olivierchampagne Posté(e) 4 octobre 2013 Lyon Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Oui cela n'est plus à démontrer que l'irradiance solaire a des effets sur la température globale. Mais ce débat ne rentre pas dans ce topic... A l'échelle qui nous intéresse j'ai trouvé une petite corrélation entre irradiance solaire à la fin de l'été et NAO en hiver, mais il faut nuancer. Je posterais ça plus tard. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien764 Posté(e) 4 octobre 2013 Yainville, Seine-Maritime, Normandie Partager Posté(e) 4 octobre 2013 L'activité solaire ce n'est pas uniquement l'irradiance, elle varie très très peu, l'activité solaire influence bien plus à l'échelle de notre planète, son action sur les rayons cosmique a un effet sur la nébulosité et donc l'albédo. Le rayonnement UV lui varie beaucoup lors de petites fluctuations de l'activité solaire. Pour citer Cyril44, qui se base beaucoup sur l'activité solaire avec des résultats satisfaisants en Hiver par exemple: Le rayonnement ultraviolet ne représente que 7% des émissions totales. Les 93% restants sont réparties entre le Visible et l'Infrarouge. Cependant, lors de variations de l'activité solaire, l'amplitude de l'irradiance totale (ou éclairement) est faible pour les domaines visibles et infrarouges, élevée pour les Ultra-Violets (environ 100%). Les émissions de rayons UV ont des conséquences sur l'atmosphère : à intensité croissante, les perturbations des signaux sont plus nombreuses. Dans la haute atmosphère (Ionosphère), les satellites perdent de l'altitude parce qu'ils se dilatent se réchauffent. Vers les sommets de l'atmosphère, la température augmente en même temps que l'émission des rayons ultra-violets. Qu'en est-il au sol ? 3 ) Au niveau du sol : conséquences des émissions UV Il faut savoir que le rayonnement ultra-violet atteint, en partie, les basses couches de l'atmosphère : le fameux "coup de soleil" en est une conséquence pour les êtres vivants (l'homme en particulier). Certains spécialistes en climatologie ont été amenés à s'intéresser aux effets qu'ont ces UV en arrivant au sol. Récemment, les modèles ont intégré le cycle de production de l'ozone pour expliquer la circulation générale dans les basses couches. En 1987, Karen Labitzke, de l'Université de Berlin, a montré que l'énergie libérée dans le cycle de l'ozone affectait la circulation des ondes planétaires sur l'ensemble de la Terre : ces ondes planétaires sont des phénomènes à grande échelle (dépression, anticyclone). Entre 1987 et 2009, les émissions de gaz à effets de serre ont très sérieusement augmenté. Or, les modèles considèrent l'atmosphère comme une succession de couches indépendantes : les interactions entre les couches ne sont donc pas prises en compte. Autre problème : il est impossible de savoir si la part des émissions de rayons UV dans l'irradiance totale a varié au cours des millénaires. Conclusion : quelle que soit la contribution du Soleil sur le climat, elle est réelle. Auparavant, cette contribution était considérée infime (10%). Depuis 2009, au sein du Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat (GIEC), deux groupes de scientifiques travaillent différemment : l'un sur les influences externes à la météorologie, l'autre sur la circulation dans les modèles. Les résultats de ces travaux permettront probablement d'augmenter la contribution du Soleil sur le Climat : tous les indicateurs vont dans ce sens. http://www.meteolafleche.com/Soleil/du-soleil-a-la-terre.html Et puis j'avais créée ce sujet il y à deux ans: /topic/71332-le-met-office-suggre-un-retour-des-hivers-rigoureux/'>http://forums.infoclimat.fr/topic/71332-le-met-office-suggre-un-retour-des-hivers-rigoureux/ Une recherche du Met Office a mis nouvellement en lumière un lien entre la variabilité décennale solaire et le climat hivernal au Royaume-Uni, en Europe du Nord et certaines parties de l'Amérique. L'étude, réalisée avec l'Imperial College London et l'Université d'Oxford , montre qu'une basse production d'UV du soleil peut contribuer à des hivers froids sur certaines parties de l'hémisphère nord, comme vu récemment au Royaume-Uni. Les années à hauts UV ont l'effet inverse. De