Aller au contenu

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

Gombervaux

Membres
  • Compteur de contenus

    1485
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Gombervaux

  1. D'autres indiscrétions sur un rapprochement MF-LCM dans les mêmes locaux parisiens?
  2. J'ai dit une bêtise de plus, et c'est pas la dernière :"si quelqu'un s'y penche un jour" c'est déjà fait : http://www.ifrance.com/hourdequin/actualit...20comprime.html
  3. Ben si, justement, et c'est pas parcequ'ils auraient eu parfois leur activité électrique décalée, que ces cunimb ne sont pas des orages...Comme tu le dis pour les autres amalgames, tout orage dans le Sud Est, n'est pas un épisode cévenol, toute pluie catastrophique du Sud Est n'en est pas un non plus, mais j'ajouterai que toute pluie orographique concernant les Cévennes, ne peut pas en soi définir les caractéristiques "cévenoles". D'autre part, les explications sur le site MF sont elles mêmes légèrement défaillantes, puisqu'elles partent d'une analyse "norvégienne" de la situation météorologique, explication qui est entrain d'évoluer en fonction des nouvelles théories. Aujourd'hui, je dirai que les conditions nécessaires aux "vrais" épisodes cévenols, et qu'on a pu vérifier 2 fois cet automne sont : 1- un jet de Sud à Sud-Ouest sur la zone. Encore faut il que ce jet concerne aussi les basses couches, et comme le dit Mathieu, que le gradient vertical de température soit suffisant pour créer de l'instabilité : très chaud en basses couches, très froid près de la tropopause thermique. Ce jet, plus ou moins dévié horizontalement et verticalement par les Pyrénnées sera asseché en arrivant sur la Méditerrannée. 2- La température de la mer. Plus que sa température, c'est l'épaisseur d'eau située au dessus d'une certaine thermocline, qui va déterminer l'énergie que la mer pourra mettre en oeuvre pour restituer de la vapeur d'eau dans l'atmosphère. Plus l'été aura été chaud longtemps et sans brassage de fond (mistral), plus cette thermocline sera profonde, et l'énergie disponible pour l'évaporation sera importante. Le mécanisme de la situation. Le jet instable(en tempé) mais sec arrive sur la mer, il se charge tout de suite en eau et forme les cunimbs. Quelque choc thermique du au fait que la tempé de la mer n'est pas répartie de façon homogène va déclancher les précipitation, en mer. On voit très bien sur l'exemple RADAR de MF qu'il y a 3 zones de déclanchement: la première hors de portée du RADAR, 2 autres à gauche, et en supperposant les images sat, on peut s'apercevoir que les nuages se régénèrent en amont de ces points (par rapport au jet) et qu'ils correspondent à des zones de tempé de la mer ayant au moins 2 degrés de tempé de différence. Les cunimbs précipitant arrivent sur la terre plus fraîche que la mer (rugosité importante) ralentissent leur vitesse de déplacement la suite est familière... La seule contradiction que j'apporterai à l'explication du site MF, c'est qu'ils prétendent que le nuage se régénère sur place. On voit bien par annimation des images RADAR que la génération des nuages se fait en mer au large, et pas sur place sur les Cévennes.
  4. Accueil > Comprendre la météo > Situations commentées > Pluies cévenolesLe B.A.BA de la météorologie n'a pas à être développé, il suffit de l'apprendre en l'occurence sur le site MF En outre on peut discuter des termes qu'ils ont choisi, mais dans une autre rubrique. Et MF peut prétendre une situation "comparable à une cévenole automnale", ça n'engage que son auteur, même si les situations comparables, ne sont pas forcément ni identiques ni opposées
  5. C'est quand même dommage de dire de telles âneries, rien que pour montrer son opposition ... Ca fait pas sérieux
  6. Mais la meilleure solution, c'est le moteur à air comprimé. Lui rejete que de l'air Si quelqu'un s'y penche un jour, ce sera la vrai victoire de l'humanité
  7. T'as pas à te désoler, orage30, t'avais parfaitement raison Une situation météorologique est un ensemble de conditions spécifiques et en cette saison , il manque un élément majeur : la température de la mer, qui fait que les situations dites cévenoles existent...
  8. comment le sais-tu ? quelle est ton étalon ? et la température ne prend pas l'ascenseur comme sur la WS2300... D'autant plus que j'ai dû l'installer sur le toit... La WS2300 amplifiait la température car elle ne possédait pas d'abri. J'avais essayé d'en construire un mais cela n'a jamais fonctionné. Maintenant avec la Vantage Pro, la température est juste. Ca ne suffit pas pour dire qu'une température est juste, surtout sur un toit /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
  9. Chez moi, deux abris, à 12H 17° à 1,80m ; 38° à 10cm du sol ; 21° d'écart, si on fait le rapport avec la distance (1,70 mètre), c'est moi qui gagne. /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
  10. Gombervaux

    Météorologic

    l'exemple d'hier sur la formation du cunimb était effectivement douteuse, celle d'aujourdhui sur la neige manque de précision : gradient est un opérateur mathématique appliqué à des grandeurs, faudrait peut-être dire lesquelles
  11. J'aurai tendance à penser que des phénomènes locaux inférieurs à la maille ne peuvent être pris en compte.Je pense donc que des modèles à large maille comme GFS ou Braknell ne peuvent intégrer l'estuaire de la Loire.
  12. C'est vrai que de toute manière, l'énergie dépensée pour créer des bouteilles d'air comprimé est supérieure à l'énergie restitué par ces mêmes bouteilles. C'est aussi vrai pour tous les autres transports d'énergie... Sauf qu'il n'est pas prouvé que cette énergie ne serait pas inférieure à celle nécessaire à la création des carburants de transport. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">Quand à la pollution des raffineries, n'en parlons pas... Pour compresser de l'air il faut un moteur, comme pour générer de l'électricité et la solution généralement adoptée est le moteur à vapeur (centrales thermiques - centrales nucléaires). Or, de la vapeur on peut en avoir à environ 5 km sous nos pieds. Créer des tuyauteries de dizaines de km capables de résister à plus de cent degrés et à la pression induite, n'est plus un gros problème technique, d'ailleurs une expérience subventionnée est en cours de réalisation. Moi j'ai l'espoir de voir un jour, l'eau injectée dans le sous-sol pour récupérer la vapeur, pour faire tourner des compresseurs qui délivreront des bouteilles d'air comprimé capables de faire tourner tous les moteurs mobiles...
  13. Gombervaux

