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	A lire également :La fonte des glaciers himalayens observée depuis l’espace Les glaciers himalayens fondent sous l’effet du réchauffement climatique. Cependant, l’ampleur de cette fonte reste difficile à estimer par des relevés de terrains en raison du grand nombre de glaciers, de leur difficulté d’accès et de l’étendue de la chaîne de montagne. Source : IRD, Fiche n°258 - Février 2007 http://www.ird.fr/fr/actualites/fiches/2007/fas258.pdf Florent.
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	Afrique : En attendant la saison de pluies par Florent Breuil le 22/02/2007 | Rubrique: Diagnostic scientifique | Le programme international Amma (Analyses multidisciplinaires de la mousson africaine) relève un défi scientifique aux enjeux énormes pour le continent noir. Reportage et analyse. "Cette année, la saison des pluies est en retard, explique Thierry Lebel, hydrologue à l’Institut de recherche pour le développement (IRD – France). Certes, ici les gens connaissent les aléas du climat et ils ont des stratégies de prudence pour y faire face. Lorsqu’ils sèment, après la première pluie, ils conservent des graines pour le cas où la sécheresse ferait échouer ce semis initial. Ils recommencent alors une seconde fois. Mais actuellement, le troisième semis a déjà échoué. Les paysans ont mis en terre leurs dernières graines car, après, il sera trop tard. La maturité n’aura plus le temps d’être atteinte avant le retour de la sécheresse et la récolte sera perdue." L’objectif de Amma est donc de percer le mystère de cette capricieuse évolution de la mousson africaine et d'en décrypter les ressorts. Ce qui n’est pas une sinécure. Ce phénomène est, en effet, un processus atmosphérique d’ampleur continentale, par là même d’une énorme complexité. La mousson est à la fois contrôlée par le climat mondial, ses évolutions et ses cycles périodiques, et par les activités humaines qui infligent, depuis quelques décennies, d’impressionnants coups de boutoir aux équilibres préexistants. Source : http://www.mediaterre.org/scientifiques/ac...0222163836.html Florent.
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	Coup de chaud sur le toit du monde Communiqué du CNRS Paris, 22 février 2007 Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) vient de rendre les conclusions de son 4e rapport, réaffirmant l'existence d'un réchauffement climatique moyen de 0,74°C depuis un siècle. Toutefois, certaines régions du globe, comme l'Asie centrale, demeurent très peu documentées. Une nouvelle étude menée par des chercheurs français du laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement (LGGE, CNRS / Université Joseph Fourier, Grenoble) et du laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (LSCE / IPSL, CEA / CNRS / Université de Versailles Saint-Quentin), en collaboration avec des chercheurs chinois, russes et américains, apporte des preuves que ce réchauffement récent a aussi affecté les neiges éternelles du Mont Everest, au cœur de l'Himalaya. Ce résultat a été publié le 7 février 2007 dans le journal européen Climate of the Past. L'Himalaya et le plateau tibétain constituent deux régions dont l'évolution climatique est très mal documentée : les stations météorologiques y sont fort peu nombreuses et les archives climatiques prélevées dans les glaciers, les lacs ou les cernes d'arbres sont rares et souvent difficiles à interpréter. Néanmoins, des scientifiques chinois ont réussi en 2001 et 2002 à forer trois carottes de glace au sommet du glacier East Rongbuk recouvrant le col nord du Mont Everest, à 6518 m d'altitude. Réalisée en collaboration avec le LGGE et le LSCE, l'analyse de ces carottes a permis de mettre en évidence l'existence d'un nouveau traceur climatique, la teneur en gaz de la glace, et ainsi de retracer l'évolution des températures d'été sur ce site de très haute altitude. À ces altitudes, la neige de surface fond en partie durant l'été et l'eau de fonte percole (1) à travers le manteau neigeux pour regeler en profondeur. Ce processus affecte la densité et la taille des bulles d'air contenues dans la glace, c'est-à-dire sa teneur en gaz. Cette dernière dépend donc directement de l'intensité du phénomène de fonte estivale. En mesurant avec précision la teneur en gaz le long de deux des trois carottes de glace prélevées sur l'Everest, les