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fsd8tr

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  1. Maintenant se sont les zones de flux qui risquent de faire la différence: Celle qui vient de se produire a du avoir un impact très limité. L'air chaud de basse couche ayant circulé dans le sens archipel canadien - banquise pluriannuelle puis seulement de manière atténuée sur la banquise fragilisée. Un rail chaud équivalent se produisant dans le sens Sibérie - Mer de Laptev (et son anomalie chaude actuelle) puis vers le pôle pourrait attaquer directement la zone faible de la banquise. Et faire des dégâts évidents surtout dans la durée. Même chose en face de la trouée de Béring. Le CEP propose cette situation à 144h (image temporaire) A surveiller si elle devait se prolonger dans le temps Ensuite viendra le tour des premières tempêtes avec la aussi une problématique de positionnement des flux. Pour l'area 2011 il faudra certainement une situation extrêmement favorable pour ne pas battre 2007. Pour l'extent il reste beaucoup à faire et il faudra peut-être combiner de la fonte et de la reconcentration du pack.
  2. On dirait que la saison est en fait déjà bien avancée:L"anomale chaude a persisté une dizaine de jours. La station de Kotel'Nyj sur l'Ile de la Nouvelle Sibérie a mesuré la valeur qui me semble remarquable de 150 heures de soleil en 8 jours (du 9 au 16 août). Malgré tout la fonte n'a été que de 345 000 km2 entre le 8 et le 16 août contre 382 000 km2 en fonte normale.
  3. Merci.Difficile à suivre finalement, les résultats cryosphère partent un peu dans tous les sens: Mardi : - 87 000 km2 Mercredi : + 8 000 km2 Jeudi : + 18 000 km2 Vendredi : - 151 000 km2 Il me semble que les données de dimanche, mercredi et jeudi ont été mises en ligne très tôt (avant 13h30 en France donc avant 06h30 dans l'Illinois) Ce qui me fait penser à des valeurs brutes. Les valeurs de lundi, mardi et vendredi ont été réactualisées plus tardivement...peut-être des données validées? Il n'y aura probablement pas d'intervention humaine dans les 3 prochains jours...Il va donc falloir attendre mardi. Compte tenu de l'anomalie chaude toujours en cours je trouve que les résultats sont pour l'instant plutôt en retrait...
  4. L'anomalie froide a évacué la zone arctique entre le 4 et le 5 août. Depuis une anomalie chaude d'altitude s'est lentement mise en place au fil des jours. Cette anomalie chaude va être à son maximum demain mercredi et devrait persister au moins 4 jours voire jusqu'à 7 à 8 jours (pour l'instant). A mesure que l'on avance dans la "saison" la fonte associée à ce type d'évènement devient plus aléatoire et finit par dépendre principalement de la localisation et de l'orientation des zones de flux. On en n'est pas encore la mais il va falloir commencer à se méfier et à ne pas forcément "s'emballer". Les courbes d'évolution d'area confirment pour l'instant la reprise d'une fonte marquée. Si l'on se penche sur les données d'area cryosphère: Se méfier également des données au jour le jour qui peuvent se prendre du + ou - 100 000 km2 sans raison apparente. Le minimum de 2007 pourrait se situer aux alentours de 2,9 millions de km2. Au 9 août 2011 il reste 3,7 millions de km2. On est donc actuellement à 700 à 900 000 km2 du record. Valeur à prendre avec des pincettes (compte tenu des soubresauts de cryosphère), l'area a perdu 87 000 km2 entre hier et aujourd'hui ( pour une fonte moyenne sur 30 ans de 47 000 km2). Alors même que l'anomalie chaude n'était pas encore totalement installée. Les 3 ou 4 prochains jours vont nous permettre d'affiner les valeurs de pertes quotidiennes: A -50 000 km2 par jour rien n'est encore joué. A -80 000 ou -100 000 km2 par jour le record risque d'approcher à grands pas... Sans parler évidemment de la volatilité des modèles! Éléments de réponses dans quelques jours.
  5. Le déficit de volume est maintenant de 8900 km3. Mise à jour le 3 août, il me semble, mais il faut réactualiser la page.Ça ne change pas grand chose à ton analyse. A la vue de cette comparaison (il va falloir attendre 13 jours pour pouvoir comparer à jour équivalent) j"ai l'impression que la fragilité de la banquise est vraiment plus importante cette année. Et en 13 jours il peut s'en passer des choses! D'ici la, le record 2007 paraîtra peut-être beaucoup plus accessible...
