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Statistiques et anomalies climatiques globales


Sam82

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Le Voide (49-Maine et Loire), à 35 km au sud d'Angers et à 135 mètres d'altitude.

Je reconnais ne pas lire le GIEC, ou pour le moins en diagonale presque verticale.

Ca ne correspond pas à ce que peut rechercher un amateur qui ne demande pas mieux que de devenir averti sur la question climatique, un jour peut être.<>

Priorité aux travaux équipes par équipes; centre par centre, et technique par technique, plutôt qu'un rapport polissé, ce qui est tout à fait louable sur ce créneau diplomatique.

Bref, tout ça pour dire que les citations du giec ne sont pas très percutantes en général.

Concernant le GIEC, certes le rapport de 28 pages destiné aux décideurs peut sembler un peu léger pour un passionné intéressé par le sujet, mais dans ce cas là, pour les personnes plus averties, il y a tout de même le rapport de 1535 pages, où il y a matière tout de même aux multiples réflexions.

http://www.climatechange2013.org/

Je n'ai jamais lu intégralement ces rapports très complets, mais sur certains points, où je voulais de plus amples renseignements, j'ai rarement été déçu. tongue_smilie.gif

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Je reviens sur ce sujet mal placé dans le national car c'est global. "Le réchauffement climatique en pause : records de chaleur mondiaux, c'est fini !" http://www.lameteo.org/index.php/news/2822

Ok, je rajoute donc une couche dans la "censure" de cet énergumène...     Et du coup, Infoclimat va pouvoir me verser une prime supplémentaire.

Beaucoup d'erreurs élémentaires et incroyables pour des pro dans tout ce que je viens de lire, que ce soit dans l'édito de Fred sur "Où en est le RC", https://www.lameteo.org/index.php/news/3149-ou-en

Images postées

D'ailleurs, existe t'il une réponse du ncep suite à cette mise en cause?

pas à ma connaissance.

mais je pense avoir lu que NOAA/NCEP indique que ses données calculées ne sont pas exploitables pour établir des tendances précises et donc pour le RC.

à vérifier.

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  • 2 weeks later...

Du Coté du Giss et de la Noaa , Les ecarts de températures à la moyenne à la surface du globe, pour ce mois de Juillet , ont été publié . Pour le Giss , ce Mois de Juillet a été le 11 eme ( à égalité avec 2013 ) plus chaud mois de Juillet jamais observé depuis le début des mesures . Ce qui contraste avec les mesures de la Noaa , pour qui le mois de Juillet 2014 a été le troisieme plus chaud mois de juillet jamais observé . A noter que la Noaa fait également remarquer que ses mesures indiquent que la température de l' air à la surface des mers et océans , a été la plus élevé jamais observé depuis le début des oservations .

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Oui mais le regard sur les relevés satellites est primordial, puisque le zonage est meilleur.

D'ailleurs en rappel, des liens pour ceux qui les ont perdu ou pas encore:

remss

uah

Ce qui aurait tendance à me faire dire que si on condense le tout, on doit se situer autour du 6 eme rang pour Juillet, mais ce qui compte à échelle mensuelle, c'est de savoir si on est dans les 15 premiers ou pas, en deçà on doit sortir de l'écart type des ano envisageables sur la tendance actuelle si je me souviens bien?

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Le mois de juillet 2014 a été le quatrième mois de juillet le plus chaud d’après la NOAA depuis 1880, cette année 2014 au niveau de la Terre pourrait bien être une des plus chaude depuis le début des relevés.

201407.gif

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Oui il est certain que cette année soit parmi les plus chaude voir proche de la 1ère ou 2ème année la plus chaude suivant comment vont être les prochains mois.

Car l'année la plus chaude vient environ tout les 5 ans depuis 1998 et non tout les 2 ans comme c'était avant quand on voit que le record annuelle lors de tel année furent dès 1998 en1998 puis 7 ans après (2005) puis 5 ans après (2010) et peut être 4 ans après (2014).

Williams

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Il faudrait pouvoir analyser les algorithmes de traitement des relevés de température inclus dans les programmes d'ordinateurs des années 1880 ou à minima antérieurs aux années 1940 pour être certains qu'on compare bien des choses comparables.

