Lengaï Posté(e) 8 janvier 2023 Pont Sainte Maxence (Oise-60); 40m Partager Posté(e) 8 janvier 2023 Il y a 8 heures, SpinH a dit : Je crois que l'avant dernier point correspond à septembre 2022, le dernier à octobre. Les autres septembre semblent être toujours au dessus du pic précédent (en tout cas sur ce graphique), mais pas celui de 2022. (c'est en tout cas comme ça que j'interprète la remarque de Serge L.) En fait non, c'est bien le dernier point qui est septembre 2022. Du coup l'interprétation que je faisais marche pour août mais pas septembre, et encore, uniquement pour 2020 et 2021. Du coup je ne sais pas trop ce que Serge a voulu dire. Peut-être voulait-il dire que l'augmentation de la concentration entre août et septembre 2022 est moins importante qu'entre les aoûts et septembres des années précédentes ? 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 8 janvier 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 8 janvier 2023 Je comprends aussi que les 30 dernières augmentation en comparaison relative N-1 était des records et que septembre 2022, bien qu'en augmentation, marque le pas... 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge L Posté(e) 11 janvier 2023 Toulon Bas-Faron Partager Posté(e) 11 janvier 2023 En 2022, la concentration annuelle moyenne mondiale de CO2 et CH4 était plus élevée qu’en 2021 et continue sa progression. Le CO2 moyen était de 416.7 ppm et 1894 ppb pour le CH4. Ces valeurs sont les plus élevées enregistrées mais la hausse pour le CO2 est comparable aux années précédentes alors que la hausse du CH4 est bien supérieure aux 10 dernières années mais pas aussi élevée que les niveaux records de 2020 et 2021. En 2022, les concentrations de CO2 ont augmenté de 2.1 ppm, tandis que le CH4 12 ppb. 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge L Posté(e) 7 février 2023 Toulon Bas-Faron Partager Posté(e) 7 février 2023 CO2 pour le mois de janvier 23 : 419.47 ppm contre 418.19 ppm en janvier 22. Le CH4 poursuit sa légère baisse pour le 2ème mois consécutif mais reste à un niveau élevé record avec une valeur de 1920.34 ppb pour octobre 22 contre 1908.12 ppb en octobre 21. NOAA- P.Jacobson. 1 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 7 février 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 7 février 2023 Merci @Serge L, pour la mise à jour mensuelle du suivi du CO2. je complète avec l'évolution au global pour Novembre 2022, l'hémisphère sud ayant une concentration plus faible , Novembre 2022 = 417,80ppm Novembre 2021 = 415,59ppm J'ai à ce titre, retrouvé le visuel de la reconstitution de l'évolution de la concentration en CO2 entre hémisphère nord et hémisphère sud. Autre question, sur la sensibilité climatique : j'entends souvent dire que les 2° de réchauffement c'est pour un doublement de la concentration en GES par rapport à l'ère industrielle. - Est-ce un doublement par rapport au niveau préindustriel du CO2 (270ppm) ou tout GES compris ? je pose la question car sur le site il y a le calcul AGGI Annual Greenhouse Gaz Index, et là, il calcule un Taux CO2eq = 508ppm. Bref, je suis pas sur de moi sur ce coup là.... latgrad_co2.mp4 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Météodu37 Posté(e) 7 février 2023 Ports-sur-Vienne (37) Partager Posté(e) 7 février 2023 Il y a 2 heures, Discolulu a dit : Autre question, sur la sensibilité climatique : j'entends souvent dire que les 2° de réchauffement c'est pour un doublement de la concentration en GES par rapport à l'ère industrielle. - Est-ce un doublement par rapport au niveau préindustriel du CO2 (270ppm) ou tout GES compris ? je pose la question car sur le site il y a le calcul AGGI Annual Greenhouse Gaz Index, et là, il calcule un Taux CO2eq = 508ppm. Rare est ma participation sur ce sujet mais j'étudie régulière la physique et la chimie de notre atmosphère. de nombreux constituants n'ont pas d'effet climatique direct