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Bilan thermique de Janvier 2010


TreizeVents
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Si tu veux prendre le facteur neige en compte pour determiner la force d'une VDF, ok [bien que je sois contre, pour moi c'est le froid au sol qui prime avant tout]:

En 1985, la neige est tombee en quantite tout aussi abondante si ce n'est plus.

En 1986, n'en parlont pas [pas un jour de pluie dans l'Orne je crois, que des chutes de neige].

En 1979, bah c'est pas mal non plus, avec des chutes records dans la region centre et region Parisienne.

En 1971, La c'est le pompom avec des hauteurs astronomiques dans l'Est et le NE.

En 1963, je ne sais pas trop pour les quanttes, mais niveau longueur de neige au sol sur toutes les regions bah ca se pose la quoi.

En 1956, je crois que ca n'est pas necessaire de l'evoquer.

En 1954, on a fait clairement mieux dans le SE, apres je ne sais pas sur le reste du pays.

Bref en terme de neige, bah surprise surprise, on est derriere toutes les VDF importantes de la fin du 20e siecle.

Pour un épisode neigeux, c'est la quantité + l'étendu géographiqueToi tu continues. Aucun chiffre DONC aucun bilan pour faire des comparaisons. T'en fais exprès ou quoi? Ca se résume à une date et suivi d'un "je ne sais pas", "je crois que", "je ne sais pas trop".

Bref, quand on sait pas, on dit pas surtout sur un forum climato.

default_angry.png Y a des gens qui se décarcassent avec des bilans chiffrés et donc vérifiables et toi tu viens avec tes "censurés". STOP!

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Les plus actifs

Selon les régions et les années, on peut toujours trouver des exemples et des contre exemples ... Bien sûr que non, 2010 ne figurera pas au rayon des grandes vagues de froid. Mais qui a demandé de comparer ? A quoi bon d'ailleurs ?

Qui a prétendu que nous allions pulvériser des records ?

Avec 2009 et 2010, malgré des mois de janvier plutôt froids (2010 est pas fini), mais loin des mois mythiques de 85 et 87 par exemple, on voit qu'on arrive quand même à battre des records journaliers, voire décadaires et mieux encore, mensuels et par ailleurs voir la neige sur un laps de temps trés long.

Perso, je ne cherche pas à comparer les mois actuels avec les précédents. Chaque année est différente et si, un jour (dans plusieurs années), tu lis un livre sur la climato qui évoque les hivers passés, tu liras en substance, concernant janvier 2010 : Une première décade bien hivernale en France avec des hauteurs de neige record, notamment dans le Cotentin, en Normandie, le boulonnais et le Sud-Est de la France. De plus, le Nord Est enregistre de longues journées sans dégel, entre le 31 décembre et le 12 janvier ... Ce qui est remarquable par ailleurs, au cours de ce mois de janvier, ce sont les répétitions des jours de neige dans des régions assez peu habituées à ces phénomênes. Tu liras également que quelques records de froids (que ce soit des Tx, ou bien des Tn, sont tombés). Et voilà, c'est tout. On ne te dira pas : en fait ce mois ci est un flop, parce que comparé aux années d'avant guerre et aux célèbres années 85 et 87, il s'agit d'un mois de "tafioles" ...

Puisque tu parles de Toulouse, parlons en. Ici, par exemple, même si elles sont quasi similaires, la 1ère décade de janvier est plus froide et nettement plus neigeuse que celle de 2009. Ailleurs, en France, on te dira le contraire ... En janvier 1996, ici, il ne s'est strictement rien passé. En déc 2001, on a eu une véritable vague de froid, longue et intense. Par contre, ça n'a pas été le cas dans le NO de la France. Et ainsi de suite ...

En 1985, 5cm de neige à Toulouse. Cette année entre 8 et 18 sur Toulouse Ville et périphérie.

Donc tout est subjectif. Pour le quidam de base, cette décade de janvier 2010 est froide et neigeuse avec ses particularismes locaux.

Et puis les chiffres de Treizevents sont là pour attester que 2010 est à ranger au rayon des trés bons crûs.

