taf95

Bonjour, Entendu. Au milieu de la dernière décennie, j'ai rappelé à 'Joselito' sur ce forum ou sur celui de Localsat - je ne sais plus trop lequel - qu'il se produisait en région parisienne, notamment en Plaine de France, des phénomènes de basse couche atmosphérique pouvant épargner les parties hautes de la butte de Montmorency, y compris la dépression de la Cailleuse située à une altitude grosso modo à mi-chemin entre celle du sommet des Pins brûlés et celle du plancher de la vallée de Montmorency. Cette mer de nuage, relativement basse, je l'ai plus d'une fois observée depuis les coteaux de Saint-Leu-la-Forêt, où j'habitais. Marc

https://forums.infoclimat.fr/f/topic/59003-suivi-du-temps-en-île-de-france-janvier-2024/?do=findComment&comment=380304 PS (31/01/2024) = Je rappelle que le 03/03/2021 j'avais été informé par 'Josélito', que les hauteurs des sondes thermiques de la dépression de la Cailleuse étaient réajustées aux normes depuis juillet 2020. Sonde A : 1m64. Sonde B : 1m72. Attention : je m'aperçois en relisant, que certains de mes messages sur le forum d'Infoclimat n'ont pas encore été corrigés par moi pour en tenir compte.

Bonjour à tous, D'après ce que je vois de ce rapport intéressant et qui m'émeut, je pense que les photos en citation prises dans les bas-fonds de la Cailleuse l'ont été exclusivement dans le vallon principal ; le vallon sud ou affluent n'étant par conséquent pas concerné. Il me semble que les photos n°5, n°7, n°8 et n°9 ont été prises au sein de la tourbière n°2, mais que la photo n°6 ne fait que la montrer de loin depuis un versant la dominant. Les photos n°13 et n°14 ont été prises du haut d'un versant de la butte de Montmorency orienté grosso modo vers le sud-ouest ; la vue donne respectivement sur la butte de Cormeilles-en-Parisis, avec le moulin de Sannois, et sur la dépression de Paris, au loin en arrière plan, avec la Tour Eiffel. Durant de nombreuses années de jeunesse j'ai habité à cet endroit de Saint-Leu-la-Forêt. C'était à mi-pente sur un coteau qui avait été occupé autrefois par des vergers et des vignobles, puis conquis par l'urbanisation au XIXème siècle. Gamin, je jouissais de cette vue étendue depuis ma chambre, située tout en haut de la maison, sous les toits ; cela courait des confins de la Plaine-de-France, à gauche, avec Roissy, jusqu'aux plateaux du Vexin français, à droite, avec Pontoise. Quand je faisais l'aller-retour à la cuvette de la tourbière de la Cailleuse depuis la maison de St-Leu dans les années 1960 et 1970, j'y allais à pied ou à vélo. Justement, de la même façon que celle suggérée par 'Mirlou', sur les traces de 'psncf'. Je coupais les lacets de la D192, passais par l'Etang neuf puis le haut de la butte des Pins brûlés, avant de plonger littéralement en direction du fond de cette cuvette par un sentier escarpé perdu dans les bruyères, ce qui me conduisait plus ou moins directement à cette tourbière. N. B. : Attention ! Les images de 'Mirlou' sont numérotées suivant le rang qu'elles occupent dans son post et non dans ma citation de son post. Marc

