florent76 Posté(e) 5 mars 2008 Partager Posté(e) 5 mars 2008 En gros Oui Florent76. Avec son aide sur excel j'ai calculé suivant la position de Venus-Terre-Jupiter les syzygies sur une longue periode de l'an 820 a 2030 et j'analyse ceci. Les annees depuis quand on enregistre les taches solaires correspondent tres bien avec ceci comme tout le monde peut le voir sur le site de Jean-Pierre Desmoulins : http://pagesperso-orange.fr/jpdesm/sunspots/sun.html On dirait que Jean-Pierre Desmoulins nous annonce un cycle 24 très fort !?http://pagesperso-orange.fr/jpdesm/sunspots/sun_c24.html Je pensais que le retard que prends ce cycle ne plaidait pourtant pas tellement dans le sens d'une telle évolution... Faible ou importante activité pour ce cycle, difficile d'y voir clair : on peut lire les prévisions totalement opposées et toujours extrêmes dans un sens ou l'autre pour ce cycle ! Qui est l'auteur pour le graphe de Fred alors ? Florent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 5 mars 2008 Partager Posté(e) 5 mars 2008 On dirait que Jean-Pierre Desmoulins nous annonce un cycle 24 très fort !? http://pagesperso-orange.fr/jpdesm/sunspots/sun_c24.html Je pensais que le retard que prends ce cycle ne plaidait pourtant pas tellement dans le sens d'une telle évolution... Faible ou importante activité pour ce cycle, difficile d'y voir clair : on peut lire les prévisions totalement opposées et toujours extrêmes dans un sens ou l'autre pour ce cycle ! Qui est l'auteur pour le graphe de Fred alors ? Florent. Suivant la courbe bleue de cette page on voit que celle semble evoluer a l'oppose de l'activite solaire comme c'est de 1800 a 1830 qu'elle est au maximum soit lors du minimum de Dalton, puis elle est au minimum vers 1940-50 soit lors du maximum de l'activite solaire. Puis cette courbe bleue remonte donc ceci devrait etre un signe de la diminution de l'activite solaire comme on le voit depuis 1950. Pour les previsions des cycles solaires, le cycle N°24 qui est de numero pair est plus delicat a prevoir que les previsions des cycles N° impair. Car ces derniers sont toujours plus actifs que le cycle pair qui le precedent. Ce qui est de la loi de GO. Les seul cas où ceci est l'opposé est quand on a les planetes gazeuses bien aligne comme ca sera le cas pour le cycle N°25. Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
florent76 Posté(e) 5 mars 2008 Partager Posté(e) 5 mars 2008 Suivant la courbe bleue de cette page on voit que celle semble evoluer a l'oppose de l'activite solaire comme c'est de 1800 a 1830 qu'elle est au maximum soit lors du minimum de Dalton, puis elle est au minimum vers 1940-50 soit lors du maximum de l'activite solaire. Puis cette courbe bleue remonte donc ceci devrait etre un signe de la diminution de l'activite solaire comme on le voit depuis 1950. Effectivement : vu comme cela je comprends mieux ! En effet, pourquoi pas une forte syzygie, mais une toute petite activité solaire comme le cycle n°6 en 1810... Le cycle n°4 précédent avait duré 17 ans, puis l'activité solaire avait fortement décrue : nous n'en sommes pas encore là au niveau retard, mais si le minima se prolonge, cela pourrait indiquer une configuration semblable et à venir... Compte tenu de ces éléments, j'imagine difficilement un fort cycle n°24 de toute manière, mais peut-être pas aussi faible que le cycle n°6...Florent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Atmosphère Posté(e) 5 mars 2008 Partager Posté(e) 5 mars 2008 Mon père qui est passionné d'astronomie pensent que tous les résultats que vous nous montrait sont purement empiriques. Personne ne sait vraiment quelle sera l'influence sur notre climat finallement. Y'a tellement de variables qui rentrent en compte qu'un calcul mathématique ou d'astrophysique ne suffierait pas pour arriver à prédir ce que sera le devenir de notre planète. Il y'a toujours eu des périodes de réchauffements et de refroidissement sur la terre, ca c'est un fait incontestable, mais expliquer pour quelles raisons elles se sont produites est une autre paire de manche... C'est difficile de se faire une propre opinion quand tous le monde ne dit pas la même chose. Celà prouve une chose, que l'on ne sait rien finallement... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