Pas davantage ...

RAS! EXCELLENT! default_thumbup.gifdefault_thumbup1.gif
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C'est énervent cette perpétuelle banalisation de chaque événement Hugogo. Franchement j'en vois pas l'utilité, sinon la provocation.

Essaye d'en profiter plutôt que de jouer continuellement au rabat-joie. default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

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on l'a dit 50 fois sur ce forum: ce genre de "comptage" n'a aucun intérêt sur une station aux données aussi peu homogènes que Lyon-Bron (au fait, pourquoi un seuil de -12°C et pas -15°C ou -11,2°C? Ca colle mieux à votre démonstration à cause des -11,8°C de janvier 1997?). Allez plutôt chercher des séries mensuelles homogénéisées et faites des calculs de tendance, ça aura beaucoup plus de valeur "illustrative" et beaucoup moins de sunjectivité!

Non, on ne l'a pas dit 50 fois, mais toi tu l'as dit 50 fois.

Certes des calculs plus poussés qu'une simple lecture serait évidemment bien meilleure, mais ils ne contredirait sans doute pas la tendance. Ce qui importe, (au moins ici) ce n'est pas le chiffre après la virgule.

Une station comme Montélimar qui n'a pas bougé depuis 1921 donne d'ailleurs, (en prenant le seuil des -8°C) a peu près les mêmes résultats.

Quand au seuil de -12°C, j'aurai pu prendre effectivement celui de -11°C, et cela donne ceci :

années 20 : 5 hivers

années 30 : 5 hivers

années 40 : 7 hivers

années 50 : 5 hivers

années 60 : 7 hivers

années 70 : 2 hivers

années 80 : 3 hivers

années 90 : 1 hiver

années 00 : 2 hivers

Si l'on prend le nombre de jours à -11°C , là c'est bien pire:

années 20, 24j ; années 30, 22j ; années 40, 41j ; années 50, 19j ; années 60, 36j ; années 70, 10j ; années 80, 14j ; années 90, 1j ; années 00, 2jours.

Donc, même tendance...à affiner avec des données homogeneisées...si quelqu'un peut le faire.

Enfin, les échanges entre hugogo et les autres, comme d'ailleurs entre d'autres sur d'autres topic deviennent toujours plus passionnés en hiver qu'en été : 116 pages pour la vague de froid de décembre, 11 pour celle de chaleur du mois d'aout dernier.

Je crois que personne n'a peur de voir disparaitre les gros étés qui nous sont servis à gogo depuis 20 ans (le vieux record de 47 qui a été mis dans les cordes en 2003, 2006 et 2009), et tout le monde sais très bien qu'il y a beaucoup de chances que l'on en rencontre plusieurs sur la décennie à venir.

Concernant les hivers, je crois que la crainte de la raréfaction joue beaucoup sur les réactions, que l'on se lamente de la "petite vague de froid" comparée à celles d'il y a 50 ans, ou que l'on se réjouisse de la "grosse vague de froid" de ces 20 dernières années.

Treize vents ou d'autres pouraient t'ils, avec les tendances trentenaires nous dire combien de chances on a de revivre au cours de la décennie 2010 les caractéristiques des hivers type décennie 30, 40, 50 ou 60 ?

c'est 10% ? , 5% ? y croit t'on encore ?

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C'est énervent cette perpétuelle banalisation de chaque événement Hugogo. Franchement j'en vois pas l'utilité, sinon la provocation.

Essaye d'en profiter plutôt que de jouer continuellement au rabat-joie. default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

faut pas qu'il regarde le dernier GFS. default_innocent.gif
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Posté(e)
Morre (390m) et Besançon (300m)

Une vraie farce cet hiver en effet ! biggrin.gif

Déjà plus d'un mètre de neige cumulée dans le Boulonnais et dans certains coins en Normandie, des records de froid mensuels battus mi-décembre, une troisième vague de froid qui pourrait bien débouler bientôt, j'en passe et des meilleures. Non non, rien de notable ! rolleyes.gif

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Posté(e)
Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

Avec les données homogénéisées depuis 1676 pour Paris, disponibles dans l'étude de Daniel Rousseau (Merci !) dans la revue "La Météorologie" de la SMF, on a une assez bonne idée du niveau des différents mois de janvier froids sur une plus longue période en France.

