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alexy31

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Tout ce qui a été posté par alexy31

  1. alexy31

    Prévision GFS

    Bonjour, J'ai un petit soucis dans les caractéristiques du modèle GFS. D'un site à l'autre, les valeurs de maille, de niveaux verticaux, de pas de temps varient plus ou moins. J'aimerais alors vous demander les configurations (maille en km, nombre de niveaux verticaux, pas de temps) selon les échéances du GFS 0,5° et 1°. Merci à vous Ces données vous semble juste? GFS 1° De 0 à 180h la maille est de 30 km. Il y a 64 niveaux verticaux avec un pas de temps de 03h De 180h à 383h la maille est de 70 km. Je ne connais pas le nombre de niveaux (si vous savez?) et le pas de temps est de 12h GFS 0,5° ?
  2. Entièrement d'accord avec Kéké. Être aussi catégorique sur la progression d'une goutte froide, qui plus est très instable, est une relative aberration même s'il est vrai qu'elle ne marque finalement en aucun cas la fin d'une récurrence. Pour autant, elle n'est pas assurément signe d'une dégradation des conditions nouvellement stable et notamment dans le Sud du pays (pour une fois...). La reconstitution d'un faible cyclonisme sur le Nord de l'Atlantique en témoigne. UKMO (actualisé) et CEP (non actualisé), ainsi qu'un certain nombre de scénario GEFS suivent cette tendance à la scission de l'alimentation du pseudo blocage polaire. On a ainsi un tassement des hauts géopotentiels en méditerranée qui à tout moment sont susceptibles de contraindre les quelques noyaux dépressionnaires Atlantiques à incurver leur trajectoire vers le Nord en accentuant l'advection de tropopause haute sur le continent. A terme, ces advections successives pourraient alors favoriser la formation d'une barrière de hauts géopotentiels sur l'Europe occidentale-centrale et peut-être du renversement de la récurrence en cours. Pour autant, il s'agit d'une simple spéculation qui sera intéressante de suivre dans les prochains jours (car c'est un mécanisme susceptible de durer 10 à 15 jours) mais autre témoin révélateur du possible passage à un autre régime c'est l'instabilité croissante qui règne de nouveaux dans nos diagrammes à moyen terme. Nous avons d'ailleurs un phénomène intéressant puisque les gouttes froides migrent également du côté de la Grèce et Turquie jusque là soumis aux grosses chaleurs si bien que le côté occidentale de la méditerranée se réchauffe au détriment du côté orientale. Pour JUDD, en été c'est bien connu les contrastes thermiques à l'échelle hémisphérique sont moins importants qu'en hiver. Difficile donc de compter sur des centres d'action bien dessinés, des anomalies de pression marquées et donc de puissants anticyclones à 1035 hPa susceptibles de détrôner un cyclonisme récurrent. Avis qui ne tient qu'à moi et dont j'aimerais bien avoir l'avis d'experts, la faiblesse des hautes pressions n'est donc pas en cause, il faudrait plutôt une organisation plus logique en été qui voudrait que les dépressions conquièrent l'Atlantique et favorisent la propagation des anomalies hautes de géopotentiels des Açores et de la méditerranée en direction du Nord-est et de l'Europe.
  3. C'est finalement pas étonnant compte tenue du radar et de cette zone de fortes précipitations concentrées à l'Est de la ville.
  4. Visiblement mon pluviomètre devait être bouché par la grêle ou encore obstrué par des saletés éventuelles...bref, l'eau s'est écoulée petit à petit tout au long de la nuit et ce matin il m'affiche un cumul sur 24h de 49 mm (Balma, Nord-est de Toulouse) dont 45 mm ont dû tomber en l'espace d'une heure. Bel orage donc!
  5. Impressionnante fin d'après midi par ici (Balma). Je pense avoir été relativement bien placé même si Flourens (à quelques kilomètres plus à l'Est de là) a dû bien prendre aussi. Il ne manque que quelques mm pour que la piscine déborde...Donc j'estime une lame d'eau de 40 à 60 mm (ma station s'est mise à buger pendant l'épisode et elle ne relève que 10 mm... ) mais avec des intensités supérieures à 100 mm/h. Grêle et fortes rafales de vent se sont également invitées. En bref, un orage comme on en voit un tous les ans par chez moi mais avec une note au dessus tout de même!
  6. Tout simplement monstrueux ici!
  7. alexy31