kaktus Posté(e) 5 mars 2008 Partager Posté(e) 5 mars 2008 Ok merci florent76 et williams. La disette de 1789 a été l'une des cause de la révolution française ! Tout ça cause du soleil /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 5 mars 2008 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 5 mars 2008 Ok merci florent76 et williams. La disette de 1789 a été l'une des cause de la révolution française ! Tout ça cause du soleil /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Ceci n'est il pas commode pour excuser les abus d'un certain Ancien Régime? quoique ... ces abus ont en effet leur origine dans un roi précédent qui était le Roi Soleil. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 5 mars 2008 Dax (40) Partager Posté(e) 5 mars 2008 Suivant la courbe bleue de cette page on voit que celle semble evoluer a l'oppose de l'activite solaire comme c'est de 1800 a 1830 qu'elle est au maximum soit lors du minimum de Dalton, puis elle est au minimum vers 1940-50 soit lors du maximum de l'activite solaire. Puis cette courbe bleue remonte donc ceci devrait etre un signe de la diminution de l'activite solaire comme on le voit depuis 1950. En fait, je vois pas trop la tendance sur la courbe présentée. J'ai enlevé les barres de tendances bleues, et je ne vois aucun trend particulier correspondant : D'autre part, Florent avait raison, il est bien pronostiqué sur cette page un possible cycle 24 fort : If this trend is real and continues during cycle 24, we could have a strong amplitude for this one. Mais de toute manière je suis d'accord avec Atmosphère (enfin, son père) sur le fait que nos connaissances dans ce domaine restent quand même limitées, et que les prévisions que l'on fait à l'heure actuelle doivent être prises avant tout comme des "tentatives" à la fiabilité limitée. La preuve s'il en est, en deux pages on a pu lire que le cycle 24 était commencé, qu'on entrait dans une période du genre minimum de Maunder, que le cycle commencerait pas avant 594 jours et qu'il pourrait avoir une très grande amplitude ! Faute de véritable compréhension des mécanismes de notre étoile ainsi que de son influence sur notre climat, on en est réduit à comparer ce qu'il s'est passé il y a des décennies voire des siècles, pour dire "aujourd'hui on a à peut près la même chose qu'il y a 150 ans au niveau solaire donc on devrait avoir un refroidissement". Mais finalement, quoi que l'on en pense, cela n'a pas plus de valeur que de dire (exemple fictif) "janvier et février ont été doux et les six mois qui les ont précédés ont été frais, on avait eu la même chose en 1934/1935 et mars 1935 avait été frais donc mars 2008 sera vraisemblablement frais". Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 5 mars 2008 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 5 mars 2008 Je crois qu'il y a maldonne là, et qu'on confond un peu rapidement deux choses, l'intensité du champ magnétique polaire et celle du champ magnetique equatorial que j'appelerais champ entropique, celui ci est à son maximum au moment de l'inversion du champ polaire, on considère à tort que le cycle commence lorsqu'il y a le minimum de taches donc d'activité dans le champ equatorial, c'est justement le moment ou le champ polaire est à son maximum. Par conséquent quand le champ magnetique polaire est puissant moins ce qu'on appelle activité solaire est elevée. Je me demande justement si certains ne font pas la confusion, une prévision peut être juste et qui annonce un cycle solaire puissant c'est peut être bien l'inverse en termes de taches solaires et de trous coronaux. Facile à comprendre, ces ejections coronales et ces taches magnétiques désordonnées dans le plan équatorial sont d'autant plus actives que le champ magnetique principal polaire est d'autant plus faible. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 6 mars 2008 Dax (40) Partager Posté(e) 6 mars 2008 Pardonne moi Torrent j'ai pas tout réellement compris ... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