Après recalage des anomalies mensuelles de Paris depuis 1950 sur la même période de référence que les anomalies du panel (29 stations) de TreizeVents (Merci !default_thumbup.gif), les anomalies du panel sont relativement bien corrélées (1) aux anomalies à Paris, sachant qu'avant 1870, il est difficile d'espérer mieux qu'une incertitude de +-0.5° sur les Tm mensuelles d'après D. Rousseau.

(1 - Pour janvier coeff de corrélation r=0.96 et coeff de détermination r2=0.92, erreur type=0.51° et pour décembre r=0.93, r2=0.86, erreur type=0.58° )

La distribution est trop éloignée de la normalité, j'ai donc utilisé pour Paris une échelle de classification en centiles :

Exceptionnellement froid <= 1er centile

Très froid <= 3 ème centile

Froid <= 10 ème centile

Exceptionnellement chaud >= dernier centile

Très chaud >= 97 ème centile

Chaud >= 90 ème centile

Voici le classement des anomalies des mois de janvier froids et chauds à Paris, par rapport à la moyenne du 19 ème siècle, utilisée dans l'étude de D. Rousseau :

parisjanclasfrdchd.png

Pour le fun, j'ai placé l'anomalie très provisoire de jan 2010 à Paris (donnée corrigée, à jour au 12/01). Donc il n'est pas encore certain que le mois finisse "froid", mais ça donne une idée du rythme à soutenir pour obtenir un mois complet à ce niveau.

Le même classement des mois froids de janvier, comparé au classement de décembre , avec déc 2009 (donnée corrigée) placé pour comparer :

parisdecjanclasfrd.png

Les mois de janvier exceptionnels sont placés sur l'axe du zéro du graphe d'évolution du climat du mois de janvier à Paris (anomalie/ 30 ans / 1800-1899):

http://meteo.besse83...lclimjanprs.png

On voit que pendant les minima de Maunder et de Dalton, Paris relève quand même deux des mois de janvier exceptionnellement chauds, dont le premier mois de janvier le plus chaud (1708) vers la fin du Maunder ! Mais ce n'est pas tout, ce mois de jan 1708 (1er + chaud) précède d'un an seulement, le 3 ème mois de jan le plus froid (1709), alors qu'au plus fort du réchauffement actuel, Paris ne voit même pas passer un seul mois de décembre "exceptionnellement chaud" et qu'elle relève encore des mois de déc exceptionnellement chauds pendant ces minima solaires, guère efficaces pour décembre à Paris, où les moyennes/30 ans de déc se sont réchauffées (vers la fin du Maunder, on atteignait même le niveau des années 40 ! J'ai revu plusieurs fois tous les calculs tellement ça me paraissait bizarre, si quelqu'un a une théorie/explication intéressante... ) : http://meteo.besse83...lclimdecprs.png

En revenant sur le graphe de janvier, on a deux autres mois exceptionnellement froids/chauds qui se suivent (1795 et 1796)

Tout ça pour dire, qu'avec ces quelques exemples et bien d'autres en regardant en détail ces valeurs et ces graphes, tout le monde doit-être en mesure de comprendre ce qu'est la variabilité de la T avec ses capacités à offrir aléatoirement des écarts "immenses" en très peu de temps ( on peut vraiment tout voir, même sur 2 ans, donc dans un même climat : 1708/1709, 1795/1796).

Ce fait devrait largement réjouir et émerveiller tous les passionnés et surtout ne pas les surprendre (sinon c'est qu'on n'appréhende toujours pas assez ce qu'est la variabilité !), car les possibilités d'écarts importants sont encore bien plus grandes pour les pas de temps plus courts que celui d'une Tm mensuelle (décades, jours) d'autant plus que la moyenne est déjà elle-même vague faute de longueur de série.

