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FredTDF

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Tout ce qui a été posté par FredTDF

  1. Est ce qu'une intensité solaire plus forte augmente elle la biosphère terrestre ? Car si une intensité moindre diminue le rendement du blé, on peut supposer le contraire en cas d'une forte intensité ? Pour wikipedia, voici la réponse : Pour le physicien, la biosphère est un vaste système thermodynamique ouvert aux influences extérieures, qui tire une grande partie de son énergie du soleil via la photosynthèse et quelques 500 milliards de milliards de kilocalories, soit 10 000 fois plus que ne sauraient en utiliser toutes les industries humaines. Y a t-il une relation d'émission de CO2 entre tout ceci ? Là je n'ai pas la réponse.
  2. Il est vrai qu'il faut apporter de la précision. Maintenant tout le monde n'est pas apte à en donner autant. Donc indulgence oblige. Cependant l'étude du barycentre apportée par Williams et Torrent apporte des faits tout aussi intéressants que le réchauffement climatique actuel tant décrié actuellement et qui serait sans fin sur 1 siècle. Bref je pense que nous avons tous nos avis sur la question mais que malgré tout nous en connaissons mal les aboutissements. Dans tous les cas de figure, c'est bel et bien des modifications climatiques majeures que nous attendent. Chaud ou Froid, Tord ou pas tord de toute façon notre société se doit de s'y préparer.
  3. Qui parle d'une seule base l'année 2007 ???? Perso, je parle d'une intensité solaire et fait un parallèle avec le moyen age. La déformation des propos va très vite. Cependant, le double schwabe actuel est reconnu comme un cycle de 2 fois 11 ans. Du déjà vu dans l'histoire passée que je sache. Ce que j'ajoute, comment est ce possible que ce double schwabe n'a pas été effacé par le Réchauffement climatique comme le soupçonnait A Coustou pour les cycles solaires 24 voir 25 ?
  4. Oui Printemps, il n'y a toujours pas un vrai démarrage du cycle 24. Merci Mike d'avoir relever cette info cruciale. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Cette information est émanée de la liste de diffusion Phebus /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> : Le Soleil attend la prochaine conjonction triple VeEaJu pour démarrer son cycle. Lorsqu'on a loupé un train, le suivant passe 594 jours plus tard. Donc les astrophysiciens en ont pour longtemps à guetter le début du cycle 24 ! D'ici là nous aurons quelques taches après les conjonctions et oppositions Venus-Jupiter, lesquelles se produisent tous les 118 jours. Jean Pierre Desmoulin source : liste de diffusion Yahoo Phebus@yahoogroupes.fr de Patricia Régnier et Williams. Il est clair qu'avec ce genre de prévisions, nous arrivons à ce genre de graphique qui était discutable jusqu'à aujourd'hui :
  5. Coustou a ecrit de 5 à 20 % ? Excuses moi Alain, mais il faut plus de précisions, nous en serions en vérité à 30% Pour l'équilibrage des températures, comment expliquer le froid exceptionnel en Asie et en Amérique du Nord de cet hiver ? Ou est l'effet compensatoire quand nous savons que nous sommes dans un double Schwabe actuellement ? Sommes nous en plein réchauffement climatique ou pas ? Sirius a ecrit Bien au contraire, on apprend que finalement tous les effets qui peuvent intervenir sur la température au sol font bien partis du climat. Donc tu batailles sur des théories où seul ton égo surpuissant doit forcément avoir raison et tu te permets de me dicter ma conduite. Edifiant ! Damien49 a écrit: Le dernier paragraphe ne contredit en rien le reste de l'article, sais tu lire ce qui est écrit dans cet article comme dans mon précédent post où je reconnais le fait qu'il y a un RC ?
  6. Personnellement, je ne nie aucunement la responsabilité de l'Homme dans le réchauffement climatique actuel, sans compter tous les rejets polluants qui peuvent avoir des conséquences beaucoup plus désastreuses. Le réchauffement actuel est un fait avéré pour moi. Que chacun prennent ses responsabilités vis à vis de ça. Cela n'enlève en rien, qu'une baisse de l'intensité solaire peut avoir des conséquences tout aussi inversées que celles que l'on nous promet actuellement. Certains pensent que le soleil n'a aucune influence sur le climat terrestre et ces personnes sont dans les plus hautes sphères. Une baisse de l'intensité solaire aura les mêmes répercussions à "l'extrème" que le petit age glaciaire du moyen age. Mais la théorie du barycentre déjà débattue sur IC apporte des éléments concrets dans ce sens. On peut y ajouter des cycles récurrants solaires et orbitaux par exemple.