bilbo28 Posté(e) 6 mars 2008 Partager Posté(e) 6 mars 2008 Pardonne moi Torrent j'ai pas tout réellement compris ... "je n'ai pas compris" et non "j'ai pas compris" le sens reste le même mais le modérateur doit donner l'exemple ! /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 6 mars 2008 Partager Posté(e) 6 mars 2008 "je n'ai pas compris" et non "j'ai pas compris" le sens reste le même mais le modérateur doit donner l'exemple ! /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Franchement, si tout le monde sur ce forum écrivait aussi bien que treizevents, ce serait presque du niveau de l'Académie Française. Cette remarque est donc complètement déplacée et à réserver aux scribouillards qui hantent régulièrement ce forum. De toute façon, sur le fond, la remarque de Torrent sur les champs polaire et équatoriaux n'est pas très pertinente, à mon sens.(enfin sur ce que j'en ai compris) Lorsqu'on prévoit une activité solaire forte, on prévoit une activité magnétique forte dans le domaine d'apparition des taches. Cette activité forte provoquant un nombre plus important de taches et de facules à la surface du soleil. Point. EDIT: de toute façon le lien cité (Desmoulins) concerne bien le nombre de Wolf, lié par conséquent à l'activité magnétique. Il n'y a donc aucune ambiguïté. Ceci dit je ne développerai pas, évidemment, ce que je pense de la "théorie" de Desmoulins. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 6 mars 2008 Partager Posté(e) 6 mars 2008 je ne pensais pas qu'il était si difficil de savoir si un cycle était commencé ou pas, donc personne ne ne sait encore si le cycle 24 a débuté ou non? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 6 mars 2008 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 6 mars 2008 Pardonne moi Torrent j'ai pas tout réellement compris ... Je t'expliquerai cela en chat par MSN ... ce n'est pas en effet ce que dit Desmoulins mais c'est ce que je dis moi en recoupant plusieurs sources ... je te livrerai mes conclusions. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomar Posté(e) 7 mars 2008 Partager Posté(e) 7 mars 2008 je ne pensais pas qu'il était si difficil de savoir si un cycle était commencé ou pas, donc personne ne ne sait encore si le cycle 24 a débuté ou non? La réponse est dans la première page de ce post. Ce serait bien de lire, juste un tout petit peu, ce qui est écrit par les autres contributeurs avant de poser des questions. Bonne nuit (oui, évidemment il est commencé, depuis plus de 2 mois. Mais on ne connait pas encore la date du minimum solaire, qui n'est définie par calcul que bien après que cette date soit passée - elle est peut-être déjà passée, ou peut-être pas, à voir dans quelques mois). Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sirius Posté(e) 7 mars 2008 Haut Doubs Partager Posté(e) 7 mars 2008 Je me demande si intervenir dans ce type de débat a encore le moindre intérêt. Quand même: 1 comme le dit implicitement Damien, avec des corrélations et des études de "cycle" à vue de nez, on élabore des théories boîteuses. Le pire, peut être, est que si elles marchent, on ne sait pas pourquoi et que le pouvoir prédictif des dites théories revient à dire: ça c'est passé comme ça, ça se passera forcément de la même manière. Si elles marchent pas, ça va mieux parce qu'on en est rapidement débarassé. Compte tenu de la variabilité naturelle, j'imagine aisément que tout un chacun pourra y trouver matière à conforter ses certitudes. 2 quelqu'un a t il eu la curiosité de voir ce qui traînait dans les publications scientifiques à propos du barycentre? Utilisez donc scholar google , vous trouverez bien qq chose mais on ne peut pas dire que ça ait un franc succés (ça se compte sur les doigts d'une main) Alors, j'ai bien compris que sur IC , on aime faire les choses par soi même mais ça a forcément ses limites assez vite atteintes Pourquoi donc, cette théorie n'a t elle pas davantage de succès alors que les sceptiques cherchent par tous les moyens à augmenter la responsabilité de l'activité solaire? 3 quand je demandais des références à williams, il ne m'a pas parlé de Desmoulins,. Bon, il paraît que c'est un spécialiste. Alors, j'ai regardsé sur scholar google...ben ce que j'ai vu correpond à des programmes d'optimisation des transports. C'est le même ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 7 mars 2008 Partager Posté(e) 7 mars 2008 Je me demande si intervenir dans ce type de débat a encore le moindre intérêt. effectivement 3 quand je demandais des références à williams, il ne m'a pas parlé de Desmoulins,. Bon, il paraît que c'est un spécialiste. Alors, j'ai regardsé sur scholar google...ben ce que j'ai vu correpond à des programmes d'optimisation des transports. C'est le même ? Attention, le gros truc de Desmoulins concerne les conjonctions des planètes, Vénus, Terre et Jupiter. planètes à effet de marée potentiel . On se demande d'ailleurs pourquoi, pour Mercure, cela ne marche pas. Desmoulins suppose que c'est parce que Mercure tourne plus vite autour du Soleil... Par contre, les partisans