Pour moi, il ne fait aucun doute que jan 85 peut-être très largement dépassé même en plein réchauffement, reste à savoir quand ( du moins avant de se prendre 5° de plus que le niveau de fin 2009)

Décembre 1788 de nos jours, tournerait autour des -8° d'anomalie à Paris et jan 1795 autour des -6.5° d'anomalie, car la moyenne ne s'est pas encore trop envolée ( par ex : jan 1980-2009 = +1.73° /19 ème siècle à Paris, jan 1910-2009 = +1.39° ), et donc la distribution des extrêmes qui accompagne toujours une moyenne, ne s'est vraiment pas assez décalée, pour qu'on n'observe plus du tout de mois exceptionnellement froids par rapport au 19 ème siècle.

Si on ne perçoit pas avec ces exemples, qu'on a toujours le potentiel pour relever encore pour un bon moment, de temps en temps, de très fortes anomalies froides qui contenteront tous les goûts, c'est à désespérer (certaines anomalies pourront être nettement plus froides que celles des 60 dernières années, en dehors de celle de février qui est très basse et donc très difficile à améliorer, avec une anomalie de -8.1° à Paris en 1956) .

C'est quand même sympa la météo, on a des tirages au sort gratuits et permanents, on est certain de toucher des gros lots très chauds et très froids, mais il reste à savoir quand ils tomberont.

Edition du 16/10/2010 : Ajout de la comparaison de janvier avec février.

Voici les mois de janvier froids comparés aux mois de février froids:

parisjanfevclasfrd.png

Les valeurs du panel (29 stations) de TreizeVents pour février, sont encore assez bien corrélées avec celles de Paris (r=0.98, r2=0.95, erreur type=0.52°)

Ce mois de février nous apporte encore quelques exemples particuliers des possibilités de la variabilité de la Tm mensuelle.

http://meteo.besse83...lclimfevprs.png

Les minima de Maunder et de Dalton sont peu efficaces pour offrir les plus gros mois froids de février à Paris. Pas un seul mois exceptionnellement froid à leur actif, une anomalie/30 ans qui est franchement à la hausse dans le Maunder et la plus forte variation pendant le Dalton est aussi une hausse !

On a un mois exceptionnellement chaud, perdu entre ces deux minima. Ce n'est pas n'importe lequel des mois chauds, c'est le plus chaud de la série du mois de février, juste devant celui de 1990, +5.1° d'anomalie en 1767 ! Il est pourtant bien loin du réchauffement global actuel.

Sur ces 334 ans, le premier mois exceptionnellement froid, malgré des périodes potentiellement froides en quantité industrielle auparavant, n'est relevé qu'au bout de 220 ans (en 1895). En prime, 3 des 4 mois exceptionnellement froids sont regroupés sur 45 petites années et pas n'importe où, dans le 20 ème siècle, de 1942 à 1986.

Ces exemples nous montrent encore une fois qu'une anomalie de Tm mensuelle sur une zone donnée, peut être très largement à contre-courant des grandes tendances de fond de la zone ou du globe et ils nous indiquent qu'on peut toujours observer plusieurs mois exceptionnellement froids dans une vie et qu'on peut toujours battre de nos jours les pires records de froids et de Tm mensuelles, d'autant plus qu'on est loin d'avoir fait le tour des extrêmes des Tmm avec "seulement" 334 ans de données.

J'avais oublié un élément important dans la première partie au sujet de déc 1788. Vu la différence de puissance du rayonnement solaire global en février par rapport à décembre (+40% à +50 % à midi solaire par ciel clair ici, sans parler de la différence de durée d'insolation journalière entre les 2 mois), on peut penser que si exactement la même situation synoptique que celle de février 56 se produisait au mois de décembre, l'anomalie pourrait détrôner celle de décembre 1788.

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Avec les données homogénéisées depuis 1676 pour Paris, disponibles dans l'étude de Daniel Rousseau (Merci !) dans la revue "La Météorologie" de la SMF, on a une assez bonne idée du niveau des différents mois de janvier froids sur une plus longue période en France.

