Aller au contenu

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

hugo_frais

Membres
  • Compteur de contenus

    178
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par hugo_frais

  1. Merci ribi pour ces explications. Il y a une phrase que je n'ai pas comprise : "Donc, même si l'eau est moins stable que la glace si T<0°C, l'eau est plus stable que tout état extrêmement voisin" Qu'entends tu par "état"? Pour moi l'eau a 3 états: solide, liquide, gazeux et donc ce n'est pas cohérent avec la première partie de la phrase... je dois rater quelquechose
  2. Il m'arrive souvent de lire que les nuages contiennent de l'eau surfondue, que les pluies verglaçantes sont le résultat de l'eau surfondue qui touche le sol.... J'ai compris que l'eau surfondue est de l'eau qui reste à l'état liquide alors que sa température est inférieure à sa température "normale" de solidification (soit <0°C à pression atmo standard) et que cet équilibre peut être rompu par un élément extérieur (contact avec un catalyseur ou un solide, agitation...) ce qui a pour effet une solidification rapide accompagnée d'une remontée de la température à 0°C. MAIS: Malgré plusieurs recherches, je n'arrive pas à comprendre le principe physique et les conditions qui permettent à l'eau de rester liquide à des températures pouvant aller jusqu'à -40°C. Est-ce lié à la pureté de l'eau, aux gaz dissous dans l'eau, à la vitesse de refroidissement de l'eau...???? Je me demande également : - Quelle est la température minimale que peut avoir une goutte d'eau surfondue juste avant de toucher le sol? - Si une goutte d'eau surfondue à -30°C par exemple vous tombe sur le bras, elle va se solidifier quasi instantanément et remonter à 0°C. Les échanges thermiques entre l'eau et la peau sont-ils violents? Est ce qu'on peut dans un cas extrême se retrouver avec une couche de glace sur tout le corps (un peu comme ça arrive parfois sur le pare-brise d'une voiture)? En me baladant sur google je suis tombé sur cet article du CNRS ou l'eau est qualifiée de liquide anormal (c'est un peu HS mais reste intéresant): http://www2.cnrs.fr/...ournal/1972.htm
  3. En fait tout va dépendre de l'utilisation que tu veux en faire et de ton budget. Généralement les objectifs avec une grande plage focale (type 18-200) ont tendance à énormément déformer à faible focale et le Sigma 18-200 que tu cites a de mémoire un autofocus lamentable. Voici un lien où une cinquantaine d'objectifs sont testés sur canon, ça te permettra de te faire une idée plus précise des objectifs sur le marché : http://www.photozone...rview#canon_aps
  4. une jolie photo de la bête.... http://www.osei.noaa.gov/Events/Current/TRCnida329_GJ.jpg
  5. Les darks fonctionnent également très bien pour des temps de pose plus longs. Cette technique est largement utilisée en astrophotographie qui demande des temps de pose de plusieurs minutes voire plusieurs dizaines de minutes. PS : Il faut pour obtenir de bons résultats refaire ses Darks à chaque sortie, ceci afin que les darks et les clichés soient réalisés dans les mêmes conditions de fonctionnement (le taux d'apparition des pixels chauds étant liée à la T° ambiante).
  6. Il y a plusieurs types de cisaillements (direction, vitesse) qui jouent effectivement un rôle dans l'organisation des cellules orageuses. Plutôt que de donner une explication rapide en quelques lignes, je te conseille de chercher sur google, beaucoup de sites proposent des explications complètes illustrées par des schémas. Sinon un peu près tous les modèles proposent des cartes directes ou indirectes de cisaillement des vents. Perso mes sorties favorites sont : http://lightningwizard.com/maps/ avec les cartes "0-6 km Deep Layer Shear, 0-1 km Low Level Shear" http://www.wetter3.de/vertikal.html http://www.meteociel.fr/modeles/coupes_gfs.php?mode=7&ech=3
  7. Pour aller un peu plus loin dans la compréhension et l'identification de tous les types de fronts, occlusions, phénomènes (comma cloud, polar low...), etc, etc, etc, etc ..... (au total une cinquantaine de topics) Le tout abordé de manière théorique, illustré avec des images sat, avec des explications sur les conditions de formations, les conséquences.... http://www.zamg.ac.a...atManu/main.htm (cliquez sur conceptual models) pour info, Zamg commente les images sur le site SATREP J'en ai déjà parcouru la moitié (en plusieurs heures) et c'est franchement bien fait et très complet.
