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Réchauffement du climat


Huggo
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Et zut, on est complètement hors sujet, là.

Bof, pas si hors sujet que ça

C'est une constante sur IC et sur tous les forum d'ailleurs

Les "sceptiques" doutent de la science "officielle" comme ils disent, (en fait ils la refusent)

et sont d'une incroyable crédulité dès qu'il s'agit de contes de fées.

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Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

Bof, pas si hors sujet que ça

C'est une constante sur IC et sur tous les forum d'ailleurs

Les "sceptiques" doutent de la science "officielle" comme ils disent, (en fait ils la refusent)

et sont d'une incroyable crédulité dès qu'il s'agit de contes de fées.

C'est bien de faire une confiance aveugle en effet, mais j'aimerais savoir si Realclimate par exemple explique le pourquoi du rechauffement recent de plusieurs planètes du système solaire.

Il y a des GES et de l'activité industrielle sur Mars ou Jupiter pour l'expliquer?

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C'est bien de faire une confiance aveugle en effet, mais j'aimerais savoir si Realclimate par exemple explique le pourquoi du rechauffement recent de plusieurs planètes du système solaire.

Il y a des GES et de l'activité industrielle sur Mars ou Jupiter pour l'expliquer?

Bien vu Torrent ! Sais-tu où on en trouve la mesure par ailleurs... Cela m'intéresserait assez d'en savoir plus sur le climat des autres planètes telluriques sur la dernière decennie...Florent.
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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Je vois qu'on va toujours chercher de plus en plus loin des preuves que le Co2 n'est absolument pas responsable d'une augmentation de la température sur la Terre. Déjà comparer la Terre à Mars, c'est comparer 2 mécanismes atmosphériques totalement différents. 1ère erreur. Et le GIEC prend en considération dans ses calculs il me semble l'influence du soleil, un truc comme 10% je crois bien. 2ème erreur donc.

L'analyse d'une photo de Hubble montre un réchauffement climatique sur la planète MFX35265, située à 85 années lumière de la terre. C'est la preuve ABSOLUE que les membres du GIEC et de RealClimate sont achetés par les industriels...

Après je ne dis pas que ce n'est pas intéressant de se poser la question sur les autres planètes. Ca m'interesse aussi, mais bon gardons les pieds sur terre quand même. Se dire comme ça :

Mars se réchauffe + La Terre se réchauffe = Pas de GES, ça me parait une équation un peu primaire et basique en l'état.

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Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

Je vois qu'on va toujours chercher de plus en plus loin des preuves que le Co2 n'est absolument pas responsable d'une augmentation de la température sur la Terre. Déjà comparer la Terre à Mars, c'est comparer 2 mécanismes atmosphériques totalement différents. 1ère erreur. Et le GIEC prend en considération dans ses calculs il me semble l'influence du soleil, un truc comme 10% je crois bien. 2ème erreur donc.

Après je ne dis pas que ce n'est pas intéressant de se poser la question sur les autres planètes. Ca m'interesse aussi, mais bon gardons les pieds sur terre quand même. Se dire comme ça :

Mars se réchauffe + La Terre se réchauffe = Pas de GES, ça me parait une équation un peu primaire et basique en l'état.

Ai je dit cela? non, et je ne pense pas que les emissions de CO2 soient une bonne chose, seulement je crois que leur rôle est largement surestimé et que l'acteur principal est le Soleil et que des interractions mal connues amplifient ce que l'on sait de son effet direct, cela tombe bien il est en train de changer de régime et de mettre la pèdale douce après une période d'activité croissante jusqu'à la fin du XXe siècle.

Les évolutions en ce domaine etant lentes et s'etalant sur une vingtaine d'années il faudra du temps avant d'avoir des mesures indiscutables sur son effet, la baisse est déja à l'oeuvre, elle explique la stabilisation depuis 1998, reste que l'inertie du système climatique est grande et que la réponse s'étale sur des années, il faudra sans doute une dizaine d'années pour voir une franche inversion de tendance climatique, d'autant que durant ce délai les émissions de GES continuent et participent à freiner la baisse.

Mais je ne crois pas aux efforts pour la réduction des émissions, même si c'est mieux que rien, ce sera la penurie qui mettra du plomb dans la tête de l'humanité, et il sera bientôt immoral que des gens meurent de faim pour que d'autres puissent rouler dans des caisses de ferraille appelées voitures.

Contrairement à ce qui serait attendu je n'ai pas du tout la religion du "progrès" et de la consommation, la survie de l'humanité passe obligatoirement par une remise en cause de notre niveau de vie, surtout en Occident et par la réduction de notre modèle de consommation, les dangers les plus graves sont la deforestation, l'epuisement des océans, la perte dramatique de la biodiversité, l'empoisonnement des sols que ce soit par les produits chimiques ou par les OGM.