majeur et ne sont donc pas inclus dans les régulations visées par le protocole de Kyoto. Cependant, les perturbations radiatives sont également à prendre en compte et devient être considérées dans ces réglementations, sous peine de voir leur contribution relative par rapport au CO2 augmenter dans le futur. Il existe plusieurs modules qui sont : Les modèles de circulation générale de l'atmosphère (MCGO) Les modèles de chimie-transport (CTM) Les modèles globaux de la circulation des océans (MCGO) Et les modèles de banquise et ceux représentants les effets de la végétation et des sols. Idéalement, il s'agit de couplet l'ensemble de ces modules pour constituer un modèle global apte à simuler le système climatique et l'ensemble des interactions entre ces différents "compartiments". Ce couplage global nécessite d'abord que les différents modules soient évalués et notamment par comparaison avec le climat observé. Une fois cette première phase réalisée, il faut définir les scénarios d'émissions de gaz sources et d'aérosols, simuler l'évolution correspondante de la composition atmosphérique et calculer les forçages radiatifs associés. Le choix de ces scénarios dépendent des hypothèses de croissance démographique et de développements économiques, sociaux et technologiques que l'on retient et constitue une incertitude majeure sur l'évolution simulée. On utilsie alors, pour la prochaine centaines d'années par exemple, une fourchette possible d'évolution se traduisant par une enveloppe du forçage radiatif total. Les modèles globaux couplés du climat (actuellement une dizaine) sont alors intégrés sur base de ces scénarios. L'étude des scénarios climatiques nécessite des intégrations numériques sur plusieurs dizaines d'années. Le CO2 constitue à lui seul 52% de l'effet de serre, mais l'autre moitié de ce forçage fait intervenir la chimie atmosphérique. Les aérosols ont également un rôle majeur à jouer dans ces perturbations, bien que leur temps de vie dans l'atmosphère soient beaucoup plsu court que celui des GES comme le CO2, CH4 ou encore N2O, les forçages négatifs (ou positifs dans le cas des aérosols absorbants) dont ils sont responsables sont considérables. Synthèse de durée de vie de plusieurs composés chimiques dans l'atmospère 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 7 février 2023 Partager Posté(e) 7 février 2023 (modifié) Il y a 6 heures, Discolulu a dit : Autre question, sur la sensibilité climatique : j'entends souvent dire que les 2° de réchauffement c'est pour un doublement de la concentration en GES par rapport à l'ère industrielle. - Est-ce un doublement par rapport au niveau préindustriel du CO2 (270ppm) ou tout GES compris ? je pose la question car sur le site il y a le calcul AGGI Annual Greenhouse Gaz Index, et là, il calcule un Taux CO2eq = 508ppm. Déjà, ce n'est pas 2°C mais 3°C, voire 3.2°C (moyenne des modèles CMIP5) en cas de doublement de la teneur en CO2, càd en présence d'un forçage de 3.7W/m2. Actuellement le forçage est de l'ordre de 2.40W/m2 par rapport au préindustriel, y compris les aérosols. La température d'équilibre avec un tel forçage serait voisine de 2°C. Il faut faire le distinguo entre température transitoire et température d'équilibre. La différence entre les deux provient de l'inertie thermique des océans. Actuellement on n'est pas à l'équilibre ce qui explique, en (grande?) partie, qu'on ne soit pas à 2°C mais plutôt vers 1.1°C. Modifié 7 février 2023 par meteor Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sirius Posté(e) 7 février 2023 Haut Doubs Partager Posté(e) 7 février 2023 Citation Autre question, sur la sensibilité climatique : j'entends souvent dire que les 2° de réchauffement c'est pour un doublement de la concentration en GES par rapport à l'ère industrielle. - Est-ce un doublement par rapport au niveau préindustriel du CO2 (270ppm) ou tout GES compris ? je pose la question car