anecdote

Le double ou presque dans de nombreuses localités du sud du pays

Faut pas courir quand il fait chaud comme ça Allez les Verts

La température monte partout très vite le matin. Est-ce que ça donnera pour autant des Tx record ?... On constate surtout l'allongement au fil des jours du haut plateau de température élevée. On le rejoint chaque jour plus tôt. Sur la Côte d'Azur par exemple, sensation tropicale permanente : bouffée chaude en ouvrant la fenêtre le matin, air immobile, nuit étouffante, humidité élevée. Les Tx n'ont pas besoin d'être très élevées pour un ressenti pénible. Dès 9-10h du matin on atteint le long plateau de température (33-34°C) qui nous maintient jusqu'au soir dans cette torpeur.

Oui. Au fond, plus que les Tx, c'est la forte chaleur des matinées que je trouve le plus marquant. Il y a quelques jours, je me levais tôt exprès pour ventiler, maintenant c'est carrément inutile : Je reçois une bouffée de chaleur dès je l'ouvre vers 8 ou 9h du matin (St Raphaël). Du coup je peux faire la grasse mat'

Ah si, j'oubliais : Si vous avez la chance d'avoir une cave, dormez-y

Maintenant je comprends les gens qui vivent à poil dans la jungle

Guère moins de 25°C sur la Côte d'Azur depuis plusieurs jours, et l'humidité élevée rend les 33-34°C équatoriaux. Même le soir, il est difficile de diner dehors. Au bout de 15 min, on est en nage. La température s'élève très vite en début de matinée pour devenir déjà pénible à 9h du matin... La brise de mer est à peine sensible - on dirait une panne d'alizé sous les tropiques. La visibilité est brumeuse avec des couchers de soleil africains. La torpeur saisit les esprits et cloue les corps au sol. Sans la clim et l'eau de baignade, point de salut.

@ToNy06 Je confirme, nuit étouffante sur la Côte d'Azur, et matinée déjà très chaude (à St Raphaël pour ma part). Malgré un sable déjà brûlant, la plage est noire de monde ; Etonnamment l'eau était fraîche et claire ce matin (22°C !), ça change de la saumure de la fin de journée.

Sacré gradient méridien jeudi sur le Centre : de 27 à 41°C du nord au sud

Pas alerte. VIGILANCE 30°C en air sec, c'est très supportable

Photos svp

Ajaccio a connu 40°C à l'ombre le 17 septembre 1975.

Ah oui en effet, il y a des cerveaux atteints

A part ça... il reste de la bière dans le frigo ?

Je n'aime pas trop ce genre de schéma simplifié. Il ne donne pas les causes du phénomène (air chaud "stagnant" et hautes pressions venant d'on ne sait où), et ne décrit pas comment il se terminerait (par exemple de façon brutale en cette fin de semaine). Il faudrait une vision dynamique avec un enchaînement d'images, et pas une seule image. Là on dirait une boîte chaude fermée, statique, sans évolution. C'est presque un modèle 0D (sans dimension). Sur le fond : - L'air chaud d'altitude précède en réalité le développement du dôme, air chaud en provenant du sud, grâce à la dynamique atmosphérique bien connue ici. - Les hautes pressions ont deux origines : altitude (branche descendante de Hadley) ET surface (par ex. venant de l'ouest actuellement, à l'arrière d'un front froid moribond) - Au sein du dôme, l'air échauffé en surface par le soleil tente de s'élever haut (mouvements de convection) mais n'y parvient pas en raison de la couche chaude d'altitude. Il n'y a pas un mouvement descendant au milieu du dôme et des mouvements ascendants en périphérie, mais des boucles de convection un peu partout au sein du dôme. Le beau temps perdure donc, le développement de nuages éventuels étant contrarié en outre par la divergence de surface (à grande échelle) propre à l'anticyclone. - A ce titre, l'échelle est trompeuse : le dôme ne ressemble pas à une meringue mais à une fine galette (étendue horizontale >> épaisseur). - Avec le temps, le dôme s'épaissit par accumulation de chaleur en basses couches (puisque cet air ne peut s'élever haut), et non par compression. D'ailleurs la pression mesurée en surface est plus élevée en début qu'en fin de canicule.

La GB a connu un duo mai-juin exceptionnellement sec et ensoleillé, suivi de fréquentes pluies...

Ca me rappelle l'enchaînement météo en août 1998 : froid et pluvieux début août (Tx 15°C à Grenoble le 1er), brûlant vers les 8-12 août (40°C à Grenoble), puis automnal en toute fin de mois.

Suivi des valeurs remarquables, pour l'IdF notamment

Pour Paris, voici la zone dans laquelle on devrait taper (en jaune ci-dessous) :

Cependant l'évaporation/ETP est un processus qui consomme de l'énergie, donc limite la hausse du mercure.

Dans la base de données IC on trouve les records suivants de Tnx (Toulouse-Blagnac) : En juin : 24.2°C le 27/6/2019 En juillet : 24.6°C le 23/7/2019 En août : 24.1°C le 25/8/2000 En septembre : 22.9°C le 2/9/2022

Avec un peu de retard, vue panoramique hier matin (depuis le château d'Ecouen) sur un faisceau de cirroairbus :

Il y a des posts intéressants ci-dessus mais qui seraient mieux placés dans le dossier Climatologie A part ça nouvelle journée de temps bien agréable avec cette caresse océanique délicate et ce joli ballet de nuages divers ce matin : Avant d'évoluer en galettes nuageuses (stratocumulus) en 2e partie d'après-midi, signe d'un ciel dégagé et azur le soir :

Quel beau crachin ce matin ! On se croyait en octobre. Mais rapidement, de très belles éclaircies sont revenues, avec un fort indice UV, le tout dans une ambiance douce et légèrement ventilée. Très agréable malgré un taux d'humidité restant assez élevé, flux océanique oblige. Plus voilé ce soir.