06
fsd8tr a répondu à un sujet de QuentinL dans Evolution à plus long terme
Le seul moyen de prévoir une température maximale valable passe par la température à 850 hpa.On peut s'amuser à prendre celle de 0h puis de faire des calculs de surface sur le RS pour évaluer la maximale. Perso, je préfére laisser le modèle faire le boulot et j'utilise cette méthode: en été, en plaine, en situation anticyclonique bien installée avec une inversion basse et surtout à l'écart de tout apport d'air plus frais en basse couche (genre brise de mer ou autre): Tmax = T850 à 17h loc + (1 °C par 100m de différence d'altitude entre 850hpa et station) + 0, 1 ou 2 degrés de suradiabatique suivant l'heure du maximum et de la hauteur du soleil dans la saison. Pour la période du 2 août au 13 août 2003 à Paris, j'ai trouvé une moyenne de T à 850hpa de 20,5°C(RS 0h + 12h). La moyenne des maximales sur la même période est de 36,75 °C. Vérification: 20,5 + 15,5 = 36°C dans ce cas + 0,75 de suradiabatique (sachant que certains jours n'ont pas fait le plein: par exemple 33°C le 13 avec 21°C à 12h à 850). Pour le 19 juillet 2006 à Paris Montsouris: sans doute très proche des 20°C à 850 hpa à 17h00. Celà donne 20 + 15,5 + 2 = 37,5 °C pour un maxi relevé de 37,3°C. Pour aujourd'hui à Montsouris: GFS 0,5 donne 17 °C à 17h à 850 hpa: Maximale probable à Montsouris : 17 + 15,5 + 2 = 34,5 degrés. Ce qui donne, un maximum de 34 à 35 °C. Maintenant c'est pas forcément le bon jour vérifier car des nuages ou des averses orageuses peuvent peut-être venir bousculer tout çà! A vérifier quand même avec la T850 à 17h de GFS 12h et la maximale relevée. -
Le mois de juillet le plus chaud jamais enregistré... ?
fsd8tr a répondu à un sujet de CEDLAP dans Climatologie
Pas vu,Ils en ont surement assez de montrer des petits vieux assis sur une chaise et buvant de l'eau. Il faut un peu varier. Par contre, je ne pense pas que l'on trouve beaucoup de SDF au 20 eme étage d'un immeuble HLM avec les 19 étages inférieurs qui crachent de l'air à + ou - 30 degrés pendant toute la nuit. -
Le mois de juillet le plus chaud jamais enregistré... ?
fsd8tr a répondu à un sujet de CEDLAP dans Climatologie
Tu parles de vague de froid pour 1956.Et pourquoi ne pas parler tout simplement de vague de chaleur (forte chaleur ou même très forte chaleur) pour 2003, 2006, 1976 etc... comme tu l'indiquais au début de ce sujet. Le mot canicule, à mon avis, n'appartient plus à la météorologie atmosphèrique. C'est un terme de météorologie domestique qui indique un état de mise en danger dans les habitations. Le danger est aussi à l'extérieur mais il est évident. Alors qu'habitation rime en général avec sécurité. Qui a vu un sujet sur les SDF dans les média en période de vague de chaleur? -
Les explications sont : La et La Il suffit de lire si l'on veut comprendre. Et s'il y a 75 pages au total, c'est que le problème ne peut pas se résumer en "oui ou non" ou en "0 ou 1".
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Le plan canicule met en oeuvre des moyens exceptionnels pour une situation exceptionnelle. Il faut forcément comparer pour évaluer les conséquences de la chaleur et engager des moyens adaptés. 25 degrés c'est normal. 30 degrés ça commence à être très chaud. 35 c'est le début de la canicule. 40 c'est exceptionnel. Maintenant c'est sur, si l'on a les moyens, on peut envoyer des milliers de bénévoles et de professionnels "taper le carton" avec les anciens dès 30 degrés. Mais la il n'y aura plus de volontaires. Ils partiront en vacances comme beaucoup. La canicule n'est pas un événement binaire
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34,5 degrés de maximale à Tours aujourd'hui. Le gazon est bien sec!