sur le site il y a le calcul AGGI Annual Greenhouse Gaz Index, et là, il calcule un Taux CO2eq = 508ppm. En toute rigueur, on devrait définir la sensibilité climatique par rapport au forçage radiatif donc en °C/(W/m2) Depuis que Arrhenius s'est amusé à doubler la quantité de CO2 dans l'atmosphère en pensant que ça arriverait sans doute mais dans un petit millénaire , on a gardé l'habitude de l'exprimer pour un doublement de la quantité de CO2 (typiquement de 280 à 560 ppm) Une sensibilité climatique de 3°C , c'est 0,8°C/(W/m2) et, exprimé ainsi, on ne se pose plus la question de savoir si c'est le CO2 seul ou le CO2 + les autres GES et aérosols, c'est le forçage radiatif total qui compte 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge L Posté(e) 9 mars 2023 Toulon Bas-Faron Partager Posté(e) 9 mars 2023 CO2 en février 2023 de 420.41 ppm, celui-ci était de 419.28 ppm en février 2022. Concernant le CH4, la légère baisse continue pour le 3e mois consécutif mais la valeur au final reste record. En novembre 2022, 1923.57 ppb, novembre 2021 c’était 1909.73 ppb. NOAA-P.Jacobson. 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 28 mars 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 28 mars 2023 https://www.nature.com/articles/s41558-023-01629-0 Les zones humides participent plus à l'augmentation récente du CH4 que les sources anthropiques ... Boucle de rétroaction. 2 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Blacksun Posté(e) 29 mars 2023 Plaisance du Touch (31) Partager Posté(e) 29 mars 2023 Le 28/03/2023 à 08:54, Discolulu a dit : https://www.nature.com/articles/s41558-023-01629-0 Les zones humides participent plus à l'augmentation récente du CH4 que les sources anthropiques ... Boucle de rétroaction. On tient là un point essentiel. On voit bien sûr énormément de graphes issus des travaux du GIEC, depuis des années, particulièrement en ce moment suite à la sortie du rapport de synthèse, avec les différents scenarii RCP en émissions, forçages induits et augmentation de températures... Par contre, il s'agit toujours d'émissions de GES d'origine anthropique, si je ne me trompe pas, peut-être par manque d'étude précises encore sans doute ? Il ne faudrait pas qu'un scenario RCP 6.0, qui semble être la trajectoire minimale que suit l'humanité aujourd'hui, se transforme en l'horrible RCP 8.5, à cause de ces fameuses boucles de rétroaction sur le CO2 (incendies) ou sur le méthane (zones humides, permafrost), que nous avons enclenchées et contre lesquelles nous ne pourrons pas faire grand chose... 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 29 mars 2023 Partager Posté(e) 29 mars 2023 Il y a longtemps que les rétroactions sont étudiées et exposées, notamment dans les différents rapports du GIEC, comme le dernier AR6 (chapitres 5 et 7 de scientific basis). Bon après on peut toujours imaginer les trucs les plus horribles, genre clathrates de méthane. Pour l'instant j'ai en mémoire que les rétroactions gazeuses augmenteraient le réchauffement de 15% environ, maximum, dans le cas du RCP8.5, en 2100. Mais ça a peut-être changé depuis. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Blacksun Posté(e) 29 mars 2023 Plaisance du Touch (31) Partager Posté(e) 29 mars 2023 il y a 26 minutes, meteor a dit : Il y a longtemps que les rétroactions sont étudiées et exposées, notamment dans les différents rapports du GIEC, comme le dernier AR6 (chapitres 5 et 7 de scientific basis). Bon après on peut toujours imaginer les trucs les plus horribles, genre clathrates de méthane. Pour l'instant j'ai en mémoire que les rétroactions gazeuses augmenteraient le réchauffement de 15% environ, maximum, dans le cas du RCP8.5, en 2100. Mais ça a peut-être changé depuis. Oui, j'ai trouvé, le GIEC a estimé en 2009 le stock de carbone organique contenu dans le permafrost global à 1400 - 1600 gigatonnes, soit 4 fois les émissions totales depuis le début de l'ère industrielle... Imaginez que ne serait-ce que 10% soit libéré.... Pour les clathrates, ce serait sans doute encore bien pire, un scenario apocalyptique ... 