Flora

On est toujours sur un régime de blocage. Les basses pressions font le pont NE-S-SE dans un système anticyclonique fragile SO-NE. Que ce soit fragile, nul doute. Mais cela ne l'empêchera pas d'être répétitif si la synoptique reste telle qu'elle. J'observe depuis un bon moment une anomalie dépressionnaire sur tout le Sahara. En plein été. Jamais vu cela avant (ceci dit, avec mes pauvres rudiments... j'ai pu en louper beaucoup, d'occurrences). Je m'interroge sur cela, du coup... Si quelqu'un pouvait m'éclairer, je remercie à plein!

Je pense comme toi. Pour que la plante aille chercher plus en profondeur, il faut qu'elle souffre de manque d'eau, dont les premiers signes nous dépêchent d'aller trouver de quoi les arroser. Il faut y résister, et faire pleine patience devant nos envies de tomates précoces et abondantes... Pas facile!

C'est une synoptique qui prend le dessus depuis un moment, tout de même. Ce n'est pas le bon topic (je l'aurais plus vu en climato) mais cette observation a sa place, si l'on considère que l'affaiblissement polaire n'est pas juste une conséquence du RC mais une cause majeure du dérèglement. A percevoir, comme hypothèse, il me semble.

Le vent emprunte des couloirs qui lui sont propres, à chaque tempête, et selon des configurations de terrain qui ont forcément changé sur beaucoup d'endroits depuis 1987. Wait and see. Ce sont les assurances qui concluront sur l'importance des dégâts occasionnés par Ciaran, et avec laquelle on pourra établir un comparatif sur la tempête de 1987. Sinon, on peut toujours y aller perso, en décrivant son bout de territoire observé avant/après. (Du côté de chez mes parents à Bégard, 22, c'est nettement moins grave, ainsi que sur la côte de granit rose. Des arbres couchés, certes, mais contrairement à 1987, plus ont tenu le coup.) N'oublions pas que cette tempête d'octobre 87 est à l'origine d'un réexamen de MF (réseaux et bouées) ainsi que du MetOffice, puisqu'elle a atteint un minimal de pression qui n'avait absolument pas été prévu par d'aucuns (948hPa). J'attends les résultats objectifs sur le territoire, mais s'il est un système qui avait une longueur d'avance par-rapport à l'époque, c'est bien l'avertissement et les moyens mis à disposition pour alerter et aider les habitants. Voyons le positif et la progression.

Bis repetita. Encore et encore. L'ENSO n'a pas d'incidence prouvée sur notre climat européen. On se trouve en bout du bout de piste, et rien de probant n'a été décelé sur son interaction avec nos régions. Pour l'instant. "On aura un hiver doux et humide" n'est pas une conséquence d'un El Niño prévu en janvier 2024. C'est une hypothèse comme une autre, parmi les autres, d'autres paramètres rentrant plus en ligne de compte.

Sécheresse très préoccupante et historique sur un bon tiers du Mississippi, plus des 2/3 de la Louisiane et 1/5ème du Texas (ils étaient en niveau "grave" à "extrême" depuis la fin août, c'est maintenant qualifié dexceptionnel. Ces 3 états subissent l'année la plus chaude de tous leurs relevés. L'eau potable devient inaccessible sur la côte avec l'imprégnation de l'eau de mer dans les sols. Pertes humaines estimées à 470 personnes directement, et 5000 indirectement. La biodiversité est complètement mise à mal et les feux n'en finissent pas de prendre. Aucune amélioration franche n'est prévue avant janvier 2024, date à laquelle El Niño devrait apporter des précipitations sur la région, s'il suit son schéma habituel. https://weather.com/news/climate/video/severe-drought-worsens-in-louisiana-mississippi

Réponse à ce sujet de .Limit. Bien plus agréable à regarder. https://m.youtube.com/watch?v=VZ9bDd03tmk Mais je dois faire partie de "tous ces idiots utiles, tous ces larbins, de la petite bourgeoisie citadine, qui ânonnent la doxa, te parlent de climat à longueur de journée depuis ses appartements parisiens ou lyonnais climatisés"... etc etc... (Ah, non, m..de, je suis campagnarde, comme mon ami agriculteur à côté et qui tient les mêmes propos que moi.) Tout est bon, de fait, pour se montrer...

