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Saint girons /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Ok je comprends mieux les différences entre les substrats. Donc que ce soit toulouse, aix, ou dans le bush australien, on est en substrat humide, car le peuplement végétal y est dense et prépondérant. Je parle dans la campagne bien sur. Crabo
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On se comprend tout à fait, C'est pour ça que je ne suis pas très à l'aise avec l'emploi du mot continental dans cette situation, car je trouve qu'il renvoie trop au climat continental, qui n'est pour le coup absolument pas représenté dans le climat local. C'est comme tu dis, l'environnement géographique qui pèse sur les moyennes, et qui donne au climat du coin une impression de continentalité, plus qu'une quelconque influence continentale directe. C'est pour ça que le terme de subcontinental est pour moi plutôt HS. Toulouse n'a en ça aucun rapport (ou faiblement) direct ou indirect avec LE climat continental, qu'on retrouve sur les façade est des continents par exemple. Cependant, comme je l'ai détaillé dans mon précédent post, la continentalité ne s'exprime pas tant au printemps. Cette saison est surtout marquée par une forte influence océanique, qui n'est plus ou peu altérée par d'autres influences. La région récupére au printemps toutes les précipitations océaniques venues de l'ouest. Les orages sont peu présents en cette saison, et pour cause, la fraîcheur hivernale peine à se dissiper, et la chaleur n'arrive souvent soudainement qu'au mois de juin. Crabo
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Petit point tout de même, J'ai vraiment pas l'impression, que la continentalité s'affirme vraiment au printemps. On a très peu d'orages en cette période sur la région. Au contraire, il me semble qu'on fait une petite erreur d'appréciation. Je pense que le printemps toulousain est essentiellement océanique. Il suffit de regarder les cumuls. Sur les trois mois max pour toulouse que sont avril mai et juin, chacun de ces mois présente un cumul inférieur à Bordeaux. Ou même à Biarritz. Je pense qu'au contraire, la saison la plus océanique à toulouse est le printemps. Le reste de l'année il pleut beaucoup moins sur toulouse que sur la cote atlantique, et c'est pour cela qu'on a tendance à voir dans la période printanière un cumul de précipitation anormalement élevé. Hors il est du même ordre que sur la cote océanique, même logiquement, légèrement inférieur. Je pense, pour faire simple, que la période ou les traits continentaux s'affirment le plus reste l'hiver, mais quand même dans une mesure assez rare ou plutôt modérée. Crabo
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Précise bien que c'est selon ta classif. Je pense qu'il est important de ne pas apporter trop de confusion, car cette vision n'est pas communément admise. Sinon, donc selon ta classification, je trouve qu'il y a un déséquilibre énorme entre les grand climats. Le subcontinental est du coup trop grand, tellement grand qu'il pourrait constituer un climat à lui seul. Crabo
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On parle de climat imprévisible justement car la ville se trouve au carrefour de trois influences. Je parle bien d'influences. C'est à dire de mouvements d'air en provenance de l'ouest, de l'est et du nord. En été, la sécheresse peut aussi avoir pour origine le bassin mediterraneen, comme la cellule anticyclonique azoreenne, ou cette subsidence due à sa position par rapport aux deux massifs montagneux qui l'entourrent. Le climat toulousain est le fruit d'une position géographique particulière. Du coup, je pense qu'il faut s'en tenir aux moyennes pour en déduire vraiment l'impact de tous ces paramètres sur le climat local. La pour le coup, pas grand chose de continental, et le seul trait effectivement pouvant considérer qu'il y a une tendance vers la mediterraneité, est ce léger creux estival au niveau de précipitations, qui suffit à certains à mettre la ville en submediterraneen. Mais ce trait la est plus ou moins affirmé selon les moyennes trentenaires comme ça a été précisé dans un autre sujet, ce qui prouve encore une fois l'imprevisibilite de ce climat. Malgré tout je maintiens, que les influences méditerranéennes sont clairement majoritaires sur les influences continentales, ce qui est logique vu la position géographique. Et cela se retrouve aussi sur les moyennes. Je pense que le trait légèrement continental lui, ne se retrouve vraiment que sur les extrêmes, les minimas absolu et maximas. Sinon, qu''entends-tu par substrat légèrement continental? Tu parles de la végétation sur place? La aussi c'est assez mélangé avec une nette dominance. Crabo