  6. Il y a plus de mesures dans les 100 premiers mètres et plus généralement sur toute la hauteur du radio sondage.Ne sont retenus que les niveaux standards (1000 hpa, 925, 850 etc....) et les niveaux caractéristiques (changement de tendance de la température ou du point de rosée au moins...pour le vent je ne sais pas mais les ruptures sont souvent liées) http://weather.uwyo....1812&STNM=78897 Dans cet exemple: - La première ligne représente la mesure de surface - La 1000 hpa (3eme) est forcément retenue quand elle existe. - La 2eme ligne a été retenue car elle correspond à une rupture de tendance (le point de rosée cesse de décroitre dans cet exemple) La tendance étant homogène dans la couche 1014hpa - 1004hpa on peut en déduire les valeurs à 1009hpa par exemple: T = 25,9°C Td = 22,7°C
  7. Une traduction hasardeuse de 20 mn.C'est en fait 120 000 km2 de fonte par jour pour les 2 premières semaines de juillet. http://nsidc.org/arc...011/071811.html
  8. En se basant sur le scénario 2010 puisque le premier semestre 2011 semble assez identique à celui de l'année dernière.... en pire avec environ 600 km3 de glace en moins au 30 juin.A mon avis - Il faudrait que le déficit de volume se réduise vers les 8500 ou 8000 km3 d'ici septembre pour espérer un minimum estival d'extent ou d'area légèrement supérieur à 2007 ou 2008. - Entre 8500 et 9000 km3 de déficit en septembre les records de minimum de surface tombent certainement et peut-être même franchement. - A -9500 ou -10000 (mais c'est peu probable en raison du manque de "matière" à fondre) on pulvérise 2007. Mais j'ai du mal à imaginer un déficit de volume de glace supérieur à 9000 km3 pour la fin de l'été 2011. Pour information, on peut télécharger les données quotidiennes de volume de glace depuis 1979 jusqu'au 30 juin 2011 ici: http://psc.apl.washi...e-anomaly/data/ En calculant le volume de glace "perdu" entre le 1er juillet et le minimum de volume de septembre on trouve pour ces 4 dernières années: 10370 km3 en 2008 9749 en 2009 9135 en 2007 8448 en 2010 Et pour 1997 qui est une année sans grande variation de l'anomalie la perte est de 9607 km3 (en gros comme en 2009). J'en conclue peut-être un peu hâtivement que, dans le contexte actuel, un été (1er juillet-15 septembre) précédé d'une période de forte perte de volume de glace (comme 2007 et surtout 2010) pourrait être un été à faible fonte en volume. En gros, la glace qui ne s'est pas formée ou qui a déjà fondu....n'est plus à fondre. A vérifier pour l'été 2011...
  9. Un petit rappel, Une situation à surveiller en "direct" ici : http://psc.apl.washi....edu/northpole/ Avec les webcams 1 et 2 à 89 et 88 ° nord. Ne pas oublier s'il le faut un petit F5 pour réactualiser les images des webcams.
  10. Pour l'instant comme en 2010 on est dans les clous de 2007....avec environ 3000 km3 de glace en moins d'après PIOMAS. Au 1 juillet 3000 km3 c'est globalement 40 cm d'épaisseur de glace en moins. En 2010 la tendance s'est inversée dès début juillet et les "meubles" ont finalement été sauvés. Pour 2011, une inversion de tendance est toujours possible, mais 2 fois de suite et avec la même intensité....j'ai un léger doute. Au niveau de la situation météorologique cette première décade de juillet 2011 semble commencer très fort en comparaison avec 2007. Situation au 6 juillet 2007: Situation prévue à une échéance raisonnable le 6 juillet 2011 (lien temporaire): Une première décade de juillet 2011 qui s'annonce très certainement plus douce et plus ensoleillée que celle de 2007. A surveiller l'impact de cette situation en surface de glace sur une banquise affaiblie en volume. Premiers résultats entre le 10 et le 15 juillet 2011 .....ou plus tard!
  11. Comme le chevalier noir! Sinon pour TreizeVents tu voulais sans doute dire "impartiale"? http://fr.thefreedic...ary.com/partial
  12. Pour 100% d'humidité,La pièce à 20°C contient bien 2 fois plus de vapeur d'eau que celle à 10°C: 15g/kg d'air sec contre 8g/kg. Un refroidissement à 0°C amènera les 2 masses d'air à un rapport de mélange de 4g/kg d'air sec. La pièce à 10 °C aura condensé 4g/kg et la pièce à 20°C 11g/kg soit presque 3 fois plus. L'échelle des rapports de mélange est en jaune sur la 600 hpa pour ceux qui ne connaissent pas.
  13. Avec Firefox j'ai une erreur Flash Player 10.Uniquement avec Abbeville et sur le mois en cours. Janvier est maintenant accessible et je suppose que février le sera en mars. Problème lié au site MF ou à Adobe, ou les 2?