    Espace Météo

    Surtout bien compliqué dans la mesure où tous ne serons pas en accord pour créer un système commun en souhaitant garder leur indépendance.
  8. alexy31

    Espace Météo

    Oui c'est une très bonne remarque et c'est d'ailleurs dans notre optique première de tenter une réunification des données météo (d'où la fusion entre Météoclimat et Met-évolution il y a un an). Cette partie "observations" n'est toutefois pas encore développé par notre site puisqu'on s'attache particulièrement aux modèles météo et au + que nous pourrions y donner (projet en préparation depuis plusieurs mois). On développe petit à petit...
  9. Parfait, merci beaucoup! En tout cas, l'expérience était bonne à prendre et à réitérer l'année prochaine! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Bravo à toi Oliviero!
  10. Pour les résultats, je vais sur le même site que pour l'admission à l'oral en l'occurrence : Résultats Toutefois, on ne doit pas parler de la même page d'accueil puisqu'ici je n'ai accès qu'à mon classement...
  11. Comment sais-tu que tu es pris à l'ENSG ? car sur ma page j'ai juste mon classement sur la liste principale et aucun sur liste complémentaire. D'après l'un des documents que l'on nous a donné avec la convocation, il y a écrit que si nous sommes sur liste principale, nous sommes "d'ores et déjà assurés d'être intégrés". Or, je n'ai fait qu'un voeux et c'est celui de Météo-France donc je peux pas intégrer l'Equipement ou l'ENSG...?
  12. GFS n'est pas vraiment solo dans sa modélisation puisque CEP perçoit également "l'isolation" d'une goutte froide sur le Portugal, reste du talweg (ou noyau dépressionnaire) s'étend imiscer sur notre pays en milieu de semaine. C'est sans appel : l'advection douce, pardon chaude s'opère immédiatement à l'avant compte tenue de la pompe qui se met en route. Maintenant, il faudra voir si elle est suffisante pour provoquer une accumulation de hauts géopotentiels sur le continent et si l'anomalie de hautes pressions atlantiques arrive à se propager assez à l'Est pour isoler le cyclonisme Ibérique. C'est peu le cas sur le CEP puisque et la récurrence des derniers mois continue de faire son effet au niveau du pôle mais par contre sur GFS, le scénario ne semble pas inintéressant avec le reconstitution partiel du vortex polaire...
  13. C'est finalement très caractéristique d'un changement de régime passant d'un système de blocage ou pseudo-blocage à circulation lente à un système d'ondulations de longueur d'onde plus ou moins grandes et où les variations de type de temps sont très importantes en des périodes relativement courtes. Peut-être finalement un intermède avant le passage à une toute autre récurrence à NAO positive?
  14. alexy31

    METEO CHTI 59-62

    Je sais que ce doit être dur alors je te donne mon coup de pouce pour la suite en tant que message d'encouragement! Bonne chance!
  15. Le vent d'altitude 2012. L'anticyclone est situé au Nord-ouest de l'Islande tandis qu'un talweg s'enfonce des pays Scandinaves jusqu'au proche Portugal. Le nuage de cendres est donc dirigé vers le Sud sur l'Atlantique, contourne la zone de basses pressions pour être reprit par un fort courant jet de Sud en direction de la France.
  16. alexy31