Tout à fait. Voici le calcul: Le niveau moyen de la mer (niveau 0) correspond à une pression de 1013,25 hectopascals (pression de référence). Il faut ajouter 1 cm ou enlever 1cm de hauteur d’eau par hectopascal de différence avec la pression de référence. Si la pression atmosphérique est de 1023 hPa (conditions anticycloniques), il faut enlever 10 cm à la hauteur d’eau mesurée (ou observée). A l’inverse, si la pression atmosphérique est de 983 hPa (dépression), il faut rajouter 30 cm à la hauteur d’eau mesurée (ou observée). Donc au pire, maintenant, nous sommes à 959hPa au large du nord Finistère, soit 54,25cm de plus que le niveau normal de la mer. C'est ainsi qu'il y a des phénomènes de fortes surcotes lors des cyclones tropicaux, ou des surcotes lors des tempêtes très creuses chez nous - en plus de la mécanique des vents sur la surface liquide, créant la houle, les creux, les crêtes de vagues qui peuvent, en se combinant en momentum, devenir déferlantes, voire "scélérates" si des paramètres tourbillonnaires interviennent.

Suivi de Ciarian: "Bon je pense que les modèles n'ont pas anticipés le string-jet ça n'engage que moi hein mais l'occlusion comme déjà dit est nettement visible" Lancer de string: Et réception. Bon... Le passager n'a pas tout compris sur la nature du jet... mais l'occlusion est bien visible.

Je plussoie ce que disait @lefred et @Mamma34: comme toute bonne bisannuelle qui se respecte, elle fait ses racines, tiges et feuilles la 1ère année, avant d'attaquer sa reproduction à la 2ème année. Au vu de la taille de la bête, tu vas avoir une magnifique floraison et fructification à l'été prochain. Je me prends à rêver, mais... une graine provenant de la terre drainante de Mykonos va exploser de joie dans ta terre bien arrosée et pleine d'azote. D'où sa profusion, je pense. Il bénéficiera du soleil d'Est et d'Ouest, pour lui éviter toute attaque d'oidium. Mais de toute façon, il est une chose qu'il apprécie clairement: sa limite en bordure de pavage (il y a un truc avec les bords d'empierrement, pourquoi ça pousse si bien le long des pierres? Ceci est un autre débat, mais le constat est là. Ruissellement / rosée + apport de minéraux?). En attendant, tu peux lui prendre des feuilles fraîches pour faire des infusions contre tous les maux de gorge. De toutes les plantes médicinales que j'ai essayées, c'est vraiment celle qui soulage les inflammations de la trachée. Haut la main.

Je viens de lire ton post, @max87. Je ne suis pas venue sur le forum depuis un moment, et j'ai raté ton invitation. Je ne peux maintenant que t'en remercier!

Il ne s'agit pas du tout du même fongus. Grosmannia penicillata appartient à la famille des Ascomycota (reproduction asexuelle prédominante), alors que le Fomès/amadouvier à celle des Basidiomycota (reproduction sexuelle uniquement). D'après l'étude citée par @JOJO_KERMIT, c'est Grosmannia qui l'emporte haut la main pour attirer les scolytes. Une piste bien plus prometteuse pour les piéger que les traditionnels pièges à phéromones sexuelles, car les phéromones créées par Grosmannia attire surtout les femelles.

Bien sûr! Il faut en revanche bien penser à un arrosage régulier pour que les lasagnes se transforment en terreau. @DoubleKnacki a réalisé des lasagnes qui fonctionnent d'enfer. Il sera le plus à même de te dire ce qu'il y a mis et comment. En gros, il faut, idéalement, disposer en alternance des couches de vert (déchets végétaux frais) et de brun (déchets végétaux séchés et bruns - le carton non teint en est un, comme les feuilles mortes et le broyat de branchage).