  7. Pour rester dans le thème de ce topic, voici encore un nouvel aticle tout aussi édifiant : http://www.futura-sciences.com/fr/sinforme...e-global_14788/ Et cette fois ci, cela émane du très sérieux site de futura-science. Le soleil est le grand oublié de tous les modèles climatiques. Il serait quand meme temps d'y réfléchir un tout petit peu. Son influence est déterminante et comment oublier que bien des études démontrent que nous pourrions avoir un futur refroidissement tout simplement à cause de notre étoile. Pour l'amo et tout autre phénomène climatique, voici la définition du climat et arrétons de chipoter sur des points techniques qui n'ont pas lieu d'être :
  8. D'après un article indien, l'Himalaya se porte très bien : Les glaciers Himalayens se portent très bien selon des scientifiques indiens. Croyez le ou pas ?! Il y a seulement environ une douzaine de scientifiques qui travaillent sur les 9.575 glaciers en Inde sous l'égide de la société géologique de ce pays. Est-ce qu'il y a assez de données disponibles pour croire que les glaciers connaissent un recul à cause du réchauffement ? Quelques experts ont remis en cause la théorie alarmiste du réchauffement global et du recul des glaciers Himalayens. VK Raina, un glaciologue leader et ancien au sein de ADG de GSI est l'un d'eux... http://www.laterredufutur.com/html/modules...cle&sid=450
  9. Je comprend les réponses de Sebaas. Sur notre site où nous pensons que le RC va provoquer un refroidissement cumulé à une intensité solaire décroissante pour la prochaine décennie, certains avaient des idées de certains films dans leur esprit. Ainsi des exagérations allaient dans ce sens, il a fallu modérer ce genre de propos car beaucoup trop extrèmes et hors de propos. Ca a apporté discrédit Ca ressemble au même problême mais inversé /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  10. Et ceci est ce du radotage ? Va t-on continuer à écouter longtemps les propos formatés ? Cette image montre les tendances des temperatures de surface au millimètre supérieur des températures de l'air. Les données ont été rassemblées par des Sondes avancées de très haute résolution du radiomètre (AVHRR) sur plusieurs satellites de la NOAA. Cette image montre des tendances de températures de 1982 à 2004. Le rouge indique des secteurs où les températures ont généralement augmenté pendant cette période, et le bleu montre où les températures ont principalement diminué. Le domaine du refroidissement le plus fort apparaît au Pole sud, et la région qui se réchauffe le plus se trouve le long de la péninsule antarctique. Parfois, des tâches ou des stries rouges lumineux se situent le long du bord du continent où les icebergs dérivent et où la banquise se désagrège. La vision du satellite a commencé à observer un océan plus chaud là où il y avait précédemment de la glace. Un exemple de ceci est la ligne rouge le long de la banquise de Ross. (Notez svp que c'est l'eau qui obtient le réchauffement, tandis que la vaste prépondérance du continent se refroidit) Pourquoi est ce qu'on obtient de l'Antarctique qu'il soit plus froid en son centre quand il se réchauffe tout autour ? Une explication possible, indique la NOAA, est que les températures sont plus chaudes dans l'océan environnant et cela produit plus de précipitations à l'intérieur du continent, en apportant plus de chutes de neige qui ont refroidi la région de hautes-latitude autour du pôle. source : http://www.laterredufutur.com/html/modules...cle&sid=394
  11. Ca dépend où Météor, au nord de la Scandinavie, les températures restent négatives :
  12. Donc un refroidissement veut dire Glaciation pour toi, je parle une autre langue... Donc pendant le petit age glaciaire, nous avons vécu une glaciation, si l'on suit ta propre définition d'un refroidissement ?! Je sors de ce topic définitivement, chacun pourra s'en faire son opinion !
