Gombervaux

Ben si /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">si tu examines Bolam21, tu remarqueras que dès que l'anomalie de tropo va commencer à se décaller vers l'Est pour concerner la moitié sud, elle va "se combler" pour ne donner que des tourbillons potentiels trop élevés pour donner quelquechose de méchant. Je te rappelle que ce Bolam 21, c'est du vrai pro

http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...eur-latente.htm signé aussi williams?

Ok, je passe la main

Bien sûr , mais en conséquence, je pose quand même la question suivante : Qu'est-ce que le vent géostrophique?

J'ai remplacé la quickcam logitec motorisée par la 4000 pro. Je les utilise à l'extérieur dans des caissons étanches. C'est pas fait pour. Le taux de panne est assez élevé. (la motorisée a duré 6 mois, est complètement fichue après de nombreuses pannes)

Nouvelle question : /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Qu'est-ce que le Vent agéostrophique? /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

J'ai justement à l'étude actuellement le lien entre Saint Médard et l'anomalie de sortie gauche du Jet, ainsi que celui entre Saint Barnabé et la Convectiv Inibition (La CIN qui lui coupe le nez)

Un tourbillon est décrit par une équation relativement simple pour un ordinateur.La taille des tourbillon locaux est très petite, et comme tu l'as vu dans les autres mails, des baisses du vent en certains endroits, peuvent s'accompagner de hausses ailleurs. les modèles français actuels donnent l'état de l'atmosphère par tranches de 300m d'altitude environ. Les chercheurs commenceront à valider la basse couche limite de 1000m d'épaisseur, quand au lieu d'être de 3 niveau comme actuellement, ils pourront faire 10 niveaux, et faire la différence de rugosité entre la ville et la campagne, par exemple, ou prendre en compte les vallées en flanc de collines etc., ce qui n'est pas le cas actuellement. les premiers tourbillons locaux feront leur apparition sur les modèles à ce moment là

J'aime bien l'explication d'anecdote, parcequ'elle sous entend que le vent ressenti est un vent de basse couche, et que dans cette couche limite à la rugosité maximale, c'est pas les lois habituelles qui s'appliquent. (même si je ne suis pas d'accord avec la cause géostrophique des vents.) Effectivement, le vent en mer ne faiblit pas la nuit, le vent en altitude non plus. L'origine de ces irrégularités est donc pour l'essentiel dûe à des tourbillons locaux créés par des différences de températures.

Pour rester dans le général et éviter de trancher sur toutes les hypothèses (ou conclusions américaines), je m'en tiendrais donc à l'insertion précédante dans le mail de Damien49 pour examiner les causes. Prédominance du moteur Jet, visible sur une carte de tourbillon potentiel, anomalie côté chaud de ce jet, zone barocline identifiable sur une carte de theta prime W. Les ingrédients généraux étant les mêmes pour les PL et CC, je me contente de la solution que le PL n'est qu'une forme explosive du CC.

Justement, puisque je l'ai cité plus haut, c'est quoi "Comma clouds" ?

C'est effectivement noté dans la légende : rouge = convection

Dans la définition, disons : cas particulier de comma clouds. Pour la formation : à l'origine, sous un rapide de jet, rencontre d'une anomamlie basse de tropopause, avec une anomalie chaude de basse couche. L'inter-action est particulière aux régions froides. Ces termes anglais ne sont pas traduits pour l'instant.

Polar-low. Pour le mécanisme on verra plus tard...

Y'a 20 ans , les météorologues pensaient que les jets étaient Ouest > Est et que les dépressions et anticyclones créaient les mouvements atmosphériques. Maintenant on approche de la réalité avec des jets balladeurs, souvent Nord>Sud et d'autres concepts que les champs de pression. Il en est de même pour l'autre fluide entourant notre planète. Le GS ne peut avoir de position statique, et on a pas fini de découvrir ses propriétés. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

C'est la faute d'Avogadro. Il indique que deux volumes égaux de gaz différents, dans les mêmes conditions de température et de pression, contiennent le même nombre de molécules Or l'air sec est principalement composé de N2 et d'O2. A nombre de molécules égal, l'air humide se voit composé de moins de N2 et d'O2 dont les places sont prises par H20. Tu peux vérifier là : http://www.cegep-st-laurent.qc.ca/depar/ch...utils/mmole.htm que le poids des moles d'N2 et d'O2 sont nettement plus lourd que la vapeur d'eau. Les particules humides vont donc s'envoler, et les sèches vont descendre.

