Serge L Posté(e) 4 janvier Toulon Bas-Faron Partager Posté(e) 4 janvier Sans commentaire, la Mer de Glace sous un autre angle en 1910 et 2024 : 1 1 1 1 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
lothski Posté(e) 17 janvier Besançon 290m Partager Posté(e) 17 janvier ça se lit plus facilement que du Japonais https://www.legambiente.it/wp-content/uploads/2024/12/report-Carovana-dei-ghiacciai-2024.pdf au passage on voit que le Careser a pris une claque de plus , -190 cm de glace en moyenne Celui là est toujours déficitaire depuis 1981 mais je m'attendais à moins mauvais avec le quasi record hivernal .Pfiouuu... https://bsky.app/profile/jojoski2.bsky.social/post/3lfvpswthi22b 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thundik81 Posté(e) hier à 11:47 Ici dans le Cloud Partager Posté(e) hier à 11:47 https://www.arpa.vda.it/notizie/clima/nuova-tecnica-per-lo-studio-del-permafrost-nei-rock-glaciers < https://doi.org/10.5194/tc-19-143-2025 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thundik81 Posté(e) hier à 12:29 Ici dans le Cloud Partager Posté(e) hier à 12:29 Je crois que déjà évoqué : https://www.ige-grenoble.fr/Les-avalanches-alliees-insoupconnees-des-glaciers < https://doi.org/10.5194/tc-18-5965-2024 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cedski Posté(e) hier à 14:58 Grenoble (nord) Auteur Partager Posté(e) hier à 14:58 (modifié) Evoqué, oui, par l'observation on a déjà fait remarquer une très nette différence de résistance des glaciers sous parois rocheuses que ceux sans alimentation externe aux chutes de neige. Mais que ça soit démontré de telle sorte (sur un seul glacier, hein...), j'avais jamais lu d'article aussi sérieux. (article tout court même) Les résultats de cette étude ont permis de montrer que 20% de l’accumulation en neige du glacier d’Argentière provenait des avalanches, et que cette contribution s’élevait à 60% au pied des faces environnantes. Ces avalanches ont donc une contribution très positive à l’état de santé du glacier d’Argentière, et des simulations numériques ont permis de montrer que prendre en compte cet effet permettait de maintenir deux fois plus de glace à l’horizon 2100 dans un scénario moyen d’émissions de CO2. Il n’en reste pas moins que le glacier perdrait quand même près de 70% de son volume actuel. Modifié hier à 14:59 par Cedski 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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