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Niveau des océans : suivi et perspectives


TreizeVents

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Pas de surprise, dommage que l'article ne détaille pas les mécanismes de fonte, par exemple, on sait qu'en antarctique ce n'est pas la T°C de l'air qui permet une perte de glace, c'est donc soit une évolution des rr et/ou une fonte par dessous et/ou une accélération de l'avancée des glaciers.

Le problème c'est que justement ceci trompe bp de personnes puisqu'ils parlent du réchauffement de la Terre en même temps que de la fonte des glaciers de la péninsule de l'Antarctique.

Au fait, qu'est-ce que c'est déjà des rr ??

Williams

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Un point sur la température des tranches d'eau océaniques et le RC .. à  l'oeuvre.  

https://www.ipsl.fr/Actualites/Actualites-scientifiques/Contribution-de-la-glace-terrestre-a-l-elevation-du-niveau-des-mers

Oui, l'accélération du relèvement marin devient nettement perceptible sur les données satellitaires.  Par pas de 10 ans, sur les 30 dernières années.  

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Posté(e)
Bastia - Montesoro [Alt.: 56m]

Le problème c'est que justement ceci trompe bp de personnes puisqu'ils parlent du réchauffement de la Terre en même temps que de la fonte des glaciers de la péninsule de l'Antarctique.

Au fait, qu'est-ce que c'est déjà des rr ??

Williams

Salut,

RR = Rain Rate = Les précipitations en gros wink.png

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L'article de notre ami Bernard dit 3,3 mm par an en termes d'élévation des océans.

Mais pas la Méditerranée qui est à 1,1 mm c'est à dire 3 X moins qu'annoncé.

http://geodesie.ign.fr/index.php?page=maregraphe_de_marseille

Les informations vendeuses de papier continuent à pourrir le débat.

Parce que le vrai débat est de savoir de combien montent réellement les océans.

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2012 - 1885 = 127 ans.

16 cm / 127 = 0.125 cm par an.

Tu as raison, ce n'est pas 1,1 mm/an c'est bien 1,25 mm/an comme tu le fais remarquer.

D'ailleurs, si tu ne t'étais pas trompé dans le calcul, c'eut été le seul intérêt de ton message default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

On reste loin des 3,3 mm annoncés par l'article de notre ami Bernard..... et encore plus loin des 60 cm en 86 ans du GIEC.

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L'article de notre ami Bernard dit 3,3 mm par an en termes d'élévation des océans.

Mais pas la Méditerranée qui est à 1,1 mm c'est à dire 3 X moins qu'annoncé.

http://geodesie.ign.fr/index.php?page=maregraphe_de_marseille

Les informations vendeuses de papier continuent à pourrir le débat.

Parce que le vrai débat est de savoir de combien montent réellement les océans.

Après c'est sur que la Méditerranée est la seule Mer du monde entier.
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Je parle depuis le début, du Marégraphe de Marseille, ce à quoi fait référence Cotissois.

Après, moi, je m'en moque un peu je n'habite pas au bord de la Méditerranée.

J'habite à côté du Havre, à 112 m d'altitude, puis à Chamrousse à 1745 m d'altitude.

Je bosse au bord de la mer, là où la Manche est montée de 2,5 cm en 50 ans.

Après c'est sur que la Méditerranée est la seule Mer du monde entier.

Non, mais c'est quand même la référence Française au niveau altimétrie.
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Je parle depuis le début, du Marégraphe de Marseille, ce à quoi fait référence Cotissois.

Après, moi, je m'en moque un peu je n'habite pas au bord de la Méditerranée.

J'habite à côté du Havre, à 112 m d'altitude, puis à Chamrousse à 1745 m d'altitude.

Je bosse au bord de la mer, là où la Manche est montée de 2,5 cm en 50 ans.

Non, mais c'est quand même la référence Française au niveau altimétrie.

Tu n'avais pas besoin de le préciser !

Qui ne le sait pas sur le forum d'IC ! thumbup.gif

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Posté(e)
Naillat, 360m, 23

Je parle depuis le début, du Marégraphe de Marseille, ce à quoi fait référence Cotissois.

Après, moi, je m'en moque un peu je n'habite pas au bord de la Méditerranée.

J'habite à côté du Havre, à 112 m d'altitude, puis à Chamrousse à 1745 m d'altitude.

