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the fritz

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Tout ce qui a été posté par the fritz

  1. Cela n'a pas d'importance , mais si au hasard de mes surfs je retombe sur ce site , pas de problème , je me ferai un plaisir de vous transmettre les coordonnées. J'ai été frappé entre autre parce que ,soit disant ,les sceptiques mettaient en cause l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère , parce que les mesures étaient faites au sommet d'un volcan, le Mauna Loa . Pour ma part, tout est une question de nuances , aussi bien l'appréciation du rôle du CO2 dans les changements climatiques actuels que de cataloguer les sceptics dans le rang des denialists
  2. Y a-t-il eu réponse à ta question ou est-ce que je l'aurai loupée? ou a-t-elle eu lieu ailleurs ; en tout cas elle m'intéresse.
  3. Des scientifiques comme vous ; avec qui on peut discuter même si on d'un avis contraire, ce qui n'est pas le cas de tout le monde sur ce site
  4. La jouissance est-elle vulgaire?
  5. Pierre Ernest , faut continuer à le travailler, il nous maintient au courant des dernières publications, nous dévoilent les scientifiques fréquentables et ceux qui le sont moins; on pourra ainsi imiter ce site catastrophiste outre atlantique qui a conçu un petit guide avec questions-réponses destiné à ses adeptes qui voulaient convertir les sceptiques
  6. Je pense que l'interprétation du PETM( Paléocène Eocène Thermal Maximum) necessitera des renouveaux d'interprétation. Compte tenu des conditions de stabilité des chlatrates , de même que des températures du fond des océans donnés par l'isotopie des benthiques , ceux -ci (les hydrates) n'étaient sans doute pas très abondants à la limite PE et réfugiés au fond des océans. Il faut par ailleurs se replacer dans le contexte général qui va vers un refroidissement depuis la fin du Crétacé qui a vu l'extinction ( en dehors des dinosaures) de la majorité de la faune planctonique; s'il est arrivé la même chose à la faune benthique 10MA plutard , c'est parce que l'océan s'est pour ainsi dire retourné; METEOR, une circulation thermohaline qui en moins de rien a affecté la totalité des océans;rendez vous compte , 90% du carbone stocké au fond des océans qui se retrouve du jour au lendemain en surface; la cata n'a pas été évité, elle a eu lieu; effet de serre à faire jouir tous les catastrophistes, des palmiers aux Spitzberg etc.. La vitesse du réchauffement devait être bien pire que lors de la dernière déglaciation , à coté de laquelle notre réchauffement actuel fait triste mine : 16 cm de remontée du niveau de la mer pendant le dernier siècle contre 2 à 3 metres entre - 18000 et - 12000 ans . Alain , il est temps de retourner la veste, la litanie du réchauffement commence à être usée; si l'on veut profiter du renversement de tendance il faut être dans les premiers à publier.
  7. Désolé Sirius de revenir encore sur ce sujet, mais je suis nouveau Je suis allé sur le site de Lecalvé et ai fait les deux calculs suivant avec l'équation d'état de l'eau de mer( salinité de trente cinq) 1bar ,0°, 1028,15 1bar ,3°, 1027,93 soit une diminution de 0,22 300bar,0°,1041,94 300bar,3°,1041,49 soit un diminution de 0,45 Ca c'est du statique et effectivement l'augmentation de volume est plus importante , pour une même augmentation de température en profondeur qu'en surface. Mais puisqu'il y a circulation, on amène bien une eau à 1028,15 de densité à une eau à 1041,49 de densité ;d’ailleurs je ne vois pas pourquoi on se pose la question puisque le phénomène inverse doit bien se passer quelque part Water at higher temperature or under greater pressure (i.e., at greater depth) expands more for a given heat input, so the global average expansion is affected by the distribution of heat within the ocean. (...) The rate of climate change depends strongly on the rate at which heat is removed from the ocean surface layers into the ocean interior; if heat is taken up more readily, climate change is retarded but sea level rises more rapidly. Climate change simulation requires a model which represents the sequestration of heat in the ocean and the evolution of temperature as a function of depth. The large heat capacity of the ocean means that there will be considerable delay before the full effects of surface warming are felt throughout the depth of the ocean. Le texte du GIEC n’est vraiment pas clair ; quand on parle de « heat input » cela veut dire qu’on raisonne en statique
  8. Bon , je suis nouveau, mais il y a des choses que je ne comprends pas bien 1° pour le transfert de chaleur par la circulation thermohaline: quand on regarde les cartes et qu'on compare les zones de plongée des eaux et les salinités on se rend compte que c'est des eaux plutôt douces qui plongent. C'est en même temps les eaux les plus froides et surtout plus froides que le fond.Alors comment peut-on dire que la thc transporte de la chaleur au fond des océans? 2°L'effet de serre n'est pas la génération spontanée de chaleur; si l'on réchauffe l'atmosphère il faut refroidir l'océan; c'est vrai que la comparaison des capacités thermiques relativise ce propos, mais si les océans chauffait, il faudrait revoir les principes de la conservation des chaleurs, sauf à faire intervenir une variation de la constante solaire ou de l'albédo. 3°Concernant le CO2, si l'océan ne chauffe pas , on peut mettre au placard toutes les affirmations alarmistes concernant la transformation du puits océanique en source; de même que le souci écologiste de l'acidification :une question d'ailleurs; même si l'on peut admettre une petite élévation de température très superficielle due au contact avec l'atmosphère plus chaude, quel phénomène prédomine: est-ce une dissolution plus grande de CO2 due à la pression partielle de CO2 grandissante ou est-ce la diminution de CO2 dissout suite à l'élévation de température A+ pour d'autres remarques ou questions au fur et à mesure de mes lectures
  9. the fritz

    Qu'est-ce que la science ?