de la thèse barycentrique ne font pas intervenir les planètes intérieures, mais les planètes lourdes du système cad les géantes gazeuses. Elles ont la plus grande influence sur la position du soleil par rapport au barycentre de par leur masse et leur distance. pour l'effet de marée c'est en M/R^3 donc les 3 planètes intérieures ont plus d'efficacité, sauf pour Jupiter qui est tellement massive. Sinon ces théories de l'influence des planètes ne sont pas de la première jeunesse. On en trouve les premières traces aux alentours de la fin du 19ème. C'est vers la première moitié du 20ème que ça commence à se structurer un peu et dans les années 70 une série d'études est venue les infirmer. De temps en temps cette vieille thèse réapparaît, exemple avec Desmoulins qui n'a pas inventé grand-chose. J'ai même vu récemment une "théorie" liant l'apparition des taches solaires à la distance de Jupiter au Soleil. Le coefficient de corrélation était de l'ordre de 0.98, excellent donc. Le seul pb est que, la période de Jupiter étant voisine de celle du cycle de 11 ans, on trouve forcément toutes les corrélations que l'on veut. Alors y a t'il un lien ou pas? Personnellement et étant données les forces en jeu, effet de marée d'un côté, gravité, force centrifuge, convection solaires de l'autre, j'ai bp de mal à envisager une quelconque influence des planètes. Pour pouvoir aller plus loin il faut une bonne connaissance des mécanismes solaires connus, ce que je n'ai pas. Mais apparement, il n'est nul besoin des périodes orbitales des planètes, pour retrouver des temps de cycle comparables aux temps de cycle de Schwabe ou encore du cycle magnétique. Par exemple le retour de flux convectif méridien profond (genre de conveyor belt) s'effectue en environ 20 ans soit très proche des 22 ans. C'est un problème passionnant en fait mais qui ne doit pas être pris avec le tout petit bout de la lorgnette. sinon si cela t'intéresse de te plonger dans les modèles des véritables scientifiques qui planchent sur la question, tu peux regarder cet article de Paul Charbonneau. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sirius Posté(e) 7 mars 2008 Haut Doubs Partager Posté(e) 7 mars 2008 sinon si cela t'intéresse de te plonger dans les modèles des véritables scientifiques qui planchent sur la question, tu peux regarder cet article de Paul Charbonneau. Eh ben voilà! merci à la fois pour le résumé et pour la référence Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 7 mars 2008 Partager Posté(e) 7 mars 2008 La réponse est dans la première page de ce post. Ce serait bien de lire, juste un tout petit peu, ce qui est écrit par les autres contributeurs avant de poser des questions. oui, mais ne va pa croire non plus que je n'ai pas lu le sujet, mais je n'avais pas compri que le cycle24 pouvait avoir démarrer sans que le cycle 23 soit terminé. un petit peu d'indulgence, je tente de m'initié, donc je lis presque tout au moins 2 fois, tout en cherchant des précisions ou des définitions sur différents termes techniques utilisé ici. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
florent76 Posté(e) 7 mars 2008 Partager Posté(e) 7 mars 2008 Eh ben voilà! merci à la fois pour le résumé et pour la référence Il y a beaucoup d'autres références sur le soleil ici !http://solarphysics.livingreviews.org/Articles/ Que de brillants et lumineux exposés ! Florent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 7 mars 2008 Partager Posté(e) 7 mars 2008 Je me demande si intervenir dans ce type de débat a encore le moindre intérêt. Quand même: 1 comme le dit implicitement Damien, avec des corrélations et des études de "cycle" à vue de nez, on élabore des théories boîteuses. Le pire, peut être, est que si elles marchent, on ne sait pas pourquoi et que le pouvoir prédictif des dites théories revient à dire: ça c'est passé comme ça, ça se passera forcément de la même manière. Si elles marchent pas, ça va mieux parce qu'on en est rapidement débarassé. Compte tenu de la variabilité naturelle, j'imagine aisément que tout un chacun pourra y trouver matière à conforter ses certitudes. 2 quelqu'un a t il eu la curiosité de voir ce qui traînait dans les publications scientifiques à propos du barycentre? Utilisez donc scholar google , vous trouverez bien qq chose mais on ne peut pas dire que ça ait un franc succés (ça se compte sur les doigts d'une main) Alors, j'ai bien compris que sur IC , on aime faire les choses par soi même mais ça a forcément ses limites assez vite atteintes Pourquoi donc, cette théorie n'a t elle pas davantage de succès alors que les sceptiques cherchent par tous les moyens à augmenter la responsabilité de l'activité solaire? 