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Aujourd'hui à Tours: 17 degrés à 1600 m. La station est à 100 m d'altitude il faut donc rajouter 15 degrés = 32 degrés + 2 ou 3 degrés de surchauffe sous abri à 2m du sol = 34 ou 35 degrés de maxi suivant l'état du gazon sous l'abri. Le 5 août 2003: 23 degrés à 1600 m. Ce qui donne 23 + 15 = 38 degrés + 1 ou 2 degrés de surchauffe en raison d'un soleil un peu moins puissant et d'un rayonnement terrestre plus important = 39 à 40 degrés. Wunderground donne 39 degrés à Tours le 5 août 2003 de 15h30 à 19h00. Ce qui fait un maxi probablement proche des 40. Pour moi la différence reste énorme. Mais je n'ai pas dit que l'alerte n'était pas justifiée. Pour lundi, mardi et mercredi GFS 0,5 degrés prévoit à 17h00: 16 lundi, 17 mardi et 15 ou 16 mercredi en passant par du 18/19 en journée. Avec les erreurs de modèle cela donne des maximales de 33 à 36 degrés avec peut-être 36 ou 37 mercredi. Avec un seuil de 35 degrés c'est à la limite. Maintenant il reste à voir les minimales et la correction liée à l'humidité qui justifient peut-être plus nettement le passage en orange.
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Petit rappel, Voici les températures à 850 hpa le 4 août 2003 au soir Et celle du 15 juillet 2006 au soir 5 degrés à 7 degrés de moins, c'est énorme! A ce point, on est forcément aux limites de la vigilance ce qui explique une certaine "lourdeur" des organismes décideurs, sur qui repose tout le poids de la "fausse" alerte. Le 16 au soir la vigilance MF passe au jaune orange sur les 2/3 du pays.
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Comme pour la Charente Maritime, la Corse et les Alpes Maritimes, la station de référence du département se situe probablement en zone de brise de mer.Je suppose que les seuils ont été adaptés à la situation de ces stations avec peut-être une harmonisation avec les départements voisins? Avec ce zonage des jours à + de 35 °C on peut deviner la localisation de certaines stations de référence. Zonage
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A la lecture de ce rapport qui a probablement servi à "calibrer" le système d'alerte canicule on voit bien la complexité du problème et la diversité géographique des conséquences de la chaleur. Canicule août 2003 Ici par exemple:
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Pour le Nord-Est il me semble qu'il faut surveiller pour mercredi: En fin de nuit ou tout début de matinée: En limite Champagne-Ardennes Avec ce qu'il faut à 850 Hpa. Avec probablement un carton dans la nuit de mardi à mercredi entre le sud-ouest et la région parisienne Pour mercredi soir ou en début de nuit de mercredi à jeudi il y aussi ça: A surveiller dans les prochain runs
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Ces cartes permettent de visualiser par modélisation l'évolution des pluies et de l'évapotranspiration entre la situaton forestière actuelle et une déforestation totale.Situation initiale: 15 octobre 2002. Période de calcul : 62 mois. Seuls les résultats des 36 derniers mois ont été retenus pour chaque scénario. Les conditions d'ENSO sont donc supposées être les mêmes.