    voilà de la science Résumé / Abstract Le Cisaillement Centre Camerounais (C.C.C.) est un accident transcurrent ductile dextre dont l'évolution est pénécontemporaine des plissements NS et des nappestardi-panafricaines. Sa position médiane entre un bloc archéen stable au Sud et un bloc éburnéen réactivé au Nord semble marquer la limite paléogéographique entre ces deux blocs Je pense que David n'aura pas de mal à nous l'expliquer
  10. Ci-dessus l'article en question
  11. Il me semblait que sur ce forum scientifique toute propagande religieuse était interdite. Certains intervenants sur ce forum n'hésitent pourtant pas à contrevenir à ces directives. Leur religion est le RC, leur gourou le GIEC, son rapport leur bible et voilà qu'ils voudraient transformer ce forum en leur temple et lieu de culte. Je pense que les efforts de certains pour les convertir au doute, à l'esprit critique et au raisonnement scientifique est une cause perdue d'avance, tellement leur foi est profonde. J'espère néanmoins qu'on pourra continuer à échanger, entre personnes à l'esprit ouvert, des idées et des informations constructives sur ce forum.
  12. pour pas qu'il y ai de mal entendu, je corrige deux fautes de frappe de mon dernier message
  13. David tu me plais et je te remercie de me donner l'occasion de me lâcher;je vois que tu es plus prompt à ironiser qu'à répondre à des questions sérieuses; merci aussi pour le papier. je résume pour ceux qui ne veulent se le farcir: l'Europe se réchauffe à cause de l'augmentation de vapeur d'eau; mais surtout ne croyez pas que c'est elle la faute; la faute c'est le CO2 , la vapeur d'eau n'est qu'une rétroaction positive de l'augmentation du CO2; On est tout à fait d'accord sur ce point; mais j'en déduis que le CO2 au dessus de l'Europe a des vertus qu'il n'a pas dans le reste du monde . Y aurait-il CO2 et CO2? Je signale à tout hasard qu'en brûlant une molécule de CH4 on obtient une molécule de CO2 et deux molécules de H2O et que leur dispersion dans l'atmosphère ne se passe peut-être pas de la même façon pour chacun des gaz A+ pour d'autres rigolades
  14. Une question absolument essentielle: pourquoi la température moyenne des océans est de 3,5°C Question subsidiaire: quelle est la température moyenne de l'atmosphère
  15. Pourtant, l'explication de Météor est plutôt claire. C'est celle qu'on trouve "officiellement" pour expliquer l'amplification polaire: comme il y a moins de vapeur aux pôle et autant de GES (qui sont des "well-mixed" gaz), ça devrait chauffer plus. Pour prendre une image, c'est comme si tu ajoutes un colorant à un liquide. Si celui-ci est déjà très foncé (équateur), ça ne change pas grand chose. Par contre, si le liquide est clair (pôle), l'ajout se remarquera. Est-ce que on ne confond pas du relatif et de l'absolu dans cette image?