  13. Qui te parle de Glaciation à part mon avatar provocateur ? Tu déformes tout, et cela est une grande qualité chez toi ! ;-)
  14. En effet, mais des posts qui se suivent et qui n'ont aucun sens avec la choucroute ca devient désolant. Personnellement, je ne nie pas le RC, bien au contraire, je pense qu'il y a cause à effet. Les mesures effectuées par la Noaa révèlent un refroidissement de l'Ocean Superieur : http://www.pmel.noaa.gov/~lyman/Pdf/heat_2006.pdf Ensuite, il ne faut pas espérer un +8° dans 40 ans, car si cela devait être vrai, que font donc les gens "raisonnables" sur le sujet ? Si l'on suit ce graph, il y a un refroidissement après chaque hausse de CO2 : http://www.laterredufutur.com/spaw/images/...iers_cycles.gif
  15. Quel est le rapport avec le barycentre ????????????????????
  16. David3 a écrit Comparer ça, avec les chiffres de la NOAA, si ce n'est pas de la mauvaise foi, je crois réver. Ensuite le montage ridicule des températures, du barycentre avec un fond d'une image Google, on appelle ça comment ? Vraiment n'importe quoi. Tu es à coté de la plaque. Tes arguments ne tiennent pas la route une seconde.
  17. Il est quand meme curieux de revenir à une discussion qui avait déjà trouvé sa réponse : /index.php?showtopic=17446&st=0&gopid=350557'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?show...mp;#entry350557 il est étonnant de voir que les graphs de Williams soient autant remis en cause alors qu'ils sont tout à fait clairs. Ensuite d'en faire des montages images, je n'en vois vraiment pas l'utilité et cela discrédite l'auteur de ce montage qui n'aime que la mauvaise foi à mon gout. Les chiffres de Williams ont leurs sources /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  18. Le lien en question est très fiable : http://isitv.univ-tln.fr/~lecalve/oceano/plan.htm /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> De plus, il n'y a pas de contradictions avec les posts de David et Sirius. L'irradiance solaire va jusqu'à 200 mêtres, le réchauffement par l'atmosphère est beaucoup plus superficiel en effet.
  19. Effectivement l'irradiance solaire est le principal moteur des océans à hauteur de 99% ! Le rayonnement solaire absorbé par la surface des océans est la principale source d'énergie des océans. Près de 99% de cette énergie en contenue dans l'intervalle des courtes longueurs d'ondes de 0,3 à 3 µm. Qs représente la quantité d'énergie solaire qui après avoir traversé l'atmosphère pénètre dans l'océan. A voir ici : http://isitv.univ-tln.fr/~lecalve/oceano/fiches/fiche5C.htm C'est dire le rôle de notre astre sur les océans. Les GES n'ont pour ainsi dire que très peu d'impact concernant le réchauffement des océans.
  20. Les convictions de Williams et de Torrent ont abouti à quelque chose, je ne peux qu'applaudir vigoureusement et bravo pour l'intégrité des personnes qui ont apporté ces confirmations et plus particulièrement à Meteor Dès 2005, nous avions déjà soulevé le problème et les raisons étaient avancées : Même si nous sommes quelques uns à annoncer un refroidissement possible du à des variations de l'activité solaire, il faut savoir que ce peut être aussi un élément declencheur, actuellement nous nous retrouvons dans une configuration identique à celle de la veille du petit age glaciaire appelé aussi minimum de Maunder, qui a eu lieu il y a 360 ans, or ceci correspond exactement à deux cycles d'un mouvement du soleil autour de son barycentre qui est de 179 à 180 ans. Cela correspond à un des cycles constatés, pour résumer le premier est le cycle de Schwabe, 11 ans en moyenne, le plus connu qui correspond d'ailleurs à la durée de révolution de Jupiter, planète qui représente plus de la moitié de la masse de toutes les planètes du systeme solaire. Ensuite le cycle de Gleissberg, durée contatée entre 80 et 90 ans. Puis le cycle de Suess qui nous intéresse dont nous avons determiné que la périodicité était étrangement identique à celle du cycle du barycentre du systeme solaire. Je peux sans grand risque annoncer que nous allons avoir une activité solaire faible pour au moins deux décennies. Si le basculement climatique dont vous parlez se produit durant cette periode, à savoir libération de grandes quantités de méthane du permafrost, fonte de la banquise et arrêt de la Derive Nord Atlantique du Gulf Stream alors le mécanisme de glaciation faisant suite au réchauffement brutal par effet de bascule pourrait s'en trouver encore