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Pour la comparaison toulouse rennes en terme de tm du mois le plus froid, Toulouse reste quand même supérieure (5,8 à rennes contre 6,1 à toulouse), puis il y a une écart d'altitude de plus de 100 m ce qui n'est pas négligeable non plus. Alors certes l'été est plus chaud, mais là, la cause principale n'est pas la continentalisation mais bien la proximité du climat mediterraneen. Albi ou dans une moindre mesure montauban subissent elles je pense plus leur position continentale et cela se voit sur les écarts de températures en saison chaude notamment. Donc, ce n'est pas la un trait continental, mais bien un trait plutôt mediterraneen. D'ailleurs, lors des orages estivaux, les températures baissent drastiquement à leur passage, alors que les longues périodes de chaleur sont elles souvent sèches donc pas "continentales", et ce sont bien ces périodes de chaleur constante qui font grimper la moyenne toulousaine. Enfin, c'est ce que je pense. Enfin, concernant l'amplitude thermique, elle est inférieure à Marseille, une ville côtière méditerranéenne. Donc la encore, sur les moyennes, ce n'est pas non plus un critère recevable je pense. Je crois qu'il est important de prendre en compte la position géographique ce qui nous amènerait à mieux situer les choses. Toulouse est situées à peu près à la même latitude que Biarritz et Marseille. Pour la première, l'amplitude annuelle est de l'ordre de 13°, pour un climat bien océanique. Pour la deuxième, l'amplitude thermique est de 17,6° environs. Toulouse est bien entre les deux à 16° environs, ce qui ne la place pas selon moi de fait en subcontinental. Après évidemment qu'il y a des influences continentales, essentiellement dues à sa position géographique (dans les terres), et je pense qu'elles agissent surtout sur les températures hivernales comme tu dis. Mais comme je te l'ai démontré au début, elles n'impactent pas tant que ça sur les moyennes. Pour chercher une ressemblance avec un climat européen, je pense qu'il faut davantage chercher, comme on le disait, du côté de Pampelune ou Burgos, quoique cette dernière soit un peu trop méditerranéenne pour le coup. Enfin c'est mon avis. Ensuite, perso, je n'ai jamais vraiment entendu parler de subcontinental pour la France, à par peut être pour le nord ouest. Mais attention, je ne suis pas sur qu'il faille classer l'Allemagne en continental. Du moins entièrement. Pour Munich par exemple, on parle encore de océanique de transition vers un climat continental. Je pense que sub continental est là approprié. Crabo
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Tout à fait,Le gulf stream est un courant marin et non atmosphérique, qui draine les eaux chaudes de l'Atlantique tropical vers les côtes européennes. À son contact, l'air doit sûrement se réchauffer, et, inclus dans la dynamique atmosphérique tempérée, qui voit la dominance des vents d'ouest, arrive sur nos côtes plus doux, alors que par exemple, l'air d'ouest hivernal qui s'abat sur la côte est des usa est quand à lui continental. Ce qui implique ces différences de températures notamment en saison froide. C'est pour ça que je trouve un peu illégitime de classer toulouse et une bonne partie de la France en subcontinental; C'est l'un des seuls points avec lesquels je suis assez en contradiction avec ta classification Mathieu. Crabo
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Mathieu, encore une fois selon TA considération! Car le climat toulousain n'est absolument pas subcontinental. Tout simplement parce qu'en tenant compte de la hierarchie des influences, les influences dites continentales arrivent en troisième position, après les influences océaniques (majoritaires) et méditerranéeennes. Si tu te bases sur les chiffres, données de températures par exemple, l'amplitude thermique annuelle y est assez proche de celle de stations à climat méditerranéen "pur", bien plus en tous cas, que de l'amplitude thermique minimale d'un climat continental "pur". Enfin, comme on l'a déjà dit, le maximum pluviométrique n'a pas non plus lieu en été. Toulouse a un climat de transition d'un climat océanique vers un climat méditerranéen et non vers un climat continental. C'est pour ça que certains utilisent subméditerranéen, pour définir le climat de cette zone qui relie Carcassonne à Toulouse, à tort ou à raison. Mais pour ne pas se mouiller, l'intitulé approuvé par tous est "climat océanique dégradé à influences méditerranéennes et continentales", ce qui est long, mais qui est factuellement, juste. Crabo