Très certainement aussi par les emissions de certains gaz à molecules complexes qui sont des polluants infiniment plus graves que le CO2 ou le méthane, moins il y aura d'emissions de ces deux derniers mieux ce sera mais je ne pense pas que le veritable danger vienne de là, c'est même dommage que cela occulte d'autres problèmes, les OGM en particulier.

Actuellement ce qui se passe au niveau planétaire avec la spéculation criminelle sur l'alimentaire est un scandale sans précédent et ceci est la conséquence de la crise de notre societé de consommation, du pillage des ressources du tiers monde et de la mondialisation des echanges, je sors du sujet mais je tiens à bien préciser les choses pour eviter tout amalgame avec les negationnistes mais je ne serai pas non plus un opportuniste.

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Les évolutions en ce domaine etant lentes et s'etalant sur une vingtaine d'années il faudra du temps avant d'avoir des mesures indiscutables sur son effet, la baisse est déja à l'oeuvre, elle explique la stabilisation depuis 1998, reste que l'inertie du système climatique est grande et que la réponse s'étale sur des années, il faudra sans doute une dizaine d'années pour voir une franche inversion de tendance climatique, d'autant que durant ce délai les émissions de GES continuent et participent à freiner la baisse.

NON. Depuis 1998, la température mondiale a malheureusement trop augmenté.

1998 est un pic au sein d'une période (1996-2000) inférieure de 0.1°C à la période suivante (2001-2005).

Une année n'est pas une référence, sinon on peut prendre 1999, et là, on fait sauter toutes les courbes. La seule stabilisation a lieu depuis 2006, mais 2 années, c'est ridicule pour en tirer des conclusions.

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C'est bien de faire une confiance aveugle en effet, mais j'aimerais savoir si Realclimate par exemple explique le pourquoi du rechauffement recent de plusieurs planètes du système solaire.

Il y a des GES et de l'activité industrielle sur Mars ou Jupiter pour l'expliquer?

Pour ce qui est de l'augmentation de l'effet de serre, nul besoin de Real Climate: je n'ai besoin de croire en personne.

Ca se calcule. Je l'ai fait moultes fois et je l'ai fait faire.

Ensuite pour Jupîter, j'aimerais beaucoup avoir la référence qui montre l'augmentation de la température à la surface default_laugh.png

enfin pour Mars

d'abord le simple raisonnement scientifique

la variation de la constante solaire est de l'ordre de 1 W/m2 crête à crête ...sur Terre

sur Mars cela fait 0,45 W/m2

soit un forçage crête à crête de 0,1 W/m2

A l'équilibre radiatif , cela signifierait une augmentation de la température de la planète de l'ordre de 0,03K

(trois centièmes de degré)

Il faut donc envisager des rétroactions positives (tiens donc!) au sein de la planète

sur Terre on a deux pistes

1 les interactions strato - tropo via l'absorption des UV par l'ozone

2 les rayons cosmiques (!) et les nuages

sur Mars , y a pas d'ozone

y a pas de nuages

qu'est ce qu'il y a surtout sur Mars?

des tempêtes de poussières

http://news.nationalgeographic.com/news/20...rs-warming.html

Bon, reste plus qu'à trouver comment l'activité solaire commande le soulèvement, la mise en suspension et le transport des poussières

Bon courage

C'est vrai quoi, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?

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NON. Depuis 1998, la température mondiale a malheureusement trop augmenté.

1998 est un pic au sein d'une période (1996-2000) inférieure de 0.1°C à la période suivante (2001-2005).

Une année n'est pas une référence, sinon on peut prendre 1999, et là, on fait sauter toutes les courbes. La seule stabilisation a lieu depuis 2006, mais 2 années, c'est ridicule pour en tirer des conclusions.

Le probleme est qu'on peut plus prendre tel année pour dire que le rechauffement ou reffroidissement a lieu ou fini depuis cette année alors. Donc on ne peu pas dire que de 1907 a 1944 on a eu un rechauffement puis de 1945 a 1977 une stabilisation des temperatures en gros et de 1977 a 1998 une augmentation des temperatures rapide comme a chaque fois foir je prends une annee pour presiser le debut et la fin de tel evenement.

Puis il faut voir autre chose depuis cette augmentation rapide des temperatures soit depuis 1977 le record de l'année la plus chaude n'a jamais durée aussi longtemps drole de coeinsidence.

Par exemples depuis 1998 soit sur 10 ans voici les annomalies de l'UEA :

0,526

0,302

0,277

0,406

0,455

0,465

0,444

0,475

0,421

0,393

Apres avoir depassé les 0.5°C d'anomalie annuelle en 1998 on a plus depassé cette valeur depuis et on est rester autour de 0,4..°C 7 annees a la suite en plus.

Et drole de coinsidence encore ceci a lieu depuis que le PDO devient negative et que l'AMO semble se stabilisé comme j'en ai parlé hier ici /index.php?s=&showtopic=26170&view=findpost&p=713034'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=713034

Donc ca montre que les GES ne controle pas tout le climat mais que les phenomenes climatiques, le Soleil ont bien une bonne part sur le role de l'evolution du climat.

