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fsd8tr

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  1. Bonjour et bravo pour ce site! Une remarque qui me semble importante et qui me fait un effet "caillou dans la chaussure" depuis plusieurs jours. Dossier multicellulaire. Dernière phrase du n°4 Orage multicellulaire en grappe. Cette phrase a probablement été remaniée à plusieurs reprises. Dans la phrase d'origine le terme "incidents" devait convenir aux exemples. Dans la phrase finale il n'est plus du tout adapté à des Catastrophes comme Nîmes et Vaison la Romaine.
  2. Un perroquet joyeux ?
  3. Bon c'est pour l'anecdote uniquement puisque ce n'est que du local. Ci-dessous une capture webcam de la station polaire NOAA au 1 juillet 2009. Par 86,140 N et 2,870 E. Suivie d'une capture du 1 juillet de la station 2008 Par 84,710 N et 0,810 E Liens: http://www.arctic.noaa.gov/gallery_np.html http://www.arctic.noaa.gov/npole/index.php?year=2009 http://www.arctic.noaa.gov/npole/index.php?year=2008
  4. Actuellement dans tous les domaines, les décideurs sont à la recherche du "point de rupture" en matière d'effectifs. Un système qui fonctionne est par définition un système surdimensionné. Tant que le point d'implosion n'est pas atteint on se débarrasse de la base de la pyramide. Aujourd'hui les CDM...et s'il le faut...demain les CMT et après-demain les CMIR.Je n'ai pas dit qu'il fallait "glander" ou pire "saboter", au contraire. Mais si le point de rupture est atteint, il faut le laisser s'exprimer.
  5. Heuuuuuu! tu ne connais pas l'histoire du démineur qui passait son temps à neutraliser les bombes....seul dans son coin et sans rien dire à personne.Il a été viré! Normal, il ne servait à rien puisqu'il n'y avait pas d'attentats. La comparaison est démesurée (et fictive), mais c'est l'histoire des CDM. En sauvant un système défectueux, alors qu'ils n'avaient pas à le faire (mais c'était par respect pour les clients et les usagers), les CDM ont démontré leur inutilité aux yeux des simples d'esprit qui pensent encore que lorsque l'on coupe 4 pattes à une grenouille....elle devient sourde. Le système à venir n'est pas défectueux....il est, à mon avis, pourri-moisi^3. Mais il n'y aura plus grand monde pour sauver les apparences. La rébellion est ailleurs Elle ne consiste surement pas à imposer des compétences qui sont exclusivement réservées à d'autres!
  6. Avec Firefox et AdBlock Plus activé je n'ai aucune pub affichée sur le site de lameteo.org. La navigation est rapide et fluide. En désactivant AdBlock Plus, à la première visite les pubs se sont affichées avec en prime 6 ou 7 fenêtres de pub en arrière plan. En deuxième ou troisième visite dans la foulée c'est plus tranquille avec juste les bannières de pub du site. Il y a peut-être l'équivalent d'ABP sous IE8? (question posée pour ne pas ressembler à un anti MS primaire /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) Ceci dit, c'est grâce à la pub que l'on peut bénéficier d'autant d'informations gratuites sur le net. Mais, trop envahissante elle devient inacceptable et donc contre productive.
  7. La réponse est dans les 2 metar de Nice et dans cette carte google maps: Metar de 11h00 : t = 22°C td = 16 °C vent venant du 200 ° à 39 km/h. La flèche bleue matérialise le flux de basses couches correspondant et qui est intégralement et durablement maritime. Ce qui explique la température relativement basse et l'humidité de 69%. Metar de 11h30 : t = 31 °C td = 11 °C vent venant de l'ouest-sud-ouest à 19 km/h. Les flèches rouges indiquent le flux dans la continuité du mistral avec une trajectoire continentale sauf dans les 4 ou 5 derniers km. L'impact de ces quelques km de trajectoire maritime pouvant être estimé à environ -1 °C puisqu'à la même heure il faisait 32 °C à Mandelieu. La rotation du vent à fait passer la station de Nice d'une situation de brise de mer à une situation de brise de terre qui justifie totalement les brusques variations de température et d'humidité. A l'inverse, mais pour les mêmes raisons, il me semble que du coté de Biarritz on peut passer facilement de 35 °C avec petit vent d'est à 22 °C en vent d'ouest en moins de 30 minutes.