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Alors que l'indicateur de la sst de l'HN est dans le rouge, on constate que sur 700m sur l'Atlantique, pour le moment, 2014 à une anomalie en baisse (à priori ou en faible hausse ou stable, enfin bref on s'en fiche); par contre à échelle du globe, c'est toujours étonnant de voir la vitesse de stockage des joules par les océans sur la couche 700m, voir davantage sur 2000m, mais la marge d'erreur étant plus forte on en parle moins.

Une ano de +14,26 10^22j moyenné au trimestre sur 2014 pour le moment sur 700m.

L'expansion engendrée se retrouve sur le niveau de la mer à Brest , tout comme sur l'évolution globale

Je pense, que pour le moment, la fonte de la glace ne pèse pas très lourd sur la hausse du niveau de la mer, sans en avoir aucune certitude.

Je recherche encore le lien, mais nombreuses sont les démonstrations sur la dendrologie que les anneaux ont augmenté au cours des 30 dernières années, mais qu'ils augmentaient déjà avant, c'est un témoin très précis, d'une redoutable efficacité qui requiert une rigueur méthodologique exemplaire.

Tout porte à constater que le réchauffement qui était présent à échelle séculaires, l'est désormais à échelle humaine sans qu'intervienne de nouveaux facteurs naturels, de la pile aux océans.

Il est alors possible d'en déduire que bon ou mauvais le réseau de stations de 1880 est loin d'être un élément phare pour que des conclusions puisse être établies. Depuis que c'est tendance et les grandes lignes ont été accepté par la communauté scientifique, nous sommes entrés dans la période de la précision.

Devenue urgente et indispensable, combien sommes nous à avoir l'impression que le RCA est là, mais qu'aucune conséquence 'dérangeante' ne se manifeste, si c'est juste une question de banquise ou d'une sécheresse/ inondation ici ou là de temps à autre, une île en moins par ci par là...nous ne sommes qu'en 2014 pardi...!

Il est en grand temps qu'un nouveau volet s'ouvre et qu'on sache si la question reste humainement dramatique à échelle localisée, ou à échelle globale. On sait par ailleurs, que l'aspect écologique n'intéresse pas les populations si cela ne pose pas d'entrave palpable dans sa vie quotidienne.

RCA oui, problème prioritaire dans l'opinion, de moins en moins.

Causes: peut être trop de catastrophisme, trop tôt, par rapport aux constat fait en ouvrant ses volets tous les jours pour une majorité de personnes sur cette planète.

Forcé un jugement sur un constat est vraiment nuisible, ca créé du sceptique, du 'je m'en fou' et c'est ce à quoi nous assistons.

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Oui, nous ne sommes qu'en 2014, mais pour mémoire, les fanatiques du GIEC nous annoncent 80 cm d'élévation en 2100, soit dans 86 ans !!

Il va falloir passer à la vitesse supérieure quant à la hausse des océans sinon, la crédibilité de ce même GIEC va en prendre un sérieux coup.

Après la fonte des glaces pèse-t-elle effectivement si lourd que ça ?

Les glaces de la planète : 2% de toute l'eau terrestre.

Les banquises (qui ne servent à rien dans l'élévation des océans) : 1% de toute l'eau terrestre.

Reste 1% pour l'ensemble des glaciers terrestres avec un antarctique qui ne devrait quasiment pas bouger avant des millénaires .......

A voir .......

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Oui, nous ne sommes qu'en 2014, mais pour mémoire, les fanatiques du GIEC nous annoncent 80 cm d'élévation en 2100, soit dans 86 ans !

Il va falloir passer à la vitesse supérieure quant à la hausse des océans sinon, la crédibilité de ce même GIEC va en prendre un sérieux coup.

C'est comme cela que l'on traite la communauté scientifique....zorro.gif
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Alors que l'indicateur de la sst de l'HN est dans le rouge, on constate que sur 700m sur l'Atlantique, pour le moment, 2014 à une anomalie en baisse (à priori ou en faible hausse ou stable, enfin bref on s'en fiche); par contre à échelle du globe, c'est toujours étonnant de voir la vitesse de stockage des joules par les océans sur la couche 700m, voir davantage sur 2000m, mais la marge d'erreur étant plus forte on en parle moins.

