Christophe Suarez

Jolie série, Paul, à l'image de la belle saison estivale dans le sud. Avec toutes ces bizarreries, on peut être circonspect sur la suite des évènements en Méditerranée !

Bonsoir, La nouvelle formule fonctionne dès à présent. Ce qui ne change pas c'est le principe prénom nom sur Chasseurs d'orages. Ce qui change, c'est que les comptes des membres IC seront validés sans préalable sous la forme "prénom nom" (juste préciser votre pseudo IC lors de la demande). Merci de nous laisser deux trois jours tout au plus pour l'activation du compte En somme et pour résumer : Envoyer un email à webmaster@chasseurs-orages.xxx Objet : inscription d'un membre IC sur CO prénom nom email pseudo IC Un petit mot de présentation n'est pas obligatoire mais apprécié. Et voilà.

Une dernière chose, il n'y a pas eu de différent avec IC, c'était un souci interne à CO, et plus globalement celui d'une communauté en effervescence. De l'eau a coulé, tout le monde a muri....

Pas du tout. Simplement, pour des raisons longues à expliquer, les inscriptions étaient soumises à validation. De l'eau est passée sous les ponts, je crois que nous pouvons tourner cette page. Les membres d'IC qui le souhaitent ne rencontreront pas de difficultés à s'inscrire.

Je reconnais tous ces endroits. Merci pour le partage.

De très belles ambiances électriques par ici, et un post-traitement doux. Joli travail.

Pour répondre à quelques interrogations lues plus haut, Chasseur d'Orages s'ouvre sans réserve aux membres de IC (membre ou adhérent d'ailleurs). La procédure d'inscription est donc simplifiée, c'est une des nouveautés dont vous prendrez connaissance dans les semaines à venir.

C'est remarquable. Bien joué !

Ah tiens, joli retour. Toujours au XE-1 ?

Jolie série, Paul. Content de t'avoir rencontré pour la première fois. Pour agrémenter le récit, voici un crop du coup de foudre sur les installations du Tricastin. Comment ne pas souligner la fumée qui s'en est suivie et a suscité bien des interrogations...

C'est exactement le sens de mon propos, Romain. Fais toi une idée avec le matériel en main. Le reste c'est du pipeau. Il y a de bonnes occasions aussi. J'ai acheté mon 24-70 bien moins cher que le prix du neuf. Quant au d600 on le trouve d'occasion pour des prix étonnants. En ce qui concerne le 6d, les prix ont commencé à chuter j'imagine...

Hello Cirrus, je m'adressais plutôt à Romain. J'entends bien les considérations financières. Mais connais tu les objectifs et les boitiers dont nous parlons (à part sur des sites comparatifs s'entend ?), tu parles bien savamment de ces objectifs FX... J'imagine que lorsqu'une personne achète un D3200 et un 18-105, il sait pourquoi. Au même titre un photographe qui achète un D610 ou un D800 et son complément sait pourquoi aussi. La veille technologique est une chose, les séances photo une autre. Le rendu est une perception personnelle, tu as raison, et ça pourrait être le mot de la fin.

Joli !

Prends celui qui te plait le plus, Romain. Perso j'ai un D600 & 24-70/2.8 Nikkor, j'en suis satisfait. Je n'irais pas investir dans un Tamron. Pourquoi ? Parce que j'ai confiance dans l'optique Nikon. Il est solide, l'AF est fiable, et le rendu me convient, etc. Et puis à la revente il tient la côte (bizarre hein). Mais ça, les tests ne le disent pas... Ne lis pas trop les tests sur mire (ils sont bidons), achète le matériel qui te plait et fais toi plaisir sur le terrain. Tu a l'air malin à comparer les plages dynamiques sur des sites automatiques, alors qu'une belle cellule explose à 10kms de chez toi... Et pour finir, rien ne vaut l'échange d'expérience avec des personnes qui possèdent le matériel que tu convoites. Cheers, Chris Edit : Tiens je viens de tomber sur un comparatif intéressant parce qu'il ne compare pas seulement des photos sur mires. http://www.cameralabs.com/reviews/Nikon_vs_Tamron_24-70mm_comparison/ Avec les mires, le Tamron semble très bon. Dans la vraie vie, pour du paysage, il n'est pas aussi fort... Nous pourrions transposer cela aux boitiers /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

Ca vaut la peine d'être un couche-tard parfois ! De bien jolies choses dans cette série.