Si non il y aurait trop de coinsidence.

Williams

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NON. Depuis 1998, la température mondiale a malheureusement trop augmenté.

1998 est un pic au sein d'une période (1996-2000) inférieure de 0.1°C à la période suivante (2001-2005).

Une année n'est pas une référence, sinon on peut prendre 1999, et là, on fait sauter toutes les courbes. La seule stabilisation a lieu depuis 2006, mais 2 années, c'est ridicule pour en tirer des conclusions.

Ce n'est pas tout à fait exact.

Les SST (températures de surface de la mer) sont un bon point de repère. D'abord la mer représente 70 % de la surface du Globe. Ensuite, les SST sont représentatives de l'état énergétique de la couche marine supérieure (les 150 premiers mètres). La masse de cette couche est très supérieure à la masse de l'atmosphère, et l'évolution de sa température apparait donc comme la plus représentative de l'évolution réelle des conditions énergétiques de la surface de la Planète, et pilote très certainement la température de l'ensemble de l'atmosphère, dont évidemment, les températures de surface.

Or on constate que les SST, après une période de stabilisation depuis 2002 commence à baisser nettement.

Les SST ont connu une chute historique en novembre 2007 qui expliquent les valeurs anormalement basses des températures moyennes de janvier 2008.

SSTdep1981.png

Il serait peu scientifique d'ignorer ce phénomène de baisse des SST, dont l'origine est finallement inconnue. Il se passe actuellement quelque chose de nouveau dans la mer, qui ressemble fort à une rétroaction négative.

Et n'allons pas dire simplement "c'est La Niña". La Niña, c'est le nom qu'on donne précisément à cette chute de température. On n'explique pas un phénomène simplement en lui donnant un nom, de même qu'on n'explique pas la température élevée d'un malade en disant "c'est la Fièvre"...

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Donc ca montre que les GES ne controle pas tout le climat mais que les phenomenes climatiques, le Soleil ont bien une bonne part sur le role de l'evolution du climat.

Si non il y aurait trop de coinsidence.

Pour imager un peu le problème, je prends l'exemple du petit Louis, élève en classe de 6è.

Notre petit Louis, il a fourni depuis le début de l'année scolaire un travail irrégulier : parfois il a appris ses leçons, récoltant ainsi des 15/20 et même un 16/20, mais parfois aussi il n'a pas révisé, et a ainsi récolté des 6/20 et des 7/20.

Au dernier contrôle, petit Louis a obtenu la note de 16,5/20.

Cependant, il est soupçonné d'avoir triché, en mettant une antisèche dans sa trousse.

Dans le cas du climat, l'apprentissage irrégulier des leçons par le petit Louis est notre activité solaire, et l'antisèche c'est les GES.

Auparavant, petit Louis a déjà eu des 16 comme des 6, et c'était en relation directe avec son apprentissage (ou non) des leçons. Tout comme notre planète a connu des périodes douces et des périodes froides, en relation très probable avec l'activité solaire.

Cependant, est-ce que le fait que petit Louis ait déjà eu 16 auparavant en apprenant sa leçon prouve qu'il n'avait pas d'antisèche dans sa trousse ? Bien évidemment que non : c'est pas parce qu'il a déjà pu avoir une bonne note sans tricher qu'il n'a pas triché aujourd'hui.

Il en va de même pour l'activité solaire : le fait qu'elle ait pu "contrôler" le climat auparavant, ne prouve absolument pas que les GES n'ont aucun impact aujourd'hui.

Les SST ont connu une chute historique en novembre 2007 qui expliquent les valeurs anormalement basses des températures moyennes de janvier 2008.

D'accord, ce sont donc les SST qui expliquent les valeurs de janvier 2008.

Et qu'est-ce qui explique les valeurs de mars 2008 ?

Sinon sur le graphique, je vois une baisse claire depuis 2006, mais pas depuis 2002.

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Posté(e)
Agde (34) littoral ouest Hérault

Il en va de même pour l'activité solaire : le fait qu'elle ait pu "contrôler" le climat auparavant, ne prouve absolument pas que les GES n'ont aucun impact aujourd'hui.

Sans vouloir parler à sa place, et sans vouloir prendre partie, je ne pense pas qu'il veuille remettre en cause l'impact des GES dans le RC. Je pense qu'il veut dire que le soleil influe plus sur le climat que les GES.Ceci dit, je pense en effet que la faible activité solaire prévue va ralentir le RC (voir l'annuler). Mais comme je disais dernièrement, cela pourrait être de la poudre aux yeux car quand l'activité solaire va repartir (dans 20 ans ?), les T° vont forcement repartir à la hausse, aidées pour cela par les GES. On peut supposer alors que les T° seront plus élevées qu'aujourd'hui. Mais bon... est-ce qu'on connait vraiment tous les acteurs qui font le climat ?? Bien sur que NON.
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Pour imager un peu le problème, je prends l'exemple du petit Louis, élève en classe de 6è.