Une ano de +14,26 10^22j moyenné au trimestre sur 2014 pour le moment sur 700m.

L'expansion engendrée se retrouve sur le niveau de la mer à Brest , tout comme sur l'évolution globale

Je pense, que pour le moment, la fonte de la glace ne pèse pas très lourd sur la hausse du niveau de la mer, sans en avoir aucune certitude.

Je recherche encore le lien, mais nombreuses sont les démonstrations sur la dendrologie que les anneaux ont augmenté au cours des 30 dernières années, mais qu'ils augmentaient déjà avant, c'est un témoin très précis, d'une redoutable efficacité qui requiert une rigueur méthodologique exemplaire.

Tout porte à constater que le réchauffement qui était présent à échelle séculaires, l'est désormais à échelle humaine sans qu'intervienne de nouveaux facteurs naturels, de la pile aux océans.

Il est alors possible d'en déduire que bon ou mauvais le réseau de stations de 1880 est loin d'être un élément phare pour que des conclusions puisse être établies. Depuis que c'est tendance et les grandes lignes ont été accepté par la communauté scientifique, nous sommes entrés dans la période de la précision.

Devenue urgente et indispensable, combien sommes nous à avoir l'impression que le RCA est là, mais qu'aucune conséquence 'dérangeante' ne se manifeste, si c'est juste une question de banquise ou d'une sécheresse/ inondation ici ou là de temps à autre, une île en moins par ci par là...nous ne sommes qu'en 2014 pardi...!

Il est en grand temps qu'un nouveau volet s'ouvre et qu'on sache si la question reste humainement dramatique à échelle localisée, ou à échelle globale. On sait par ailleurs, que l'aspect écologique n'intéresse pas les populations si cela ne pose pas d'entrave palpable dans sa vie quotidienne.

RCA oui, problème prioritaire dans l'opinion, de moins en moins.

Causes: peut être trop de catastrophisme, trop tôt, par rapport aux constat fait en ouvrant ses volets tous les jours pour une majorité de personnes sur cette planète.

Forcé un jugement sur un constat est vraiment nuisible, ca créé du sceptique, du 'je m'en fou' et c'est ce à quoi nous assistons.

ben je ne vois pas ce qu'il y a d'étonnant dans la prise de chaleur océanique.

on peut même avancer qu'elle est peu compatible avec une forte sensibilité climatique.

quant à la fonte des glaces, elle est très nettement majoritaire dans la hausse du niveau de la mer.

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Aller causer avec les "nouveaux" réfugiés climatiques. On verra comment ils prendront vos affirmations thumbdown.gif

Je suis complètement d'accord, c'est moche à dire et à écrire, mais il est important de composer avec la réalité pour une réelle évolution, je pense même que c'est fondamental de se dire que les choses ne sont pas assez graves en termes d'étendue pour que le problème soit traiter sérieusement en terme d'anticipation.

Objectivement, la non prise en compte en terme de fait n'a rien de consternant, et est tout à fait logique et rationnelle.

On ne peut pas faire d'un problème une priorité quand la question est de savoir combien d'échelonnements il va falloir pour payer ses impôts, remplir son frigo, partir une pauvre semaine en vacance après avoir travaillé toute l'année etc...

Le coup du 'il sera trop tard' n'est pas convainquant non plus, étant donné que celui du frigo, des impôts qui ne sont que des exemples ... sera trop tard bien avant si ces besoins ne sont pas traitées en priorité.

Alors dans le meilleur des cas, les gouvernances les moins endiablées s'attachent à suivre ces priorités, ce qui limite d'autant plus la place au 'il sera trop tard' plus loin dans le temps.

ben je ne vois pas ce qu'il y a d'étonnant dans la prise de chaleur océanique.

on peut même avancer qu'elle est peu compatible avec une forte sensibilité climatique.

quant à la fonte des glaces, elle est très nettement majoritaire dans la hausse du niveau de la mer.