    Espace Météo

    Un simple message pour vous informer que les ANAMESS ont quelque peu évolué dans le dernier bulletin avec une cartographie légèrement retouchée et l'ajout de la légende hors de la carte, en bas de la page pour plus de lisibilité. Vous pouvez toujours les consulter à la même page par contre : ANAMESS Merci à vous! (Si vous avez des idées pour améliorer le système, n'hésitez pas!)
  17. Pas de réels soubresauts comme pour la journée mais depuis 36h, les mesures de trémors au plus proche de l'Hekla (comme sur d'autres zones de mesures) sont en hausse continue mais ne sous entendent en rien d'une éruption brusque?. Et pourtant?
  18. Je me permets de revenir sur cette interrogation. D'aprés le lien ci contre, et notamment cette phrase "Many phenomena can influence the intensity, for example wind, ocean waves and traffic." il semblerait donc que la météo agisse sur ces trémors. Après, l'ascension qu'ils connaissent actuellement ne sont peut-être pas dus qu'à la météo et à ses impacts (cf le précédent post)... /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  19. Le trémor continue son inexorable ascension depuis ce matin. Le graphique ci lien donne parfaitement raison à ce site en disant - je cite - " [Ces vibrations peuvent] durer des minutes, des heures ou être permanentes ; on les appelle alors « trémors volcaniques » leur amplitude augmente progressivement . Ce type d’activité sismique précède souvent les éruptions volcaniques et est donc un des précurseurs les plus intéressants, puisque les mécanismes impliqués sont directement liés à l’état des systèmes magmatiques ou phréatiques."
  20. Je ne crois pas l'avoir vu encore sur ce topic mais voici un lien concernant le trémor Les sismographes enregistrent les différentes oscillations verticales du sol en fonction du temps. D'aprés le texte, la valeur absolue de l'échelle n'a pas grande signification, il faut surtout observer les différentes oscillations qui sont le reflet de tremblement de la surface (pointe sur le graphique).
  21. J'ai un peu manipulé l'image satellite de 19h00 et effectivement on peut délimiter le voile de poussières présent à hautes altitudes : Désolé de la médiocrité de l'image mais j'ai délimiter la zone en pointillés rouge (que j'ai volontairement déplacés de quelques dizaines de kilomètres plus au sud qu'en réalité pour que l'on puisse bien voir). Sur le Golfe de Gascogne, il semble également y avoir quelques signes mais ca semble moins concentré alors qu'on le voit particulièrement bien dans le Nord.
  22. A 220% d'accord avec toi Run! J'aurais voulu mettre 222% mais j'ai pas la même conclusion que toi (mais c'est somme toute bien normal en météo). Je rajouterais à l'argumentaire de départ une belle plongée de l'indice NAO d'ici au week-end. Une telle plongée que nous n'avions pas encore atteint des valeurs aussi basses cet hiver et pourtant dieu seul sait la tendance à la négativité! Modalité cependant : il s'agit d'une prévision...mais enfin tout ca n'est que du détail, retenons plutôt "la plongée"! Justement, pour ce qui est de ta conclusion, j'aurais personnellement tourné ca en faveur d'un gros contraste thermique qui resterait finalement dans la continuité des jours passées. Excellemment bien expliqué dans ton post, on a une tendance au "pseudo" blocage sur le Nord de l'Atlantique. Une zone de hauts géopotentiels entièrement soutenue par des dépressions plongeantes sur l'Atlantique qui, à cette époque de l'année ont d'avantage tendance à favoriser la formation de cellules de hautes tropopauses sur le pays méditerranéen que de contribuer à l'aspiration du froid des hautes latitudes. On a donc deux individus qui se soutiennent mutuellement mais s'opposent au plus haut point. D'un côté l'anticyclone haut perché favorise d'incessants modestes décrochages arctiques en mer du Nord et de l'autre un lit perturbé bien bas qui permet une remontée de hautes tropopauses d'origine subtropical (conséquent de ce jet bas) sur le sud-ouest de l'Europe. Big, bang, boom : beau conflit qui se retrouve encore une fois en France, véritable carrefour de ces centres d'action, subissant d'un côté les assauts d'un printemps bien installé et de l'autre d'un triste automne hivernale. J'aurais donc préféré à ta précédente phrase : "Bref, je crains en un scénario plus frais et dépressionnaire pour la fin de semaine par le nord du Pays, une moitié sud gardant son côté printanier et un centre résistant comme elle peut à ces deux influences. " A 15 jours d'échéance c'est un peu ridicule d'arriver à distinguer trois zones en France donc je prendrais un cas plus général : avec une France "résistant comme elle peut à ses deux influences". ...bon en faite on dit la même chose, je suis donc d'accord à 222% avec toi!
