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Avec l'épisode hivernal que l'on a connu en décembre, du 16 au 28 inclus, Poitiers-Biard affiche un déficit thermique de l'ordre de 0,9°C par rapport à la normale 1971/2000. Tnm : 1,02 °C (-1,2°C par rapport à la normale 1971/2000) Txm : 7,78 °C (-0,6°C par rapport à la normale 1971/2000) Tm : 8,84 °C (-0,9°C par rapport à la normale 1971/2000) > 15 jours de gelée (entre le 13 et le 29/12) > 3 jours sans dégel - 5 en pleine campagne (entre le 23 et le 27/12) Je n'ai pas encore fais les calculs pour Janvier et Février, mais c'est excédentaire cette fois-ci !
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Ce qui prouve que les conséquences du réchauffement climatique ne sont pas totalement bien perçues ! Etant donné qu'une multitude de paramètres sont à prendre en considération, il est très compliqué d'émettre des perspectives d'avenir fiables. Nous ne savons pas tout, et prendre du recul est nettement plus sage que de prédire "le type de temps" qu'il fera avec "quasi-certitude" en 2100...
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Pour refroidir la terre !
romain86 a répondu à un sujet de gbl dans Presse, livres, médias et cinéma
Si cela devait se produire, les effets pourraient s'avérer dramatiques ! Explications Evidemment, privé de soleil, la température sur Terre chuterait ! -
Pour refroidir la terre !
romain86 a répondu à un sujet de gbl dans Presse, livres, médias et cinéma
La prochaine bataille du climat par Stéphane Foucart La question de savoir si l'homme est le principal responsable du changement climatique en cours est bel et bien close. Elle l'est en réalité depuis plusieurs années, mais la médiatisation des quelques rares personnalités qui, aux marges extrêmes de la communauté scientifique, persistent à en nier la réalité ou la cause principale, jette régulièrement un léger trouble dans l'opinion. Et si, après tout, ce "réchauffement" n'était qu'une invention de quelques climatologues en mal de budgets ? Et si, quand bien même le réchauffement était réel, l'homme n'y avait qu'une part minime ? Et si, quand bien même la responsabilité de l'homme venait à être démontrée, ce changement climatique était au pire une évolution sans grande importance, au mieux une bénédiction pour l'humanité ? Ce trépied rhétorique, sur lequel s'appuient les "climato-sceptiques", vient à nouveau de s'effondrer. La dernière synthèse du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), rendue à Paris le 2 février, l'affirme sans ambiguïté : la Terre se réchauffe et le principal responsable de ce changement est l'homme. On serait tenté d'y voir la fin des débats scientifiques sur la question climatique. Il n'en est rien. Une autre bataille est sur le point de s'engager. Celle de la "géo-ingénierie globale", c'est-à-dire de la mise en oeuvre de technologies déployées à l'échelle de la planète et visant, ni plus ni moins, à la refroidir. Selon le quotidien britannique The Guardian, l'administration américaine exerce des pressions pour introduir ces technologies dans la synthèse du groupe III du GIEC, qui doit rendre sa copie le 4 mai à Bangkok (Thaïlande). Alors que le groupeI planche sur les éléments scientifiques de compréhension et d'anticipation du réchauffement, le groupe III travaille, lui, sur les "mesures d'atténuation" du phénomène. Dans la dernière version de sa synthèse, rendue publique en 2001, il n'était question que des technologies de capture et de stockage géologique du dioxyde de carbone (CO2), voire d'accumuler ce dernier dans les profondeurs des océans. Rien de plus. La géo-ingénierie climatique fait horreur à une grande part de la communauté scientifique. Mais, comme il y a eu des "climato-sceptiques", il y aura des "géo-ingénieristes". Paul Crutzen, Prix Nobel de chimie pour ses travaux sur l'ozone stratosphérique, a été l'un des premiers à faire tomber le tabou autour de ces idées. Dans un long entretien accordé au mensuel La Recherche, en juillet 2006, il a exposé en détail le projet d'injecter dans la stratosphère plusieurs centaines de milliers de tonnes de soufre afin de faire écran à une part du rayonnement solaire. En mimant ainsi l'effet des grandes éruptions volcaniques, comme celle du Pinatubo en 1991, il serait possible de faire baisser la température moyenne de la Terre de 0,5 oC environ pour une durée d'environ deux ans. A la suite de M. Crutzen, plusieurs chercheurs, généralement américains, ont publié dans la littérature scientifique de tels modèles de géo-ingénierie