Notre petit Louis, il a fourni depuis le début de l'année scolaire un travail irrégulier : parfois il a appris ses leçons, récoltant ainsi des 15/20 et même un 16/20, mais parfois aussi il n'a pas révisé, et a ainsi récolté des 6/20 et des 7/20.

Au dernier contrôle, petit Louis a obtenu la note de 16,5/20.

Cependant, il est soupçonné d'avoir triché, en mettant une antisèche dans sa trousse.

Dans le cas du climat, l'apprentissage irrégulier des leçons par le petit Louis est notre activité solaire, et l'antisèche c'est les GES.

Auparavant, petit Louis a déjà eu des 16 comme des 6, et c'était en relation directe avec son apprentissage (ou non) des leçons. Tout comme notre planète a connu des périodes douces et des périodes froides, en relation très probable avec l'activité solaire.

Cependant, est-ce que le fait que petit Louis ait déjà eu 16 auparavant en apprenant sa leçon prouve qu'il n'avait pas d'antisèche dans sa trousse ? Bien évidemment que non : c'est pas parce qu'il a déjà pu avoir une bonne note sans tricher qu'il n'a pas triché aujourd'hui.

Il en va de même pour l'activité solaire : le fait qu'elle ait pu "contrôler" le climat auparavant, ne prouve absolument pas que les GES n'ont aucun impact aujourd'hui.

Ont ne peut pas comparer un etudiant qui tel ou tel note suivant qu'il revise ou pas avec l'evolution du climat du a tel ou tel chose default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> C'est incoparable !

D'accord, ce sont donc les SST qui expliquent les valeurs de janvier 2008.

Et qu'est-ce qui explique les valeurs de mars 2008 ?

Sinon sur le graphique, je vois une baisse claire depuis 2006, mais pas depuis 2002.

Pour ceci deja le maximum de La Nina est en Decembre-Janvier soit en plein la saison froide l'hiver. Puis apres La Nina s'affaiblie comme vous le voyez depuis et en plus de cela les temperatures se rechauffent lentement depuis fin fevrier avec le printemps qui arrive. Mais en plus il y a toujours 72% de chance que l'anomalie des temperatures est superieur en Mars qu'en fevrier car en 28 ans il y a eu 20 annees qui ont eu une anomalie des temperatures superieures en mars par rapport a fevrier donc c'est explicable ce qu'on a eu treizevents.

Williams

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D'accord, ce sont donc les SST qui expliquent les valeurs de janvier 2008.

Et qu'est-ce qui explique les valeurs de mars 2008 ?

En mars, comme le montre le graphique ci-dessous :

SSTHebd.png

Les températures de surface ont retrouvé une valeur "normale" pour la saison, conformément à la remonté des SST montrée par mon graphique précédent.

Le mois d'avril sera d'ailleurs, lui aussi, dans la moyenne plutôt basse.

La divergence Hémisphère Nord / Hémisphère Sud de mars, assez exceptionnelle, s'explique par une anomalie presque exclusivement terrestre sur l'Asie du Nord. Cette anomalie est très certainement explicable aisément par les météorologues. En tous cas, elle montre, s'il en était besoin, qu'il ne faut pas trop se fier aux moyennes de températures de surface, fondées sur les températures de masses d'air essentiellement mobiles. Les moyennes de SST présentent l'avantage d'être normalement beaucoup plus stables. C'est pour cette raison qu'il faut prendre avec beaucoup plus d'attention l'évènement SST de novembre 2007 que la divergence HN/HS de mars 2008.

Sinon sur le graphique, je vois une baisse claire depuis 2006, mais pas depuis 2002.

Je suis d'accord : le choix de la date de départ est tout à fait arbitraire, et on peut démontrer ce qu'on veut selon que l'on choisit l'une ou l'autre. Mais je n'ai pas parlé de baisse à partir de 2002, mais de stabilisation suivie d'une baisse.
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Sans vouloir parler à sa place, et sans vouloir prendre partie, je ne pense pas qu'il veuille remettre en cause l'impact des GES dans le RC. Je pense qu'il veut dire que le soleil influe plus sur le climat que les GES.

Ceci dit, je pense en effet que la faible activité solaire prévue va ralentir le RC (voir l'annuler). Mais comme je disais dernièrement, cela pourrait être de la poudre aux yeux car quand l'activité solaire va repartir (dans 20 ans ?), les T° vont forcement repartir à la hausse, aidées pour cela par les GES. On peut supposer alors que les T° seront plus élevées qu'aujourd'hui. Mais bon... est-ce qu'on connait vraiment tous les acteurs qui font le climat ?? Bien sur que NON.