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Bonsoir,J'ai trouvé cette étude ou simulation brésilienne (fin avril 2006) visant à modéliser l'évolution climatique suivant différents degrés de déforestation de l'amazonie (y compris déforestation totale) avec remplacement de la forêt par de la prairie. Simulation de déforestation Je suis une tanche en anglais mais il me semble que les résultats de cette modélisation vont dans les 2 sens. Les conclusions sont d'abord un peu "étranges" puisqu'elles ne mentionnent pas le cadre géographique correspondant (qui semble être la moitié est de la zone de déforestation totale 6 nord 6 sud 45 ouest 63 ouest): 4 – CONCLUSIONS We used CPTEC global atmospheric model to assess the effects of Amazonian deforestation on the regional climate. We used four projected distinct scenarios of land cover change: 1) land cover scenario for year 2025; 2) scenario for year 2050; 3) scenario for year 2100 and 4) replace all the Amazonia rainforest by pasture (deforested case). The results shows increase in surface temperature: 0.8 °C for 2025 experiment to 2.5°C for deforested case, a decrease in evapotranspiration: 4.4% for 2025 experiment to 16.1% for deforested case and a decrease in precipitation: 2.2% for 2025 experiment to 14.5% for deforested case. Donc, dans cette zone, une déforestation totale pourrait provoquer, selon le modèle, une augmentation de 2,5 °C des températures moyennes, une diminution de 16 % de l'évapotranspiration ( -360 à -730 mm par an) et de 14,5 % des précipitations ( -400 à -900 mm par an) Dans ce passage: The reduction of the vegetation cover caused an increase in runoff, but not caused a decrease in soil moisture, on the contrary, there was an increase in soil moisture in all experiments relative to the control case. This is because the reducing evapotranspiration that is associated with the reduction of roughness, that decrease the surface latent heat fluxes through the decreased in drag coefficient (Hahmann and Dickinson, 1997; Oyama, 2002) when replaces a tropical forest by pasture, and this may to drive a reduction in precipitation. By reducing evapotranspiration, deforestation results in less water being pumped in the atmosphere, thereby contributing to the decrease in precipitation. According Foley et al. (2003), the reduction in these huge cleared areas is also a consequence of the changes in the energy and water balance. Il me semble qu'il est indiqué que c'est bien la réduction de l'évaporation qui serait responsable de la diminution des précipitations. De toute façon ce n'est pas la réduction des pluies qui provoque la diminution de l'évaporation puisque (contrairement à ce que je pensais ) toutes les simulations aboutissent à une augmentation de l'humidité dans le sol, donc à une plus grande disponibilité de l'eau à l'évapotranspiration. Mais bon, l'un n'implique pas forcément l'autre. Maintenant d'un autre coté, et l'étude n'en fait pas mention, la moitié ouest de la zone de déforestation totale voit ses précipitations augmenter de 200 à 800 mm par an tout en connaissant une réduction d'évaporation de 200 à 400 mm par an. ?????? Ce qui vient plus ou moins casssseeeeeer la démonstration précédente.
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Re, Pour comprendre un peu mieux le phénomène d'évapotranspiration, voici un lien vers un cours d'hydrologie générale du professeur André Musy (Suisse) : Chapitre 4 : Evaporation et interception A voir aussi mais c'est plus velu à mon goût: Chapitre 5 : L'infiltration et les écoulements.
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Résonnement simpliste de ma part et peut-être discutable:Selon Noaa l'anomalie de température dans l'émisphère nord pour cet hiver est de +0,5 degré (+0,7 sur les continents). L'anomalie pour l'Amérique du nord est souvent proche de +4 degrés. J'en déduis donc qu'une part de l'anomalie d'au moins +3 degrés sur l'Amérique du nord est liée à la circulation générale et non pas au réchauffement climatique. Passer un hiver à +4 degrés implique forcément des conséquences sur l'environnement général: étendues d'eau plus chaudes, sols plus chaud, fonte plus rapide de la neige, végétation en avance (plus au sud) etc... Donc potentiellement les températures maximales peuvent atteindre des valeurs supérieures aux normales voire supérieures aux anciens records si une situation météorologique à record se présente. Si l'on compare Kuujjuarapik (55 nord et 12 m d'altitude) et Smolensk (55 nord et 241 m d'altitude) on a pour Smolensk un record d'environ 21 degrés (source MF) pour le mois d'avril ce qui ramené à 12 m d'altitude devrait faire un équivalent de 23 degrés. Donc les 18 degrés de Kuujjuarapik ne me choquent pas du tout. Sur le lien suivant se trouvent les metar d'Kuujjuarapik du 23/04/06 Metar C'est sur que le vent ne pouvait pas venir de l'ouest, du nord ou de l'est (banquise ou neige au sol) il venait du sud-sud-est. Une masse d'air potentiellement plus chaude que la normale puisque passant sur des sols plus chauds et ne rencontrant les effets refroidissant de la neige au sol que tardivement c'est à dire plus au nord que d'habitude. En gros et intuitivement je serais tenté de dire que si des records ont été battus de 4 degrés les causes en sont: Le réchauffement climatique pour 0,5 à 1 degré. L'hiver chaud (circulation générale) pour 2,5 à 3 degrés. "Les records sont faits pour être battus" pour 0,5 à 1 degré. Et Pour les anti-sceptiques je suis prêt à lâcher 0,5 ou même 1 degré de plus pour le RC, mais pas plus.