chercheurs ont pu suivre son évolution au cours du temps, en remontant jusqu'à 2 000 ans dans le passé. Ils ont alors pu observer une diminution très prononcée de la quantité de gaz piégée dans la glace du 20e siècle, par rapport à celle contenue dans de la glace plus ancienne, un résultat qui reflète une intensification récente des épisodes de fonte estivale à la surface du glacier. En effet, même si une quantification précise de l'évolution associée des températures au cours du temps n'a pas encore pu être réalisée à partir de ce nouveau traceur (le gaz piégé), ces travaux indiquent clairement que le réchauffement climatique a aussi affecté les neiges éternelles du toit du monde. Ce travail a bénéficié en France du soutien du programme international de coopération scientifique franco-chinois du CNRS (dans le cadre du projet « CLEAH (2) ») et en Chine de celui de l'ambassade de France. Notes : (1)L'eau de fonte circule à travers le manteau neigeux sous l'effet de la gravité. (2)CLimat et Environnement en Antarctique et en Himalaya Références : Summer temperature trend over the past two millennia using air content in Himalayan ice. Hou S., Chappellaz J., Jouzel J., Chu P.C., Masson-Delmotte V., Qin D., Raynaud D., Mayewski P.A., Lipenkov V.Y. et Kang S., Climate of the Past 3, 89-95, 2007. En ligne sur : Consulter le site web Source : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1038.htm Florent.
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	Un mécanisme d'amplification du changement climatique Communiqué du CNRS Paris, 22 février 2007 Lors des derniers 90 000 ans, des périodes chaudes et froides de quelques milliers d'année ont alterné, entraînant une modification de la circulation océanique globale. A l'aide d'indicateurs paléoclimatiques et paléo-océanographiques, des chercheurs du CEREGE (1) ont mis en évidence un mécanisme de rétroaction de la circulation océanique sur le climat, qui renforce le réchauffement ou le refroidissement. Ce mécanisme repose sur un lien étroit entre la circulation Atlantique Nord et l'hydrologie tropicale de l'Amérique centrale. Ces travaux, publiés dans la revue Nature du 22 févier 2007, doivent permettre de mieux comprendre, et donc de mieux prévoir, les effets du changement climatique sur la circulation océanique. Dans le passé, les variations climatiques rapides et de grande ampleur qui ont eu lieu notamment pendant la dernière glaciation (périodes de Heinrich) ont perturbé la circulation océanique. Les archives climatiques (sédiments marins et lacustres, glaces polaires, stalagmites), montrent la relation étroite existant entre variations climatiques et circulation océanique. Or, les changements de circulation océanique dans l'Atlantique Nord ont une influence à l'échelle planétaire, en affectant en particulier le cycle de l'eau : ils s'accompagneraient d'un déplacement de l'équateur climatique séparant les systèmes d'alizés des deux hémisphères, vers le sud lors d'événements froids et vers le nord lors d'événements chauds. L'Amérique centrale, bande continentale étroite séparant l'océan Atlantique de l'océan Pacifique, joue un rôle clé dans ce système. Du côté de l'Atlantique, les eaux de surface s'évaporent, ce qui augmente leur salinité. La vapeur d'eau est transférée par les alizés vers le Pacifique, où elle retombe sous forme de pluie, diminuant la salinité. Cet énorme transfert d'eau (plusieurs centaines de milliers de mètres cube par seconde) maintient un contraste de salinité entre les deux océans. Les eaux de surface de l'Atlantique tropical sont ensuite transportées, via le Gulf Stream, vers les hautes latitudes, où elles réchauffent l'atmosphère, avant de plonger vers les abysses dans des zones de convection situées dans les mers de Norvège, du Groenland et du Labrador. Les eaux profondes ainsi formées vont ensuite se propager dans l'océan mondial, purgeant l'Atlantique Nord d'une partie de son excès en sel. Les chercheurs du CEREGE(1) ont reconstitué les variations de salinité des eaux de surface, dans la zone de dépôt de la vapeur d'eau provenant de l'Atlantique. Pour cela, ils ont travaillé sur les mesures réalisées dans les sédiments marins prélevés en 2002 à l'ouest de l'Isthme de Panama, par le navire océanographique français Marion Dufresne. Cette étude montre que les périodes froides de Heinrich correspondent à des augmentations