Bien d'accord avec toi, mais ceci est en total désaccord avec les rapports du GIEC.Soyons clair : si la faible activité solaire ralenti voire pire annule le RC, ça sera une véritable claque pour le GIEC !

Rappel du discours ambient et consensuel du GIEC...

Dans le n° HS de "Sciences et Avenir" (avr 2007), lire l'article "Souvent Soleil varie !" de l'astronome J.P. Rozelot . Conclusion :

* dans le passé, rien ne prouve une relation de cause à effet entre variation du rayonnement solaire et température

* depuis 1976, il n'y a pas de corrélation entre l'activité solaire et la température

* la contribution de l'activité solaire au réchauffement actuel n'atteint que 12 % au maximum.

/index.php?s=&showtopic=19840&view=findpost&p=452179'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=452179

On nous expliquera comment une étoile qui contribue si peu au réchauffement actuel, mais aussi à l'évolution des températures dans le passé pourrait parvenir à annuler le RC ??????!

Selon les théories retenues par le GIEC, la chose est impossible, ne nous posons donc même pas la question ! CQFD default_sleep.png/emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20">

Florent.

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Ont ne peut pas comparer un etudiant qui tel ou tel note suivant qu'il revise ou pas avec l'evolution du climat du a tel ou tel chose default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> C'est incoparable !

Disons que c'est comparable juste pour démontrer que l'on ne peut pas avoir un raccourci simpliste qui voudrait que le soleil a influencé le climat de la Terre auparavant --> Il l'influence donc davantage que les GES aujourd'hui. C'était juste un petit rappel imagé, qui ne t'était d'ailleurs pas réellement destiné puisque je sais que tu vas beaucoup plus loin dans tes recherces sur la relation Activité solaire / climat et ton étude des oscillations de toutes nature.

De la même manière, il est irréfutable que l'on observe actuellement un ralentissement dans la tendance au réchauffement au niveau global, même si après il y a beaucoup de divergences entre ceux qui veulent y voir un refroidissement naissant, ceux qui veulent y voir un simple palier entre deux périodes de réchauffement plus importantes, et ceux qui pensent que pour le moment on n'a pas assez de recul pour en juger.

Comme l'a dit très bien Just1 dont je partage le point de vue sur ce point : est-ce que l'on connait vraiment tous les acteurs qui font notre climat ? Certainement pas.

Et donc, une question toute bête : nous avons actuellement un ralentissement du réchauffement, mais est-ce que l'on peut affirmer pour autant que c'est l'activité solaire qui ralenti et qui pourrait annuler le réchauffement ? En bref, peut-on dire : on a un ralentissement du réchauffement --> donc le soleil a plus d'influence que les GES ? N'est-ce pas encore un raccourci simpliste, comme avec le petit Louis ?

Si l'on a prouvé qu'il y a ralentissement du réchauffement, il n'a pas été prouvé pour autant que le soleil était responsable de ce ralentissement. On a des présomptions, mais cela ne va pas plus loin. Peut-être qu'il faut chercher en réalité vers l'un des acteurs que l'on ne connait pas.

En l'occurence, on voit très bien que le ralentissement en cours du réchauffement provient essentiellement des océans qui réagissent pas exactement comme les prévisions du GIEC le pensaient. Je suis d'accord avec Pierre Ernest sur le fait que l'anomalie très élevée de mars est essentiellement continentale, et que depuis environ 2 ans (houla, c'est pas grand chose) les SST des océans font plutôt grise mine. Et que c'est probablement le principal facteur de cette stagnation des températures au niveau global. Donc, avant d'affirmer que c'est le soleil, ne devrait-on pas creuser la piste d'une rétroaction négative océanique ?

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Si l'on a prouvé qu'il y a ralentissement du réchauffement, il n'a pas été prouvé pour autant que le soleil était responsable de ce ralentissement. On a des présomptions, mais cela ne va pas plus loin. Peut-être qu'il faut chercher en réalité vers l'un des acteurs que l'on ne connait pas.

En l'occurence, on voit très bien que le ralentissement en cours du réchauffement provient essentiellement des océans qui réagissent pas exactement comme les prévisions du GIEC le pensaient. Je suis d'accord avec Pierre Ernest sur le fait que l'anomalie très élevée de mars est essentiellement continentale, et que depuis environ 2 ans (houla, c'est pas grand chose) les SST des océans font plutôt grise mine. Et que c'est probablement le principal facteur de cette stagnation des températures au niveau global. Donc, avant d'affirmer que c'est le soleil, ne devrait-on pas creuser la piste d'une rétroaction négative océanique ?