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Hello, Un climat extrême, que je jugerait limite tropical en terme de températures. Mais pas grand chose d'étonnant tout de même quand on sait que géographiquement, la ville d'Assouan se situe relativement proche de la région la plus chaude du monde. Mais, personnellement, ce climat me fascine assez, surtout en allant vers Kartoum. Le climat de l'ancienne Nubie est encore plus chaud et sec. On se demande comment les premières civilisations de Kerma et Meroé on pu s'y implanter. Crabo
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Hello, Merci pour ton graphe qui lève un doute. En revanche, j'ai l'impression que l'évolution de la courbe montre plutôt 0,5 en moins par 100 m que 0,6. Après, peut être est elle trop imprécise? Néanmoins, ces 0,5° recouperaient avec les différences entre Raleigh et Charlotte. En tous cas pour l'été. Sinon, ça me semble évident que la température estivale s'accroît à mesure que la continentalité s'affirme. De même que les froids hivernaux sont plus francs. Bref l'amplitude thermique augmente. Mais pas seulement: j'ai l'impression, que le niveau de latitude importe aussi sur le fait que la continentalité affaiblit la tm annuelle ou la renforce. J'avais remarqué que deux stations (une côtière et une continentale) de même latitude et altitude, montraient une différence de tm en faveur de la première (côtière) sous des latitudes élevées, et à l'inverse, un avantage évident pour la station continentale, sous des latitudes plus basses. Crabo
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Salut à tous, Très intéressant ce débat. Je suis d'accord sur le fait de comparer les stations en incluant le paramètre de l'altitude. Personnellement, ça me semble logique, et ça permet de ne pas laisser ce paramètre brouiller les pistes. J'ai cependant une petite remarque: Dann, tu mets en avant, pour justifier ton raisonnement, une moyenne de -0.65/100m de dénivelé, mais il s'agit bien d'une moyenne. N'est-il pas possible que l'écart de tm augmente de manière proportionnelle avec l'altitude? Je veux dire que cet écart ne pourrait-il pas être plus faible entre 0 et 100m, qu'entre 1200 et 1300m? Es-tu sûr que ce soit si linéaire? Je pose ces questions car de l'autre côté de l'océan, aux USA, j'ai remarqué que les tm des mois les plus chauds se réduisaient en fonction de l'altitude. Mais voila, pas de manière si franche, en tous cas entre 0 et 300m. On a Charlotte à 25.9° de tm en juillet à 229m et 26.7° à Raleigh à 96m soit un écart de 0.7 en 133m. 0.5 environ/100m. Plus haut à 650m à Asheville, on se retrouve avec 23.5° en juillet. On a 420m d'écart pour 2,4° soit un écart médian de 0.57° environ /100m. Alors c'est sensible certes, mais ne peut-on pas imaginer que cet écart continue de s'élever avec l'altitude? Et cet exemple (je ne parle pas de l'écart médian en lui même, mais bien de son évolution) n'est-il pas transposable à nos régions à nous? Crabo
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Hello à tous, Mais ne sous-estimerais-tu pas un peu le rôle de la barrière orographique que sont les alpes, sur les cumuls de précipitations? Car, si on regarde bien, Strasbourg affiche 74 et 76mm, alors que cette ville est plus éloignée encore des influences océaniques. La vraie différence entre Grenoble et Strasbourg est bien liée au relief, et je pense, que les importants cumuls estivaux des villes des alpes sont nécessairement dues au rôle de la barrière orographique. Enfin à mon avis. Bref selon moi, on est quand même dans une dominante océanique, car comme cela a été dit, la ville subit majoritairement des influences venues de l'ouest. Concernant le couvert végétal potentiel, je pense que tu fais allusion à cette carte, vraiment intéressante pour le coup, que tu as postée dans le sujet "climat de la Bretagne". Je pense que ce qui est dit par le préfixe "sub" implicitmement, c'est que la zone se trouve dans une zone de transition d'un climat océanique vers un climat continental, sans pour autant être incluse comme une subdivision du climat continental. Crabo