A ma connaissance, Localsat n'a pas retiré du fond de la cuvette de la Cailleuse sa station météo. Si c'est bien le cas, ce que je souhaite vivement, le minimum thermique de la nuit du 18 au 19 janvier 2024 a été enregistré par eux. Je viens de regarder sur ce topic les photos de paysages enneigés prises par "Neige95" en forêt de Montmorency le 18 janvier en début d'après-midi sous un ciel bleu et un soleil d'hiver. Visiblement, les conditions étaient radiatives en forêt (ciel clair, vent calme). Et la neige semblait ne pas avoir souffert du soleil dans la matinée. Une belle neige d'hiver, en somme. Il en restait même un peu dans les arbres. Normalement, le réfrigérateur naturel (c'est-à-dire les sources d'air froid à la surface des pentes) était prêt à fonctionner. Il suffisait que le soleil fût suffisamment bas au-dessus de l'horizon. Quelle ambiance quand même ce soir-là ! Connaissant déjà le score bien bas de Pontoise pour la nuit en question (aux alentours de -10°C), je me suis dit qu'il avait fait vraiment très froid au fond de cette cuvette cette nuit-là. Et que la barre des -20°C avait peut-être même été dépassée vers le bas. Marc PS (31/01/2024) : Après-coup j'ai pris connaissance sur Météociel des minimums thermiques relevés aux trois stations météo régionales les plus proches de la cuvette de la Cailleuse (Le Bourget, Roissy et Pontoise-Cormeilles) durant la nuit du 18 au 19 janvier 2024. Le Bourget : -6.4°C, Roissy : -5.4°C, Pontoise-Cormeilles : -10.1°C ; moyenne des trois : -7.3°C. Pour l'instant, nous ne connaissons pas vraiment le minimum thermique du fond de la cuvette de la Cailleuse pour cette nuit-là. Mais nous pouvons nous en faire une idée par le calcul, de la manière suivante : Envisageons maintenant la nuit du 10 au 11 janvier 2021, durant laquelle les conditions météo régionales avaient été assez ressemblantes à celles de la nuit du 18 au 19 janvier 2024, avec également ciel clair et vent calme et un peu de neige au sol (un ou deux centimètres seulement chez 'psncf' à Saint-Leu-la-Forêt, si mes souvenirs sont exacts). Le Bourget : -3.7°C, Roissy : -2.4°C, Pontoise-Cormeilles : -2.1°C (Météociel) ; moyenne des trois : -2.7°C. Fond de la cuvette de la Cailleuse (d'après un graphique de Localsat) : -22.5°C* ! Le minimum thermique du fond de la cuvette de la Cailleuse est beaucoup plus froid que la moyenne des stations météo régionales : écart de 19.8°C ! Le minimum thermique du fond de la cuvette de la Cailleuse durant la nuit du 18 au 19 janvier 2024 serait donc de l'ordre de (-7.3°C) -19.8°C : -27.1°C ! Est-ce possible ? (*) Pour rappel : cette sonde est à 1m72 au-dessus du sol depuis juillet 2020. Et non à 1m au-dessus du sol, comme pourtant cela avait été le cas auparavant.

Pour info ou pour rappel : Minimum thermique de février 2012 à la cuvette de la Cailleuse -23.7°C à 06 : 24 le 7 février ! (rapporté à moi par "Josélito" il y a déjà plusieurs années à la suite d'une communication de deux étudiants ayant investigué sur les lieux pendant un peu plus de trois ans de juin 2009 à octobre 2012, sous la direction d'un professeur d'université, communication d'ailleurs mentionnée par moi ultérieurement sur ce topic) ; ils avaient fixé leur thermomètre à 1m50 au-dessus du sol au tronc d'un arbre situé au fond de cette cuvette.