de salinité dans la zone Est Pacifique, synonyme d'une réduction du transfert de vapeur d'eau. En comparant leurs résultats à d'autres études réalisées dans le secteur Atlantique et en Amérique du sud, les chercheurs ont mis en évidence un mécanisme de rétroaction qui a amplifié la perturbation climatique. Lors des épisodes froids, les alizés chargés d'humidité ont migré vers le sud ; ne pouvant pas franchir la Cordillère des Andes, une partie des pluies qui normalement adoucissaient le Pacifique Est s'est déposée sur le bassin versant de l'Amazone. Cette rétroaction a eu pour effet de réinjecter les eaux de pluie dans l'Atlantique et de diminuer ainsi la salinité des eaux de cet océan.Ces eaux transportées ensuite vers les hautes latitudes ont donc contribué à l'affaiblissement de la circulation océanique profonde, renforçant encore le refroidissement au-dessus et autour de l'Atlantique Nord. Aujourd'hui, le fait que le réchauffement climatique pourrait perturber le cycle de l'eau et induire un ralentissement de la circulation Atlantique Nord est un réel sujet d'inquiétude. Les données océanographiques des 50 dernières années suggèrent que des changements hydrographiques (température et salinité) ainsi qu'une diminution du flux d'eau transporté par certains courants marins, en surface et en profondeur, se sont déjà produits en Atlantique Nord. Le risque d'une variation encore plus importante de la circulation océanique à l'échelle de la fin du siècle, ou du début du siècle prochain, doit être pris au sérieux et étudié activement. (1) Centre européen de recherche et d'enseignement des géosciences de l'environnement (CNRS, Universités Aix-Marseille 3 et 1, IRD et Collège de France). Anomalie moyenne des pluies simulée par les modèles après un effondrement de la circulation océanique profonde (augmentation en bleu, diminution en rouge). La flèche en pointillés représente le transport actuel de la vapeur d'eau. Les flèches pleines indiquent le transport multiple (alizés -> fleuves -> courants marins) durant l'anomalie climatique. Les croix localisent les sites d'études paléoclimatiques. © G. Leduc - CNRS 2007 (cette image est disponible auprès de la photothèque du CNRS, 01 45 07 57 90, phototheque@cnrs-bellevue.fr) Références : Moisture transport across Central America as a positive feedback on abrupt climatic changes, Leduc G., Vidal L., Tachikawa K., Rostek F., Sonzogni C., Beaufort L., Bard E., Nature, 22 février 2007. Source : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1039.htm Florent.
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	Le Danemark et la Suède touchés par une tempête de neige 21 février 2007 Une forte tempête de neige a touché le Danemark et le sud de la Suède causant de très importants problèmes de circulation sur les route et des accident où une personne à trouvé la mort. L'aéroport de Copenhague a annulé 143 vols. De nombreux automobilistes ont été véritablement pris au poiège sur les routes où des congères de près d'un mètre se sont formée localement. Dans le Sud de la Suède, 5000 foyers ont été privés d'électricité et le service de train en direction et à destination de Malmo (3ème ville du pays) a été arrêté durant plusieurs heures. Source : http://www.catnat.net/content/view/6121/141/lang,/ Florent.
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	Bolivie : des inondations font 35 morts Published: Friday, February 23, 2007 TRINIDAD, Bolivie (AP) - Des inondations qui ont ravagé l'est tropical de la Bolivie ces dernières semaines ont fait 35 morts et affecté quelque 69.000 familles, selon les autorités. Les eaux, qui ont coupé de nombreux axes routiers dans le pays, menaçaient jeudi la ville de Trinidad, située à 390 kilomètres au nord-est de la capitale, La Paz. Dans les banlieues de cette capitale régionale, les habitants se déplaçaient en canoë pour tenter de sauver leurs biens. Les inondations ont provoqué la noyade d'environ 22.000 bovins dans l'Etat de Beni, alors que 194.000 hectares de terres cultivées ont été détruits dans l'Etat de Santa Cruz, selon des responsables locaux des autorités agricoles. Les Nations unies ont lancé un appel aux dons internationaux, estimant les besoins en aide d'urgence aux populations sinistrées à 9,2 millions de dollars (sept millions d'euros). Source : http://www.canada.com/topics/news/en_franc...0d8&k=75708 Florent.