climatique. Quels sont-ils ? Au choix : "ensemencement" des océans avec des nutriments ferreux pour accroître la productivité planctonique et accentuer le piégeage du CO2 atmosphérique par ces organismes ; envoi d'une constellation de sondes-parasols entre le Soleil et la Terre, pour réfléchir une part du rayonnement ; diffusion de particules réfléchissantes dans la haute atmosphère, etc. Bien sûr, la majorité de ces propositions théoriques ne sont pas à usage immédiat. "Il faut, disent en substance leurs auteurs, travailler sur ces sujets pour se préparer à une possible accélération imprévue et plus grave qu'escompté de la machine climatique." Il ne s'agit pas, en tout cas, de science-fiction. Certains s'aventurent même à chiffrer le budget de tel ou tel dispositif... Roger Angel (université d'Arizona) indique par exemple (en septembre 2006 dans les Proceedings of the National Academy of Sciences) un coût de l'ordre de 0,5 % du produit intérieur brut (PIB) mondial sur vingt-cinq ans, pour le déploiement de sondes-parasols entre le Soleil et la Terre - soit "quelques milliers de milliards de dollars". On voit bien le péril. Les "climato-sceptiques" qui, hier encore, avaient l'oreille complaisante de la Maison Blanche pourraient dans les prochaines années être remplacés par des "géo-ingénieristes" animés par la conviction que l'homme peut influer, comme bon lui semble, sur le climat. Le message serait finalement très semblable : surtout ne rien changer, non plus parce qu'il n'y a pas de certitudes scientifiques, mais au contraire parce qu'il y a celle de pouvoir, un jour, défaire ce qui a été fait. LE REMÈDE PIRE QUE LE MAL Pour une majorité de spécialistes du climat, l'argument ne vaut pas. Les conséquences collatérales de ces dispositifs sont non seulement inconnues avec précision, mais pourraient se révéler pires que le mal. "L'injection d'aérosols perturberait un phénomène naturel appelé oscillation arctique, ce qui provoquerait des réchauffements locaux en hiver dans certaines régions, le refroidissement se concentrant sur d'autres, expliquait récemment le climatologue Edouard Bard (Le Monde du 2 octobre 2006). Ainsi, lors de l'hiver qui a suivi l'éruption du Pinatubo, la baisse importante des températures en mer Rouge a entraîné un mélange des eaux de surface et une remontée d'éléments nutritifs. Le résultat a été une prolifération d'algues qui ont asphyxié les récifs coralliens. Des effets sur la croissance des plantes terrestres ont aussi été détectés à l'échelle mondiale." A l'évidence, les scientifiques ont encore un immense travail à accomplir pour anticiper, région par région, les effets de telle ou telle géo-ingénierie. Les dispositifs classiques de capture et de stockage du carbone - qui ne pourront être mis en oeuvre à moyen terme dans les secteurs de l'agriculture et des transports, grands émetteurs de CO2 - ne permettront pas d'éviter, à l'horizon de la fin du siècle, un réchauffement dangereux pour l'humanité. Pour montrer quelque efficacité, ils devront nécessairement s'accompagner d'un profond changement dans les modes de production, d'un effort de recherche considérable dans le domaine des énergies non émettrices. Sur ces questions, un consensus semble se dégager. La prochaine bataille du climat sera celle de savoir si, oui ou non, il faut tenter d'intervenir à dessein sur la machine climatique. Ce sera, en somme, celle de l'arrogance contre l'humilité. Article paru dans Le Monde dans l'édition du 21/02/2007 -
janvier 2007 exceptionnel au niveau des températures
romain86 a répondu à un sujet de lolo44 dans Climatologie
Il y a peut-être, sans doute même, un lien direct avec le phénomène El Nino et indirect avec le réchauffement climatique. Citation de Météo France : -
Tornade à Aillant-sur-Tholon (89)
romain86 a répondu à un sujet dans Phénomènes météorologiques violents
En effet, le montage est plutôt bien réussi. Il n'y a pas besoin d'être passionné de météo pour filmer ce genre de phénomènes autant imprévisibles que rares. Il y a d'autres vidéos de tornades sur Youtube ou bien encore Dailymotion. Je ne donne pas les liens car il n'y a pas de rapport avec la tornade de Aillant-sur-Tholon ! -
Tornade à Valençay (36)
romain86 a répondu à un sujet de Nicolas 17/69 dans Phénomènes météorologiques violents
Si nous avions des témoignages de l'époque, ce serait certainement plus facile... Août 2004 fut le plus souvent orageux et lourd... Il y a des chances qu'un phénomène comme celui-ci se soit produit ! -
Merci à tous ! C'est très sympa !