Bonjour Philippe et, de même, bonne année ! Il est évident que sur ce topic du forum d'Infoclimat n'apparaissent plus d'informations météorologiques de Localsat sur la dépression de la tourbière de la Cailleuse, via "Joselito" ou "Serge71400" qui en sont également membres. C'est un fait et il faut faire avec. Même si ces gens sont dans leur droit en agissant ainsi, cette situation n'est pas favorable à la connaissance des climats locaux (topo-climats) de vallée, notamment ceux des trous à froid comme la dépression de la tourbière de la Cailleuse. Si un jour se posait la question d'une protection véritable de cette dépression avec sa tourbière, des arguments en sa faveur pourraient manquer, simplement par insuffisance de recherches et de données. Un des enjeux de l'exploitation industrielle, ancienne et actuelle, du gypse à Montmorency est l'intégrité de la butte témoin en question, de sa forêt et de ses tourbières ; notamment celle de la Cailleuse, comme on l'a vu sur ce topic antérieurement. Dans l'avenir, il y en aurait aussi concernant celle du sable. Je pense aux conséquences qu'aurait une exploitation industrielle éventuelle du sable amoncelé sous la surface de la butte de Montmorency. Là-dessous il y en a en effet une montagne ! Une telle entreprise aboutirait à un arasement partiel de cette butte témoin ! En tout cas jusqu'aux marnes. Avec évidemment des dégâts collatéraux inévitables, comme la disparition de la dépression de la Cailleuse évidemment et celle de sa tourbière. A mon avis, voilà ce qu'on risque à long terme ! Regardez ! De telles situations sont déjà arrivées ailleurs. Par exemple : à petite échelle, butte de Cormeilles-en-Parisis en Ile-de-France, pour le gypse ; à grande échelle, extraction de charbon et de lignite en Allemagne, avec des villages entiers détruits pour faire affleurer la ressource et donc en faciliter l'accès et l'extraction. On voit bien qu'avec les machines, toute exploitation est possible de nos jours. Chaque ressource naturelle de cette planète est exposée à la voracité humaine ; ceci est dû à l'industrie performante qui lui est dédiée. C'est le temps de la mondialisation effrénée des exploitations industrielles et des échanges économiques. Les conséquences de cette dernière nous mèneraient tous tout droit au désastre, si elle venait à continuer. Marc

Bonjour à tous, 1) Quand, à l'instant, je vois sur Météociel le froid qu'il faisait ce matin déjà à 4h30 à la station météorologique de Pontoise-Cormeilles située à proximité de la dépression de la Cailleuse (environ -7°C) et à d'autres situées un peu plus loin mais pas trop, comme celle de Beauvais (environ -9°C), je me dis qu'à la dépression de la Cailleuse -15°C est possible. Mais quand même pas -20°C. 2) Merci pour cette idée ! Marc

Bonjour "Serge71400", Aurais-tu des nouvelles intéressantes à propos de la dépression de la Cailleuse ? Je pense à la nuit du 15 au 16 janvier 2023*, entre autres. (*) PS (16/03/2024) = erreur : il ne s'agit pas de 2023, mais bien sûr de 2024❗ Marc

A supprimer SVP !

Bonjour 'Serge71400', Des nouvelles de la Cailleuse ?

Je dirais : avant tout la cuvette de la Cailleuse en forêt de Montmorency (Val-d'Oise), que l'on semble avoir déjà oubliée.