  8. Une vidéo impressionnante de l'évolution du dôme du Redoubt: En aller-retour du 7 mai au 18 mai et au 7 mai 2009. http://209.85.229.132/translate_c?hl=fr&am...SVwYWWn9i12uquA
  9. Le sol a un rôle indirect puisqu'il constitue le réservoir d'eau de la végétation:http://www.gironde.chambagri.fr/Documents/...an-hydrique.pdf En page 2: Sable limoneux : réserve utile = 1 litre par cm de sol ; réserve facilement utilisable = 0,7 litre par cm de sol. Limon argileux : RU = 2 l/cm ; RFU = 1,3 l/cm Pour une végétation qui va se servir dans le premier mètre de sol l'eau disponible sera de: 100 l avec 70 l facilement utilisables pour le sable limoneux. 200 l avec 130 l facilement utilisables pour le limon argileux. Petit exemple simplifié d'évolution de la réserve: A la fin de l'hiver le réservoir est plein en général. Un mois d'avril avec 50 l d'ETP et 40 l de précipitations. Le réservoir perd 10 l. Un mois de mai avec 80 l d'ETP et 50 l de pluie. Le réservoir perd 30 l. Total 40 l de moins. Un mois de juin avec 100 l d'ETP et 50 l de pluie. Le réservoir a théoriquement perdu 90 litres d'eau depuis la fin de l'hiver. Sur du limon argileux avec 130 litres d'eau facilement utilisables la végétation évapore toujours un maximum (ETP). Sur du sable limoneux la RFU est déjà épuisée. La végétation est passée en "mode survie" et n'évapore presque plus. Il ne reste que 30 litres d'eau pour passer tout l'été. Avec une première décade de juillet sans pluie et 40 mm d'ETP la végétation sur limon argileux continue à fournir mais entame sa réserve de survie au 11 juillet. Sur le sable limoneux "c'est la séchresse mdame" et l'évaporation réelle est vraiment très faible. Les dates de passage en mode survie sont très variables et vont de fin mai pour les années sèches et chaudes à fin juillet voire plus tard pour les étés pourris. Ensuite on a en général une alternance entre mode survie et mode normal au gré des épisodes pluvieux. Une bonne pluie de 20 mm en 24 heures n'interrompant le mode survie que pour 4 à 6 jours en moyenne. Sinon, une petite remarque: Je suis surpris de voir des "analystes d'altitude" descendre sur (sous) terre
  10. On pourrait faire une simulation sur un RS en restant très théorique: Le radiosondage d'origine est de Lyon mais le lieu n'a pas d'importance. L'heure de départ est un jour J à 17h loc (j'ai besoin de 24 heures pour l'ETP). Il n'y a aucun changement dans la situation météorologique dans les 24 heures à venir et l'on ne tiendra compte que du bilan énergétique et hygrométrique. En noir épais et bleu pointillé la courbe de température et de point de rosée (un peu trafiquée) à J 17h. La températures maximale est fixée à 31 °C à J+1 17h et l'on obtient alors une nouvelle courbe de température (en vert épais) qui nous donne la base du RS à l'heure du maxi de température de J+1. Dans ce cas, sans apport d'eau on a pour J+1 une températures maxi de 31 °C et un point de rosée de 10,5 °C. La convection se produit uniquement entre le sol et 2000 m d'altitude (800 hpa) et aucun cumulus ne se forme. - Si l'on transpose cette situation au dessus d'un désert on conserve les mêmes valeurs puisqu'il n'y a pas d'évaporation dans les 24 heures. Le point de rosée reste à 10,5°C à J+1. - Au dessus d'une région du genre grenier à blé à quelques jours de la moisson on pourrait avoir une évaporation réelle d'environ 1 litre par m2. Ce qui donne 1000 g d'eau par m2 qui vont se répartir dans 2000 m3 d'air. Soit pour une moyenne de 1,1 kg d'air pour 1 m3 : 1000 g / 2200 kg = 0,5 g d'eau par kg d'air. Le rapport de mélange passe donc à 8,5 g d'eau par kg d'air à J+1 17h. Ce qui donne un nouveau point de rosée d'environ 11,5 °C. - Au dessus d'une région plus verte en léger stress hydrique avec de la prairie et des forêts, on pourrait avoir une évaporation réelle de 4,4 litres par m2. Ce qui fait passer le rapport de mélange à 10 g/kg. Ce qui fait un nouveau point de rosée d'environ 13,5°C. Sur le RS on voit que l'on est pas loin de la formation de cumulus. - Au dessus d'une région cultivant exclusivement du maïs irrigué en plein développement avec un coefficient cultural de 1,2. Pour une ETP calculée de 6 litres/m2 on obtient donc une évaporation réelle de 7,2 litres/m2. Ce qui ajoute 3,3 g par kg au rapport de mélange. Avec 11,3 g/kg le nouveau point de rosée passe à environ 15,5°C. Des cumulus peuvent maintenant se former et l'on peut même aller jusqu'à l'orage (mais la c'est une autre histoire) avec un lift index de 8 à vue de nez. Ca reste de la théorie mais j'espère surtout ne pas m'être planté dans mes calculs.