  14. Sans oublier Météofun. Rare, mais que du gratin. Dans le consensus et la classe en sus.
  15. Voici le texte de la vigilance 54, 55 et 57
  16. Si ton objectif est l'observation, tu vas passer ton temps à améliorer au maximum les mesures. C'est une bonne chose mais tu ne pourras jamais faire de climatologie. C'est à dire comparer avec le passé.Si ton objectif est la climatologie, tu dois atteindre un niveau d'excellence aujourd'hui et dans tous les cas le plus rapidement possible. Dans 5 ou 10 ans les imperfections deviendront évidentes (progrès technique) , mais tu devras conserver ces imperfections un maximum de temps pour garder la possibilité de comparer. Les 2 choix se valent mais le premier ne doit pas imposer ces contraintes au second.
  17. Tu as le droit de relire et d'essayer de comprendre mon intervention.
  18. En climatologie, améliorer s'est souvent s'isoler du passé.Tu en fait quoi des dizaines de milliers d'années-stations de mesures tn tx rr en 06-06 et 18-18? Tu en fait quoi des 140 ans de mesures de Besançon? Tu dis quoi aux observateurs bénévoles qui apportent encore la majorité des mesures de pluie et une part importante des mesures de températures? Videz vos pluvios et réamorcez vos thermomètres à 1h ou 2h du matin......ou tournez la page? Je crois qu'il faut différencier l'observation qui doit toujours progresser et la climatologie qui, tant que nécessaire, doit conserver les mêmes imperfections (à partir du moment où elles sont acceptables). L'objectif est de conserver un potentiel maximal de comparaison à la fois dans le temps et dans l'espace.
  19. L'abri est conçu pour mesurer la température de l'air à 1,5 m du sol. Donc dans l'abri la température est sensée être la même qu'à l'extérieur (à hauteur égale). Dans la nuit ce sont les objets qui refroidissent l'air (sol, herbe, arbres, voitures etc...) Sans vent et par ciel clair on observe en général au moment du minimum de température une différence de 2 à 4 °C entre la température à 1,5 m du sol et à 10 cm (de l'herbe). Une différence qui peut probablement dépasser 4 à 5 °C à la surface des objets. On peut donc très facilement avoir du givre sur une voiture ou sur l'herbe avec 2 ou 3°C sous abri.
  20. Si c'est un fake la comédie est quelque part bien élaborée. Scénario? On dirait que le "foudroyé" téléphone au moment de l'impact (main gauche). Quand la caméra s'approche de lui il me semble qu'il y a un objet à proximité de lui (toujours près du bras gauche). Peut-être son téléphone? Et au final du ralenti le "foudroyé" a la trace de son téléphone sur la joue et l'oreille gauche. Si quelqu'un arrive à trouver le modèle et la marque du téléphone?
  21. Merci /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">Je me suis posé un peu la même question. On peut essayer de vérifier par le calcul, mais il y a 2 inconnues: - La quantité d'eau moyenne déposée en rosée à l'échelle d'un secteur. - L'épaisseur de la couche atmosphérique participant à la dépose de cette rosée. En supposant et toujours pour l'exemple de Reims du 28 juin 2010: 1) Pour la quantité d'eau en favorisant le système on peut arriver à récolter 600 g d'eau au m2 http://www2.cnrs.fr/journal/3122.htm Sans aller jusque là, un pluvio donne de 100 à 300 g d'eau au m2 il me semble. On pourrait partir sur une base de 50g à 200g d'eau au m2 à l'échelle d'une zone? 2) Pour l'épaisseur de la couche concernée par la perte d'humidité: En hiver la pellicule froide dépasse rarement 300 m d'épaisseur. On pourrait admettre que c'est la couche d'air comprise entre le sol et 300 m de hauteur qui peut participer directement à la dépose de la rosée (ou du givre). En été, pour la région de Reims, la période de condensation au sol (et de refroidissement) étant beaucoup plus courte, on pourrait supposer que la couche atmosphérique concernée par la perte d'humidité serait d'environ 100 m d'épaisseur. A vérifier pour l'exemple du 28 juin: Si les 100 premiers mètres d'atmosphère peuvent donner entre 50 et 200g d'eau au m2 en rosée. La perte de point de rosée est d'environ 3°C (de 16°C à 13°C) à 2m du sol. 3°C en bas et 0 à 100 m donnent en moyenne brute une perte de 1,5°C de point de rosée pour la couche de 100 m d'épaisseur. 1,5°C autour de 15°C de point de rosée correspondent environ à 1 g d'eau par kg d'air (sec). 100 m d'épaisseur donnent 100m3 d'air par m2 et donc environ 120kg d'air (vers 15°C en température). 120 kg d'air x 1 g d'eau = 120 g d'eau par m2. Sauf erreur on est dans les clous!....De mes suppositions