accentué. Souvenons nous que le petit Age Glaciaire s'est produit sur la base de la simple baisse de l'activité solaire alors que le taux de CO2 était bien inferieur à l'actuel, seules des éruptions volcaniques ont pu accentuer le phénomène, en dehors de ça rien d'autre. Mais il faut savoir que la constante solaire a baissé à ce moment là d'environ 1/1000 ce qui a entrainé un refroidissement de 0,4 à 0,5° sur l'hémisphère nord dont on a pu reconstituer les données de l'epoque. En ce qui concerne la hausse constatée actuelle de 0,6° environ le tiers soit 0,2° sont dus à une augmentation de l'activité solaire au cours du XXe siècle, ceci dit ce cycle à la hausse se termine, mais il faut aussi remarquer que sur les dernières années la hausse s'accélère conduisant aux phénomenes qu'on observe. le Petit Age Glaciaire a démarré en fait en 1645 et s'est poursuivi jusqu'en 1705, durant toute cette période il y a eu une quasi disparition des taches solaires et simultanément un arrêt du Gulf Stream, je ne me prononce pas sur la coincidence des deux phénomènes mais les faits sont là, ce que j'ai étudié avec Williams d'Infoclimat a été de tenter de trouver une cause astronomique à cette disparition des taches solaires, suite à une idée de Williams sur la position du barycentre du système solaire et les variations de la position du Soleil par rapport à ce centre de gravité pour voir s'il y avait un lien avec les cycles longs du Soleil, je vais les rappeler ci dessous: Cycle de Schwabe durée environ 11 ans. Cycle de Gleissberg durée entre 80 et 90 ans. Cycle de Suess durée estimée de 180 à 200 ans. Les planètes qui joueraient le plus grand rôle dans les variations du barycentre sont les 4 planètes géantes du systeme solaire, Jupiter, Saturne, Neptune et Uranus. Je continue mon explication, sachant que le retour de conditions quasi identiques des positions du barycentre est de 179 ans il nous a semblé que nous tenions quelque chose en ce qui concernait le cycle de Suess. De plus pour le cycle de Schwabe rappelons que la revolution de Jupiter est d'un peu plus de 11 ans, Jupiter possède un champ magnetique trés intense, or c'est tous les 11 ans que le Soleil voit son champ magnétique s'inverser. Les calculs nous ont été indiqués par des passionnés d'Astronomie sur Astrosurf, avec les méthodes de calculs astronomiques qui lui ont été fournies. Williams a établi des graphiques Excel. Et c'était flagrant, on a pu déduire que l'activité solaire était bien en liaison avec la position du Soleil autour du barycentre, et que l'activité baissait sur les phases longues du cycle de Schwabe qui est théoriquement de 11 ans mais varie en fait de durées allant de 9 à 14 ans. Pour le cycle de Gleissberg pas de corrélation trouvée mais je le soupconne de n'être qu'une harmonique du cycle de Suess sa période serait donc de fait de 90 ans dans ce cas. Il faut distinguer cette question du barycentre qui est un centre de gravité du systeme solaire de la question des marées éventuellement provoquées par les planètes proches, c'est une autre théorie et bien plus courte dans le temps et qui fait appel à des calculs de forces differentes basés sur le cube de la distance tandis que le barycentre lui fait appel à des calculs basés sur la gravitation universelle et basés sur le carré de la distance. Comment le barycentre peut il influer sur l'activité solaire alors que l'action gravitationnelle est faible en regard des phenomenes internes et à la surface du soleil ? Ma theorie repose sur le deplacement du soleil autour de la Galaxie, en fait c'est le systeme solaire entier qui se déplace selon la resultante de ses masses et la résultante de ces masses se trouve être son barycentre. Cela conduit le soleil lui même à avoir une trajectoire hélicoïdale autour de ce barycentre et non lineaire, je présume que ces variations de cap peuvent exercer des contraintes internes dans sa masse et induire des variations d'activité selon s'il est excentré ou aligné par rapport à cette trajectoire donc proche ou loin du barycentre. Or lors des minima des cycles de Suess que nous avons verifiés et modelisés, le soleil se trouve quasiment aligné ou trés peu excentré, il entre d'ailleurs en ce moment dans une configuration proche du barycentre et ne s'en eloignera qu'aprés 2020 et encore ne sera pas non plus trés excentré jusqu'en 2050. Mais durant la periode 2005/2017 il sera quasiment confondu avec le barycentre, je prévois une periode de trés faible activité, tout simplement parce que 1645+360 = 2005 or le barycentre a une periode de 180 ans et correspondait bien au minimim de Suess qui a précédé le fameux petit age glaciaire appelé aussi Minimum de Maunder. Ce que je pense par contre c'est que certaines configurations astronomiques et l'activité solaire pourraient être le coup de pouce à des variations climatiques de plus grande ampleur sur Terre en interraction avec ses propres equilibres ou déséquilibres. (Torrent) http://www.laterredufutur.com/html/modules...cle&sid=152