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Matpo Posté(e) 29 mars 2023 Toulouse, fontaines/Bayonne, en plein ICU, bien trop loin de la neige de mes montagnes tarnaises et cevenoles Partager Posté(e) 29 mars 2023 il y a 46 minutes, Blacksun a dit : Oui, j'ai trouvé, le GIEC a estimé en 2009 le stock de carbone organique contenu dans le permafrost global à 1400 - 1600 gigatonnes, soit 4 fois les émissions totales depuis le début de l'ère industrielle... Imaginez que ne serait-ce que 10% soit libéré.... Pour les clathrates, ce serait sans doute encore bien pire, un scenario apocalyptique ... Les dernière estimations du giec ont revu l impact de fonte du pergelisol à la baisse si je ne me trompe, il est aussi profond donc il est extrêmement peu probable qu il fondé dans sa totalité avant une période très très longue... Multigenerationelle et multi séculaire largement Les clathrates c est bien pire et cette quantification la n est pas prise en compte dans les modèles car c est une grande inconnue, tant en terme de volumes se libérant possiblement qu en terme d échéance, la recherche en est à ses balbutiements la dessus Mais permafrost oui c est quand même une source additionnelle non négligeable bien évidement Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Météodu37 Posté(e) 30 mars 2023 Ports-sur-Vienne (37) Partager Posté(e) 30 mars 2023 Le 29/03/2023 à 19:43, LuckyFrenchy117 a dit : Malheureusement je mettrais bien une pièce dessus perso... 🙄 Ce serait bien de voir plus de travaux concernant les rétroactions naturelles. Genre un inventaire de toutes les rétroactions positives et négatives et une estimation, aussi grossière soit elle, de leur impact respectif. Les effets indirects et les rétroactions de la chimie sur le climat peuvent être positifs s'ils correspondent à une augmentation du forçage radiatif, ou négatif s'ils engendrent un forçage négatif. Les effets indirects sont difficiles à quantifier à l'échelle globale et les incertitudes sur ces processus sont largement supérieures à celles liées aux forçages radiatfis directs. Les composés comme le CO ou encore le NOx (Oxyde d'Azote), le forçage radiatif indirect associé à la production photochimique d'Ozone troposphérique fait apparaître de fortes hétérogénéités spatiale et temporelle qu'il convient de prendre en compte pour étudier la réponse du système climatique. La quantification des perturbations radiatives indirects recquiert l'utilisation de modèles 3D de la chimie atmosphérique et du transport des polluants permettant de simuler l'évolution de la composition chimique de l'atmosphère à l'échelle globale. Ces modèles pourraient être utilisés de la même manière que ceux que nous utilisons pour prévoir le temps qu'il va faire, à la différence près qu'il est nécessaire de permettre une rétroaction de l'évoultion des distributions de constituants chimiques gazeux et particulaires sur le modèle, au travers du rayonnement solaire. Toute variation du flux solaire UV atteignant la troposphère provoque une modification de la production de OH (radical hydroxyde), la diminution d'Ozone observée dans la stratosphère entraîne une augmentation des flux UV. Plusieurs études ont calculé qu'une diminution de 1% de la colonne d'ozone pouvant entraîner une augmentation de OH d'environ 0.8%. La prise en compte de la rétroaction de la chimie sur la dynamique retarde la disparition du trou d'ozone, ce qui est en meilleur accord avec les observations : les conditions météo et le taux total de chlore stratosphérique correspondent à ceux du milieu des années 1990. Le déficit d'ozone au sein du VP permet le maintien des basses températures et contribue à retarder sa déstabilisation avec le retour du rayonnement solaire