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	Inondations torrentielles et pluies instantanées sur les îles Fidji 23/02/2007 à 11:04 Les pluies diluviennes qui s’abattent depuis plus de 3 semaines sur les îles Fidji ont provoquées de graves inondations. Ainsi sur l’île touristique de Viti Levu, la ville de Nadi était complètement inondée, certains secteurs étaient sous plus de 2 mètres d’eau, ce qui a forcé l’armée et la police à déclarer l’état d’urgence. La deuxième plus grande île située au Nord a vue 2 villages de 86 maisons complètement détruits par les eaux. Plus de 1000 personnes sont actuellement sans abri. En tout ce sont plus de 10 000 personnes qui sont concernées par ces graves inondations d’après l’agence Reuters. Source : http://www.meteo-world.com/news/index-1189.php Florent.
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	Météo France craint une nouvelle sécheresse en France Il n'a pas assez plu entre début octobre et fin janvier sur la majeure partie de la France pour assurer une recharge suffisante des nappes, selon Météo France qui craint une nouvelle sécheresse surtout dans le sud. La saison hydrologique, d'octobre à mars, constitue la période propice à la recharge des réserves souterraines, souligne l'organisme dans un bilan au 1er février sur son site internet. "Le déficit pluviométrique constaté aujourd'hui peut donc devenir problématique à moyen terme en cas d'absence de pluie au cours des prochains mois", avertit Météo France. Ces réserves souterraines sont en effet utilisées durant l'été pour la consommation humaine, l'irrigation et l'industrie. La Bretagne, les Pays de la Loire, le nord de Poitou-Charente, le sud de la région Centre, le nord de la Bourgogne, la Lorraine ainsi que les régions proches de la Manche présentent un bilan pluviométrique "proche de la normale", selon Météo France. En revanche, la moitié sud du pays connaît un "déficit de pluies important", tout particulièrement la région Languedoc-Roussillon et la Corse. En janvier, les précipitations ont été rares sur une vaste zone s'étendant des Pays de la Loire à la Picardie. Sur le quart sud de la France, le déficit est encore plus marqué, notamment sur le sud de Midi-Pyrénées, en Languedoc-Roussillon et sur l'est de la Corse. La ministre de l'Ecologie, Nelly Olin fera le point avec le Comité sécheresse le 1er mars. (23/02/2007) Source : http://www.lemoniteur-expert.com/depeches/...79E&acces=0 Florent.
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	  Automne/Hiver 2006-2007 dans les Vosges et le Juraflorent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Le temps en France Oui, les 3 prochains jours sont plutôt favorable au dessus de 1000 m... Mais la semaine prochaine pourrait en effet être nettement moins bénéfique pour le manteau neigeux en lambeaux à l'heure où j'écris ces lignes.Florent.
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	On peut observer ça partout où il neige et d'autant plus qu'il fait froid. La neige emprisonnant de l'air peut flotter dans l'air pendant longtemps et être ainsi transportée par les vents bien loin des nuages précipitants.Florent.
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	  Semaine du 05/03/2007 au 11/03/2007florent76 a répondu à un sujet de Meteo-Corny dans Evolution à plus long terme Résultat : on parle pour ne rien dire... Antant ouvrir tout le reste du mois de mars ! Je vais bientôt pouvoir faire des prévisions saisonnières dans ce forum à ce rythme là ! Florent.