3 quand je demandais des références à williams, il ne m'a pas parlé de Desmoulins,. Bon, il paraît que c'est un spécialiste. Alors, j'ai regardsé sur scholar google...ben ce que j'ai vu correpond à des programmes d'optimisation des transports. C'est le même ? Il est normale que je ne t'avais pas parle de Desmoulins comme reference du fait qu'il parle de marrees planetaires alors que je te parlais du deplacement du Soleil autour du barycentre. Donc l'un et l'autre n'on rien a voir ce sont 2 choses differentes Sirius. Le seul pb est que, la période de Jupiter étant voisine de celle du cycle de 11 ans, on trouve forcément toutes les corrélations que l'on veut. Le cycle du barycentre est de 179 ans ce qui a aucun lien avec les 11 ans de jupiter. Donc suivant cela tu ne peus pas dire cela. Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 7 mars 2008 Partager Posté(e) 7 mars 2008 Le cycle du barycentre est de 179 ans ce qui a aucun lien avec les 11 ans de jupiter. Donc suivant cela tu ne peus pas dire cela. sauf que cela ne s'adressait pas au pb du barycentre mais à la phrase qui précédait concernant la corrélation de 0.98. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 8 mars 2008 Partager Posté(e) 8 mars 2008 sauf que cela ne s'adressait pas au pb du barycentre mais à la phrase qui précédait concernant la corrélation de 0.98. Tu dis que comme le cycle de 11ans est le meme que la rotation de jupiter de 11ans alors a cause de ceci on trouve toute correlation comme celle J.P. Desmoulins utilisant Venus Terre Jupiter. donc le syzygie a un cycle du cycle de 11 ans a cause de Jupiter. Mais pourtant dans le cycle du Soleil Baycentre ces cycles sont pas de 11 ans alors que Jupiter Saturne Uranus et Neptune sont pris en compte. Les 2 cycles sont un de 15-20 ans et celui de 179 ans. Donc ils n'ont rien a voir avec les 11 ans du cycle orbital de Jupiter et donc on ne pas une fois de plus avoir comme excuse que le seul pb est que, la période de Jupiter étant voisine de celle du cycle de 11 ans, on trouve forcément toutes les corrélations que l'on veut. Si non pourquoi on trouve un cycle ici avec le bary et le cycle solaire de gleisberg avec encore Jupiter alors que ca dure 179 ans et non 11 ans. Ceci par ce que Jupiter doit jouer un role plus important qu'on le pense la dessus du a sa masse. De plus le cycle solaire de 11 ans n'est pas de 11 ans a chaque cycle mais entre 8 et 13 ans. Donc a force il y aurait un decalage important depuis ces 300 ans dans la courbe de Desmoulins si il y aurait pas de lien. Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 8 mars 2008 Partager Posté(e) 8 mars 2008 Tu dis que comme le cycle de 11ans est le meme que la rotation de jupiter de 11ans alors a cause de ceci on trouve toute correlation comme celle J.P. Desmoulins utilisant Venus Terre Jupiter. donc le syzygie a un cycle du cycle de 11 ans a cause de Jupiter. Mais pourtant dans le cycle du Soleil Baycentre ces cycles sont pas de 11 ans alors que Jupiter Saturne Uranus et Neptune sont pris en compte. Les 2 cycles sont un de 15-20 ans et celui de 179 ans. Donc ils n'ont rien a voir avec les 11 ans du cycle orbital de Jupiter et donc on ne pas une fois de plus avoir comme excuse que le seul pb est que, la période de Jupiter étant voisine de celle du cycle de 11 ans, on trouve forcément toutes les corrélations que l'on veut. Si non pourquoi on trouve un cycle ici avec le bary et le cycle solaire de gleisberg avec encore Jupiter alors que ca dure 179 ans et non 11 ans. Ceci par ce que Jupiter doit jouer un role plus important qu'on le pense la dessus du a sa masse. De plus le cycle solaire de 11 ans n'est pas de 11 ans a chaque cycle mais entre 9 et 13 ans. Donc a force il y aurait un decalage important depuis ces 300 ans dans la courbe de Desmoulins si il y aurait pas de lien. Williams Bon écoute Williams si tu ne comprends pas ce qu'écrivent les gens sur les forums c'est ton pb. Moi j'en ai assez. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patricia Régnier Posté(e) 9 mars 2008 Partager Posté(e) 9 mars 2008 effectivement Attention, le gros truc de Desmoulins concerne les conjonctions des planètes, Vénus, Terre et Jupiter. planètes à effet de marée potentiel . On se demande d'ailleurs pourquoi, pour Mercure, cela ne marche pas. Desmoulins suppose que c'est parce que Mercure tourne plus vite autour du Soleil... Par contre, les partisans de la thèse barycentrique ne font pas intervenir les planètes intérieures, mais les planètes lourdes du système cad les géantes gazeuses. Elles ont la plus grande influence sur la position du soleil par rapport au barycentre de par leur masse et leur distance. pour l'effet de marée c'est en M/R^3 donc les 3 planètes intérieures ont plus d'efficacité, sauf pour Jupiter qui est tellement massive. Sinon ces théories de l'influence des planètes ne sont pas de la première jeunesse. On en trouve les premières traces aux alentours de la fin du 19ème. C'est vers la première moitié du 20ème que ça commence à se structurer un peu et dans les années 70 une série d'études est venue les infirmer. De temps en temps cette vieille thèse réapparaît, exemple avec Desmoulins qui n'a pas inventé grand-chose. J'ai même vu récemment une "théorie" liant l'apparition des taches solaires à la distance de Jupiter au Soleil. Le coefficient de corrélation était de l'ordre de 0.98, excellent donc. Le seul pb est que, la période de Jupiter étant voisine de celle du cycle de 11 ans, on trouve forcément toutes les corrélations que l'on veut. Alors y a t'il un lien ou pas? Personnellement et étant données les forces en jeu, effet de marée d'un côté, gravité, force centrifuge, convection solaires de l'autre, j'ai bp de mal à envisager une quelconque influence des planètes. Pour pouvoir aller plus loin il faut une bonne connaissance des mécanismes solaires connus, ce que je n'ai pas. Mais apparement, il n'est nul besoin des périodes orbitales des planètes, pour retrouver des temps de cycle comparables aux temps de cycle de Schwabe ou encore du cycle magnétique. Par exemple le retour de flux convectif méridien profond (genre de conveyor belt) s'effectue en environ 20 ans soit très proche des 22 ans. C'est un problème passionnant en fait mais qui ne doit pas être pris avec le tout petit bout de la lorgnette. sinon si cela t'intéresse de te plonger dans les modèles des véritables scientifiques qui planchent sur la question, tu peux regarder cet article de Paul Charbonneau. si le coefficient de corrélation est excellent, cela ne suffit-il pas ? Jupiter étant la plus grosse planète gazeuse du système solaire pourquoi cette corrélation serait scientifiquement non fondée ? Un autre scientifique dit la même chose, mais le prenant pour un gourou, il préfère se taire. Dommage que seuls les non scientifiques suivent ses démonstrations pour essayer de comprendre ce qu'il a d'important à diffuser. Vous auriez aussi à creuser en ce sens des guides d'ondes par exemple et de l'élan angulaire calculé par Williams pour faire un lien avec ces champs magnétiques du Soleil qui s'entourent autour du barycentre comme le disent Williams et Torrent. Voir d'autres barycentres qui ne manquent pas dans la Nature et l'Espace. Mais les calculs manquent. Nous devrions remercier Jean-Pierre Desmoulins (prof à l'université de Grenoble) et Williams Fondevilla d'en avoir réalisé certains pour nous. La politesse n'a jamais fait de mal. Ce n'est pas le père de printemps qui dira l'inverse. Il vont être obligés de partir travailler aux Etats Unis où là-bas l'idée fait son chemin http://solarcycle24.forumco.com/topic~TOPIC_ID~128.asp Pourquoi être aussi méprisants tout de même ? Les scientifiques le disent : ils ne savent pas ! Mais il y a une raison et l'aspect électrique n'est pas assez exploité. Pourtant les satellites y sont confrontés non ? Les américains sont plus informés que vous http://www.electric-cosmos.org/sun.htm ou le livre Electric sky. J'essaie (péniblement) d'aider un groupe de (vieux) français que vous nommez "secte" à reprendre le flambeau abandonné par un autre ingénieur-astronome du début du 20° siècle http://www.e-monsite.com/albert-nodon/ dont son livre majeur "l'action électrique du Soleil" en 1910 (Gauthier Villars). Nous avons besoin d'être plus nombreux à nous soutenir les uns les autres plutôt que d'être ainsi maltraités au nom de l'Honneur de la France. Voir aussi http://www.cths.fr/4DCGI/DetailPage/?zw3_V...D_SELEC_Appel=0 edit / Bien pour le blog Meteor. J'ai ajouté un commentaire pour dire que les protons proviennent aussi des vents solaires éjectés des tâches solaires mais essentiellement des trous coronaux. Il peuvent atteindre 800 Km/s