Merci à tous. Lefan, je ne pensais pas que cet article aurait autant d'écho. Tant mieux, j'ai vraiment apprécié l'approche de ce journaliste. Agnès, le phénomène est possible parce que de l'air froid parcourt une surface chaude. Pour que cela fonctionne, il doit y avoir un peu de convection et pas trop de vent. En fait, c'est assez délicat. C'est la raison pour laquelle le phénomène n'est pas plus fréquent. Dans le cas précis du Léman, si j'ai bien compris, le jeu des brises est essentiel, il suscite la convergence qui donnera naissance aux congestus sur le lac, sous lesquels les trombes se forment. Il existe une autre possiblilité : il peut s'agir de trombes d'origine mésocycloniques, ça s'est déjà vu sur le Léman. Comme je ne suis pas un spécialiste météo, je vous propose un lien avec des explications plus détaillées, glanées en faisant des recherches sur le web : http://www.territet.ch/galerie-photos/#/territet/2005-5_juillet/texte_trombe/ En ce qui concerne les fleuves je ne sais pas. Evidemment, une tornade doit pouvoir traverser une rivière ou un fleuve, mais la formation d'une trombe de type lacustre semble plus improbable. Je poserai la question à Dean Gill. Pour finir, Thundik81, merci pour les liens vers de vieux articles. J'aime beaucoup l'approche pragmatique et imagée de nos ancêtres. J'ai parfois l'impression qu'ils comprenaient plus de choses que leurs contemporains. Un certain regard et une forme de respect envers les éléments semble avoir disparu.

Merci encore. Tu as raison. Mais j'irai les chercher dans le sud, car, avec un peu de chance, 8 trombes sur le Léman c'est une vingtaine d'années de traque ...

Merci pour vos commentaires. C'est vrai Lefan, j'aurai aimé qu'elles condensent entièrement, mais je n'ose pas me plaindre. Le phénomène est beaucoup moins fréquent ici qu'en méditerranée et je te confirme mon excitation. Heureusement que le 70-200 est pourvu d'un dispositif anti vibration /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">.

Merci à tous. Steph, je n'ai jamais vu de témoignage sur une trombe au lac d'Annecy. En revanche, j'ai vu une vidéo de trombe (non condensée) au lac du Bourget. Je pense que c'est possible, mais assez rare.