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Voici le bilan noaa pour décembre 2005-février 2006 Avec ce résultat pour l'hémisphère nord December-February / Anomaly / Rank / Warmest Year on Record Land and Ocean / +0.46°C (+0.83°F) /9th warmest / 2002 (+0.78°C/1.40°F) et le lien Février et décembre-février
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Un peu de soleil, pas mal de neige ... beaucoup de bonheur !
fsd8tr a répondu à un sujet de -Vercors- dans Photos, vidéos et matériel de prise de vue
Et un ptit vin chaud en terrasse /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> -
Quelques images pour illustrer le déficit de glace cette année: D'abord en surface de banquise avec une comparaison 10 mai 2006 et 9 mai 2001 Gros déficit dans la zone du Spitzberg et au nord du Japon et dans une moindre mesure à l'ouest du Groenland. En ce qui concerne l'épaisseur il suffit déjà de comparer la différence de glace ancienne entre début mai 2006 et début mai 1999 par exemple. Maintenant, l'été va être décisif.
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Sur cette animation on devine mieux la circulation générale au moins en altitude. Amérique du sud L'humidité aborde le continent par l'est et les cellules se vident sur la Cordillère des Andes en sortie ouest. Vu du dessus, la circulation semble très rapide et les cellules convectives mettent moins de 2 ou 3 jours pour traverser le continent (quand elles arrivent à survivre). Vu du dessous, le courant maritime ne peut pas alimenter à lui seul l'ensemble des précipitations du continent. En attaque cotière les pluies sont exclusivement d'origine maritime. Ensuite l'atmosphère a besoin du support de l'évaporation pour alimenter les cellules. Une masse d'air c'est comme la plus belle fille du monde, elle ne peut donner que ce qu'elle a /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> En fait, les précipitations sur cette zone, sont sur-évaluées. Si l'on fait un bilan humidité entrante à l'est - humidité sortante à l'ouest et en altitude l'on doit trouver une valeur bien inférieure au total des précipitations de la zone. Pourquoi? Parce que l'eau resquille et que l'on retrouve la même particule d'eau dans "plusieurs pluviomètres" au fil de la traversée du continent. Autre exemple pour illustrer l'importance de l'évaporation: En France début juillet 1 ha de blé c'est de la paille avec une évaporation insignifiante inférieure à 1 ou 2 mm par jour. Par contre, 1 ha de maïs irrigué c'est jusqu'à 10 mm et parfois plus d'évaporation par jour, soit 100 m3 d'eau libérée dans l'atmosphère par ha et par jour. On peut même se demander si l'augmentation de la surface forestière en France et l'introduction de cultures irriguées à forte évaporation ne pourrait pas expliquer des phénomènes comme l'apparition de pluies cinquantenales 1 fois tous les 10 ans sur certaines stations françaises? Maintenant, ce sujet porte sur la forêt et le réchauffement. Si l'on compare l'état thermique au dessus d'une forêt équatoriale (en gros 30 degrés de températures avec un point de rosée de 24 degrés) et celui d'un désert (50 degrés sur 10 de point de rosée par exemple) le désert semble plus chaud en théorie mais dans la pratique c'est la zone forestière qui est potentiellement la plus chaude avec 25,5 degrés environ de température du thermomètre mouillé contre 23 degrés pour la zone désertique. Le desert est sec et il favorise le rayonnement. La forêt renforce l'effêt de serre avec la vapeur d'eau mais peut augmenter la nébulosité et donc l'albédo tout en fixant le CO2 ce qui diminue l'effêt de serre. Rien n'est simple