  22. Pour comprendre et évaluer les causes de l'évolution du point de rosée sur une journée on pourrait décortiquer le 28 juin 2010 à Reims par exemple. Le tableau des mesures est ici: http://www.infoclima...0-06-28&s=07070 Le mieux étant de l'ouvrir dans un nouvel onglet. La situation météorologique est stable du 27 au 28 juin. Conditions de géopotentiels relativement élevés et peu de vent. http://www.meteociel...=1&mode=0&ech=6 Le radiosondage n'est pas disponible. Compte tenu de la température maximale de la veille (30,5°C) on peut imaginer un premier pic d'inversion de température entre 500 et 800 m de hauteur. Avec de l'air à peu près homogène en humidité absolue entre le sol et ce pic d'inversion. En considérant un léger refroidissement dans la nuit et la matinée (environ 2 °C) le pic d'inversion devrait être franchi entre 28 et 29 degrés sous abri. Ce qui donne pour la convection un scénario du genre. Convection basse (du sol jusqu'à 500 ou 800m de hauteur) jusqu'à 28-29°C sous abri. Puis convection beaucoup plus élevée jusqu'à 1500-4000 m de hauteur voire plus, selon le radiosondage. Les données de Reims en détail: Heures en UTC 1) Dans la nuit du 27 au 28 juin le point de rosée s'abaisse progressivement de 17°C jusqu'à 12,8°C au moment du minimum de température entre 03h00 et 04h00. Je ne vois que la rosée pour expliquer cette baisse. 2) De 04h00 à 10h00: Le soleil est levé, les objets passent rapidement d'un état "plus froid que l'air" à un état "plus chaud que l'air". La rosée s'évapore et peu à peu la végétation commence à transpirer. La couche de convection augmente lentement mais ne dépasse pas le pic d'inversion. Ce "confinement" permet au point de rosée de progresser en dépassant parfois 16°C grâce aux apports d'évapotranspiration. 3) De 10h00 à 16h00: Dès 11h00 la température sous abri dépasse les 29°C et la convection n'est plus bloquée par le pic d'inversion. La couche de convection peut maintenant augmenter plus rapidement en épaisseur et les échanges se font avec une atmosphère typiquement plus sèche. Le point de rosée baisse au fil des heures et ce malgré la transpiration de la végétation qui tourne à plein régime. Le minimum de point de rosée est atteint au moment du maximum de température sous abri avec 11°C vers 16h00. 4)Après 17h00: La convection au départ du sol régresse rapidement mais l'air reste chaud et la transpiration de la végétation se poursuit au moins jusqu'au coucher du soleil. Le point de rosée remonte à 15°C. Le ciel s'est ensuite couvert en empêchant probablement la formation de rosée plus tard dans la nuit. En transposant à une situation au cœur de l'hiver (au nord du 45eme) sous conditions anticyclonique sans trop de subsidence et sans vent. La végétation est en général inactive et la transpiration est quasiment nulle de jour comme de nuit. Les sols sont trempés mais l'évaporation est insignifiante voire nulle la nuit. Très faible à faible le jour. La convection est faible et ne dépasse que rarement les 200 à 400 m de hauteur. D'où une atmosphère très confinée. On peut donc imaginer sous ces conditions uniquement: 1) Une baisse du point de rosée la nuit (formation de rosée ou de givre). Une baisse qui pourrait être de 2 à 4°C voire plus en conditions idéales ou très froides. 2) Une hausse du point de rosée en journée (fonte du givre puis évaporation). Une hausse pas forcément équivalente puisque parfois la part eau condensée pourrait être supérieure à la part évaporation. (Et inversement) 3) Dès le coucher du soleil, nouvelle baisse du point de rosée par formation de givre ou de rosée. Ce sont des conditions relativement délicates à retrouver car il y a souvent un grain de sable qui vient tout chambouler. P.S. Un exemple très hivernal avec sans doute sublimation + évaporation: http://www.infoclima...80&d=2007-12-20
  23. J'ai trouvé ce schéma, il date un peu (Holton et al. 1995) mais il est souvent repris: L'intrusion se ferait par le "pied de marche" entre les 2 niveaux de tropopause. Dans ce cas de figure, on peut (parfois, souvent, toujours?) obtenir une intrusion stratosphérique froide? Par délocalisation en zone de haute tropopause et grâce au refroidissement potentiel lié à la grande sécheresse de l'intrusion?
  24. Sur cette base et toujours en dehors de "mes terres":Je n'aime pas beaucoup le terme "d'intrusion froide stratosphérique" J'ai l'impression, mais je me trompe peut-être, que certains imaginent que de l'air stratosphérique, donc potentiellement plus chaud, puisse en perdant de l'altitude devenir sec (c'est logique) et froid (ca ne l'est plus du tout). La formulation "d'advection horizontale d'anomalie basse de tropopause" ne serait-elle pas plus adaptée, en prêtant moins à confusion?
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