nouvelles données des satellites sensibles aux UV montrent une variabilité au cours du cycle solaire de 11 ans peut-être beaucoup plus importants que prévu. Dans les années de faible activité d'UV, la stratosphère est inhabituellement froide sur les tropiques jusqu'à environ 50 km. Cela apporte des vents d'est et des hivers froids en Europe du Nord. Lorsque la production solaire d'UV est plus élevée que d'habitude, le contraire se produit et il y a des vents d'ouest forts qui apportent de l'air chaud et donc des hivers plus doux à l'Europe. Sarah Ineson, qui a effectué les expériences, a déclaré: «Ce que nous voyons est que les niveaux d'UV affectent la distribution des masses d'air autour du bassin atlantique cela provoque une redistribution de la chaleur - l'Europe et les États-Unis peuvent être plus froids, le Canada et la Méditerranée seront plus chauds, et il y a peu d'impact direct sur les températures globales. " L'activité solaire influence également les océans et ses oscillations comme l'AMO et le PDO (The Atlantic Multidecadal Oscillation) (Pacific Decadal Oscillation) et donc l'ENSO (El Niño et Southern Oscillation) Mike disait sur ce sujet qu'un minimum solaire long provoque des jets plus méridionaux, mais cela accélère la des fontes des glaces dues également à l'AMO positif et une perte totale d'ozone stratosphérique sur l'Arctique à une altitude inférieure de 45 km ainsi, l'AO (Arctic Oscillation) à tendance à chuter pendant des cycles solaires très faibles. Mais également, plus un cycle solaire est faible plus il y a de rayons cosmiques, qui produit la formation de nuages donc moins de quantités d'énergie en provenance du soleil vers le sol. - Un Maximum solaire long provoque l'effet inverse, plus d'ozone dans la stratosphère, réchauffant les températures sur les continents et refroidissant la stratosphère au niveau de l'Arctique, le vortex polaire se bloque, renforçant les jets septentrionaux. L'impact du QBO sur la circulation Brewer Dobson est plutôt lente . Le rôle du QBO ayant un impact sur la circulation Brewer-Dobson mais de l'ordre de 20 à 30 mètres/jour... http://www.ccpo.odu.edu/~lizsmith/SEES/ozone/class/Chap_6/6_3.htm Et tu peux et tu dois lire les interventions de Cirus sur la stratosphère: http://www.espacemeteo.com/Prevision-Meteo/Analyse-stratospherique P.S: comparer la TSI et le SSN est une grave erreur, ils ne sont pas corrélés lorsque les taches solaire augmentent,la TSI baisse et inversement . Assimiler la TSI à l'activité solaire est une erreur : d'une part, car cette dernière est principalement dépendante des éruptions solaires (régions,filaments,trou coronal ) et de ses champs magnétiques fermés (contenant du flux solaire ) et d’autre part, car la TSI n'est rien de plus qu'une onde électromagnétique que l'on peut rapporter au champ magnétique ouvert (que l'on sait,malgré quelques fluctuations, assez stables,au même titre que la TS ) ... pour exemple,en période de minimum solaire cyclique,c'est le champ magnétique dipolaire fermé qui prédomine,ce champ est "fort" et très stable,la TSI s'en trouve stabilisée (bien que plus faible qu'en période de maximum ) par un champ magnétique ouvert très 'linéaire".En période de maximum solaire cyclique,ce sont les champs quadripolaires fermés qui prédominent,ces derniers sont très instables et la TSI en fait de même (avec un champ magnétique ouvert bien moins «linéaire», car boosté par les accélérations des vents solaires ). Bonne lecture Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 4 octobre 2013 Partager Posté(e) 4 octobre 2013 son action sur les rayons cosmique a un effet sur la nébulosité et donc l'albédo. Heu je réagirais juste sur ça, de nombreuses recherches ont conclut que cet effet n'existait pas ou était largement infime. http://www.leif.org/EOS/2009GL037946.pdf http://atmos-chem-phys.net/8/7373/2008/acp-8-7373-2008.pdf http://www.atmos-chem-phys.net/10/1885/2010/acp-10-1885-2010.html Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