Oui, car il a un port naturellement évasé, et non colonnaire. Cela reste un "petit" arbre (6m grand max dans des conditions idéales) donc l'ombre ne sera pas non plus très étendue au zénith d'été, mais il est facile de culture, avec une grosse préférence pour une terre argileuse. De jolies grappes de fleurs et de fruits en forme de lampion en fin d'été. Le seul bémol reste sa sensibilité aux gels tardifs, mais c'est tout. @Palaja11 je repensais à ta demande d'arbre persistant mais ne devant pas dépasser 3m. On oublie souvent que, en plantant deux, ou trois, individus à 1m de distance, tous les arbres, même les plus grands, se nanifient dans cette configuration. À considérer aussi 😉

L'albizia pourpre (Albizia julibrissin "Summer Chocolate") est moins grand que son frère vert, en effet, mais ils sont tous caducs. Il a une bonne résistance à la sécheresse au bout de 3 ans. Pour l'érable du Japon, il est aussi caduc et ne résiste pas du tout à la sécheresse (ses racines sont peu profondes et ses feuilles très fines) - donc pas vraiment une option par chez toi, je dirais.

@Palaja11 Essaie de trouver ton bonheur dans cette liste: https://jardinage.ooreka.fr/tips/voir/329757/les-arbres-pleureurs Les arbres pleureurs ("Pendula") sont très nombreux, de toutes les tailles (dont des petites), de toute culture, et les branches pendantes peuvent être conduites sur une structure autour. Deux arbustes peuvent relever le défi "sécheresse", feuilles persistantes et taille de forme répétée: l'arbousier et l'eleagnus, qui donnent tous deux des fruits comestibles. Sinon, tu peux de fait utiliser une grimpante vigoureuse, conduite en tige sur un support (le fer à béton peut être soudé et enduit de peinture anti-oxydante, pour un support à très faible coût). https://jardinage.ooreka.fr/tips/voir/322458/les-plantes-grimpantes Mais en fait, souhaites-tu cet endroit ombragé pour le repos, ou afin d'obtenir de la mi-ombre pour des cultures dessous?

@acrid vintaquatre chez nous, la taille des lavandes dépend du facteur important températures/humidité. L'année dernière - sombre été caniculaire et sec, j'ai attendu les premières pluies, soit début octobre, pour tailler les lavandes. L'idée étant de leur garder un minimum d'ombrage avec leurs inflorescences séchées jusqu'à ce que l'eau les aide à repousser en dessous. Cette année, plus propice aux températures supportables pour les plantes, et à des arrosages orageux (chez toi beaucoup plus que chez moi - d'où le cul noir de ta tomate, ne t'en fait pas), on va pouvoir opérer à la taille début septembre. Il s'agit, @neige84, de tailler juste au-dessus des nouvelles pousses situées au plus bas. Ceci évite que la lavande ne parte "en bois", c'est à dire qu'elle prenne un aspect dégingandé, avec un tronc et des tiges boisées qui deviennent de plus en plus apparents. La taille permet de favoriser la repousse au plus près du cœur de l'arbrisseau, mais à condition de toujours tailler juste au-dessus des premières repousses (le bois en dessous ne refait pas de pousses). Après, il faut savoir que, même avec une bonne taille tous les ans, la lavande est un arbrisseau qui ne donnera joliment que pour environ 7 ans. Il conviendra ensuite de laisser l'emplacement tranquille pendant deux ans, idéalement en y plantant des légumineuses pour qu'elles redonnent à la parcelle l'azote très puisée par la lavande. D'ailleurs, j'ai noté chez moi une profusion de veisces à leurs pieds, que je laisse surtout vivre - peut-être mes lavandes dureront-elles ainsi plus longtemps? A voir. Pour votre jardin en terrasse, j'applaudis. Niveau ruissellement, c'est ce qu'il y a de plus efficace. En aplanissant chaque niveau de terrasse (d'ailleurs, penser à faire un niveau légèrement en biais vers le centre de votre dénivelé et non platissime), vous allez récupérer des pierres, que vous utiliserez pour les renforts. En ce qui concerne le dernier renfort, soutenant votre terrasse, il faut se référer aux calculs (dispos sur le net) car, là, il s'agit de ne pas se louper niveau contrefort. Il ne faudra pas hésiter à creuser loin et surtout large pour la semelle, et à positionner un mur bien armé en angle droit.