Oui, en fait ce qui m'épate, c'est le fait qu'une sst moyenne plus chaude puisse capter toujours plus niveau accélération, les marges d'erreurs empêchent d'y voir clair, donc la prudence s'impose, mais il semble vraisemblable d'accorder une attention particulière à une accélération, voire à une hausse de l'accélération du stockage.

SSi les océans continuent à tempérer de la sorte le RC dans l'air, en enfouissant, la question vient alors à se poser, est 'est-ce que des gradients d'une manière ou d'une autre n'ont pas pour effet de catalyser les gyres, et tout phénomène de remontée d'eau profonde.?'

C'est en ce sens que la méconnaissance du domaine d'intéressés de mon genre s'étonnent du constat océanique actuel en fait.

Pour ce qui est de la fonte des glaces, il apparait (enfin selon différentes lectures) que l'effet n'est pas le même évidemment en fonction de l'échelle de temps. Mon constat "sans aucune certitude" qui partait de l'enfouissement en joules actuel reste donc orienté sur la propension des causes récentes sur la hausse du niveau des océans.

Or, il apparait que la décennie des années à cheval 90/2000 a vu la part de la contribution de la dilatation triplée, passant à 50%, ce qui mène à ma remarque (toujours en insistant bien sur les pincettes prises) que nous sommes désormais sur une part largement majoritaire, donc bien au-dessus 51%, pour un global sur 50 ans qui ne serait qu'aux alentours effectivement des 25%.

De toute façon, l'évolution de l'ordre de grandeur en lui même prime sur la valeur intrinsèque, et c'est ce à quoi dans la recherche Française et plus globalement européenne, Anny Cazenave, la Jouzel du domaine, fait allusion dans des rendus qu'on peut lire ici ou là.

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C'est comme cela que l'on traite la communauté scientifique....zorro.gif

Il n'est sur le forum que pour cela, cela fait déjà maintes et maintes fois qu'il répète la même chose, il a même dit que les réfugiés climatiques ce n'était que des dégâts collatéraux( ou à la marge)

http://forums.infoclimat.fr/topic/83191-niveau-des-oceans-suivi-et-perspectives/page-2

Encore un topic qui risque de fermer par sa faute

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Pour ce qui est de la fonte des glaces, il apparait (enfin selon différentes lectures) que l'effet n'est pas le même évidemment en fonction de l'échelle de temps. Mon constat "sans aucune certitude" qui partait de l'enfouissement en joules actuel reste donc orienté sur la propension des causes récentes sur la hausse du niveau des océans.

Or, il apparait que la décennie des années à cheval 90/2000 a vu la part de la contribution de la dilatation triplée, passant à 50%, ce qui mène à ma remarque (toujours en insistant bien sur les pincettes prises) que nous sommes désormais sur une part largement majoritaire, donc bien au-dessus 51%, pour un global sur 50 ans qui ne serait qu'aux alentours effectivement des 25%.

De toute façon, l'évolution de l'ordre de grandeur en lui même prime sur la valeur intrinsèque, et c'est ce à quoi dans la recherche Française et plus globalement européenne, Anny Cazenave, la Jouzel du domaine, fait allusion dans des rendus qu'on peut lire ici ou là.

faudrait que tu donnes tes sources.

la dilatation thermique provoque, au plus, 30% de l'élévation totale du niveau.

On est, dans la période récente, vers 0.8mm/an pour un total de 3.2mm/an.

puisque tu cites Cazenave, voir dans Cazenave Lovell 2013 ce graphe:

sea-level.jpg

nous sommes dans la période récente et la dilatation thermique est loin de faire 50% du total

SSi les océans continuent à tempérer de la sorte le RC dans l'air, en enfouissant, la question vient alors à se poser, est 'est-ce que des gradients d'une manière ou d'une autre n'ont pas pour effet de catalyser les gyres, et tout phénomène de remontée d'eau profonde.?'

je ne vois pas trop de quels gradients tu parles.

seraient-ce les gradients méridiens?

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Exact, la source pardon... D'ailleurs ta publication est plus récente que ce que l'ai pu lire, je ne sais pas si il faut en conclure un problème d'interprétation de ma part, ou une nette évolution de leurs conclusions, car pour autant, les données prises en compte par ton graph traitent à 1 ou 2 ans près de la même période, le temps de retrouver l'étude que j'ai en tête, je mets un lien du cnrs qui reprend le truc.