  21. En effet, c'est bien ça, tout à fait raison, après avoir vu la mauvaise foie qui le passionne. De plus, publier des MP est une chose que ne se fait pas sur un forum. C'est pourquoi, il ne m'est plus concevable de répondre à ses posts. Pour en revenir au thème du sujet qui concerne le refroidissement de l'océan supérieur, nous disions donc qu'il y avait un refroidissement suite à une échappée de la chaleur vers l'espace. Dans le même temps, il y a une augmentation des précipitations antarctiques : http://www.laterredufutur.com/html/modules...cle&sid=394 Si nous ajoutons cette nouvelle information : Temperatures basses : La temperature de la stratosphere antarctique fait fluctuer l'ampleur du trou de la couche d'ozone d'annee en annee. Les temperatures plus basses que la moyenne produisent des trous plus larges et plus profonds que des temperatures plus chaudes. Les centres nationaux de prevision environnementale de la NOAA ont analyse les observations des temperatures stratospheriques relevees par les satellites et les ballons-sondes, et a la fin du mois de septembre 2006, les temperatures de la basse stratosphere au bord de l'Antarctique etaient inferieures d'environ 12,7 degres Celsius a la moyenne, entrainant une augmentation de la superficie du trou qui est passee de 3,1 kilometres carres a 3,8 kilometres carres. La stratosphere de l'Antarctique se rechauffe avec le retour de la lumiere solaire a la fin de l'hiver polaire et grace a de vastes systemes meteorologiques (ondulations a l'echelle planetaire) qui se forment dans la troposphere et remontent dans la stratosphere. Lors de l'hiver et du printemps 2006 dans l'Antarctique, ces ondulations meteorologiques planetaires ont ete relativement faibles, entrainant des temperatures plus froides que la moyenne dans la stratosphere. « Le trou de la couche d'ozone vient d'atteindre des dimensions record », dit Craig Long des centres nationaux de prevision environnementale. Tandis que le soleil se leve plus haut dans le ciel de l'hemisphere Sud, aux mois d'octobre et de novembre, ce trou inhabituellement large et persistant peut laisser passer beaucoup plus d'ultraviolets que d'habitude jusqu'a la surface de la terre dans l'hemisphere Sud. Source : NASA, diffuse par le Bureau des programmes d'information internationale du departement d'Etat. Site Internet : http://usinfo.state.gov/francais/ http://www.notre-planete.info/actualites/a...ab94ac4c4607926 Tout semble lié !
  22. Réponse à Damien : Je vais simplement résumé. Pour cette courbe de température : il ne faut pas oublier que se sont des températures atmosphériques, nous avons vu un peu plus tot dans ce topic le role joué pas les stations terrestes qui sont malheureusement situées dans leur majorité dans des ilots urbains. /index.php?showtopic=16507&st=100'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?show...6507&st=100 Pour les relevés océaniques, nous avons également déjà vu que l'augmentation des températures se sont stabilisées depuis l'an 2000 : Ensuite, pour l'augmentation des températures depuis les années 40, nous avons à faire à 2 problématiques : - l'une est l'activité humaine - l'autre est l'intensité solaire Dans la décennie à venir, l'intensité solaire est annoncée à être à la baisse. Si nous ajoutons la problématique de l'effet de "cocotte minute" expliquée par la NOAA et la baisse radiative serait considérable et atteindrait sur la periode 2003/2005 la valeur de 1w/m2, à titre de comparaison la reconstitution sur le Pacifique Central du Petit Age Glaciaire montre un refroidissement de 0,25w/m2 au maximum. Ces effets conjugés commencent à faire beaucoup. La courbe des températures de ce graph ne peut pas être mis en rapport avec le passé, c'est effectivement un fait ! Cependant si nous ajoutons en plus à tout ce que je viens de soulever les effets cycliques récurrent, il y de quoi se poser de sérieuses questions.