voir plus et les particules passer de 1 jusqu'à 200/cm3 comme ce fut le cas une fois en 2001 (correspondant à la fin brutale de la longue période d'inondation historique dans la Somme). Pour les prévisions haute et basse du cycle solaire 24 voir ICI (La prévision de Jean-Pierre Desmoulins du cycle 24 démarrant au mois de décembre 2007 s'est vérifiée à quelques heures de décalage. Sa prévison serait plutôt la plus haute des deux tendances du graphique de la NOAA tandis que celle de Williams serait la plus basse des deux) Sur quels forum Meteor est-il question de ces cycles de 11 en relation avec Jupiter ? Williams, lui travaille sur le barycentre, ce n'est pas pareil. /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patricia Régnier Posté(e) 10 mars 2008 Partager Posté(e) 10 mars 2008 Pour poursuivre les échanges de liens, en voici un qui appuie les calculs sur le barycentre : http://heeke.com/franz/article1.html je relève notamment ce passage : 6.6 Maunder Minimum From about 1645 to 1715 there was a prolonged sunspot minimum (Maunder minimum). It seemingly came along with an anomalous solar rotation, and a period of cooler climate in Europe, - Ref. (06)(17). The suspected causes for and consequences of sunspot minima are outlined in aforegoing chapter. Sun's motion (Figure-1) must have been rather circular during the Maunder minimum. This should show up, when Jose's study is being updated and extended to the period in question. There would be no transfer of angular momentum, no differential rotation of our sun, and no sunspots at all, if sun was swinging about the centre of mass in a perfect circle. An example of a swinging motion with little eccentricity is offered by planet Saturn Figure-2 . Saturn shows, as is known, a rather smooth surface. A favourable position of sun's axis of rotation (minimum of wobbling) may have contributed to the prolonged sunspot minimum in the 17th century. Updating of Jose's study might show, whether this is true, and an extension of it into the future might give some warning, when to expect the next "Maunder Minimum" . 1/ Chacun sait qu'à cette période le diamètre du Soleil était le plus large. 2/ les scientifiques disent qu'il existe plusieurs forces je n'ai pas toute la liste mais tu dois les connaître, et celles du Soleil sont aussi produites par les gaz (pression gazeuse), surtout quand son diamètre est très large. Ce qui était le cas pendant le minimum de Maunder. Il y a aussi la pression de radiation et la gravitation. 3/ Je viens justement de faire remarquer à Williams que pendant cette période des planètes gazeuses se trouvaient en occultation en position géocentrique. Il reste à vérifier comment elles l'étaient en position héliocentrique. Il se peut qu'alors la force nucléaire du Soleil (la plus forte) a pris le dessus sur la force électro-magnétique (plus faible). Les planètes servant alors de coupure de courant électrique en quelque sorte, leurs plasma n'étant plus en contact, comme le souligne aussi l'article précédent. Enfin c'est une réflexion personnelle de non scientifique qui se renseigne aurpès de scientifiques pour chercher à comprendre. Si jamais ma théorie tenait la route, cela va faire mal, n'est-ce pas Meteor ? pour complément d'info voir en français : http://www.obs-nice.fr/vigouroux/chp4/subsection2_4_4_2.html Les mesures de Picard et La Hire Les observations La série temporelle la plus intéressante est celle de La Hire qui observa en effet avec le même instrument durant presque quatre cycles solaires. Pendant cette époque, il y eut très peu de taches sur le Soleil. Cette période est connue sous le nom du minimum de Maunder (Maunder 1894) et concide avec un climat relativement froid dans les régions de l'Atlantique Nord, appelé le petit âge glaciaire. Les données de La Hire de 1715 peuvent être comparées avec la mesure du diamètre effectuée lors d'une éclipse de Soleil par Halley et ses collaborateurs en mai 1715. En supposant que cette mesure soit la meilleure estimation du diamètre disponible à cette époque, elle fournit une possibilité de calibration des données de La Hire. La comparaison indique qu'il faut soustraire 3" aux données de La Hire pour que leurs valeurs correspondent à celle fournie par Halley. Cependant, même en diminuant l'ensemble des mesures de La Hire de 3", la valeur de 1683 reste encore à 962.5" ce qui est de 3" (2000 km) supérieur à la valeur actuelle du diamètre. Cet écart correspond de