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La tm du mois le plus chaud à Madrid est de 24,8, pas 30. Sinon Cotissois, pourquoi considères-tu que climatologiquement, il n'est pas pertinent de faire un lien entre l'impact de l'altitude sur les climats respectifs de Madrid et saragosse? Même type de climat, Madrid est certes légèrement plus au sud, mais la différence se fait surtout sur l'altitude. D'ailleurs, comment se fait-il que leurs été soient si proche en tm? Ensuite, à contrario, il me semble bizarre que du coup l'altitude puisse être davantage considérable en comparaison des monts d'arree et de la côte. En effet, le dénivelé est faible, de 0-100 m sur Brest, à 385 sur les sommets des monts d'arree. De plus les vallées y sont forcément plus basses. Les massifs sont aussi plus érodés (je pense), un relief plutôt doux, qui ne doit pas nécessairement agir comme barrière sur les influences. Même si très logiquement, les cumuls doivent être plus élevés. Enfin, je pense qu'il y a un facteur continental qui joue indépendamment de l'altitude. Et je pense que c'est surtout lui qui joue sur les différences climatiques de cette région plus que l'altitude. Crabo
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Saint girons avec plus de 31° relevés en février.Un bien gros effet de foehn. Crabo
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Hello à tous, Mathieu soulève l'éternel problème qui est la dégradation humaine, et l'impact sur le paysage naturel de l'action de l'homme. Ceci implique une lecture plus difficile de la végétation et la déduction d'une tendance climatique devient encore plus délicate. Mais c'est sans compter l'intervention de Dann et de sa carte de végétation potentielle, dont le découpage semble quand même bien détaillé. Merci pour le cadeau /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> On voit clairement, que la Bretagne est à cheval sur quatre zone différentes, mais toutes en zone atlantique. On voit clairement que la dégradation du climat océanique commence à impacter l'environnement au niveau de Rennes, et qu'une différence semble se confirmer entre le nord et l'interieur Bretagne et le sud-est. Ceci confirme bien ce que dit 'Mathieu avec des chênaies plis présentes. Crabo
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Vous énervez pas les gars, On est tous un peu bretong. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Perso, je préfèrerais en connaître un peu plus sur le climat local plutôt que de vous lire vous envoyer des piques. Et j'avoue que je suis plus particulièrement intrigué par la végétation qu'il y a sur place. Varie t'elle du nord au sud? Peut-elle être un marqueur de ces différences climatiques que certains expriment? Y a t'il des espèces endémiques, que l'on ne trouve qu'en Bretagne? Et enfin, quelle flore à l'etat de climax, et y a t'il de vieilles forêts dans la région? Si quelqu'un peut me renseigner. Car pour l'instant, je trouve qu'on a pas trop parlé de ça alors que la nature de la végétation est une des conséquences assez directe du climat. Crabo
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OK
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Subcontinental, selon ta classifiction, on est d'accord? Si c'est le cas, peux-tu éviter de généraliser STP? Sinon cela risque de rajouter de la confusion. crabo
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Je dis peut-être une bétise mais c'est pas comme un effet de foehn à grande échelle, à part que l'air est déjà sec à la base? Crabo
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Hello, Si vous parlez du secteur du tarn, et nord de la HG, en été, je pense que c'est un peu une continentalisation de la chaleur méditerranéenne, plus chaude en tn et plus fraiche en tx. Après je pense qu'on ne peut parler de "continental" qu'au sens géographique, tout simplement, parcequ'on s'enfonce dans les terres. Pour en revenir à la Bretagne, je pense que Rennes subit un peu la même affaire. Comme la ville est plus dans les terres elle s'inscrit dans la lente dégradation du climat océanique, et elle affiche des écarts de températures plus importants, en raison, je pense, de son positionnement géographique, plus que par une quelconque influence continentale. Après, je pense que vous pouvez subdiviser autant que vous voulez, malgré les quelques subtilités apportées par le relief sur cet axe ouest-est. En revanche, comme ça a été dit plus haut, il y a une nette différence sur un axe nord-ouest - sud-est, qui rend, à mon avis, des subdivisions plus pertinentes. Crabo