  23. Ca devient recurrent, au revoir
  24. Je pense qu'il est très simple si on a un esprit objectif, d'aller vérifier bien des éléments sur des institutions officielles. Ici rien n'est inventé, il suffit de chercher ! Si on reprend donc le sujet initial de ce topic, on va donc bientot dire que la découverte de la NOAA (refroidissement de l'océan austral) est du à un SDF de Détroit qui a été embauché et qui regardé trop Nostradamus. La mauvaise foi est de rigueur. Petit rappel pour revenir sur le thème de ce topic : John Lyman, du laboratoire environnemental marin de l'administration Nationale océanique et atmosphérique du Pacifique, dit que les nouvelles effrayantes du refroidissement océanique viennent des nouveaux flotteurs et capteurs de températures de l'océan d'ARGO étant distribués dans le monde entier. ARGO complète d'anciennes taches blanches sur le système de surveillance océanique du monde et complète également énormément nos incertitudes passées sur les rares températures disponibles océaniques. Lyman indique la découverte d'une croyance soudaine d'une arrivée d'un refroidissement océanique dans les prévisions de réchauffement global parce que les refroidissements interrompent aléatoirement les tendances présentées par les modèles globaux de circulation. Lyman ajoute, « le refroidissement reflète la variabilité interannuelle qui n'est pas bien représentée par une tendance linéaire. » Le nouvel océan se refroidissant également rappelle plusieurs études de la NASA de ces cinq dernières années qui ont trouvé un passage normal énorme de chaleur au-dessus de la surface chaude dite de l'océan pacifique, une bande d'eau de milliers de milles de large sur l'équateur. Études coordonnées par Bruce Weilicki, du centre de recherches de Langley de la NASA, il a constaté : quand les températures de surface de mer s'élèvent au-dessus de 28 degrés de C, les précipitations du Pacifiques deviennent plus efficaces. Plus de gouttelettes de nuage forment des gouttes de pluie, ainsi moins elles restent en altitude, glacial, les nuages de cirrus qui scellent dans la chaleur. En conséquence, le secteur de nuages de cirrus est réduit, et bien plus de chaleur passe vers l'espace. Ceci refroidit la surface des eaux du Pacifique, l'eau océanique la plus chaude du monde. Les équipes de recherche de Weilicki disent que le passage normal énorme de la chaleur émise est environ autant que le réchauffement émis pendant les années 80 et le 90 qui était prévu de redoubler le contenu d'anhydride carbonique dans le ciel. Elles ont utilisé des satellites pour mesurer la couverture nuageuse et des avions long-courrier pour surveiller les températures océaniques. Layman dit que les refroidissements océaniques soudains compliquent en particulier le problème de séparer les changements normaux de température des impacts artificiels sur la température de la Terre. On a assuré que l'impact du CO2 émis par l'espèce humaine s'accumule dans une tendance d'une ligne directe sur plusieurs décennies. En attendant, depuis les années 80, les noyaux de glace de la terre, les sédiments de fond de la mer et les stalagmites de caverne avaient indiqué un cycle modéré et normal du climat de 1.500 ans lié à l'irradiance solaire. Les températures sautent soudainement de 1 à 2 degrés de C au-dessus des moyennes aux latitudes de Washington, de C.C, et de New York City, et davantage que cela aux pôles. Les températures changent à peine à l'équateur pendant le cycle de 1.500 ans, et les résultats de ce passage de chaleur de la NASA de Bruce Weilicki semblent indiquer pourquoi. La surface chaude du Pacifique agit comme un fait-tout, avec son sorte de « couvercle » qui est ouvert et qui émet de la vapeur quand l'eau devient trop chaude. Plus nous regardons, plus nous nous apprenons sur les forces complexes terrestres. Cependant une grande partie des nouvelles connaissances vient des modèles globaux énormes et non vérifiés de la circulation. Ils sont favorisés par les personnes qui parlent d'un réchauffement global. source : http://www.ocregister.com/ / Traduction et adaptation La Terre du Futur Pour le barycentre et les effets cycliques comment oublier ceci : Voici 2 cartes des orbites déjà mises dans ce topic : Voici donc les 2 orbites des années 1666 et 2022 qui correspondent à une faible amplitude du barycentre : A force de vouloir nier l'évidence, seule la mauvaise foie peut l'emporter.
  25. La théorie de Landscheidt rejoint la problèmatique du Barycentre expliqué par Torrent et Williams. http://mitosyfraudes.8k.com/Calen/Landscheidt-1.html Il faut revenir sur les pages précédentes de ce topic : /index.php?showtopic=16198&st=40'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?show...16198&st=40 et ceci :
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