A part le soleil, c'est la seule grande alternative... A part le soleil ou les océans, je vois mal ce qui pourrait impacter aussi soudainement les températures à l'échelle globale. En effet, les océans sont une machine thermique qui a une très importante inertie, réagissant parfois maintenant à des changements atmosphériques qui ont eu lieu des décennies avant, mais aussi une formidable réserve de froid. Au dessous de la mince pellicule d'eaux de surfaces, les fameuses SST, on a des milliers de mètres d'eaux glacées dont la température est proche de 2 à 3°C dans les océans.Florent.
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Disons que c'est comparable juste pour démontrer que l'on ne peut pas avoir un raccourci simpliste qui voudrait que le soleil a influencé le climat de la Terre auparavant --> Il l'influence donc davantage que les GES aujourd'hui. C'était juste un petit rappel imagé, qui ne t'était d'ailleurs pas réellement destiné puisque je sais que tu vas beaucoup plus loin dans tes recherces sur la relation Activité solaire / climat et ton étude des oscillations de toutes nature.

De la même manière, il est irréfutable que l'on observe actuellement un ralentissement dans la tendance au réchauffement au niveau global, même si après il y a beaucoup de divergences entre ceux qui veulent y voir un refroidissement naissant, ceux qui veulent y voir un simple palier entre deux périodes de réchauffement plus importantes, et ceux qui pensent que pour le moment on n'a pas assez de recul pour en juger.

Comme l'a dit très bien Just1 dont je partage le point de vue sur ce point : est-ce que l'on connait vraiment tous les acteurs qui font notre climat ? Certainement pas.

Et donc, une question toute bête : nous avons actuellement un ralentissement du réchauffement, mais est-ce que l'on peut affirmer pour autant que c'est l'activité solaire qui ralenti et qui pourrait annuler le réchauffement ? En bref, peut-on dire : on a un ralentissement du réchauffement --> donc le soleil a plus d'influence que les GES ? N'est-ce pas encore un raccourci simpliste, comme avec le petit Louis ?

Si l'on a prouvé qu'il y a ralentissement du réchauffement, il n'a pas été prouvé pour autant que le soleil était responsable de ce ralentissement. On a des présomptions, mais cela ne va pas plus loin. Peut-être qu'il faut chercher en réalité vers l'un des acteurs que l'on ne connait pas.

En l'occurence, on voit très bien que le ralentissement en cours du réchauffement provient essentiellement des océans qui réagissent pas exactement comme les prévisions du GIEC le pensaient. Je suis d'accord avec Pierre Ernest sur le fait que l'anomalie très élevée de mars est essentiellement continentale, et que depuis environ 2 ans (houla, c'est pas grand chose) les SST des océans font plutôt grise mine. Et que c'est probablement le principal facteur de cette stagnation des températures au niveau global. Donc, avant d'affirmer que c'est le soleil, ne devrait-on pas creuser la piste d'une rétroaction négative océanique ?

Justement ce dont tu dis vers la fin est ce que je dis en gros car je sais et souvent montre que l'ocean est une cause de l'evolution du climat avec les GES et le Soleil :

Comme par exemple hier j'ai dis /index.php?s=&showtopic=26170&view=findpost&p=713034'>CECI qui montre bien cela ou bien en 2007 j'ai dis /index.php?showtopic=23186&view=findpost&p=590928'>CECI.

Donc je n'ai jamais dis que le Soleil est la seul chose qui a pour effets sur le climat et reconnait que les GES ont jouer un role sur sur cette evolution surtout de 1980 a environs 1998.

En gros voici ce qu'on peu sur les causes de l'evolution et la vitesse de celle-ci de tel periodes a tel periodes :

----PERIODES----------CONSEQUENCES--------CAUSES DE CECI

- de 1907 a 1944 ------monté de temp

.-------- un peu les GES+soleil (1.5W/m2 de plus) + passage d'un PDO- a un PDO+ puis passage du AMO- au AMO+

- de 1944 à 1968--- petite baisse de temp.

----passage d'un PDO+ a un PDO- puis passage du AMO+ au AMO-

mais il y a un contre effet dû a la monté des GES + soleil (1.5W/m2 de plus).

Donc 2 phenomenes qui avait pour effets de faire monter les températures mais 2 autres dans le sens inverse on fait baisser légèrement les températures

- de 1968 à 1977--- stabilisation de temp.-----GES qui monte + passage d'un PDO- au debut du PDO+

+ debut de la baisse de l'activité solaire (depuis 1 cycle ici) + AMO- au plus bas.

Donc 2 phenomenes qui avait pour effets de faire monter les températures mais 2 autres dans le sens inverse on fait que la temperature se stabilise plus ou moins

- de 1977 à 1998--- forte monté de temp

.----- GES qui monte encore plus + passage du AMO- au AMO+ PDO+

+ Baisse de l'activité lentement (depuis 3.5 cycles ici).

- de 1998 à 2007--- vers une stabilisation-----GES qui monte +

passage d'un PDO+ a un PDO-

+ AMO qui semble se stabilisé au maximum pour 5 ans environs

+ Baisse de l'activité lentement (depuis 4 cycles environs ici)

Donc comme on voit depuis 1907 où le GES monte la temperature n'a pas suivi tout le temps sont evolution. Ceci par ce que comme je le montre ici et que j'ai deja dis dans plusieurs messages, bp d'elements ont des effets dans l'evolutions du climat dont surtout : GES, l'AMO, la PDO et le Soleil et voir d'autre certainement, comme on peu voir ci-dessus.