Bonjour à tous, Ceci concerne hier le 15 novembre 2023 : ma petite balade en forêt de La Vancelle, jusqu'à la forêt marécageuse du secteur des Dachsloecher, entre 16h et 18h (heure légale). Il fait de nouveau frais, vers 9°C, à Neubois. Le ciel est nuageux. Il n'y a plus de vent et il ne pleut plus ; contrairement à la nuit passée, durant laquelle ils sont tombés des seaux d'eau sur Neubois. La forêt de La Vancelle s'enfonce dans l'automne finissant. C'est toujours bien coloré et détrempé. Les chemins forestiers sont bourrés de flaques d'eau. De Neubois je descends à la forêt marécageuse par le plus court chemin. Le ruisseau qui passe tout en bas du versant Dachsloecher du massif de l'Altenberg, versant au pied duquel passe aussi la petite route locale (D 697) menant vers Châtenois, a un beau débit, bien audible avec des glougloutements caractéristiques. De même, concernant le ruisseau rencontré plus tard à un grand carrefour, bien après avoir traversé la route. J'ai hâte de connaître l'état hydrique de ce marécage boisé. Surprise : sa partie Nord est encore plus aquatique qu'il y a deux jours. Je le vois dès que j'aborde le point de vue situé à l'angle Sud-Ouest de cette partie. De belles surfaces aquatiques noires me rappellent des images habituelles, datant par exemple de l'hiver précédent. Aux alentours de cet angle droit l'eau arrive au pied du talus qui domine le marais de quelques mètres. Elle fait ressortir des troncs morts couchés (anciens chablis), vautrés dans la tourbe et de nouveau partiellement noyés. Ressortent bien également les disques de mousse qui entourent le bas des troncs érigés au-dessus de l'eau. Et de nouveau voici les reflets de la végétation, dans l'eau noire ! L'eau atteint même le pied du gros chêne sis à l'angle Sud-Est de la même partie. Et de là on peut voir la surface aquatique se faufiler au loin entre les arbres encore en feuilles. C'est bien rassurant ! En effet l'assèchement total de la partie considérée n'a été que transitoire, finalement. Mais quand même, combien fut longue cette attente d'une réhydratation efficace ! Le plus surprenant aujourd'hui, c'est que la partie Sud de cette forêt marécageuse, située de l'autre côté de la piste traversant l'ensemble marécageux en question, vient de recouvrer d'un coup son aspect habituellement observé en automne. Aussi, quel contraste par rapport à il y a seulement deux jours ! Maintenant, c'est aquatique comme dans l'autre partie du marais (la partie Nord). Ses sillons longitudinaux, on les retrouve enfin remplis d'eau noire. Séparés qu'ils sont par d'énormes troncs morts vautrés profondément dans le sol tourbeux et recouverts de mousses, localement de sphaignes. Le tout est survolé par des chablis jeunes, érigés en tous sens par dessus les vieux troncs vautrés, mais dans l'attente d'être petit à petit intégrés au sol tourbeux par la gravité et la dégradation tout simplement. Le résultat ? Un fouillis végétal inextricable s'oppose au visiteur des lieux, trop curieux et qui se trouve alors bloqué dans sa progression. Je ne vois pas un tel chaos dans l'autre partie du marécage boisé (sa partie Nord). Au Sud c'est certes complètement désordonné, mais d'aspect très sauvage. Très original : une espèce de forêt ivre ! Ceci dit, je vais un peu plus loin, le long de la piste, en direction de l'est et donc de la Distillerie, voir quel est l'état du ruisseau qui traverse exclusivement la partie Nord du marécage, en se contentant de longer par l'est la partie Sud. Eh bien, il y a du courant, notamment là où une buse lui fait franchir cette piste. Un peu en aval de cet endroit, de l'eau en provenance de la partie Sud du marécage se déverse dans ce ruisseau par un filet d'eau menu, qui goutte. Il s'agit d'une cascatelle. J'observe alors les ondes produites à la surface du ruisseau. Ainsi que le son émis, comme un goutte-à-goutte. On saisit bien ce qu'il s'échappe de cette partie du marécage vers le ruisseau situé en aval et juste en dessous. C'est aussi grâce aux petits mouvements discernables plus haut à la surface de la tourbe mouillée. Les grosses pluies de ces deux derniers jours ont dû remettre à flot le ruisselet venu des pentes Dachsloecher environnantes et qui aboutit dans cette partie du marécage. D'où la réhydratation rapide de cette dernière, comme conséquence. Ce, en seulement deux jours ! La forêt marécageuse des Dachsloecher est donc en train de se remplir d'eau petit à petit. Enfin ! Sans aucun doute y concourent des apports de cours d'eau forestiers prenant leur source plus haut sur les versants ; mais, sans doute aussi, du ruissellement de surface et des remontées d'eau phréatique en rapport avec le Giessen. Marc