  11. Des infos: Sur le bilan hydrique: http://www.gironde.chambagri.fr/Documents/...an-hydrique.pdf Sur l'évaporation : http://echo.epfl.ch/e-drologie/chapitres/chapitre4/main.html Sinon pour avoir un ordre de grandeur de l'ETP en été: Un jour pluvieux humide et frais : autour de 1 litre/m2 parfois moins. Une belle journée d'été: 4, 5 ou 6 litres/m2 rarement plus. Plus dans les zones de mistral mais il me semble que l'on plafonne l'ETP à 9 mm/m2/jour. C'est cependant une valeur théorique qui dépend de la réserve d'eau dans le sol. Pas d'eau = pas d'évaporation. Petit exemple pour une très belle journée au mois de juillet (sans pluie depuis une quinzaine de jours): Un champ de maïs ou de tournesol irrigué et en pleine croissance va pouvoir évaporer un maximum soit 9 litres/m2/jour. La prairie d'à coté en plein stress hydrique ne "lâchera" qu' 1 ou 2 litres/m2 et la forêt voisine pourra tourner à 5 litres/m2/jour par exemple. Un sol nu n'évaporant pratiquement plus rien.
  12. MerciL'information scientifique est d'ailleurs beaucoup plus nuancée et c'est rien de le dire!: traduction google On est très loin du doublement de l'épaisseur de la banquise Arctique indiqué par le concierge d'un porte-parole. Ma conclusion reste la même:
  13. Par exemple: http://www.alainbidart.fr/OLD/poly/poly.htm
  14. On peut décortiquer l'info si tu veux: 1) Les résultats n'ont pas encore été publiés. 2) C'est la Radio de Brême qui est à l'origine de l'information et du titre en particulier sur la base d'une interview de participants à cette campagne de mesure. 3) Un porte-parole a dit.... Ça c'est de l'info scientifique en béton. On peut voir sur cette carte les zones explorées. A l'évidence, l'objectif de la campagne de mesure n'est pas de connaître l'épaisseur de la banquise Arctique mais l'épaisseur de la glace dans des zones bien spécifiques. Dans tous les cas, les résultats ne seront représentatifs que des zones mesurées. Il faudrait éviter de gober n'importe quoi!
  15. La galerie photo du site de l'AVO est régulièrement complétée: http://www.avo.alaska.edu/volcanoes/volcac...;eruptionid=610 Avec par exemple une animation de l'évolution du dôme entre le 16 avril et le 6 mai: http://www.avo.alaska.edu/image.php?id=18525 Ou une vidéo en caméra thermique: http://www.avo.alaska.edu/image.php?id=18349 De la 3D Etc...
  16. Regél ou reconcentration ou bug finalement? Ce n'est pas important, de toute façon il n'y a pas fonte pour l'instant.Surtout avec ça dans la zone au 2 mai Mais la dérive est bien la et elle indique une sortie des glaces le long de la côte est du Groënland avec une fonte assurée à hauteur de l'Islande. La glace qui s'évade maintenant est partiellement ou totalement remplacée par de la glace toute récente qui n'aura pas le temps de s'épaissir et fondra dès les premières "chaleurs" en créant des points chauds avec les conséquences que l'on connaît. La glace qui pourrait s'évader d'ici 1 mois et après ne sera pas remplacée avant l'hiver et la c'est encore pire. Mais rien n'est fait et encore une fois, "il va falloir être patient!"