Williams

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A part le soleil, c'est la seule grande alternative... A part le soleil ou les océans, je vois mal ce qui pourrait impacter aussi soudainement les températures à l'échelle globale. En effet, les océans sont une machine thermique qui a une très importante inertie, réagissant parfois maintenant à des changements atmosphériques qui ont eu lieu des décennies avant, mais aussi une formidable réserve de froid. Au dessous de la mince pellicule d'eaux de surfaces, les fameuses SST, on a des milliers de mètres d'eaux glacées dont la température est proche de 2 à 3°C dans les océans.

Florent.

Non, il y a une autre possibilité, ce sont les nuages et c'est celle là qui permettrait une variation très rapide de l'énergie déposée dans le système.

A vrai dire, avec l'océan, je ne parlerais pas de rétroaction au sens propre du terme parce que cela ne diminuera pas le bilan énergétique ...sauf si on en arrive au point où l'albédo augmente.

Auparavant, c'est une réaction (éventuelle) et pas une rétroaction

et c'est surtout un couplage.

tant que l'albédo ne se met pas à augmenter ou les GES à diminuer, il n'y a pas rétroaction et, en fait, la Terre continue à avoir un bilan énergétique positif ce qui veut dire que le réchauffement ne fait qu'attendre un peu.

Faites simple: si la Terre absorbe plus d'énergie qu'elle n'en rejette, elle ne peut que se réchauffer. C'est bien pour cela que la notion de forçage radiatif est importante.

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Non, il y a une autre possibilité, ce sont les nuages et c'est celle là qui permettrait une variation très rapide de l'énergie déposée dans le système.

A vrai dire, avec l'océan, je ne parlerais pas de rétroaction au sens propre du terme parce que cela ne diminuera pas le bilan énergétique ...sauf si on en arrive au point où l'albédo augmente.

Auparavant, c'est une réaction (éventuelle) et pas une rétroaction

et c'est surtout un couplage.

tant que l'albédo ne se met pas à augmenter ou les GES à diminuer, il n'y a pas rétroaction et, en fait, la Terre continue à avoir un bilan énergétique positif ce qui veut dire que le réchauffement ne fait qu'attendre un peu.

Faites simple: si la Terre absorbe plus d'énergie qu'elle n'en rejette, elle ne peut que se réchauffer. C'est bien pour cela que la notion de forçage radiatif est importante.

Ca nous fait un beau casse-tête auquel le GIEC ne répond pas d'ailleurs, car sur les points que tu soulèves, c'est précisément là où il y a les incertitudes les plus importantes avec des fourchettes parfois énormes !Si on résume, on a pour expliquer un frein au réchauffement climatique :

- une action : un soleil moins actif

- une réaction couplée : des océans très absorbants (masses d'eaux froides à réchauffer)

- une rétroaction : un albédo croissant (nuages et éventuellement glaces et neiges)

Florent.

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Ca nous fait un beau casse-tête auquel le GIEC ne répond pas d'ailleurs, car sur les points que tu soulèves, c'est précisément là où il y a les incertitudes les plus importantes avec des fourchettes parfois énormes !

Si on résume, on a pour expliquer un frein au réchauffement climatique :

- une action : un soleil moins actif

- une réaction couplée : des océans très absorbants (masses d'eaux froides à réchauffer)

- une rétroaction : un albédo croissant (nuages et éventuellement glaces et neiges)

Florent.

Le GIEC, c'est l'état de la science. Point.

L'état de la science, c'est que les rétroactions sont le pb central.

Sinon, il reste encore la possibilité d'un forçage anthropique négatif (ex les aérosols)

Ensuite, il faut commencer à évaluer quantitativement chacun de ces trucs et c'est pas simple en effet.

En tout cas, ça ne se fait pas en comparant deux malheureuses courbes.

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Je continue

Le pb des rétroactions est d'ailleurs capital aussi pour les fana du soleil

sans rétroaction positive extrêmement puissante, ça marche évidemment pas du tout.

Si on fait le point sur ce qui est acquis

forçage radiatif (depuis 1750)

des GES :2,6 W/m2 aujourd'hui et 6 à la fin du siècle

soleil (irradiance): 0,12 W/m2 et ??????? à la fin du siècle

sans rétroaction delta T est proche de delta F/4 soit une augmentation de température de 0,6 K au bout d'un temps infini pour les GES et si on arrêtait d'en mettre auhourd'hui

avec la concentration de 2100: 1,5 K (toujours en arrêtant en 2100 et au bout d'un temps infini)

pour le soleil, ça donne 0,03K

Donc les fluctuations , si on les attribue au soleil, il va falloir trouver qq chose d'environ 10 fois plus puissant que pour les GES

Pb, les rétroactions connues marchent pour les deux sauf

les interactions strato - tropo via l'ozone

et les nuages via les rayons cosmiques mais à ce propos

http://www.iop.org/EJ/abstract/1748-9326/3/2/024001/

où il est montré que même les simples corrélations ne vont pas toutes dans le même sens.

