hugo_frais

Non pas forcément, tu peux avoir des orages: - sans chaleur, exemple les orages dits "d'air froid", - sans cisaillements de vent, ex monocellulaire dans un contexte de marais barométrique avec un profil vertical de température favorable (fort réchauffement diurne des basses couches et pas d'effet de capping...) Voici deux liens pour moi de références pour comprendre les orages et apprendre à les prévoir : http://www.estofex.org/guide/ http://www.meted.ucar.edu/topics_convective.php (gratuit mais nécessite une inscription pour accéder aux modules très bien faits)

Le type dans la 206 blanche sur la vidéo a dû méchamment flipper quand il a commencé a se déporter!

oups merci

L'heure de publication des messages est décalée, le forum est resté à l'heure d'hiver...

C'est de l'humour?

En voulant faire un raccourci et j'ai écrit une con****ie...

Merci pour ce résumé et pour les liens!

Perso j'aurais agrandi la zone concernée pour inclure l'est du 45, et le sud-est de l'IDF. Même si cette zone n'est pas la plus exposée, le risque semble quand même présent.

Les forçages orographiques induits par le foehn auront lieu côté Espagne

Pour les avions commerciaux ou privés la vitesse est limitée à 250 nœuds en dessous de 10 000 pieds et même à haute altitude les avions de lignes ne dépassent pas 0.85 mach.

Ciel très voilé avec parhélie visible à droite du soleil. Beau coucher de soleil en perspective

Vu le programme et les intervenants, le débat s'annonce beaucoup plus politique que scientifique. Ça sent un peu le déjà vu.

Bah disons que le potentiel orageux est avéré et que GFS est plutôt stable. Après aller chercher les variations de SRH de 10 m²/s² ou dire que le Thompson index a gagné 2 points ne présente pas beaucoup d'intérêt à 50h de l'échéance. Le topic repartira naturellement mercredi après midi, jeudi matin et vendredi matin

Les scénarii WRF et GFS semblent converger sur les sorties 6Z avec un potentiel plus marqué sur le sud ouest, et moins évident sur le nord par rapport aux runs précédents.Vu l'effet de yoyo entre chaque run, je garde de l'espoir pour une bonne surprise "locale".

C'est vrai que l'armée n'est pas un modèle pour la transparence de ses communications, même quand ça semble évident (ex : accrochage entre deux rafales en méditerranée l'année dernière)

Oui il y a eu quelques cas où du mobilier de jardin, des volets, etc ont été endommagés. Quelques personnes ont aussi été légèrement blessées par des débris projetés par le tourbillon.Dans la majorité des cas la vitesse du vent reste faible et dépasse (très) rarement les 90/100km/h.

Je citais la royal navy parce que l'armée a dit qu'il ne s'agissait pas d'un avion français (cf. message auquel je répondais), je ne parlais pas du cas de Colmar ou des 15000 autres bangs supersoniques entendus ces derniers mois.

Et personne n'a pris de photo ou de video?

Comme son nom l'indique, ça doit être la quantité d'eau précipitable. En gros quelle valeur de précipitations maxi on peut attendre dans des conditions optimales

peut être la royal navy au dessus de la manche alors?Sur leur site ( http://www.royalnavy.mod.uk/operations-and-support/establishments/naval-bases-and-air-stations/ )' class='bbc_url' title='Lien externe' rel='nofollow external'>http://www.royalnavy...-air-stations/) on voit qu'ils ont pas mal de bases dans le sud ouest de l'Angleterre et sur wikipedia ils parlent de bases sur les iles de Jersey et Guernsey

copier/coller d'une explication de guigui1984 retrouvée quelques pages en arrière dans ce topic : Les éruptions solaires sont accompagnées par un intense bombardement de rayons X qui atteignent la Terre environ 8-9min après cette dernière. Les rayons X perturbent les communications hautes fréquences. Notre bouclier magnétique n'a aucun effet sur les rayons X, mais ils sont diffusés par l'atmosphère ce qui évite évidemment des radiations pouvant présenter un risque pour la santé. Les radiations (particules de hautes énergies) sont moins rapides que les rayons X et atteignent la terre entre 30min et 1h après l'éruption, et eux peuvent poser des problèmes pour les satellites, qui sont en temps normal situé à l'intérieur de la magnétosphère (Celle-ci se situe par vent solaire calme, à 60'000km de la terre direction Soleil) alors que l'orbite géostationnaire des satellites est d'environ 36'000km. Le vent solaire fait pression sur ce bouclier, qui peut être comprimé et étiré, laissant les satellites à nu face aux vents solaires. Ensuite les vents solaires, qui sont des bulles de plasma, mettent entre 12h et 3 jours pour arriver sur Terre, et sont, en principe, repoussée par notre champ magnétique. Toutefois, certaines tempêtes peuvent, par phénomène de reconnexion magnétique, affaiblir notre bouclier et venir se diffuser dans notre atmosphère, saturant les réseaux de distribution électriques. A noter que les trous coronals peuvent émettre eux aussi des tempêtes magnétiques, sans forcément qu'il y'aie des tâches solaires... Ils sont visibles dans l'UVI 195 par des zones sombres à la surface de notre Soleil.

En plus de la pertinence de ce suivi sur IC, si on met un post pour chaque tremblement de terre ça nous donne d'après les statistiques de l'USGS ( http://earthquake.usgs.gov/earthquakes/eqarchives/year/eqstats.php ) : 150 posts par an si on se limite à une magnitude de 6 et + 1500 posts pour M5 et + etc ...... Par ailleurs le récapitulatif complet des 7 derniers jours est dispo ici : http://earthquake.us.../quakes_big.php (beaucoup d'autres infos, stats, cartes en temps réél, etc sont dispos sur ce site)

Effectivement, pour que ça marche il faut qu'il y ait "pénétration" donc que le vent soit plus rapide que le champs de vorticité et parallèle aux lignes de géopotentiel. Après si le vent ne répond pas à ces deux critères, je ne sais pas ce qui se passe...

merci pour ce lien, et peut être y a t'il d'autres courants dont on ignore les conséquences sur l'activité solaire. Espérons que d'autres étudiants aient du temps libre cet été /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

Pour aller plus loin (et si j'ai bien compris), on peut dire qu'en présence d'un talweg dans un flux d'ouest on a une zone de PVA à l'ouest (entrée de talweg) et une zone de NVA à l'est (sortie de talweg) et donc dans les basses couches de la divergence à l'ouest et de la convergence à l'est et en altitude de la convergence à l'ouest et de la divergence à l'est