Je bosse au bord de la mer, là où la Manche est montée de 2,5 cm en 50 ans.

Alors ça vient de là jeje 38 biggrin.png !

pour, parler de climat ça me semble un peu court ...

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Je parle depuis le début, du Marégraphe de Marseille, ce à quoi fait référence Cotissois.

Non, je prononçais le mot "Méditerranée".

37] Along the Atlantic Iberian coast, it was worth noting that the maximum impact observed from the sensitivity tests were of around 0.4 mm yr−1 when including or not including the Cascais tide gauge record (section 4), that is, at the limit of what can be expected from the novel approach in terms of precision. In addition, keeping Cascais in the application of the approach in that region resulted in a vertical land movement of 1.7 ± 0.3 mm yr−1 (not shown in the tables). The estimate of such a large uplift at Cascais is most striking and unrealistic as no evidence has been reported so far for such a large site displacement at the location or its surroundings. The Kuo et al. [2004] approach and inherent assumption using sensitivity tests could then be regarded as useful for detecting anomalous trends in tide gauge records due to instrumental drifts or calibration errors. When Cascais station was discarded from our analysis, then rates of sea level rise along the Atlantic northern Iberian coast were consistently estimated at around 2.9 mm yr−1 in northern Spain (Table 3).

[38] In the Mediterranean Sea, the longest tide gauge records spanning the entire 20th century suggest the rates of absolute sea level rise between 1.2 ± 0.2 mm yr−1 in Venezia and 1.6 ± 0.2 mm yr−1 in Trieste, while Marseille presents an intermediate rate of 1.4 ± 0.2 mm yr−1. These differences among nearby series, especially those between Venezia and Trieste, which given their proximity are very unlikely to exist, were also attributed to the different time spans of the tide gauge records. In particular, the available Venezia record stops in year 2000. When the common period for all three records was used, namely 1909–2000, the resulting rates of sea level rise were within 1.5–1.6 mm yr−1 for these locations. They were thus consistent, although the shorter overlapping with altimetry data increased significantly the uncertainties up to 0.5 mm yr−1. On the basis of the longest records in Marseille, Venezia, and Trieste, we estimate that the rate of sea level change in the Mediterranean Sea since the beginning of the 20th century is of 1.4 ± 0.2 mm yr−1. This value is slightly larger than the generally accepted rate of 1.1–1.3 mm yr−1 [Tsimplis and Baker, 2000; Marcos and Tsimplis, 2008]. However, previous studies have either considered GIA as the only source of vertical land movement or not accounted at all for such effects.

[39] Absolute (geocentric) sea level rise provided by Mediterranean stations observing since the 1950s onward is highly consistent with a value of 1.3 ± 0.2 mm yr−1, not statistically different from the aforementioned estimate of 1.4 mm yr−1. These stations are all located in the Adriatic Sea: Rovinj, Split M., Split G., and Dubrovnik. The tide gauge record from Bakar displays a higher value of 1.6 ± 0.2 mm yr−1 because of its longer time span since 1930. Alexandria, although located in southeastern Mediterranean Sea, also shows consistency with a rate of 1.4 ± 0.3 mm yr−1 for a period starting in 1944.

[40] Tide gauge stations in the Aegean Sea display rates of absolute sea level rise of around 1.9–2.2 mm yr−1. All of them span the same period 1969–2010. In order to check whether these higher rates are due to the shorter observational period or on the contrary they reflect a truly higher sea level rise in this sub-basin, our analysis was repeated only considering data from 1969 to 2006 for all stations. The resulting trends of absolute sea level rise increased in the Adriatic up to 1.6–1.9 mm yr−1, reaching thus similar values to those of the Aegean stations. These higher values obtained when shorter recent periods are considered are likely due to the fast sea level rise observed during the 1990s [Cazenave et al., 2001; Fenoglio-Marc, 2001]. However, the shorter periods also increase the uncertainties up to 0.4–0.5 mm yr−1 and the dispersion among the results.

[41] We conclude that the rates of sea level rise during the 20th century and during the last decades present consistent patterns everywhere in the Mediterranean Sea, once the vertical land movements of the sites where the tide gauges are grounded have been properly removed. The success of the methodology to separate the oceanic and the land contributions to observed rates of sea level rise at the coast was demonstrated despite the variety in magnitude, direction, and nature of the land movement processes occurring in the Mediterranean region [Emery and Aubrey, 1991; Tsimplis et al., 2011].