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En dehors des variations résultant de la circulation générale, les précipitations qui se produisent dans la partie centrale et surtout occidentale de l'amazonie, par exemple, proviennent principalement pour ne pas dire exclusivement de l'évaporation de la végétation en amont du flux. Atténuer l'évaporation en remplaçant la forêt par des cultures à faible enracinement ou par de la prairie, réduit forcément les précipitations en aval. La même eau arrose plusieurs fois le continent d'est en ouest. 1 m3 perdu en infiltration en entrée de flux c'est 2,3,4 m3 ou même plus, de précipitations cumulées en moins sur le continent. Petite comparaison chez nous: Le gazon c'est 30 cm environ de racines soit en moyenne 50 litres d'eau disponible au m2. Dès le mois de juin le gazon n'évapore plus que les précipitations du moment. L'eau disponible dans les couches plus profondes n'est peu ou pas utilisée. Une forêt c'est plusieurs mètres d'enracinement et des centaines de litres d'évaporation au m2 pendant la saison estivale. La majorité des pluies de l'année est évaporée. En climat équatorial les données sont différentes mais le principe reste le même. Sauf à démontrer que l'enracinement de la canne à sucre par exemple est supérieur ou équivalent à celui de la forêt. Un forçage rejette l'air chaud et humide en altitude et le remplace par de l'air subsident et plus sec. Cet air sec va devoir se recharger en humidité pour alimenter le forçage suivant. La forêt le fera plus efficacement et surtout plus longtemps dans la saison.
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Les alizés alimentent les zones équatoriales en humidité, mais c'est la végétation qui réinjecte par évaporation l'eau de ces précipitations dans l'atmosphère.En entrée de continent par rapport aux alizés chaque metre cube d'eau de pluie qui s'infiltre dans le sol en dehors de la zone d'action des racines de la végétation est un m3 perdu pour les précipitations en aval des alizés. Même s'il me semble que l'enracinement de la forêt équatoriale est relativement faible, c'est quand même cette végétation qui peut le mieux retenir l'eau dans la zone d'action des racines et la recycler ensuite dans l'atmosphère.
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Bonjour, Sur les 4 stations pro qui avaient réussi à passer le mois de février toujours sous les 10 degrés, il restait: - Metz Frescaty qui a laché dans la nuit du 9 mars avec un petit 10,2 °C vers 3h du matin. Nouveau record de 114 jours du 14/11/05 au 07/03/06 (ben oui le 10,2°C de maxi est attribué à la journée clim du 8 mars). - Metz-Nancy-Lorraine, Ochey et Langres qui viennent de dépasser largement les 10 °C le 19 mars. Avec une série de 125 jours du 14/11/05 au 18/03/06.
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Et un petit 40,5 °C à Perpignan le 07/07/1982....à.....21h25 /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Peut-être 1970 car je ne sais vraiment plus. A vérifier tout de même car, à mon avis, l'accumulation de neige soufflée par le vent prime sur l'enneigement en lui même. Et donc record d'épaisseur de neige au sol n'implique pas forcément record d'accumulation de neige dans les zones de congères. C'est d'ailleurs valable également pour cette année. Les congères sont la, mais pour bien faire et pour durer elle doivent se situer sur le versant alsacien et orientées majoritairement (en masse neigeuse) au nord-est.