Tout n'a pas été décrit, et loin s'en faut sur la situation de demain.Si des orages éclatent aux endroits prévus, c'est que les éléments, à cet endroit ont été suffisants. S'il y en a ailleurs, c'est que des éléments ont été mal situés, ou mal évalués. De même s'il n'y en a pas alors qu'ils étaient prévus... En particulier, pour qu'il y ait de l'orage, faut qu'il y ait du tourbillon... Faut qu'il y ait de l'instabilité (CAPE). Faut aussi des déclencheurs pour dépasser la CIN. Et une alimentation en air sec en moyenne atmosphère pour faire descendre les particules (voir quizz) afin d'alimenter le courant de densité qui va auto-alimenter le système convectif.

Un orage est un phénomène convectif. Un des éléments qui pilote la convection est la flottabilité. Tu vas , sur ce site, dans lexique et flottabilité, tu trouves que la flottabilité est proportionnelle à une différence de températures. Plus ces températures sont eloignées (fort contraste) plus la flottabilité sera grande (au sens près), donc la particule va bouger. Une particule qui bouge beaucoup peu engendrer un orage. Regarde aussi le quizz d'aujourd'hui.

C'est une question évidente puisque plusieurs dizaines l'ont lue et n'ont pas répondu. Dommage. Réponse : Une particule sèche est plus lourde qu'une particule humide équivalente placée dans les mêmes conditions. La plus légère est donc celle chargée en vapeur d'eau.

On considère deux particules d'air de même dimension, placées dans les mêmes conditions, même altitude, même environnement. Une est sèche. L'autre est chargée de vapeur d'eau. Quelle est la plus légère des deux?

Les metars ne chiffrent pas la nébulosité en octa (1/8 à 8/8) mais dans un code lettre.Il est des situations, surtout en montagne ou un observateur passe ciel couvert , alors que le commun des mortels voit du beau temps : -brume -cirrus

Ah si j'avais 40 ans de moins /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Données Ra=287,O5 J kg-1 K-1 , où Ra est la constante spécifique de l'air sec 1) - Un radiosondage a permis de dresser le tableau suivant, indiquant des valeurs mesurées de température T, de pression P et de température du point de rosée Td . P (hPa) 1000 960 850 700 600 500 350 300 270 200 T(°C) 24,5 22 14 2 -6 -165, -33 -39 -43 -48 Td(°C) 17,5 14 7 -2 -13 -23 -38 -44 On désigne par B'w (théta prime w) la température pseudo-adiabatique potentielle du thermomètre mouillé. Soit T'w la température lue sur l' émagramme à l'intersection de l'isobare P et de l'iso-B'w du point de condensation de la particule considérée. a) Tracer sur l'émagramme la courbe d'état de ce sondage, ensemble des points de coordonnées P et T. - Tracer également la courbe des points de coordonnées P et T'w (communément appelée courbe« bleue »). b ) Etablir l'expression de l'accélération verticale d'une particule d'air en fonction de sa température virtuelle Tvp et de celle de l'air environnant notée Tv (pour cela négliger la viscosité dans le bilan des forces appliquées et supposer l'air environnant en équilibre hydrostatique). Déduire de cette expression une règle simple pour déterminer graphiquement sur un émagramme si une couche présente ou non un caractère d'instabilité aérologique (distinguer les cas: couche non saturée et couche saturée). c) Quelles sont les couches du radiosondage présentant un caractère d'instabilité aérologique? Justifier la réponse. Si chaque couche subissait une ascendance en bloc jusqu'à présenter un état de complète saturation, quelles seraient alors les couches instables? d) On considère une particule issue de la base du radiosondage, à partir de quel niveau de pression (appelé niveau de convection libre) deviendra-t-elle plus chaude que l'air environnant? e) Montrer que la variation d'énergie cinétique verticale massique pour une détente dP est proportionnelle, sur l' émagramme, à une surface que l'on précisera, schéma à l'appui. f) Matérialiser sur l' émagramme la surface proportionnelle à l'énergie par unité de masse que l'on devrait apporter à une particule issue de la base du radiosondage, pour qu'elle atteigne son niveau de convection libre. Estimer alors cette énergie, en utilisant la correspondance surface/énergie indiquée dans le cartouche. g) On considère toujours une particule issue de la base du sondage. En procédant de la même façon qu'au f), estimer son gain d'énergie cinétique verticale par unité de masse, entre le niveau de convection libre et le niveau où elle redevient plus froide que l'air environnant. En considérant que la vitesse verticale de la particule est nulle au niveau de convection libre,estimer sa vitesse verticale maximale. Extrait d'un concours pour rentrer dans une grosse boite de météo, la semaine dernière (environ un neuvième de l'épreuve de 4H) /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20">

Développer une question reste une gymnastique difficile /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20"> Metar : message météorologique aeronautique avec code aero ? synop : message météorologique avec code OMM ? synop auto : pas de codage des nuages ? metar auto : codage couverture avec TNL ? Qui pourrait trier?

Y'aurait il pas une confusion entre le message aéronautique Metar et le message synoptique?