[42] When the common period for all stations (1969–2006) is used (and discarding Venezia because of its shorter length in common with satellite altimetry data), absolute rates of sea level rise averaged over the Mediterranean and Atlantic stations are of 1.7 ± 0.2 and 3.1 ± 0.1 mm yr−1, respectively. That is, Mediterranean Sea level rise is lower than the northern Iberian coast by 1.4 mm yr−1. Note that the uncertainties now reflect the dispersion among stations, whereas each individual trend has its own standard error of 0.4–0.5 mm yr−1. A lower value (∼1 mm yr−1) was also found by Marcos and Tsimplis [2007] but for the shorter period 1960–2000. The observed differences of sea level rise between these two close regions were explored by quantifying two forcing mechanisms, namely the atmospheric forcing and the differential thermal expansion. These are reviewed below.

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Ton texte dit qu'une marge d'erreur de 0,4 à 0,5 mm par an explique les différences de relevés entre les différents points de mesures.

Si on prend tes 1,7 mm/an, mes 1,2 sont bien dans la marge d'erreur dont tu parles.

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On s'en fout un peu, puisque ces 0.4mm d'erreur concernent uniquement celui qui ne connaîtrait que la station de Marseille. En s'aidant des stations voisines, on passe à 0.2mm d'erreur. On ne va pas se priver de réduire la marge d'erreur !

Soit +1.7mm/an (+/- 0.2) en Méditerranée depuis 1969.

Sur les stations nord-espagnoles, la montée (climat+géologie) depuis 1969 est de +3.1mm/an.

Si ça triple à la fin du XXIe, ça fera dans les +60cm/100 ans.

Et depuis le départ, ces 60cm sont évoqués. Sans que ce soit un drame absolu. Mais c'est +60cm. Une grosse goutte d'eau pour toutes les situations délicates (dunes aquitaines, marais vendéens, habitants de l'île de Sein ou de Quimperlé/Morlaix...)

On peut toujours dire que sur le long terme, ces situations délicates sont "condamnées", qu'on n'aurait jamais dû construire des maisons à Sein ou sur le bord de la Laïta.

Sauf que l'homme est têtu, il n'évacuera que 3 jours avant une possible catastrophe, il se réinstallera après. Et tout montre qu'actuellement, les gens cherchent à se rapprocher de la mer. A l'heure où la mer monte...

Aux USA, ils évacuent des millions à chaque cyclone. Avec +1m (scénario un peu pessimiste), peut-être il faut évacuer 1 million de plus. Et si on imagine 1 million d'habitant en plus, pour des raisons démographiques, ça fait 2 millions en plus à évacuer.

A l'heure où on fait beaucoup d'efforts pour que chaque catastrophe soit de moins en moins dramatique (gros progrès au Bengladesh ou en Inde), on a un niveau de violence climatique qui augmente (grâce au même "on").

Génial non ?

Je loue ceux qui ont vécu la période "il faut croire au futur" des années 1960 aux années 1990.

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Posté(e)
Briançon (05) 1260m

Je ne savais pas où le poster ailleurs que dans ce topic.

http://www.wmo.int/pages/mediacentre/press_releases/pr_1002_fr.html

L'Organisation météorologique mondiale incite les Etats à réduire leurs émissions de GES et notamment de CO2 non plus seulement pour limiter le RCA à 2°, mais aussi pour réduire l'acidification galopante des océns, un rythme sans précédent "depuis au moins 300 millions d'années".

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  • 2 months later...
Posté(e)
Beauvoir (Manche/Mt st Michel

Les tempêtes ont fait reculer la côte aquitaine jusqu’à 40 mètres

LE MONDE |

21.11.2014 à 17h39

• Mis à jour le

22.11.2014 à 10h07

|Par Martine Valo

La nature n’est pas près de réparer les conséquences de l’épisode exceptionnel des huit fortes tempêtes qui ont frappé en un temps record le littoral d’Aquitainependant l’hiver 2013-2014. Non seulement la côte a globalement reculé de plus de 10 mètres et les plages se sont affaissées, s’érodant de 2 à 4 mètres, mais l’été suivant, les vagues n’ont pas rapporté de sable comme à l’ordinaire. Résultat: la façade atlantique va devoir affronter les prochaines intempéries sans la protection de nombreuses dunes gommées par les « coups de cuiller » des vagues comme disent les experts.