  8. Ce matin, au début du bulletin météo sur BFM TV il y a eu un petit diaporama de photos (un peu à la façon "la chaine météo"). Sur chacune des photos il était précisé : "source infoclimat.fr" Je ne sais pas si IC a contacté BFM ou si le présentateur a voulu faire un clin d'oeil au site mais j'ai trouvé la démarche sympa, reste à voir s'ils réitèreront l'opération. Pensez maintenant que lorsque vous publiez vos clichés sur photolive, vous pouvez passer à la télé /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  9. Précision : les particules dont je parle ne sont pas celles émises par le soleil, mais celles d'origine "galactique" (explosions de supernova...)
  10. Le lien entre les particules cosmique et le climat provient de la théorie selon laquelle les gouttelettes d'eau se condensent autour des particules cosmiques. Soit en résumant : moins d'activité solaire = héliosphère affaiblie = plus de particules qui rentre dans l'atmosphère = plus de nuage = refroidissement. De mémoire une étude doit être lancée en 2010 pour confirmer ou non cette théorie.
  11. En fait l'univers s'étend et se refroidit depuis sa création, et c'est pas prêt de s'arrêter. Ça on le sait grâce à Hubble (l'homme pas le télescope). c'est quand même un peu limite de parler d'arrêt ou non du RC en comparant des mesures (avec une précision de mesure au 1/100°C) sur une période de 10 ans à celles des quelques décénies passées dont la précision le permet. C'est un peu le même raisonnement que "le climat se réchauffe, la preuve les températures très chaudes début octobre...
  12. Intéressante question... j'ai cherché si une formule existe pour calculer la vitesse de déplacement des nuages en fonction de la vitesse des vents mais je n'ai rien trouvé. Ce serait étonnant que personne n'ai réfléchi à ça.... Si personne ne trouve de réponse toute faite ça doit être possible de définir une loi vitesse nuage/vent approximative: - soit en comparant les vitesses de déplacement des nuages sur des vues satellite et en les comparant aux vitesses des vents - soit aller à côté d'une station de radiosondage et comparer la vitesse de déplacement de l'ombre des nuages (type cumulus) au sol à la vitesse du vent au moment où un ballon de radiosondage est lâché - soit... Mais l'énergie "transmise" au nuage doit varier en fonction de pleins de paramètres (altitude, composition des nuages, rho de l'air..............) donc avant de trouver la formule magique par l'expérience ça risque d'être très long et compliqué. Il doit également y avoir d'autres facteurs physiques qui entrent en jeu, comme par exemple la dislocation du nuage si les vents sont trop violents....
  13. C'est pas très cohérent, critiquer le probabilités des scientifiques et donner les tiennes /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Perso, les 80-90% me choquent un peu devant les écarts voire même les contradictions qu'on peut lire fréquemment.
  14. Je ne suis pas tellement d'accord : - les observations faites par les astronomes permettent de remonter un peu plus loin que 1960 (voir par exemple le minimum de Maunder autour de 1700 durant le petit age glaciaire) . - Le champs magnétique du soleil a laissé des traces qui permettent d'avoir une image de l'activité solaire sur plusieurs milliers d'années (analyse des isotopes dans les stalactites, carbone 14...) - ... Par ailleurs de nombreux sujets traitent des évolutions du climat sur ce forum et les sources/les études sont quasiment toujours citées. Bonnes recherches et bon courage.
  15. Ce matin j'ai entendu aux infos que des chercheurs ont estimés que la totalité de la calotte glacière fondera l'été d'ici 2020-2030! Malheureusement, ils n'ont pas donné plus de détails... Est ce que vous en avez entendu parlé et savez-vous où on peut trouver plus d'infos sur leurs recherches?
  16. Est ce que tu peux développer un peu? il doit me manquer une notion quelque part et je n'arrive pas à comprendre....