Bonjour à tous, On sait grâce aux investigations de Localsat qu'au fond de la dépression de la Cailleuse durant la nuit du 7 au 8 février 2018, dans l'air à un mètre de hauteur par rapport à la surface du sol, la température est descendue jusqu'à -24.2°C (emplacement "A") et même jusqu'à -24.9°C (emplacement "B" situé à proximité de "A"). Mais aussi qu'elle est descendue jusqu'à -29.7°C à l'emplacement "F" situé à 40 cm de hauteur par rapport à la surface du sol et à l'aplomb de l'emplacement "A", avec 25 cm de neige au sol, soit à 15 cm au-dessus de la surface de la neige. Cela fait quand même une différence de minimum thermique de 5.5°C pour un écart de hauteur de seulement 60 cm par rapport à la surface de la neige ! Maintenant je vais faire une extrapolation. Comme au fond de cette dépression, à un emplacement situé à un mètre de hauteur par rapport à la surface du sol la température de l'air était descendue jusqu'à -38°C/-39°C durant la nuit du 8 au 9 décembre 1871 avec les mêmes conditions météorologiques que la nuit du 7 au 8 février 2018 (ciel clair, vent calme) et une semblable épaisseur de neige au sol (20 à 30 cm, mettons 25cm), il me semble qu'à un emplacement hypothétique situé à l'aplomb de ce dernier mais à seulement 40 cm du sol (soit 15 cm alors au-dessus de la neige), durant la nuit du 8 au 9 décembre 1871 la température serait descendue jusqu'à mettons -38.5°C, moins 5.5 °C (soit -44°C !). Tout ceci montre une fois de plus quelle fut la puissance de ce trou à froid au plan historique. Elle est énorme, mais c'est sans qu'on puisse encore l'expliquer clairement sur le plan scientifique. Malheureusement cette incompréhension coïncide exactement avec le moment où nous sommes privés d'un accès à des données thermométriques indispensables concernant ce site. Marc

Des nouvelles ?

Et puis voici les références d'un autre article de F. A. Camus, concernant une autre espèce de sphaigne : "Le Sphagnum Russowii Warnst. aux environs de Paris. Bull. Soc. Bot. Fr., séance du 13.2.1903, année 1903, pp. 165 - 168". Un peu plus tard, en 1933 cette espèce fut découverte à la tourbière de la Cailleuse en forêt de Montmorency. Autre intérêt biogéographique en faveur de la protection de cette tourbière à sphaignes. https://www.biodiversitylibrary.org/partpdf/160282

Bonjour à tous, A propos de la flore bryologique de la tourbière de la Cailleuse il existe, en plus de l'article écrit par F.A. Camus en 1892 et celui écrit par G. Bimont en 1945 desquels j'avais déjà indiqué les références sur le forum d'Infoclimat, un troisième article que j'ai trouvé ultérieurement et dont voici les références : "Une Sphaigne nouvelle pour la Région parisienne : Sphagnum molle Sull., par P. Cuynet (1946), Bulletin de la Société Botanique de France, Vol. 93 : 7-8, pages 209-210". Quinze espèces de sphaignes inventoriées jusqu'à 1946 ! Un argument en faveur de la protection de cette tourbière à sphaignes, même si à ce moment-là l'une d'entre elles (Sphagnum Girgensohnii) en avait sans doute déjà disparu et aujourd'hui beaucoup d'entre elles n'y sont peut-être plus tout simplement. Une Sphaigne nouvelle pour la Région parisienne: Sphagnum molle Sull. (tandfonline.com) Marc

Bonjour 'Serge71400'. Comme cela fait long temps depuis ma dernière demande, datée du 3 avril dernier, précédée par celle du 4 mars de la même année ! Quoi de neuf donc, concernant la Cailleuse après la nuit du 20 au 21 février 2023 jusqu'à présent ? Avec toutes ces nuits plus ou moins radiatives. Merci ! Marc

Bonjour, A 'Serge71400' = Concernant la dépression de la Cailleuse : 1) Y a-t-il eu des nuits intéressantes après celle du 20 au 21 février 2023 (minimum thermique -6.2°C) jusqu'à celle du 03 au 04 mars 2023 ? (relance après message du 4 mars) 2) Et puis, après la nuit du 03 au 04 mars 2023 jusqu'à celle du 02 au 03 avril 2023 ? Marc PS (18/07/2023) : voir sa réponse sur ces deux points le 18/07/2023 ! (Reprise des relevés prévue le 21/09/2023).

Superbe averse de neige à Neubois vers 17h45. Mais aucune tenue, car trop courte. Suivie immédiatement par un ciel bleu orné de nuages blancs. Et 2°C. Grand classique !