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	Je prends bien en compte un RC. Les causes de ce réchauffement m'importent par contre pas du tout finalement par rapport à l'exercice que je réalise. Toute période présente un différentiel par rapport à une période précédente. Qu'il soit 100% naturel ou anthropique, cela ne change rien : l'essentiel pour moi est de le quantifier à un moment donné... Pour vous donner une échelle en arrondissant grossièrement, les corrections appliquées dans mon modèle sont de l'ordre de +0,5°C pour se mettre au niveau du climat de 1990, +1,5°C pour se mettre au niveau du climat de 1970 +0,5°C pour se mettre au niveau du climat de 1950, aussi chaud que celui de 1990. C'est en réalité beaucoup plus précis que cela, mais c'était pour montrer aussi que le correctif s'adapte en réalité au climat des différentes époques. La correction serait actuellement de +1°C si on considère la période 1971-2000 : on comprend dès lors pourquoi les mois excédentaires sont bien plus nombreux que les mois défitaires en température. Florent.
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	Très judicieuse remarque Run 999H : je te suis à 100% !Je pense en effet qu'il existe des cycles vérifiables, théorie que j'applique depuis 3 ans à la prévision saisonnière et qui permet d'expliquer une bonne part des évolutions météorologiques observées depuis. Les divergeances entre les deux derniers hivers successivement froid puis doux, la fraicheur du mois d'août dernier trouvent ainsi une causalité commune. Pour autant, cela n'explique pas tout, et le climat actuelle présente effectivement une part de réchauffement que je quantifie à peu près bien, plus une variabilité supplémentaire qui sembleraient dû à des événements locaux extérieurs (El Nino, mais ce pourrait être aussi une éruption volcanique avec des effets différents par exemple). Florent.
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	Merci pour cette observation phénologique très instructive, pratique répandue au XIXe siècle au même titre que les observations météorologiques et qui est trop rare aujourd'hui. A l'époque, était détaillées essences par essences, les dates de bourgeonnement, floraison, feuillaison, diverses phases de maturation, fructification, effeuillaison...Florent.
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	  Semaine du 26/02/2007 au 04/03/2007florent76 a répondu à un sujet de BIBICHE76 dans Evolution à plus long terme Je citais surtout les excellents outils que nous met à disposition la NOAA sans lesquelles je serai bien incapable de réaliser des analyses aussi fiables. Je n'en suis qu'un modeste utilisateur averti... Ne mélangeons pas tout, mes travaux personnels sont ailleurs. Pour répondre à Yann, la voix discordante de ECMWF, le modèle européen est effectivement intéressante : le modèle prévoit une activité dépressionnaire plus aggressive sur l'Atlantique, soumettant l'Europe aux pluies et aux vents que nous épargne largement le modèle américain GFS. Il n'en ferait pas moins assez doux, mais la sensation serait nettement moins printanière, il est vrai, surtout en cieux de traines bien rafraichis. A suivre donc : l'incertitude se pose bien là pour notre semaine prochaine entre poussée anticyclonique par le sud et train zonal par l'ouest... Quant aux modèles JMA et GEM, je les considère avec nettement plus de scepticisme en général et quelles que soient la tendance qu'ils affichent, eut égard à leur fiabilité souvent médiocre au delà de 4 jours. Wait and see ! Florent.
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	  Semaine du 26/02/2007 au 04/03/2007florent76 a répondu à un sujet de BIBICHE76 dans Evolution à plus long terme Il se passe toujours quelque chose, il n'y a pas que le froid dans la vie... Vous risquez d'être malheureux cette année sinon, car tous les spécialistes sont pessimistes pour les prochains mois...Je suis sûr que d'ici ce week-end, on va avoir du nouveau un peu plus palpable et intéressant pour la fin de notre semaine prochaine, alors ne pars pas trop loin ! Florent.
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	  Semaine du 26/02/2007 au 04/03/2007florent76 a répondu à un sujet de BIBICHE76 dans Evolution à plus long terme On est loin là ! Pour l'heure, les hauts géopotentiels semblent devoir tenir le choc en méditerranée tout en se renforçant en Russie... Voilà plutôt de quoi détourner le flux d'ouest vers le nord le long des côtes européennes pérennisant ainsi le flux de sud-ouest et sa douceur. L'apport de fraicheur serait essentiellement le résultat du passage de perturbations au nord avec traines à l'arrière. Il semble bien que les flux ne puissent vraiment changer de direction que la semaine suivante, ce que j'avais posé la semaine dernière, mais en roue libre.Florent.