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Ave Virgile ! Et si un miracle se produit, Alléluia ! Amicalement.
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Semaine du 27/11/2006 au 03/12/2006
romain86 a répondu à un sujet de twister38 dans Evolution à plus long terme
De toute manière, c'est très loin tout cela. Il importe de voir l'évolution au jour le jour. Cependant, si l'on se concentre (uniquement) sur le modèle de Roeder, plutôt bon ces derniers temps, un changement de temps significatif pourrait s'opérer d'ici la fin novembre. Reste à voir comment l'anticyclone de Sibérie (celui dont voir Roeder) va s'imposer... Et comme le dit mon cher collègue à qui je souhaite un joyeux anniversaire, wait and see ! -
"les événements extrêmes se multiplient", c'est banal de dire une chose pareille. J'espère qu'ils en ont la preuve avec chiffres et statistiques à l'appui. Je n'ai encore jamais vu un rapport sur l'évolution du nombre de tempêtes, d'épisodes pluvieux, d'orages, ... A force de lire ce genre de banalité (je ne démens par le réchauffement climatique), j'ai tendance à zapper !
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Le mois d'octobre est propice à l'invasion de certains insectes lorsque le temps est encore assez doux, qu'il soit humide ou sec. Il s'agit principalement des punaises, des cousins et des moustiques. Quand le temps commencera à se rafraîchir, ce sera au tour des arraignées. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Cette année, les insectes sont moins nombreux dans mon entourage !
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Autre article intéressant (édition du 21/10/2006 dans lemonde.fr) Le Groenland perd 100 milliards de tonnes de glace par an Les travaux sur la fonte des calottes glaciaires se succèdent à un rythme soutenu et montrent parfois de surprenantes divergences. Ceux que publie, vendredi 20 octobre, la revue Science proposent une nouvelle estimation de la vitesse de réduction des glaces du Groenland. Entre 2003 et 2005, elles auraient subi une perte nette d'environ 100 milliards de tonnes par an (100 Gt/an). Pour ce travail, Scott Luthcke, chercheur au Goddard Space Flight Center de la NASA, a exploité les données de mesure gravimétrique fournies par les satellites jumeaux américains Grace (Gravity Recovery and Climate Experiment), lancés en mars 2002. "Pas moins de quatre autres études ont récemment exploité ces données et sont parvenues à des pertes nettes comprises entre 80 et 230 Gt/an, rappelle Anny Cazenave, chercheur au Laboratoire d'études en géophysique et océanographie spatiales (Legos). L'originalité des travaux qui viennent d'être publiés, ajoute-t-elle, repose sur le traitement qui a été appliqué aux données pour affiner leur résolution spatiale et obtenir les variations de masse de six zones du Groenland." Signe de leur qualité, poursuit-elle, "ces résultats indiquent un gain de masse dans les zones situées à l'intérieur de la calotte et une perte, plus importante, sur ses marges méridionales. Cela recoupe les mesures altimétriques et interférométriques précédentes". Les chercheurs remarquent en effet que, sous l'effet de précipitations neigeuses en augmentation au centre du Groenland, la calotte gagne en épaisseur. Tandis que sur ses bords, elle fond ou s'effondre dans la mer. Deux phénomènes distincts sont responsables de cette réduction des glaces. "D'une part, la fonte en surface, due au réchauffement, et d'autre part l'instabilité dynamique de la calotte qui voit en quelque sorte les glaciers avancer dans la mer, explique Mme Cazenave. Le premier phénomène est bien modélisé tandis que le second est au centre d'interrogations. En particulier nous ne savons pas si cette instabilité est liée ou non au réchauffement, ni si elle va se poursuivre sur le long terme." Pour l'heure, la perte nette de masse du Groenland s'accélère fortement. Les mesures d'interférométrie radar suggèrent ainsi un rythme de réduction de la calotte qui a plus que doublé en dix ans. Les travaux de M. Luthcke et ses coauteurs suggèrent que la perte de glace du Groenland contribue pour environ 10 % à l'élévation du niveau moyen de la mer (3 mm par an environ depuis 1993). Les 90 % restants sont à mettre au compte de la fonte des glaciers d'altitude et de la dilatation thermique des océans car la perte nette de glace de l'Antarctique est presque nulle. Stéphane Foucart