[...]u’en est-il pour les années récentes ?

La contribution de la dilatation thermique de la mer (due au réchauffement de l’océan) a triplé au cours de la dernière décennie (~1,5 mm/an pour la période 1993-2005, soit une contribution de l’ordre de 50% à la hausse observée). La fonte des glaciers de montagne s’est aussi accélérée. Des observations récentes indiquent que leur contribution atteint 1 mm/an pour ces dernières années.

Alors que pour les derniè [...] lien

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Pour les gradients, aucune intention de m'étaler pour le moment, j'aimerais d'abord vérifier la part des causes, et me documenter sur cet hypothèse d'effet catalyseur, voir si des pistes sont à l'étude avant de blablater davantage dessus sur IC, avec comme risque une conspiration.

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Exact, la source pardon... D'ailleurs ta publication est plus récente que ce que l'ai pu lire, je ne sais pas si il faut en conclure un problème d'interprétation de ma part, ou une nette évolution de leurs conclusions, car pour autant, les données prises en compte par ton graph traitent à 1 ou 2 ans près de la même période, le temps de retrouver l'étude que j'ai en tête, je mets un lien du cnrs qui reprend le truc.

[...]u’en est-il pour les années récentes ?

La contribution de la dilatation thermique de la mer (due au réchauffement de l’océan) a triplé au cours de la dernière décennie (~1,5 mm/an pour la période 1993-2005, soit une contribution de l’ordre de 50% à la hausse observée). La fonte des glaciers de montagne s’est aussi accélérée. Des observations récentes indiquent que leur contribution atteint 1 mm/an pour ces dernières années.

Alors que pour les derniè [...] lien

oui bon je ne vais pas insister mais c'est la première fois que je vois 1.5mm/an pour le thermostérique.

je pense que cet article du CNRS a un bug, à moins de contacter Cazenave sur le sujet pour en savoir plus.

dans l'ar5 chapitre 3 page 3-29 on lit:

"The most recent estimate from 2005 to 2010 for the upper 700 m is 0.6 [0.4 to 0.8] mm yr–1 (Leuliette and Willis, 2011; Table 3.1).

Observations of the contribution to sea level rise from warming below 700 m are still highly uncertain due to limited historical data, especially in the Southern Ocean (Section 3.2). Before Argo, they are based on 5-year averages to 2000-m depth (Levitus et al., 2012). From 1971 to 2010, the estimated trend for the contribution between 700 m and 2000 m is 0.1 [0 to 0.2] mm yr–1 (90% confidence; Table 3.1; Levitus et al., 2012). This rate is unchanged during the period (2005–2010) when we have more global observations of this depth range with Argo (Table 3.1; von Schuckmann and Le Traon, 2011)."

ceci veut dire qu'on est entre 0.4 et 1mm/an, soit une moyenne de 0.7mm/an de 0 à 2000m, si j'en crois le GIEC.

Ceci dit, qu'il y ait une accélération progressive dans le temps est normal.

Mais, à moins qu'on assiste à une agitation croissante des océans (causes?), auquel cas on pourrait même aller, pourquoi pas, vers un refroidissement global, il n'y a guère de raison connue que le niveau thermostérique augmente considérablement.

Bien plus à craindre est l'augmentation du niveau massique, si certaines prédictions de fonte du Groënland et de l'Antarctique se réalisent.

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Oui mais c'est toujours le problème du Giec comme déjà abordé l'autre jour sur ce topic.

Je veille et j'ai fini par retrouver ce que je lisais l'autre jour: http://www.clivar.org/sites/default/files/documents/pan-clivar/pan_clivar_reports/CLIVAR_GSOP_Report_14jul_2014.pdf

Donc ce fameux déséquilibre qui m'étonne:

oras4-ohc-joules_sku1.jpg

Capture_bc_frp8.PNG

C'est vrai que le truc du cnrs, le lien que j'ai mis avant, je crois que c'était le résultat d'un modèle démuni de données d'observations, mais c'était ce que j'avais de plus proche sous la main^^

On notera qu'on est en effet en deça des 50%, mais c'est l'agitation qui me le fait dire, donc rien de solide, c'est le sens de l'évolution de toute façon qui intéresse je pense avant tout.