Dans mes rêves les plus fous d'ancien marin, j'avais coché la case "trombe marine". Aujourd'hui une phrase de St-Exupéry résonne dans mon esprit : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité." Depuis quelques jours j'attends une échéance : Dean a évoqué une possibilité de trombe sur le Léman. Le phénomène est rare mais récurrent et le lac est connu et réputé pour ses trombes lacustres, sur le Haut Léman généralement. Le lac est bien chaud. La situation de traine peu active est particulièrement favorable au développement du phénomène attendu. Je n'étudie pas plus que cela les modèles, mais constate quand même que Cosmo modélise des précipitations sur le lac, en fin de journée. Dès le matin, j'ai la tête dans les nuages. Je fais de mon mieux pour rester concentrer au travail. Par chance, en début d'après midi, je me trouve sur une terrasse. Dean est en route pour le haut Léman. Lorsque soudain je devine un tube au loin, sur le petit lac. J'appelle immédiatement Dean. Pris de court, il ne peut que constater la présence de la trombe sur sa droite, dans un endroit assez inhabituel du lac. Issue d'un cumulus à faible développement vertical, elle est aussi inattendue qu'éphémère et dure tout au plus trois minutes. Dans un élan de sagesse, de génie, (ou de folie ), Dean me dit : il y en aura d'autres... Je m'affaire, puis prends la route en fin d'après midi. D'astreinte, je ne peux pas franchir la frontière, je suis condamné à regarder le spectacle du côté français. Ce sera ma chance. En ce mardi un peu frais, les cumulus ont la blancheur immaculée des lendemains d'orage. La convection diurne se fait sur les terres. Je regarde de gros cumulus défiler sur la Suisse. Le lac est vierge de nuages, il va falloir patienter. (1) Les heures défilent... des congestus menaçants se forment à l'ouest du lac. Le ciel est chargé, le soleil caché. Soudain, en début de soirée, et conformément aux prévisions du modèle, la convection prend sur le lac. Dean m'appelle, le scénario est conforme. Suite à la dégradation du jour précédent, l'atmosphère est limpide. On pourrait presque toucher Lausanne. La navette transporte des passagers pressés qui se moquent bien des couleurs du ciel vespéral. (2) Posté sur une hauteur de Evian, j'observe les premiers rideaux de précipitation naître en face, au milieu du lac. Les bases prennent de la consistance. (3) A partir de ce moment, tout va très vite. Sous mes yeux incrédules, deux tubas se forment, dans le rideau de précips. Je ne perdrais pas une seconde du spectacle qui suit. (4) les tubas prennent de l'ampleur et condensent de plus en plus. (5) (6) Rapidement, je réalise qu'un buisson est apparu sous le tuba de droite. Au même moment plusieurs personnes s'intéressent à mon activité. Plus étonnées par mon matériel que par la couleur du ciel, je leur montre le phénomène sur le lac. Leur réaction m'amuse : "Mon Dieu des tornades se forment. C'est dangereux ?". (7) (8)Enfin, le moment espéré se réalise. Les deux buissons deviennent visibles. Je suis dans un état d'excitation indescriptible. (9) Les trombes se délitent au bout de quelques minutes, puis la vie reprend ses droits. Comme si de rien n'était la navette Lausanne-Evian continue ses va et vient. (10) Quelques tubas réapparaissent ci ou là mais il ne donneront pas une quatrième trombe, au grand regret de Olive qui a rejoint Dean.(11) Je regarde les cumulus s'éloigner vers le haut lac, ils évoluent en Cb. Je reprends la route en direction de St Gingolph. (12) Mon épopée se finit aux frontières du pays. Il est 23h, la fête est terminée. Merci à Dean, je salue son talent de prévisionniste. Nous avons partagé un moment exceptionnel en regardant ces trombes franco-suisses.

Sacrée ambiance en tous cas. La 9 et la 15 me plaisent particulièrement.

J'ai lu ce reportage sur mon smartphone, il y a quelques jours. De retour à la maison, je tenais à vous féliciter. Cette série est marquante.

Excellent reportage et ambiances intéressantes. Bravo !

C'est mieux oui.... En 2006 je shootais avec des DSLR Nikon et objectifs non tropicalisés. Le résultat sur les photos ne s'en sont pas fait ressentir. Avec un minimum de précautions les boitiers ont survécus, ils ont même eu une deuxième vie. Rien ne vaut une bonne protection plastique, ça pourrait faire l'objet d'un topic dédié d'ailleurs (si ce n'est pas déjà fait). J'en connais même qui ne sortent jamais sans leur parapluie (de golf), mais c'est une autre histoire. Dans les années à venir, je ne doute pas que les détecteurs deviennent encore plus performants. Certaines voies sont explorées depuis longtemps, comme l'utilisation de la "signature radio". En complément de l'optique, ça pourrait être une option. Par ailleurs, des filtres LCD (qui deviennent opaques lorsqu'ils sont "excités") pourraient voir le jour. Bref, ça va encore évoluer, ... Chris

L'autonomie sur la version de base est de 30h, et de 15h sur le version Bluetooth. Sur un port USB2 (sur un PC ou un allume-cigare), la recharge prend environ une heure. Pour un prochaine version, il serait intéressant d'envisager une option piles, des batteries interchangeables. Gilles est attentif à toutes nos demandes. En ce qui concerne la position du jack, Gilles pense la revoir pour la prochaine version (V2.0). Chris