  16. Et oui David je parle comme Pierre Ernest parce qu'il parle bien; tout en comprenant parfaitement ce qu'était la sensibilité climatique, le fait de la voir exprimée en °C par W/m2 m'a troublé énormément; à 16°C, un W/m2 de plus donne un delta T de environ 0,2°C; qu'on fasse une relation entre le doublement du CO2, le gain de température supposé à la surface du globe et la traduction de ce gain en flux( que les gens assimilent à un gain de flux solaire ) est une autre paire de manches incluant tous les raccourcis dénoncés par Charles
  17. L'amplitude maximale des variations globales d'insolation liées au cycle de l'excentricité fait varier celle-ci entre 342,5 et 343 W/m2 Mais la combinaison des divers paramètres orbitaux peut faire varier l' insolation moyenne annuelle dans les hautes latitudes de près de 40W/m2 et de plus de 100 W/m2 pendant le solstice d'été.
  18. Il faut remettre les pieds sur Terre La naissance du Gulf Stream n'a rien a voir avec l'astronomie; il est né au fur et à mesure de la disparition de la circulation circum terrestre équatoriale suite à la fermeture de la thetys , puis de la Méditerranée au Messinien et le vrai départ a été donné par la fermeture entre Atlantique et Pacifique par le soulèvement de l'Amérique centrale ily a 5 MA
  19. Je vais essayer de faire un point sur cette discussion que je prends en cours de route et dont certains points me surprennent 1° Il me semble évident que l’origine des forçages provoquent des effets différents selon le facteur mis en jeu pour la simple raison le spectre mis en jeu n’a pas la même longueur d’onde et par conséquent pas la même profondeur de pénétration, d’où vos discussions; d’abord, si la cause sont les GES, cela signifie que l’atmosphère est plus émissive, que de ce fait elle capte davantage d’énergie solaire qui n’arrivera plus à la surface de l’océan, ou en partie seulement et sous une autre forme 2° Cela dépend également de la nature du gaz à effet de serre puisque s’il s’agit de vapeur d’eau celle ci intercepte à la fois les IR du spectre solaire que les IR lointains sortant, le CO2 n’agissant que sur ces derniers. 3° Si le forçage est d’origine solaire, les répartitions radiatives entre les diverses unités du système climatique devraient par contre , dans un premier temps du moins, rester stable. Mais cela est sans doute trop simple pour être vrai et résulte simplement du rêve du non physicien que je suis. J’ai aussi lu que ‘’un forçage GES c’est une diminution du flux sortant ; c’est donc un gain d’énergie pour l’ensemble.’’ Pour quel ensemble ? A mon sens , s’il y a gain d’énergie , c’est qu’il y a une source ; l’effet de serre serait-il cette source ? Je pensais qu’il y avait conservation de l’énergie, mais cela sans doute aussi , devrait faire l’objet, de ma part, de révisions scolaires. En ce qui concerne les deux cartes (a) et (k) de CM, on peut faire les remarques suivantes : -Est-ce que le forçage par effet de serre dépend de la température de la troposphère( lu aussi au hasard d’une réplique) ou est-ce le contraire ; comme dit Pierre Ernest il me semble qu’on confonde souvent cause et conséquence ; le forçage par effet de serre ne dépend pas de la température mais de l’insolation ; si celle-ci est faible le forçage est faible ; si celle-ci est forte le forçage est élevé ; si elle est nulle le forçage est nul Une parenthèse pour la discussion sur le forçage et la sensibilité : je pense qu’i l n’ y a qu’une seule loi donnant une équivalence entre °C et W/m2 si la température de départ est fixée ; donc la discussion n’a pas de fondement, mais était-ce nécessaire de le repréciser. La démonstration de METEOR concernant la carte(a) est par ailleurs limpide comme de l’eau de boudin puisqu’il nous explique que ce forçage est plus important à l’équateur alors que la carte du GIEC montre un équateur pas plus forcé que sous nos latitudes ; je pense que le différent provient du fait que le sommet de la tropopause dans la zone équatoriale est beaucoup plus haut et beaucoup plus froid qu’ailleurs et que par conséquent le réchauffement provoqué sera beaucoup plus faible puisqu’il concerne une masse atmosphérique beaucoup plus importante. Concernant la carte du forçage solaire , on peut être surpris de reconnaître les principales zones d’upwelling , ce qui montre que cette carte intègre bien d’autres variables. Voilà, je prépare la chemise, j’ai enlevé les sandales, la corde je l’ai déjà autour du coup, j’attends les bourreaux, mais avant de m'exécuter, expliquez- moi comment avec des cartes montrant des forçages moins élevés dans les hautes latitudes on arrive à modéliser des élévations de température plus fortes aux pôles que dans les zones tropicales.
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