  17. A mon avis ni fonte ni bug mais probablement une dérive divergente de la banquise dans cette zone où la concentration chute localement jusqu'à 70% il me semble. Si l'on considère une zone géographique fixe d'1 million de km2 avec une concentration de 100%: - Avec une dérive homogène des glaces l'on va avoir par exemple 200 000 km2 de glace qui vont sortir avec une même surface entrante. La concentration reste théoriquement à 100%. - Avec une dérive "divergente" l'on peut avoir 300 000 km2 en sortie et 100 000 en entrée. Résultat il manque 200 000 km2 au bilan (en eau libre plus ou moins durablement suivant la saison). Résultat, la concentration tombe à 80% en moyenne sur la zone. C'est en gros ce que l'on retrouve sur la carte du 2 mai. La station polaire de la NOAA (lien: http://www.arctic.noaa.gov/gallery_np.html ) a été mise en service vers le 12 avril et vient de publier sa première carte de dérive. Elle confirme, au 30 avril, une importante circulation des glaces à l'opposé de la zone de faiblesse que l'on peut observer: 220 km droit vers la sortie par le détroit de Fram.... c'est beaucoup pour ne pas dire trop. Voici la carte de la dérive 2007 qui a l'avantage d'être plus ou moins traçable sur 10 jours: En remontant de 10 jours en 10 jours on peut supposer que la station a passé l'ensemble du mois de juillet par 86,5 ° nord La station 2009 a donc migré de 2° vers le sud en moins de 3 semaines. Pour faire mieux que 2007 il ne va falloir lâcher que 1,5° en 3 mois. C'est possible, car des retours ou des pauses peuvent se produire, mais ça va être très délicat. On peut évaluer également la différence de vitesse de circulation des glaces avec par exemple pour la station 2007 une sortie de banquise le 2 décembre 2007 par 71° nord En comparaison avec la station 2002 qui est sortie le 25 juin 2003 par 70° nord environ. Je pense que la vitesse de dérive de la station 2009 dans les prochains mois conditionnera le minimum de l'été 2009. A suivre de près avec normalement un point par semaine.
  18. L'année dernière en avril les résultats d'ICESat concernaient la mesure du "Freeboard"(différence de hauteur entre le niveau de la mer et la surface de la banquise.) Cette année, je suppose que la mesure de base est la même et que l'épaisseur de la glace n'est donc probablement pas mesurée mais estimée en fonction de ce qui "dépasse". En fin de page: http://nsidc.org/arcticseaicenews/2008/040708.html Avec, en remarque, l'évocation de ce petit problème: Une zone fortement enneigée pourra avoir un fort freeboard mais une banquise peu épaisse.... et inversement. (traduction libre!) En 2009 la méthode a peut-être été améliorée mais cela reste une estimation. Personnellement, sur la carte ci-dessous, je me demande si les scientifiques de la NASA ou du NSIDC sont prêts à miser leur ranch au Texas sur la réalité des plages de banquise de moins d'1 mètre d'épaisseur dans le quart 135° est à 135° ouest. Si oui, c'est effectivement inquiétant pour l'été prochain...Mais j'ai un doute!
  19. Info du 12/04/09 en traduction google. http://209.85.229.132/translate_c?hl=fr&am...rQbWXcnSHbiIiTg
  20. Une confirmation intéressante sur cette diapo: En général la banquise arctique fond plus par le dessous (en contact avec l'eau) que par le dessus (en contact avec l'air). Du moins dans la zone de localisation de ces bouées. L'image doit dater d'août 2008 il me semble.
  21. Page 19 de la présentation, une prévision d'extent pour septembre 2009: 5 340 000 km2 + ou - 430 000 km2 Ce serait plutôt une bonne nouvelle....Mais cela reste inférieur à 2005 et le troisième extent le plus faible depuis 1979.
  22. Très bien cette présentation! En particulier cette partie (pas 100% compatible avec openoffice il me semble) http://www.arcus.org/search/seaiceoutlook/...020am_Rigor.ppt A décortiquer... Il faut enlever la parenthèse dans le lien pour pouvoir consulter la présentation. http://www.arcus.org/search/seaiceoutlook/..._wgm/agenda.php
  23. Les rejets de SO2 et leur déplacement autour de la planète. Les zones polaires semblant être parasitées. On devine l'activité du Mont Redoubt au fil des jours. Et l'on retrouve probablement les restes de la phase active de la fin mars sur l'est de l'Asie. Et il me semble déceler des rejets les 5 et le 6 avril du coté du Chaiten.
  24. En fait le site SpaceWeather.com est très réactif sur tout ce qui bouge sur la planète et ailleurs... http://www.spaceweather.com/ Ils ont proposé le lien vers le site du Mont Redoubt fin mars juste après la reprise d'activité. L'animation donnée par Stalbuck le 30 mars est également issue de SpaceWeather. Voici celle du jour:
  25. Le NSIDC vient de publier son bilan pour le mois de mars 2009. http://nsidc.org/arcticseaicenews/index.html Il évalue à environ 600 000 km2 la perte de glace pluriannuelle depuis début septembre 2008. Visible sur cette animation: http://nsidc.org/images/arcticseaicenews/2...6_animation.gif
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