De décembre 2013 à mars 2014, les tempêtes qui ont frappé la côte sur toute sa longueur ne se sont pas distinguées par des vagues record mais par une cadence si rapide que cet épisode est considéré comme historique. « L’énergie produite par la houle a été plus de deux fois supérieure à celle des hivers précédents. Nous n’avons rien trouvé de comparable dans notre base de données, qui existe pourtant depuis 1958 », témoigne Cyril Mallet, chef de projet littoral au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) d’Aquitaine. Avec l’Office national des forêts (ONF), les experts du BRGM ont présenté jeudi 20 novembre, un bilan édifiant destiné d’abord à éclairer les collectivités locales dans leurs réflexions

Selon les relevés de l’été dernier, le trait de côte enregistre un recul de 5 à 20 mètres au lieu de 1 à 3 m habituellement, cette dernière donnée correspond à la moyenne mondiale. Le retrait atteint même parfois jusqu’à 40 m, comme à Soulac-sur-Mer en Gironde, ou un immeuble se trouve désormais au bord de la falaise. « Nous travaillons à accompagner et ralentir l’évolution du littoral, pas àessayer de le fixer, précise Francis Maugard de l’ONF. Même avec l’intervention des agents pour planter des oyats et interdire le piétinement, il faut au moins cinq ans pour reconstituer une dune. Nous consacrons à ces efforts un budget de 500 000 euros par an. »

Plus d’un quart du littoral français subit une érosion sensible actuellement. La région Aquitaine particulièrement frappée va devoir s’adapter. 272 hectares abritant des campings, des zones d’activités économiques et surtout des habitations sont directement menacés. Dans la nuit de mercredi à jeudi, une femme a été emportée par une forte vague à Anglet, dans les Pyrénées-Atlantiques. Elle n’est pas la première ces dernières semaines.

Carlos Olivera, chargé des questions climatiques au BRGM, évite prudemment de se prononcer sur l’effet du réchauffement sur l’accentuation de la fréquence et de l’intensité des tempêtes. Mais la montée du niveau de la mer est, elle, incontestable, « de 20 cm depuis 1870 », rappelle-t-il et cette élévation accentue le phénomène d’avancée de la mer dans les terres.

Face aux risques acccrus de submersion, les experts du BRGM préviennent que la France va devoir opérer un véritable « changement culturel ». En clair: il vafalloir cesser de bétonner les côtes et «relocaliser» certaines constructions des communes littorales. D’autant que la densité de population y est 3 fois plus élevée que la moyenne nationale ( 5 fois en Méditerranée). Dans le sud-ouest, des communes vulnérables, comme Lacanau et la Teste-de-Buch en Gironde ainsi que Labenne dans les Landes y réfléchissent.

Un hiver du même style que l'an dernier avec des dépressions très creuses durables même au large n'est pas une urgence, surtout avec quelques très grosses marées vers le 20 janvier et surtout vers les 20 février et 20 mars.

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Mode "ironique" ON

L'Auvergne et de nombreux autres régions/départements démographiquement en difficulté, qui sont, comme par hasard, absolument tous non côtier, seraient enchantés d’accueillir ceux là même qui sont parti de nos calmes contrées depuis l’après guerre.

La mer est un milieu dangereux et agressif, s'y agglutiner comme les moules sur un bouchot est une ineptie, car, il ne vous aura pas échappé, nous réagissons moins bien que ces dernières aux submersions.

Serai-ce la revanche de l'Allier, de la Nièvre et du Loir et Cher ?

Mode "ironique" Off

Bref, sans aller si loin, n'y a-t-il pas trop de monde sur des côtes qui font tant rêver, mais qui s'avèrent pas si hospitalières que ça, et ce même avant tout RC, et qui risque de devenir franchement inhospitalier avec le RC ?

Il y a un certain Darwinisme qui se fait jour dans cette histoire...

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  • 4 weeks later...