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Semaine du 23/10/06 au 29/10/06
romain86 a répondu à un sujet de BIBICHE76 dans Evolution à plus long terme
J'espère que tu n'es pas sérieux Virgile concernant la pelouse... Cela m'inquiéterait ! -
Semaine du 16/10/06 au 22/10/06
romain86 a répondu à un sujet de TreizeVents dans Evolution à plus long terme
Après tout, un temps automnal - humide - est beaucoup plus appréciable qu'un temps devenant précocement hivernal... nous ne sommes qu'à la mi-octobre ! -
Si la Noël apporte une transition dans la circulation des masses d'air, peut-on assister à la même chose durant l'été ? Vers le 15 août par exemple... Il serait bien aussi de voir l'historique des "cassures" observées dans le temps (exemple l'hiver 2002-2003 : pas de El Nino cette année là me semble t'il...). On a pu observer aussi la transition inverse, notamment durant l'hiver 2001-2002, bien que le changement n'est intervenu que durant la première quinzaine de janvier.
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Dommage que ton message ne soit pas structuré, ou alors tu as la mémoire bien courte...
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En effet, c'est dommage ! Une petite constatation : certaines données ne sont pas communiquées (elles sont repérables par un -999,9). Il n'empêche que ces infos restent intéressantes... du moins pour la periode pré 1990.
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Le mois d'août pourrait être alors un mois de transition entre l'été (juin et juillet durablement estival) et l'automne (apparemment prévu pour être dans la fraicheur et/ou l'humidité). Je m'en tiens aux diverses tendances saisonnières que l'on peut déjà consulter sur Internet.
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Avis aux intéressés, cette offre est toujours valable. N'hésitez pas à nous contacter pour plus de renseignements ! Romain.
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Bravo Jérôme pour ce fantastique travail ! Pour information, toutes ces infos seront consultables sur Science & Climat à la rentrée.
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Bonjour à tous, En ce 17 mai 2006, Science & Climat fête ses 6 mois d'existence. L'occasion pour nous de dresser le bilan. Au cours de ce semestre, c'est plus de 100 000 pages vues et près de 30 000 visiteurs. Notre objectif de départ était d'atteindre les 9000 connectés en quelques mois sachant que nous ne proposions que les prévisions saisonnières. L'objectif a été atteint. Un grand merci à vous. Et l'aventure ne va pas s'arrêter là ! Plusieurs projets sont en cours d'écriture, notamment les rubriques "Actualité" et "Recherche". Mais cela prend et prendra encore un certain temps ! Comme cela a été évoqué par florent76 début avril, nous manquons surtout de personnel pour que tous les projets 2006/2007 aboutissent. C'est la raison pour laquelle nous vous proposons de rejoindre l'équipe de Science & Climat. Nous recherchons parmi les passionnés : * un programmeur en php/Mysql (urgent) * des rédacteurs Si vous êtes intéressés, merci de nous envoyer un mail en faisant part de vos compétences et envies à webmasters-@-science-climat.info. (enlevez les tirets antispam de part et d'autre du @) A bientôt ! L'équipe de Science & Climat www.science-climat.info
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Il y a de bons pronostics ! Pourtant le printemps n'est pas une saison facile à prévoir ... Bon courage pour la suite !
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Bonsoir, Membres de Science & Climat, vous avez du rencontrer de nombreuses difficultés pour jouer votre pronostic mensuel. En effet, un problème serveur empêchait la prise en compte des pronostics. Ce soir, tout est rentré dans l’ordre … Veuillez nous excuser pour les désagréments subis pendant ce temps. Nous vous rappelons que vous pouvez pronostiquer pour Mars 2006 jusqu’au vendredi 3 mars 2006 à 23h30 au plus tard. Romain.