De toute façon, on en revient toujours à ce que le seul pb réellement intéressant est celui des rétroactions, le reste est plus ou moins du pinaillage (qui ne manque pas d'intérêt scientifique)

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Je continue

Le pb des rétroactions est d'ailleurs capital aussi pour les fana du soleil

sans rétroaction positive extrêmement puissante, ça marche évidemment pas du tout.

Si on fait le point sur ce qui est acquis

forçage radiatif (depuis 1750)

des GES :2,6 W/m2 aujourd'hui et 6 à la fin du siècle

soleil (irradiance): 0,12 W/m2 et ??????? à la fin du siècle

sans rétroaction delta T est proche de delta F/4 soit une augmentation de température de 0,6 K au bout d'un temps infini pour les GES et si on arrêtait d'en mettre auhourd'hui

avec la concentration de 2100: 1,5 K (toujours en arrêtant en 2100 et au bout d'un temps infini)

pour le soleil, ça donne 0,03K

Donc les fluctuations , si on les attribue au soleil, il va falloir trouver qq chose d'environ 10 fois plus puissant que pour les GES

Pb, les rétroactions connues marchent pour les deux sauf

les interactions strato - tropo via l'ozone

et les nuages via les rayons cosmiques mais à ce propos

http://www.iop.org/EJ/abstract/1748-9326/3/2/024001/

où il est montré que même les simples corrélations ne vont pas toutes dans le même sens.

De toute façon, on en revient toujours à ce que le seul pb réellement intéressant est celui des rétroactions, le reste est plus ou moins du pinaillage (qui ne manque pas d'intérêt scientifique)

L'evolution de l'irradiation solaire depuis environs 1750 est de plus de 0.12W/m2 comme le montre le schema ci-dessous :

solar.gif

Puis les UV evoluent beaucoup ce qui a des effets sur l'atmosphere (ozone...)

Donc tout comme les GES, l'AMO, la PDO le soleil a une influence comme je l'ai detaillé ici :

/index.php?s=&showtopic=22775&view=findpost&p=713955'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=713955

Williams

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L'evolution de l'irradiation solaire depuis environs 1750 est de plus de 0.12W/m2 comme le montre le schema ci-dessous :

solar.gif

Puis les UV evoluent beaucoup ce qui a des effets sur l'atmosphere (ozone...)

Donc tout comme les GES, l'AMO, la PDO le soleil a une influence comme je l'ai detaillé ici :

/index.php?s=&showtopic=22775&view=findpost&p=713955'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=713955

Williams

pour les dernières reconstructions d'irradiance solaire voir la reconstruction de Wang 2005 ici.

Les reconstructions que tu indiques comprennent le "background" qui est remis en question actuellement.

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L'evolution de l'irradiation solaire depuis environs 1750 est de plus de 0.12W/m2 comme le montre le schema ci-dessous :

[

Puis les UV evoluent beaucoup ce qui a des effets sur l'atmosphere (ozone...)

Donc tout comme les GES, l'AMO, la PDO le soleil a une influence comme je l'ai detaillé ici :

Williams

Merci de me corriger,j'avais oublié de donner mes références

rapport du GIEC, WG1, chapitre 2, p204

En outre, même en prenant tes figures

entre 1750 et 2000

je trouve à vue de nez 0,4 W/m2 dans l'UV, 0,5 dans le visnle et 'IR tr's proche et 0,1 dans l'IR solaire

soit 1 W/m2 au total dont 30% réfléchis

soit 0,7 W/m2 à diviser par 4 parce que la Terre est sphérique est pas un disque

finalement ça fait 0,175 W/m2

Ensuite, la définition du forçage étant au niveau de la tropopause il faudrait enlever l'absorption dans la strato pour comparer complètement mais on peut en rester là pour ne pas compliquer.

Tu veux pinailler?

et si on prend le minimum qui a l'air d'être 1680 sut ta courbe

on arriverait à 0,4 W/m2 à tout casser

toujours à comparer aux 3 W/m2 actuels et 6 à venir plus que probablement.

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En outre, même en prenant tes figures

entre 1750 et 2000

je trouve à vue de nez 0,4 W/m2 dans l'UV, 0,5 dans le visnle et 'IR tr's proche et 0,1 dans l'IR solaire

soit 1 W/m2 au total dont 30% réfléchis

soit 0,7 W/m2 à diviser par 4 parce que la Terre est sphérique est pas un disque

finalement ça fait 0,175 W/m2

Tu veux pinailler?

C'est curieux, cette tendance au terraplatisme chez les sceptiques... default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
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