Deux études séparées qui montrerait que l'on aurait sous-estimé l'impact des "lacs supraglaciaux " dans la perte de glace des glaciers du Groenland, donc ainsi les conséquences sur la montée du niveau des océans.

http://www.goodplanet.info/actualite-fr/2014/12/16/groenland-la-fonte-des-glaciers-est-sous-estimee/

Avec notamment cette phrase que je ressors :

"Les modèles informatiques actuels sur l’évolution de ces glaciers « sont trop simplistes pour prédire de façon exacte la montée du niveau des océans dans le futur car ils pourraient fondre plus rapidement qu’on ne le pensait jusqu’alors dans un avenir proche », explique Beata Csatho, professeur de géologie à l’Université de Buffalo. Elle est le principal auteur de ces travaux parus dans les Comptes-rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS).

-"

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  • 3 months later...

Mise en ligne du Volume 5 : Changement climatique et niveau de la mer : de la planète aux côtes françaises - Mars 2015 sur le site du MINISTERE DE L'ECOLOGIE,DU DEVLOPPEMNT DURABLE ET DE L'ENERGIE .

http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/ONERC_Rapport_Vol5_niveau_de_la_mer_2015_VF_COUV-25-03.pdf

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  • 1 month later...

D'après une étude parue dans la revue Nature Climate Change l'élévation du niveau de la mer se serait en fait accélérée ces dix dernières années contrairement à de précédentes estimations basées sur des données satellitaires :

http://www.boursorama.com/actualites/la-hausse-du-niveau-de-la-mer-s-est-acceleree-etude-ef9e634e5aa025e431fe300133e6677e

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Bonjour Bernard,

ce n'est pas exactement ce que j'ai compris de l'abstract, puisqu'il me semble que selon les chercheurs, le niveau sur la dernière décennie a été revu à la baisse après correction suite à une mauvaise polarisation, et que c'est en raisonnant sur les 2 dernières décennies qu'une accélération serait observée.

A noter que les marges d'erreurs affichées sur les graphs publiés officiellement par les centres, prouve une fois de plus leurs intérêts, puisque cette étude rend des résultats qui restent dans l'écart type d'incertitude envisagé, ce qui ne rend pas médiocre la publication initiale, mais les nouveaux étant centrés avec un meilleur alignement aux marégraphes.

Enfin, c'est ce que j'en ai compris en tout cas^^

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Bonjour, à tous,

Les écarts sont plus liés au fait que les mesures par satellites et par Marégraphes sont décalées, voire antagonistes.

Depuis que les relevés altimétriques sont fait par satellite, effectivement l'élévation s'accélère, mais attention aux références de calculs ........

Les Marégraphes ne disent pas les mêmes choses malgré leurs fortes variations de mesures, puisque depuis 1952, ils annoncent plutôt des valeurs d'élévation inférieures à 10 cm, sans perte de linéarité depuis 15 ans.

A Brest :

ONERC_2010-image-anomalies-niveau-mer-brest-1952-2010_-_hd.png

A Papeete :

ONERC_2010-image-anomalies-niveau-mer-papeete-1975-2010_-_500px.png

En Polynésie Française :

ONERC_2010-image-anomalies-niveau-mer-rikitea-1969-2010_-_500px.png

Et enfin, celui de Nouméa qui voit une parfaite stabilité.

ONERC_2005-image-anomalies-niveau-mer-noumea-1967-2005_-_500px.png

Sources, le Ministère de l'écologie et du Développement Durable.

http://www.developpement-durable.gouv.fr/Niveau-de-la-mer-maregraphique.html#prettyPhoto

Quant aux relevés par satellites :

MSL_Serie_MERGED_Global_IB_RWT_GIA_Adjust.gif

Après, chacun analyse à sa sauce mais franchement, avec les marées, la houle et les écarts liés aux différences de pressions issues de la météorologie, j'ai du mal à m'imaginer que les satellites puissent être aussi précis que les Marégraphes.

Mais, bon je peux me tromper tout comme le fait mon GPS lorsqu'il me fait parfois rouler 5 m sous le niveau de la mer ;-)

Bonne soirée.

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  • 3 months later...

J'adooooooooore :

« il est pratiquement certain que l’océan s’élèvera d’au moins 3 pieds [soit 90 cm, NDLR], et probablement davantage ». L’échéance, en revanche, est nettement moins précise : « nous ne savons pas si cela arrivera d’ici à un siècle ou plus tard »

En clair, je ne sais rien mais j'en parle smile.png

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cet article de futura sciences est assez nul, effectivement.

franchement, balancer 1m d'élévation de niveau de la mer en 2100, ou plus, fallait oser quand même.

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