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Oui mais c'est toujours le problème du Giec comme déjà abordé l'autre jour sur ce topic.

Je veille et j'ai fini par retrouver ce que je lisais l'autre jour: http://www.clivar.org/sites/default/files/documents/pan-clivar/pan_clivar_reports/CLIVAR_GSOP_Report_14jul_2014.pdf

Donc ce fameux déséquilibre qui m'étonne:

oras4-ohc-joules_sku1.jpg

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C'est vrai que le truc du cnrs, le lien que j'ai mis avant, je crois que c'était le résultat d'un modèle démuni de données d'observations, mais c'était ce que j'avais de plus proche sous la main^^

On notera qu'on est en effet en deça des 50%, mais c'est l'agitation qui me le fait dire, donc rien de solide, c'est le sens de l'évolution de toute façon qui intéresse je pense avant tout.

oui, enfin tu cites l'ORAS4 qui est une reconstruction.

comme j'essaie de le démontrer dans mon blog, les flux de chauffage océaniques qu'implique ORAS4 sont incompatibles avec les températures de surface observées.

donc, bâtir des conclusions sur le niveau thermostérique sur de telles fondations est complètement prématuré.

les 0.53mm pour l'océan en dessous de 1500m dans un tes graphes sont bidon.

c'est en fait le résiduel de ce qui est connu ou à peu près connu (103%-78%=25%) puisqu'on ne mesure pas en dessous de 1500m ou très très partiellement.

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Ah oui, je n'avais pas vu ton article récent sur le sujet.

Donc oui, les chercheurs qui ont bossé sur ça ne disent pas non plus que cette soustraction est robuste, certains restent même sur les anciennes estimations, en attendant davantage de données profondes, pour autant sur les quelques données collectées ça semble corroborer, je ne sais plus lequel d'entre eux le dit dans une video visible sur le site "collège de France" je crois, peut être Cazenave encore, à vérifier.

Après pour ta démonstration, j'ai une lacune d'entrée de jeu sur "la déduction facile" sad.png du flux de chauffage moyen annuel, non pas que l'équation ait une allure complexe, mais plutôt parce que ca ne me parle pas. Ce serait plus simple (enfin pour moi hein) peut être, si tu pouvais détailler par un découpage en terme de bandes de latitude principales.

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Mais, à moins qu'on assiste à une agitation croissante des océans (causes?), auquel cas on pourrait même aller, pourquoi pas, vers un refroidissement global, il n'y a guère de raison connue que le niveau thermostérique augmente considérablement.

Bien plus à craindre est l'augmentation du niveau massique, si certaines prédictions de fonte du Groënland et de l'Antarctique se réalisent.

Le danger de l'antarctique c'est sa déclivité et son poids grandissant.

Les glaciers ne pourront pas restés accrochés pendant des millénaires tels qu'ils le sont du fait de son épaisseur grandissante de l'ordre de 3 000 à 4 000 m et de sa pente naturelle.

Mais vue sa position, l'Antarctique restera glacé encore très longtemps, en tous cas, tant que ce continent restera là où il est.

Le Groenland n'est pas dans le même cas, il est à une latitude où il ne devrait déjà plus y avoir de glaces.

Son altitude fait que les masses d'air en surface sont froides, mais la sape par sa base est inéluctable.

Il fondra n'en doutons pas, mais la planète retrouvera un nouvel équilibre, probablement pas celui que les fan du GIEC tentent de nous démontrer, surement pas celui auquel les "Anti-GIEC" croient, certainement un mix des deux que nul n'est capable à ce jour d'imaginer.

Tout ça parce que, de tout temps, les prévisions en termes de gestion de la planète ont toujours été fausses, comme les fameux 80 cms de plus en 2100 avec une hausse, moyenne, stable de 3 mm/année.

Quant à toute l'eau présente sur la planète, vue comme ça, sous forme de bulles "à l'échelle", ça fait moins peur vis à vis des terres englouties, non ?