Après recalage des anomalies mensuelles de Paris depuis 1950 sur la même période de référence que les anomalies du panel (29 stations) de TreizeVents (Merci !thumbup.gif), les anomalies du panel sont relativement bien corrélées (1) aux anomalies à Paris, sachant qu'avant 1870, il est difficile d'espérer mieux qu'une incertitude de +-0.5° sur les Tm mensuelles d'après D. Rousseau.

(1 - Pour janvier coeff de corrélation r=0.96 et coeff de détermination r2=0.92, erreur type=0.51° et pour décembre r=0.93, r2=0.86, erreur type=0.58° )

[...]

C'est remarquable ce que tu as fais comme post, bravo ! Juste un "truc" hallucinant qui m'interpelle sur deux duos :

Janvier 1708 : +5,8°C d'anomalie / Janvier 1709 : -6,1°C d'anomalie

Janvier 1795 : - 8,7°C d'anomalie / Janvier 1796 : +5,4°C d'anomalie

Quel extraordinaire contraste pour deux années qui se suivent !wacko.gifwhistling.gif

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Posté(e)
Saint Hilaire (195m), 20km au Sud de Toulouse (Haute Garonne)

Alors là, j'appelle ça du lourd !

C'est même un dossier qu'il faut archiver, vite fait bien fait et ensuite, lire et relire ...

Un grand merci à Toi Christian P et chapeau bas ... default_thumbup.gif

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Posté(e)
Malemort du Comtat (84) - 212 m ; Carpentras (Serres) - 99 m boulot ; parfois Nélu (Aunay sous Auneau) (28) - 155 m

au 15 janvier, j'ai une anomalie de -5,5°C sur la Tm... (Txx 5°C seulement!) default_rolleyes.gif

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Au 15 janvier, le bilan national a été ramené à -3.92° (contre -4.78° au 10 janvier). Avec une Tm de +0.54° au niveau national, 2010 se hisse à la septième place des premières quinzaine de janvier les plus froides depuis 1950. A quasi égalité avec la première quinzaine de janvier 2009, qui avait affiché une Tm de +0.53°.

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Posté(e)
Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

J'ai édité le message précédent pour ajouter la comparaison avec les mois froids de février :

/index.php?showtopic=52319&view=findpost&p=1189751'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?showtopic=52319&view=findpost&p=1189751

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Bravo Christian quel beau boulot . default_thumbup.gif

Je vois deux coïncidences :

1709 = froid , 1708 = chaud

1795 = froid , 1796 = chaud !

je pensais que c'était 1709 qui avait la palme avec ses 800 000 morts soit 600 000 de froid et 200 000 naissances de moins , ce qui ferait aujourd'hui à 1 800 000 ,pour 60 000 000 habitants .1693 c'est 1 300 000 morts mais pas uniquement dû au froid .

A imprimer d'urgence .

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Immense merci à ChristianP

Les tableaux mettent méanmoins l'oeuvre du RC:

Sur les 20 dernières années, 5 sont parmis les mois de janvier les plus chauds, mais aucune ni en décembre, ni en janvier, ni en février parmis les mois les plus froids...

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Au petit age glaciaire, il y avait plus de glaciers et de banquise donc l'air polaire était plus froid donc pour une même vague de froid, il faisait plus froid aussi.

Et il n'y avait pas d'effet urbain, donc les moyennes pouvaient être facilement basses.

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Posté(e)
Les Sables d'Olonne

Immense merci à ChristianP

Les tableaux mettent méanmoins l'oeuvre du RC:

Sur les 20 dernières années, 5 sont parmis les mois de janvier les plus chauds, mais aucune ni en décembre, ni en janvier, ni en février parmis les mois les plus froids...

Oui et si on va au-delà sur le tableau de janvier avec 35 lignes :

9 mois de janvier des 4 dernières décennies dans les plus chauds.

Seul 1987 sauve la mise de façon honorable

2010 va bien vite disparaître du tableau. default_thumbdown.gif

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Et il n'y avait pas d'effet urbain, donc les moyennes pouvaient être facilement basses.

Je pense que Christian P à, dans les chiffres qu'il donne, pris ces éléments en compte; c'est cela des données homogénéisées.

Et c'est tout l'intéret de son étude.

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