  23. Je remets juste mes propos dans leur contexte : je n'ai jamais parlé de "sécheresse" dans mon message mais seulement de "déficit" ou "excédent" pluviométriques ce qui est bien différent!
  24. Si l'on se fie aux bilans sur 90 jours des différentes stations françaises (Bilans climatologiques), on remarque que les régions ayant les plus grands déficits pluviométriques sont : - le Nord-est - l'Aquitaine - l'Ouest de la région Centre - Centre Midi-pyrénées - Est Rhône-Alpes Pour les excédents, nous retrouvons : - le pourtour méditerranéen - Normandie et Bretagne Palme de la station la plus sèche (par rapport à ses normes) : Bourg-Saint Maurice (déficit de 83,6 mm sur 90 jours) Palme de la station la plus humide (par rapport à ses normes) : Montpellier (excédent de 99,1 mm).
  25. Allez je met ma main à la pate, il y a bien longtemps que j'ai posté mais je continue à être un lecteur assidu! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> BULLETIN TECHNIQUE EUROPE POUR LA PERIODE DU 15 AU 19 AVRIL 2010 L’indice NAO explicité et étudié dans notre précédente analyse aura eu raison d’amorcer une baisse car c’est de nouveau les hautes pressions qui vont gouvernées la circulation du Nord de l’Atlantique. Et comme tout au long de cet hiver, le lit perturbé se retrouve expulsé vers de plus basses latitudes. Mais à cette époque de l’année, la synoptique résultante sur notre parcelle de l’hémisphère n’est plus la même que durant la saison froide. Les poussées de haute tropopause d’origine subtropicale sont plus pressantes sur le bassin méditerranéen et les cyclogénèses ne s’y développent que difficilement. De ce fait, les basses pressions atlantiques qui parvenaient jusqu’en méditerranée cet hiver pour aspirer l’air froid continental se retrouve bloquées au large du Portugal. A ces latitudes, elles permettent un apport d’air doux sur l’Algérie, l’Espagne et le Sud de la France. Toutefois, la véritable chaleur reste bien concentrée sur l’Afrique par absence de « vraies » cellules anticycloniques sur la méditerranée orientale susceptibles de dynamiser le flux de Sud. En parallèle, les hautes pressions décrites ci-dessus, bien ancrées sur le Nord de l’Atlantique favorisent un flux tourné au Nord sur les pays Scandinaves ou la Grande-Bretagne (influençant également le Nord de la France). Un vrai conflit de masse d’air est à prévoir en France (et/ou pays voisins) au cours de cette période entre des descentes d’origine arctique gardant le cap et des remontées douces africaines qui s’affirment. A 850 hPa (1500 mètres), nous nous retrouvons parfois avec des écarts thermiques de plus de 10°C entre le Nord Pas de Calais et les Pyrénées. Au sol, cet écart peut s’amplifier facilement au grès des régions ensoleillées. Sur l’ANAMESS, sont représentées des structures, des régimes, des circulations lentement variables dans le temps. Je n’ai peu ou proue eu besoin de mettre en avant le « déplacement de structures » par un flèche comme à l’habitude, car la situation synoptique paraît figée et se renouvelle en permanence comme si l’équilibre, si inaccessible pouvait l’être au cours de cette échéance. Cet état de stabilité cache pourtant une difficulté de prévision. Cette difficulté nous la retrouvons dans la carte d’instabilité prévisionnelle ci-dessus. Il est encore bien difficile d’établir la zone de rencontre des masses d’air : France, Grande-Bretagne, Danemark ? Amis sudistes au plus proches des advections douces, c’est donc une période stable qui s’annonce mais attention l’humdité ne sera pas loin en marge de cette goutte froide portugaise et quelques phénomènes convectifs de type estival ne semblent pas improbables en priorité sur les massifs. Amis nordistes, la situation se complique. Vous vous vous situez dans une zone où l’indice de fiabilité perd brutalement des points. Si l’air frais pourrait être présent (sans pour autant être froid puisque les températures ne seraient pas si éloignées que cela des normes de saison), les fronts les plus précipitants se retrouveraient bien affaiblis dans ce contexte plus ou moins anticyclonique et le soleil a bien des chances de perçer malgré tout suivant l’ondulation de la « zone barocline ».
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