Vu ainsi, j'ai peur de manquer d'eau, moi wink.png

La part d'eau sous forme de glace, à droite, en dessous des eaux de mer (la grosse bulle de 1300 km de diamètre) et l'eau douce terrestre sous forme liquide : la tête d'épingle.

Eau-volume1.jpg

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Quant à toute l'eau présente sur la planète, vue comme ça, sous forme de bulles "à l'échelle", ça fait moins peur vis à vis des terres englouties, non ?

Vu ainsi, j'ai peur de manquer d'eau, moi wink.png

La part d'eau sous forme de glace, à droite, en dessous des eaux de mer (la grosse bulle de 1300 km de diamètre) et l'eau douce terrestre sous forme liquide : la tête d'épingle.

c'est pas mal cette comparaison.

ceci dit il faut s'en méfier pour jauger des risques à notre échelle.

par exemple, un astéroïde de la taille de ta tête d'épingle qui vient percuter la Terre, soit un machin de 100km de diamètre, en gros deux départements français, çà te détruit, ou quasiment, toute vie sur Terre.

de même, si on simule 10000 Gt de CO2 (exprimées en C) par une sphère, elle est quasiment invisible (24km de diamètre en prenant densité égale à celle de l'eau).

et pourtant 10000Gt émis dans l'atmosphère c'est 5 fois le pire des scénarios du GIEC.

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Tu as raison dans ta comparaison avec le CO2.

Mais à l'inverse on néglige souvent le fait que le CH4 est bien pire que le CO2 (25 fois plus efficace pour l'effet de serre).

L'homme brûle le méthane et le transforme en CO2 (et en vapeur d'eau) bien moins nocif pour l'environnement.

Dans ce cas, l'homme préserve le climat.

Hors le méthane n'attend pas que l'homme aille le chercher pour partir à l'air libre.

De tout temps, le CH4 s'est libéré tout seul dans l'atmosphère.

Chaque m³ de ce gaz, que l'homme brûle aide à la lutte contre l'effet de serre.

Et ce, d'où qu'il vienne car dans le cas du méthane, il parvient toujours à partir dans l'atmosphère.

Et quand ce gaz monte trop haut, il n'est plus retenu par la gravité et notre hydrogène disparait dans l'univers.

Les pergélisol regorgent de méthane il va falloir les capter et les brûler avant qu'ils nous fassent mal.

A force de concentrer toutes les attentions sur le CO2, je suis persuadé que nous allons nous prendre un retour de bâton auquel nous ne nous attendons pas.

On oublie que beaucoup de matières plastiques sont issues des Méthane ou Éthane, hors sans le vouloir, en faisant ce genre de chose, on stabilise de façon durable, des gaz qui auraient alimenté notre atmosphère en GaS.

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Tu as raison dans ta comparaison avec le CO2.

Mais à l'inverse on néglige souvent le fait que le CH4 est bien pire que le CO2 (25 fois plus efficace pour l'effet de serre).

L'homme brûle le méthane et le transforme en CO2 (et en vapeur d'eau) bien moins nocif pour l'environnement.

Dans ce cas, l'homme préserve le climat.

Hors le méthane n'attend pas que l'homme aille le chercher pour partir à l'air libre.

De tout temps, le CH4 s'est libéré tout seul dans l'atmosphère.

Chaque m³ de ce gaz, que l'homme brûle aide à la lutte contre l'effet de serre.

Et ce, d'où qu'il vienne car dans le cas du méthane, il parvient toujours à partir dans l'atmosphère.

Et quand ce gaz monte trop haut, il n'est plus retenu par la gravité et notre hydrogène disparait dans l'univers.

Les pergélisol regorgent de méthane il va falloir les capter et les brûler avant qu'ils nous fassent mal.

A force de concentrer toutes les attentions sur le CO2, je suis persuadé que nous allons nous prendre un retour de bâton auquel nous ne nous attendons pas.

On oublie que beaucoup de matières plastiques sont issues des Méthane ou Éthane, hors sans le vouloir, en faisant ce genre de chose, on stabilise de façon durable, des gaz qui auraient alimenté notre atmosphère en GaS.

Le problème du CH4 est certainement moins négligé que ce tu penses dans toutes les études sérieuses que j'ai vues !
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