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	Ciel de traine avec de gros cumulus congestus évocateurs du printemps, parfois menaçants, mais qui n'ont finalement pas laissé de pluie derrière eux. Une belle fin de journée finalement à Rouen avec un temps toujours très doux pour la saison.Florent.
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	  Semaine du 26/02/2007 au 04/03/2007florent76 a répondu à un sujet de BIBICHE76 dans Evolution à plus long terme Tu peux le dire que GENS voit ça depuis un bout de temps... Dès le 14/02, notre semaine prochaine était décrite fidèlement dans les modèles de blocages qui en sont issus et que j'ai fidèlement interprété ! Excellente prévisibilité à J+15 ! Qui dit mieux ??? Prendre du recul, il n'y a que ça de vrai à long terme... Source : /index.php?s=&showtopic=18902&view=findpost&p=419087'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=419087 Florent.
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	  Semaine du 26/02/2007 au 04/03/2007florent76 a répondu à un sujet de BIBICHE76 dans Evolution à plus long terme Quels modèles voient ça... Si on prends les modèles d'ensemble, la situation est très claire à J+7 ce soir :Diagramme du modèle ECMWF pour la Hollande http://www.knmi.nl/exp/pluim/vijftiendaagse/index.html Diagramme du modèle GFS pour Paris http://www.wetterzentrale.de/pics/MT8_Paris_ens.png Runs du modèle d'ensemble ENS http://www.wetterzentrale.de/pics/senspanel1681.gif On a éventuellement une activité dépressionnaire qui pousse plus fort que prévu à partir de l'Atlantique. En aucun cas, une dorsale qui parvient à s'installer sur l'océan. C'est virtuellement impossible puisque les bas géopotentiels sont installés dès cette semaine sur tout l'océan. L'optimisme est une chose quand il y a une place pour l'incertitude, le réalisme en est une autre si on veut faire des prévisions qui marchent... Florent.
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	  Semaine du 26/02/2007 au 04/03/2007florent76 a répondu à un sujet de BIBICHE76 dans Evolution à plus long terme Quand il fait froid en Islande, il fait généralement très doux en Europe de l'Ouest et inversement, particulièrement quand on a des flux méridiens... Il s'agira que d'une ondulation en flux zonal, mais la fin du mois verra par ce biais quelques échanges méridiens. Le froid islandais ne fait que confirmer notre situation.Florent.
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	  Prévision des coups de froid en France cet hiver 2006-2007florent76 a répondu à un sujet de Alex. dans Evolution à plus long terme Pas de prévisions précises en effet pour l'heure : à voir dans 6 bons mois...Florent.
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	  Prévision des coups de froid en France cet hiver 2006-2007florent76 a répondu à un sujet de Alex. dans Evolution à plus long terme Merci de le signaler... Je pense en effet avoir des choses à dire, même si tout n'est pas parfait : c'est le contraire qui serait étonnant plusieurs mois à l'avance...J'ai réalisé un petit point ici : /index.php?s=&showtopic=16180&view=findpost&p=420088'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=420088 Pour résumer, en effet le froid devrait avoir bien plus sa chance l'an prochain et plutôt en début d'un d'hiver à nouveau plus froid et plus long, sans doute dans les normes... Le cycle des mois de mars froid que l'on avait relevé en 2005 et 2006 et que j'avais également annoncé connaitrait une interruption cette année. Florent.
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	  Tornade a Equeurdreville (50)florent76 a répondu à un sujet de gaetan7878 dans Phénomènes météorologiques violents Des clichés seraient intéressants... Ces derniers éléments plaident en effet davantage pour une F2 que les photos visibles pour l'heure. Merci Clim@ !Florent.
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	  Prévision des coups de froid en France cet hiver 2006-2007florent76 a répondu à un sujet de Alex. dans Evolution à plus long terme On ne peut rien avancer de tel aux échéances jusque auxquelles les modèles fonctionnent : tout est toujours possible en météo. Il n'existe rien de mieux pour tout savoir que de suivre ce qu'il se dit dans les sujets hebdomadaires. Ce sujet n'est en effet vraiment pas sérieux et puis c'est le printemps météorologique qui commence en mars.Florent.