A supprimer SVP

Bonjour, A 'Serge71400' : Concernant la dépression de la Cailleuse, y a-t-il eu des nuits intéressantes après celle du 20 au 21 février 2023 (minimum thermique -6.2°C) jusqu'à celle du 03 au 04 mars 2023 ? Marc PS (18/07/2023) : voir sa réponse le 18/07/2023 !

Bonjour, A 'Serge71400' : Concernant la dépression de la Cailleuse, y a-t-il eu des nuits intéressantes après celle du 14 au 15 février 2023 (minimum thermique -5.9°C) jusqu'à celle du 20 au 21 février 2023 ? Je pense notamment à cette dernière. Marc PS = Dépression de la Cailleuse, nuit du 15 au 16 février 2023, minimum thermique -1.8°C ; pour comparaison : Pontoise-Cormeilles 0.5°C, Achères -0.3°C et Auffargis -1.7°C. Dépression de la Cailleuse, nuit du 19 au 20 février 2023, minimum thermique -6.6°C ; pour comparaison : Pontoise-Cormeilles 0.1°C, Achères -1.1°C et Auffargis -2.1°C. Dépression de la Cailleuse, nuit du 20 au 21 février 2023, minimum thermique -6.2°C ; pour comparaison : Pontoise-Cormeilles -3.0°C, Achères -3.5°C et Auffargis -3.8°C. Sources : Localsat et Météociel. Durant la deuxième nuit, du 19 au 20 février, puis durant la troisième nuit, du 20 au 21 février, mais dans une moindre mesure, le minimum thermique de la dépression de la Cailleuse se démarqua de ceux de ces trois stations météo régionales, davantage qu'il ne l'avait fait durant la première nuit, du 15 au 16 février. Ainsi = 15/16 février : écarts respectifs -2.3°C, -1.5°C, -0.1°C ; écart moyen -1.3°C. 19/20 février : écarts respectifs -6.7°C, -5.5°C, -4.5°C ; écart moyen -5.6°C ! 20/21 février : écarts respectifs -3.2°C, -2.7°C, -2.4°C ; écart moyen -2.8°C. En région parisienne, lors de la première nuit les conditions météo avaient été nettement moins radiatives qu'elles ne le furent ensuite durant les deux autres nuits et surtout l'avant-dernière. En cause : plus de vent et ciel moins dégagé.

Bonjour, A 'Serge71400' : Quel est le minimum thermique du fond de la dépression de la Cailleuse durant la nuit du 14 au 15 février 2023 ? Marc PS : Dépression de la Cailleuse, nuit du 14 au 15 février 2023, minimum thermique -5.9°C (Localsat) - encore une forte gelée ; mais pas aux stations météo régionales de référence : Pontoise-Cormeilles -2.7°C, Achères -4.2°C et Auffargis -4.0°C (Météociel).

Bonjour 'Serge71400', Concernant la dépression de la Cailleuse, y a-t-il eu des nuits intéressantes après celle du 8 au 9 février 2023 (minimum thermique -14.1°C) jusqu'à celle du 13 au 14 février 2023 ? Je pense en particulier à cette dernière. Marc PS = Dépression de la Cailleuse, nuit du 12 au 13 février 2023, minimum thermique -6.8°C ; pour comparaison : Pontoise-Cormeilles -2.9°C, Achères -3.8°C et Auffargis -3.4°C (stations météo régionales d'habitude relativement froides la nuit par rapport à d'autres comme Le Bourget ou Roissy, en conditions radiatives au niveau régional - ciel clair, vent calme -, sans qu'il s'agisse pour autant de véritable trou à froid au sens de concavité). Dépression de la Cailleuse, nuit du 13 au 14 février 2023, minimum thermique -8.3°C ; pour comparaison : Pontoise-Cormeilles -3.7°C, Achères -4.7°C et Auffargis -5.0°C. Sources : Localsat et Météociel. Comme je ne veux pas alourdir ce commentaire, voir sur Météociel le détail des conditions météorologiques locales (température, nébulosité, anémométrie, etc.) ! Concernant chacune de ces trois stations, il s'agit pour les deux nuits en question, de conditions assez radiatives.