    Météorologic

    juste un bémol pour les pages pédagogiques, qui demanderaient une complète refonte.
  14. Gombervaux

    station sur ebay

    Faut juste retirer le mot "Professionnelle" de la pub, car cette station ne mesure le temps que de temps en temps, et pas tout le temps comme les stations pro. /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
  15. Peut être que la meilleure solution pour l'automobile c'est l'air comprimé... ça pollue pas, ça rejette que de l'air /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Ca fait des dizaines d'années que les télécommandes en milieu explosif sont pneumatiques. Airbus vient d'abandonner les commandes pneumatiques pour des commandes électriques dans les avions /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> tant pis pour la conso de Kerosene... Les puissances développées sont immenses (voir les marteaux pîqueurs et autres riveteuses) Le principal inconvénient, c'est que ça coûte rien, donc ça ne rapporte à personne...
  16. http://www.wmo.ch/web/cpd/listmeet-fr.html Dans le même site, on trouve : 21-22.II.2005 Genève, Secrétariat de l’OMM Deuxième réunion du Comité de vérification des comptes de l’OMM. Des indiscrétions laisseraient entrevoir quelques millions de dollars de déficit inexpliqués. Peut-être une quête internationale pour combler ce trou /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
  17. Ce n'était qu'une litote, je vois bien que ce n'est pas le genre de la maison. L'objet de nos échanges était, faut pas l'oublier, la représentativité de la station de Nantes, et son utilisation par les modèles. Donc d'après toi, ces données ne sont pas utilisées, ou si peu qu'elles sont noyées dans une foule d'autres données. Mais pour la restitution des données élaborées, elle se fait sur la zone (maille) ou sur le point?
  18. La gelée blanche n'a rien à voir avec le climat...Si tu t'intéresse à la météo, tu sais très bien qu'à quelques millimètres d'un objet qui rayonne, et qui, parceque sa tempé propre devient négative, il condense la vapeur d'eau, puis en solidifie les gouttelettes - à quelques millimètres donc, la tempé de l'air peut être largement positive /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
  19. On est donc bien d'accord, en attendant une exploitation future et prometteuse des satellites, c'est les données de tempé de la radome de Nantes, qui après moulinage dans le modèle, donneront une tempé prévue un peu plus loin tenant compte du déplacement de la bulle d'air dans l'incrément considéré. Et tous les modèles marchent comme celà. Cette bulle , à l'origine a une taille d'une dizaine de km (pour les plus fin) et quelques dizaines de mètres en épaisseur. Dès le premier incrément, l'incertitude fait que cette taille grandit, et que pour 48h on a une taille équivalente à un département. Pour continuer : tout le monde connait la gelée blanche. 90% des cas de gelée blanche donnent des tempé à peine négatives dans l'herbe, et pourtant, dans l'abri la tempé est positive. Ce que je pense, c'est que la bulle de prévision devrait pour fonctionner, avoir quelques mètres de surface et quelques centimètres de hauteur. En comparaison, la modélisation géographique actuelle, qui a une résolution de quelques décamètres, devra s'affiner à quelques millimètres. Dans quel siècle le verrons nous?
  20. ou sous chaque tuile givrée /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">Mais tréfle de plaisanterie, tu nous a mis l'eau à la bouche : quelles sont les donnée de satellite qui servent à initialiser les modèles? /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">
  21. Et pourtant, les Arpèges, GFS et autres grands modèles européens ou pas, c'est de la température officielle de l'aérodrome qu'ils se servent pour initialiser leurs calculs... et c'est la tempé pour cette zone qu'ils vont restituer, et sans rire. Ils ne cherchent même pas à savoir si y'a du givre sur les tuiles ou pas
  22. N'importe quoi Ca sert à quoi que je vous mette des liens interessant, en particulier sur la prévisibilité, si vous ne les lisez pas /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  23. Excusez mon immiscion: c'est quoi la différence entre profil et piston?
  24. On sait ce qu'est une bonne mesure météorologique. Y'a des protocoles d'étalonnage, des définitions de conditions de mesures, sur terre, en altitude. Mais n'étant pas prévisionniste, et n'accrochant pas avec les prévisions officielles de ce site, je me demande : C'est quoi une bonne prévision? Peut on définir des protocoles d'évaluation des prévisions? Je lisais ailleurs : "machin tu fais des bonnes prévisions" Sur quels critères sont engagés les prévisionnistes d' I.C. ? Qui juge ces critères? (même question pour LCM mis à part les 2 MF de la création, et dans les autres entreprises privées?)
  25. C'est pas gagné. La météo c'est une science qui s'occupe des gaz qui entourent la terre, les analyse, les pèse, mesure leur déplacement, archive, constate, prévoit... Enfin une science Et toi t'es en terminale littéraire, et le bahut qui fait tout pour séparer ces 2 mondes que sont les scientifiques et les littéraires... C'est pas gagné...
×
×
  • Créer...