Il reste une décision importante à faire sur les médias français, habitués à mettre un créneau de 3 à 5mn max sur la météo : prévoir donc le triple. Kicékivafèren1er? Puisqu'il faut toujours un premier. Depuis des années, j'admire les bulletins met du Met Office. Cela fait des décennies qu'il y a la chaîne "Weather Channel" aux US. J'en parle de façon récurrente depuis deux ans ici, et il semble enfin y avoir un frémissement sur une certaine chaîne publique n⁰2, mais y'a un sacré retard à rattraper.

Sur le net-marketing, l'intelligence devient de plus en plus... artificielle...?🤣

Place de Twitter dans les RS et tranches d'âge + sexe concernés: https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/05/01/age-nationalite-comportements-qui-sont-les-utilisateurs-de-twitter_6124318_4355770.html (Oui, en fait... Twitter est loin d'être le 1er RS. Il est 10ème! ...) Pour Facebook, toujours n⁰1 des RS: https://fr.statista.com/statistiques/574791/facebook-repartition-mondiale-par-age/ Pour Youtube, n⁰2: https://blog.hubspot.fr/marketing/chiffres-youtube On arrive, peu ou prou, à la tranche la plus concernée, soit celle des 25-34 ans, l'utilisation des hommes dépassant au moins de 10% celle des femmes. Celle des 35-49 ans est bien plus faible, mais en forte augmentation, avec la même disparité d'utilisation (= mettre des posts) entre hommes et femmes, celles-ci s'auto-censurant plus facilement pour éviter le (cyber-)harcèlement. Et pour Twitter, 25% des utilisateurs envoient 97% des posts aux US. J'imagine que la portion doit être comparable en France: https://www.pewresearch.org/internet/2021/11/15/the-behaviors-and-attitudes-of-u-s-adults-on-twitter/ Donc, bien loins de représenter toutes les strates de la société, les utilisateurs-posteurs sur Twitter ne représentent finalement qu'une infime minorité.

Bien sûr @Palaja11 Je reformule: les pluies d'orage sont très riches en azote. Si l'averse est soutenue, l'humidité sera suffisante pour diluer l'apport azoté. Si elle est trop courte, l'azote sera plus concentré et risque de brûler les racines, comme lorsqu'on met de l'engrais sans avoir auparavant bien mouillé. Il arrive ainsi, mais c'est rare heureusement, que des plantes déjà en manque d'eau roussissent d'un coup après une brève averse. J'espère avoir été plus claire. 😉

La répartition globale de la pluie sur le sol permet aux racines les plus fines et les plus éloignées du pied de profiter, ce qui est impossible avec l'arrosage très localisé de l'arrosoir. C'est d'autant plus vrai lorsque les racines sont mycorhizées, c'est à dire si elles possèdent ces rallonges supplémentaires (et c'est le cas de très nombreuses plantes). Les pluies d'orage sont très azotées, par-rapport aux pluies stratiformes d'été. Les plantes en tirent donc autant de bénéfice en eau qu'en nutriments. Les anciens ici disent qu'il vaut mieux avoir une averse orageuse importante sur sol sec plutôt qu'un "pet de mouche" car une toute petite averse pleine d'azote fait bien plus souffrir les plantes que s'il n'avait pas plu du tout - ceci étant comparable à mettre de l'engrais "à sec". Jaunissement et brûlures assurés. Les recherches se poursuivent encore sur l'impact des éclairs dans la modification de la chimie de l'atmosphère (les 1ères études ont commencé au début du XXème siècle: https://articles.adsabs.harvard.edu//full/1921C%26T....37..117P/0000117.000.html)