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Pas tout à fait, La caractéristique fondamentale du climat mediterraneen est un stress hydrique estival prononcé. Peu importe après que les cumuls pluviométriques maximums aient lieu en hiver au printemps ou en automne. D'un point de vue de la végétation, il faut considérer que le cumul de précipitations des quatre mois les plus chauds soit inférieur à 150-200 mm (condition pour la répartition de l'oleastre) pour admettre une zone comme méditerranéenne. Ceci étant conditionné au fait que les précipitations du reste de l'annee doivent présenter un cumul suffisant pour permettre à ce type de végétation de se développer, et que l'été sur trois mois atteigne une moyenne de 20 degrés de tm, il me semble. Par exemple, la cote est de l'espagne jusqu'à Nîmes voit ses cumul les plus importants en terme de précipitations en automne. Donc, le fort cumul hivernal n'est pas une condition suffisante. Concernant, P<2t, c'était un moyen de prendre en considération l'impact de la température sur la quantité d'eau disponible à terme pour la végétation sur place. Donc pour conclure, Toulouse n'a ni les caractéristiques suffisantes pour être continentale ni les caractéristiques suffisantes pour être méditerranéenne, c'est pour ça qu'on cherche des tendances, et la tendance est plus en faveur d'une mediterraneisation qu'une continentalisation, tout simplement parce que géographiquement le premier coin continental est à plus de 1000 bornes à vol d'oiseau, et que les influences en provenance de cette région (europe centrale, septentrionale) sont largement minoritaires. Crabo
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C'est pas une histoire de fraîcheur en fait, c'est une histoire de traits continentaux marqués ou pas. L'amplitude est plus forte à Strasbourg pour une raison plus de position géographique (continentale) que de latitude. Les deux villes sont en domaine océanique. L'une tire vers le continental, l'autre vers le mediterraneen, tout simplement parce que les deux villes sont placées respectivement sur des domaines de transition climatiques différents. Après, comparativement, il faut tenir compte de tout ca, et si on doit faire un parallèle entre Toulouse et d'autres climats, il faut reprendre les conditions similaires, et donc se rapprocher d'autres climats océaniques de transition vers un climat mediterraneen (Burgos, Pampelune, l'Oregon?,...). Crabo
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Hello,Assez d'accord, Mais vraiment, je ne sais pas ce qui te permet de hiérarchiser les influences de cette manière. http://fr.wikipedia.org/wiki/Climat_de_la_Haute-Garonne On m'a toujours appris que les influences méditerranéennes dominaient sur les influences continentales dans le secteur. Il suffit de voir les vents majoritaires sur le midi toulousain: 1- Le vent d'ouest 2- le vent d'autan 3- dans une moindre mesure le vent du nord. Après, je ne pense pas que Toulouse soit subcontinentale tout simplement car elle ne se situe pas sur une zone de transition vers un climat continental, contrairement à Strasbourg. Pour Toulouse, on parle de climat submediterraneen parfois, car justement le rapprt établit entre température et précipitation (P>2t) montre un léger creux estival et que le rapport P du mois le plus sec= 1/3 du mois le plus arrosé n'est pas effectif ce qui ne permet pas de mettre la ville en mediterraneen. Pour la végétation, on ne trouve pas tant d'espèce purement atlantiques, comme le chene pédonculé, le frêne ou l'aulne. Ce qu'on y trouve c'est du chene pubescent, chataigner, robinier, genets d'Espagne,... Bref, je reverrais ta hiérarchie des influences, même si les influences océaniques sont clairement dominantes. Crabo
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D'accord, Tu confirmes encore une fois ce que je me disais. Perso, avant que tu ne postes j'allais un peu contredire Mathieu sur le parallèle qu'il établit entre toulouse et le climat hongrois, en invoquant justement des traits communs avec cette zone de l'Espagne, comme le coin de Pampelune. Je trouve qu'il y a beaucoup de similitudes avec cette ville. Et d'accord aussi sur le fait qu'on est pas sur un sujet toulousain /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Crabo