plus à 6 fois la déviation standard de la moyenne et est 20 fois plus grand que la variation actuelle du diamètre avec le cycle de 11 ans (150 km). Entre 1680 et 1690, décade correspondant à la fin du minimum de Maunder, le diamètre diminue de 3", et on retrouve des valeurs comparables à celle donnée par Halley lors de l'observation de l'éclipse de 1715. Ribes et al. (1991) en concluent donc à une véritable augmentation du diamètre en cette période de faible activité magnétique d'autant plus que les mesures de Picard concordent avec celles de La Hire. Par ailleurs les taches (une centaine au total, concentrées sur l'hémisphère Sud du Soleil) montrent une vitesse de rotation de 3 %plus faible que la vitesse actuelle. Un Soleil plus grand avec une vitesse de rotation plus faible serait en accord avec un phénomène réel de pulsations (dilatation et contraction des couches convectives) sur des échelles de temps de quelques siècles (Ribes et al 1987). L'interprétation La connection entre l'activité des taches, la luminosité et le diamètre a été suggérée par Spiegel et Weiss (1980). Si la source de la dynamo opère dans les couches convectives profondes, la présence de champs magnétiques forts peut altérer localement le gradient de température adiabatique et modifier le transport de flux convectif. Une telle altération provoquerait une variation du rayon et affecterait aussi le taux de rotation de l'enveloppe solaire. De plus, la rotation différentielle observée est plus marquée durant le minimum de Maunder qu'à présent, de la même façon qu'elle est plus marquée en période de minimum du cycle qu'en période de maximum. Ayant observé que les rouleaux azimuthaux (voir le chapitre 2 pour plus de détails) disparaissaient au moment des minimums du cycle, Ribes et al (1987) en concluent que les rouleaux étaient aussi absents durant le minimum de Maunder. Kunh et al. (1985) ont par ailleurs montré qu'une connection pourrait exister entre les rouleaux azimutaux et les variations de la luminosité. Leur absence est en accord avec une expansion de l'enveloppe solaire (et donc un refroidissement) et une diminution de la luminosité. Une baisse de 1 %de cette dernière aurait pu conduire à la décroissance observée de la température terrestre, provoquant ainsi un petit âge glaciaire (Eddy 1975). voici aussi un lien en français pour poursuivre la connaissance http://www-dapnia.cea.fr/Sap/Phocea/Vie_de....php?id_ast=998 http://users.skynet.be/deblauwe/general/antigrav.htm http://florenaud.free.fr/Structure.php Il y a aussi le français dans la vie ! je relève ce passage tout particulièrement ici http://users.skynet.be/deblauwe/general/antigrav.htm Ainsi, le modèle de Whipple a permis d'interpréter les anomalies de mouvements de quelques comètes périodiques. Les composantes radiales, Fr, et transversale, Ft, de la force non-gravitationnelle, varie avec le taux de sublimation, en fonction de la distance héliocentrique et elle varie aussi d'une comète à l'autre (la troisième composante, perpendiculaire au plan de l'orbite, est négligeable). L'effet de Fr, dirigée à l'opposé du Soleil, est une simple réduction apparente de la gravitation du Soleil; cette composante est de l'ordre de quelques cent millièmes de l'attraction gravitationnelle solaire. Ft est de quelque fois à quelques dizaines de fois plus petite, de sorte que l'angle de retard (angle entre la direction de l'émission gazeuse maximale et le méridien passant par le Soleil) est variable lui aussi, il est souvent relativement faible, sauf pour les comètes les plus vieilles, dotées d'une croûte isolante importante, pour lesquelles il peut atteindre 90°. Cela confirme bien que plusieurs forces sont à prendre en compte. Non seulement la gravitation, les marées comme vous le laissez supposer il faut bien en effet "regarder ailleurs que par le petit bout de la lorgnette". Tout cela est très compliqué pour les scientifiques et les non scientifiques. Pas la peine de s'en prendre à Williams, il n'y est pour rien !Pour la démonstration scientifique je rajoute ce lien http://www.culturediff.org/radioactivite2.htm qui devrait compléter les autres liens (pour les calculs scientifiques se reporter aux auteurs scientifiques des sites internet. Vous avez remarqué que je n'abandonne pas et que je m'améliore, mais je reste fâchée avec les formules chiffrées) Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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