  17. Voici un lien qui explique assez bien l'influence des courants jet sur le développement orageux, avec des schémas plutôt bien faits : http://www.estofex.org/guide/ voir paragraphe 1.3.2 Assessing the presence of (sub)synoptic scale lift
  18. Je m'étais conditionné à entendre une fois de plus des énormités sur le RC, mais finalement à part le titre et quelques brèves allusions pendant le reportage, je trouve qu'on était à des années lumière du matraquage habituel qui perso me donne envie de balancer ma TV par la fenêtre.
  19. (Topic fusionné) Régulièrement je lis dans la presse, j'entends à la radio et la télé des choses qui ont franchement tendance à me chagriner et je ne pense pas être le seul dans ce cas. Le but de ce sujet est de lister et de discuter de toutes les aberrations, les amalgames, les erreurs liés à la météo et au climat que vous avez pu relever dans les différents médias. Exemple pour illustrer: " les orages violents de la nuit dernière sont la conséquence directe du réchauffement climatique..." Je me lance avec l'exemple d'hier soir à la fin du JT de TF1 : Laurence F. : c'est cette tempête tropicale qui explique les températures extrêmement chaudes d'aujourd'hui? Eveline D. : Oui c'est cette ex-tempête tropicale qui nous envoie des bouffées d'air chaud et humide et demain on y aura encore droit. (video à l'adresse : http://videos.tf1.fr...09-4833327.html , regarder à la 33eme minute)
  20. J'ai fouillé un peu partout sur leur site et je n'ai pas trouvé d'abréviation correspondant à INFO. Par contre sur l'image "SAT:IR 05-10-09 0000UTC" quand on passe la souris sur "INFO" on peut lire : Comma-like feature with anticyclonic outflow and eye.
  21. J'ai fait une petite vérification (avec le logiciel stellarium) de fin 2009 à fin 2010 ; et les jours de pleine lune à paris, la lune passe systématiquement plein sud vers 1h du matin. Ce qui finalement est cohérent avec les positions soleil/terre/lune. Donc contrairement à ce que je disais plus haut, il n'y a pas que la lumière réfléchie qui pourrait expliquer ces écarts mais aussi les marées.
  22. Question pour ceux qui ont vu les différentes prises de vue : est ce qu'on voit les phénomènes sous des angles vraiment différents (de côté, de derrière...)? ça pourrait permettre de se faire une modélisation 3D (cérébrale bien sûr) et éventuellement de déceler un fake : si la différence entre les prises de vue se limite au zoom, ou aux mouvements de la caméra ont peut imaginer que toutes les vidéos ont été faites par la même personne
  23. Enfin dans le cas étudié ici, il n'est question que des phases de la lune, donc les variations de température seraient dues uniquement au delta de lumière réfléchie par la lune à ces différentes phases. Corrigez moi si je me trompe mais la variation de distance terre/lune n'est pas calée sur le cycle "visuel" de 29 jours donc pas d'effet gravitationnel sur les marées, les masses d'air, etc... pour expliquer les 0,3°C de l'analyse excel présentée plus haut
  24. Je pense que les dispersions des différents capteurs qui ont été utilisés pour faire les mesures entre 1935 et 2006 ne permettent pas de conclure quoi que ce soit. On est pour moi dans l'incertitude de mesure.
  25. Un autre photo de morning glory cloud issue du site de la NASA : "Astronomy picture of the day" les commentaires de la photo : What causes these long, strange clouds? No one is sure. A rare type of cloud known as a Morning Glory cloud can stretch 1,000 kilometers long and occur at altitudes up to two kilometers high. Although similar roll clouds have been seen at specific places across the world, the ones over Burketown, Queensland Australia occur predictably every spring. Long, horizontal, circulating tubes of air might form when flowing, moist, cooling air encounters an inversion layer, an atmospheric layer where air temperature atypically increases with height. These tubes and surrounding air could cause dangerous turbulence for airplanes when clear. Morning Glory clouds can reportedly achieve an airspeed of 60 kilometers per hour over a surface with little discernible wind. Pictured above, photographer Mick Petroff photographed some Morning Glory clouds from his airplane near the Gulf of Carpentaria, Australia.
×
×
  • Créer...