La noctuelle de la tomate commence à creuser au niveau du pédoncule car c'est là que la peau est la plus fine. Sauf lorsque... il y a eu piqûre de punaise, et là, elles vont se faufiler d'autant plus facilement. Je crois avoir reconnu une larve de punaise au centre de la partie blanchâtre de ta tomate à droite sur ta photo, d'ailleurs. On a le même blême un peu plus dans les terres ici: Maintenant, rien de grave. De très rares fruits sont touchés, et comme on fait une rotation de cultures, couplée à un griffage à l'automne de la terre du potager (pour mélanger la couche supérieure de terre au crottin et feuilles mortes qu'on y met), les larves hivernantes sont dégommées. @ligérienne 42 comme l'a très bien expliqué @marco44, il s'agit toujours d'un déséquilibre. Le trop de moustiques provient de contenants plein d'eau où ne peuvent s'installer leurs prédateurs naturels comme les larves de libellules, les tritons, les batraciens. Donc il faut chercher les contenants responsables. On connaît bien les soucoupes de bord de fenêtres ou sous nos pots, mais il faut penser aussi aux gouttières bouchées, aux regards sous les robinets extérieurs, etc... Faire un tour de jardin avec cela en tête, et en levant/baissant le nez, peut beaucoup aider. Si on a des voisins, faire le point avec eux peut aussi bien aider. En revanche, la végétation seule, aussi profuse qu'elle puisse être, ne peut accueillir de larve de moustique. Changer l'eau des soucoupes pour les oiseaux est une nécessité quotidienne au-delà des problèmes de moustiques, surtout en ce moment: cela évite la prolifération de la grippe aviaire qui continue sa tuerie silencieuse. (Je rappelle, et j'en appelle aux âmes naturalistes: continuer d'abreuver les oiseaux est déjà une évidence en été, d'autant plus au vu des températures folles qui s'annoncent dans le SE). Les points d'eau à oiseaux servent à leur faire fréquenter notre jardin, où ils nous aideront à nous débarrasser des moustiques, et cela leur filera un bon coup de main pour survivre en ces temps extrêmement difficiles pour eux (Macron ne leur a pas dit qu'ils étaient en guerre et qu'il fallait rester chez soi...).

Mais....! C'est Snoopy!!

@bill43 j'imagine que c'est plutôt cet extrait dans l'article qui t'a fait tiquer: "Depuis début février, les ouvriers s'emploient à construire un monstre énergétique doté de pales d'un diamètre de 252 mètres, érigé à 146 mètres de hauteur." 🤣🤣🤣 Edit: j'ai retrouvé la source. Il s'agit d'un article de Géo, en copier-coller. https://www.geo.fr/environnement/un-montre-de-146-metres-pour-342-kwh-la-chine-installe-la-plus-grande-eolienne-du-monde-fujian-china-state-shipbuilding-corporation-16m-215419#:~:text=de 11.68 €-,Un monstre de 146 mètres pour 66 GWh %3A la Chine,plus grande éolienne du monde&text=Capable de produire 34%2C2,va alimenter 25 000 foyers.&text=Le compte à rebours jusqu,monde a commencé en Chine. Donc ça fait au moins deux imbéciles qui ne savent soit pas écrire, soit pas compter. Voire les deux. Concernant les chiffres, voici un autre prototype chinois qui fait bien plus parler de lui dans le monde de l'éolien (mon conjoint travaille dans ce secteur depuis 24 ans). Cette source est plus fiable et, même en anglais, les unités et chiffres sont compréhensibles, pour te donner une idée du gigantisme qui est atteint désormais: https://www.evwind.es/2023/06/22/china-is-building-the-worlds-biggest-wind-turbine-in-the-middle-of-the-ocean/92405