mike Posté(e) 4 octobre 2013 Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m ) Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Heu je réagirais juste sur ça, de nombreuses recherches ont conclut que cet effet n'existait pas ou était largement infime. http://www.leif.org/EOS/2009GL037946.pdf http://atmos-chem-phys.net/8/7373/2008/acp-8-7373-2008.pdf http://www.atmos-chem-phys.net/10/1885/2010/acp-10-1885-2010.html article publié en 2011 et plus récemment: http://wattsupwiththat.com/2011/05/17/new-study-links-cosmic-rays-to-aerosolscloud-formation-via-solar-magnetic-activity-modulation/ http://physicsworld.com/cws/article/news/2013/sep/09/physicists-claim-further-evidence-of-link-between-cosmic-rays-and-cloud-formation Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 4 octobre 2013 Partager Posté(e) 4 octobre 2013 http://physicsworld.com/cws/article/news/2013/sep/09/physicists-claim-further-evidence-of-link-between-cosmic-rays-and-cloud-formation "Those results were not, however, enough by themselves to prove that cosmic rays can indeed seed clouds. The particle clusters produced measured just a few nanometres across, whereas aerosols typically need to have a diameter of at least 50 nm in order to serve as so-called cloud condensation nuclei (CCN). In fact, there were theoretical grounds for thinking that such seeding would not be possible to any significant degree." C'est ce qui est également dit en gros dans les autres études, ce qui les rejoint donc. D'ailleurs les mesures des critères de cette théorie ne les satisfont pas. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Sky Blue Posté(e) 4 octobre 2013 Partager Posté(e) 4 octobre 2013 La conclusion du mec de la NASA sur cet article Mike. « Les chercheurs ont un très long chemin à parcourir avant qu'ils peuvent convaincre quiconque que cela est fondamental pour le changement climatique, » ajoute-t-il. Gavin Schmidt, NASA Je crois également avoir lu qu'avec un minimum de Maunder on perdrait 0.3° sur le réchauffement actuel .(temporairement) Et comment expliquer que depuis 1960 l'activité solaire baisse et que les T° augmentent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 4 octobre 2013 Partager Posté(e) 4 octobre 2013 La conclusion du mec de la NASA sur cet article Mike. Je crois également avoir lu , qu'avec un minimum de Maunder on perdrait 0.3° sur le réchauffement actuel .(temporairement) Et comment expliqué que depuis 1960 l'activité solaire baisse et que les T° augmentent. Oui, d'ailleurs le chemin risque d’être très long même vu les récentes études qui vont contre cette hypothèse. Et celles qui la vérifie confirment qu'elle à un effet mineur. Oui aussi pour le minimum de Maunder, avec une étude de mai 2013 ( toute fraiche /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) : http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/grl.50361/abstract Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
mike Posté(e) 4 octobre 2013 Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m ) Partager Posté(e) 4 octobre 2013 La conclusion du mec de la NASA sur cet article Mike. Je crois également avoir lu , qu'avec un minimum de Maunder on perdrait 0.3° sur le réchauffement actuel .(temporairement) Et comment expliqué que depuis 1960 l'activité solaire baisse et que les T° augmentent. ce qui est faux puisque l'activité solaire a considérablement augmenté justement à la fin du 20ème siècle. La baisse des températures de la période des années 60/70 a seulement été du au PDO- et le maximum solaire du cycle 20 ( 1968) qui avait été faible et juste au milieu de deux grands pic ( cycle 18/19 et cycle 21/22) d'où d'ailleurs le réchauffement important des années 30 et 40. Mais les cycles solaires 21 et 22 avaient été encore plus important que ceux d'avant. A présent, les rôles vont être inversé, c'est pourquoi j'ai hate déjà d'être à la fin des années 2010 ne parlons même pas du minimum de maunder car il y avait deux autres minimum avant celui de maunder Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Sky Blue Posté(e) 4 octobre 2013 Partager Posté(e) 4 octobre 2013 ce qui est faux puisque l'activité solaire a considérablement augmenté justement à la fin du 20ème siècle. La baisse des températures de la période des années 60/70 a seulement été du au PDO- et le maximum solaire du cycle 20 ( 1968) qui avait été faible et juste au milieu de deux grands pic ( cycle 18/19 et cycle 21/22) d'où d'ailleurs le réchauffement important des années 30 et 40. Mais les cycles solaires 21 et 22 avaient été encore plus important que ceux d'avant. A présent, les rôles vont être inversé, c'est pourquoi j'ai hate déjà d'être à la fin des années 2010 Moi aussi, mais pas pour les mêmes raisons. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 4 octobre 2013 Partager Posté(e) 4 octobre 2013 c'est pourquoi j'ai hate déjà d'être à la fin des années 2010 Il n'ya rien qui risque de s'inverser. Ca fait maintes fois qu'on le répète, c'est l'énergie qui compte dans un système climatique qui n'est pas composé que de l'atmosphère. Outre le fait que la température et le soleil on évolué dans deux sens opposé ces dernières années, c'est encore pire entre l'énergie qui s’accumule constamment dans ce système, et celle que le soleil nous donne. Le refroidissement autour des années 70 était principalement du aux aérosols d'ailleurs. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
mike Posté(e) 4 octobre 2013 Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m ) Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Il n'ya rien qui risque de s'inverser. Ca fait maintes fois qu'on le répète, c'est l'énergie qui compte dans un système climatique qui n'est pas composé que de l'atmosphère. Outre le fait que la température et le soleil on évolué dans deux sens opposé ces dernières années, c'est encore pire entre l'énergie qui s’accumule constamment dans ce système, et celle que le soleil nous donne. Le refroidissement autour des années 70 était principalement du aux aérosols d'ailleurs. on verra on verra Et quand je parle que la tendance s'inversera c'est non pas sur la planète entière mais principalement sur une partie de l'hémisphère nord. Je parlerais jamais en aucun cas de refroidissement climatique de la planète, que les choses soient claires Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 4 octobre 2013 Partager Posté(e) 4 octobre 2013 La conclusion du mec de la NASA sur cet article Mike. Je crois également avoir lu qu'avec un minimum de Maunder on perdrait 0.3° sur le réchauffement actuel .(temporairement) Et comment expliquer que depuis 1960 l'activité solaire baisse et que les T° augmentent. Par ce qu'il ne faut pas se baser que sur un seul facteur, ici l'activité solaire, mais tout les facteurs qui influencent le climat (l'activité solaire, les oscillations océaniques, l'effet anthropiques, les effets indirects...). Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Sky Blue Posté(e) 4 octobre 2013 Partager Posté(e) 4 octobre 2013 on verra on verra Et quand je parle que la tendance s'inversera c'est non pas sur la planète entière mais principalement sur une partie de l'hémisphère nord. Je parlerais jamais en aucun cas de refroidissement climatique de la planète, que els choses soient clair Juste sur la France alors. M'en fous, je déménagerai. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien764 Posté(e) 4 octobre 2013 Yainville, Seine-Maritime, Normandie Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Pour la relation rayons cosmique/nuage il faudra patienter quelques années encore, il n'existe pas de proxy pour mesurer ça Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jack75 Posté(e) 4 octobre 2013 Gentilly Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Je pressens dans certains messages que certains veulent faire un // entre notre situation et le petit âge glacière. J'ai donc parcouru quelques articles à ce propos. Pour se mettre dans le contexte de l'époque, le petit âge glacière à commencé vers 1300 jusque vers 1860, il y a eu trois minimum d'activité solaire (absence ou pénurie de tâches solaire), on évoque beaucoup le forçage volcanique avec de nombreuses éruptions volcaniques parfois majeures expliquant certains hivers particulièrement froids. Il est dit aussi que nous aurions pu entrer dans un véritable âge glacière par la suite, si la révolution industrielle n'était pas venu stopper ce refroidissement en cours. Du coup, j'y vais de ma petite conclusion fort discutable : L'homme a changé le climat en le réchauffant suffisamment pour ne pas se cailler les miches mais dame nature n'a peut-être pas dit son dernier mot. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 4 octobre 2013 Dax (40) Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Je pensais réagir, mais finalement à ce stade je crois que c'est définitivement perdu. P.S: comparer la TSI et le SSN est une grave erreur, ils ne sont pas corrélés lorsque les taches solaire augmentent,la TSI baisse et inversement . [align=center][/align] [align=center] [/align] [align=center][/align] [align=center] [/align] [align=center][/align] Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien764 Posté(e) 4 octobre 2013 Yainville, Seine-Maritime, Normandie Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Un âge de glace survient suite à un changement dans l'axe de rotation de la terre. Rien à voir avec l'activité solaire ni même avec la révolution industrielle. Treizevents sur de long graphique comme ça c'est une impression maintenant regarde les suivis au quotidien et tu Verra que ça évolue dans le sens inverse, c'est du court terme qui nous intéresse pour de la prévisions saisonnière., on s'éloigne du sujet mais il faut chercher un lien entre UV et destruction d'ozone. Je vais m'arrêter la je suis sur la réserve de la batterie de mon iPhone. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Sky Blue Posté(e) 4 octobre 2013 Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Je pensais réagir, mais finalement à ce stade je crois que c'est définitivement perdu. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jack75 Posté(e) 4 octobre 2013 Gentilly Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Un âge de glace survient suite à un changement dans l'axe de rotation de la terre. Rien à voir avec l'activité solaire ni même avec la révolution industrielle Je veux bien te croire. Je ne faisais que lire des articles, en l' occurrence dans wiki Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Barth61 Posté(e) 4 octobre 2013 Cherbourg-L'aigle Partager Posté(e) 4 octobre 2013 Bon chacun à son opinion, et je crois que l'on s'éloigne du sujet ! Toute façon, on verra d'ici quelques années. On laisse la prévision hivernale revenir /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Sky Blue Posté(e) 5 octobre 2013 Partager Posté(e) 5 octobre 2013 Voila la dernière MAJ de G. SECHET pour les prochains mois: Ma foi, pourquoi pas. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pablo25 Posté(e) 5 octobre 2013 Haute Joux, Les Fourgs 1140m Partager Posté(e) 5 octobre 2013 hmmmm, il me fait plaisir G. Sechet pour janvier et février je suis assez d'accord avec lui mais plus humide que ça pour novembre et décembre, en zonal ondulant...octobre sec, ça parait évident! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
SydroX44 Posté(e) 5 octobre 2013 Vertou ((Gwerzhav) ) 9 km au Sud-Est de Nantes (44) Partager Posté(e) 5 octobre 2013 D'autres prévisions parmi tant d'autres : http://www.catnat.net/veille-catastrophes/alertes-et-suivis/suivi-m%C3%A9t%C3%A9o-en-france/11635-previsions-saisonnieres-pour-les-6-prochains-mois C'est un site pourtant assez sérieux, mais bon cela peut se produire également. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
th38 Posté(e) 5 octobre 2013 Partager Posté(e) 5 octobre 2013 Voila la dernière MAJ de G. SECHET pour les prochains mois: Ma foi, pourquoi pas. Ouaiis... Autant pour le court terme, il est précis et bon, avec une bonne régionalisation, autant pour les prévis saisonnières, il change d'avis tous les 15 jours ; il n'y a qu'à voir septembre qui est passé depuis juin, par tous les états entre le chaud et le froid, le sec et l'humide... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEOS-Chasertornado59 Posté(e) 6 octobre 2013 Partager Posté(e) 6 octobre 2013 Quand je voit Novembre doux je me dis qu' il se trompe J' adore G. Séchet mais là annoncer un novembre doux je n' y crois aucunement. Je pense plutôt qu' on aura un bon courant dépressionnaire scandinave et donc pénétration du flux Nord ou Nord Est bien humide à Suivre mais cette hiver les Hivernophiles vont être Chaud ! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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