au printemps antarctique. Si certains ont des liens pour approfondir la question ça m'intéresse également ! Le 28/03/2023 à 08:54, Discolulu a dit : Les zones humides participent plus à l'augmentation récente du CH4 que les sources anthropiques ... Dans la mesure ou 15 à 20% de OH sont détruit par le CH4, toute augmentation de celui-ci dans l'atmosphère entraîne une diminution de OH et donc un allongement de vie du Méthane. Dés lors, la perturbation imposée par une augmentation des émissions de CH4 semblera perdurer plus longtemps dans l'atmosphère à cause de cette rétroaction. Par ailleurs, comme le CH4 est un précurseur de l'ozone, toute augmentation de CH4 sera également accompagnée d'un accroissement de l'ozone, l'oxydation de méthane est responsable d'une production photochimique de vapeur d'eau. Cette production de vapeur d'eau engendre un forçage radiatif positif. Le forçage radiatif total (direct + indirect) associé à une augmetation de méthane est 1.7 fois supérieur au seul effet direct de ce gaz. Il faut distinguer la production de méthane et son émission dans l'atmosphère, qui est régulée par les conditions de diffusion vers la surface. La traversée d'une zone contenant de l'oxygène se traduit généralement par une forte réoxydation du méthane en dioxyde de carbonne, ce qui réduit parfois de façon importante l'émission de méthane dans l'atmosphère. Le sol des forêts inondées tropicales est une source principale naturelle de production de méthane biogénique, tout comme les sources anthropiques comme les ruminants domestiques, les rizières, les décharges d'ordures, lacs et barrages...). Les sols secs aérés et riches en matières organique sont des puits de méthane en raison de bactéries qui absorbent le méthane atmosphérique. Représentation schématique des processus d'émission , de diffusion, de transport et de réoxydation du méthane dans un écosystème. 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 5 avril 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 5 avril 2023 Monthly Average Mauna Loa CO2 March 2023: 421.00 ppm March 2022: 418.81 ppm Last updated: Apr 05, 2023 Avec un mois de Mars enregistré à 421ppm... 2023 expédie le record mensuel de 2022 en mai et juin ex-aequo à 420,99ppm... 1 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge L Posté(e) 7 avril 2023 Toulon Bas-Faron Partager Posté(e) 7 avril 2023 Nouveau record pour la période pour le CH4 avec 1924.99 ppb pour décembre 22. En décembre 21 cette valeur était de 1908.84 ppb. Graphique P.Jacobson / NOAA. 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 18 avril 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 18 avril 2023 Global Monthly Mean CO2 January 2023: 419.31 ppm January 2022: 417.20 ppm Last updated: Apr 05, 2023 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 18 avril 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 18 avril 2023 C'est peut-être plus intéressant de suivre la valeur globale, en rappelant que les observations à Mauna Loa sont perturbé par l'éruption actuelle. grosse valeur quotidienne enregistrée mais après il y a une donnée non valide.... j'hésite donc Recent Daily Average Mauna Loa CO2 April 16: Unavailable April 15: 424.30 ppm April 14: 423.00 ppm April 13: 422.62 ppm April 12: 423.23 ppm Last Updated: April 17, 2023 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
serge26 Posté(e) 18 avril 2023 Pierrelatte (confluent 26/07/30/84) - et Saint Palais sur mer (17) occasionnellement Partager Posté(e) 18 avril 2023 il y a 59 minutes, Discolulu a dit : C'est peut-être plus intéressant de suivre la valeur globale, en rappelant que les observations à Mauna Loa sont perturbé par l'éruption actuelle. grosse valeur quotidienne enregistrée mais après il y a une donnée non valide.... j'hésite donc Recent Daily Average Mauna Loa CO2 April 16: Unavailable April 15: 424.30 ppm April 14: 423.00 ppm April 13: 422.62 ppm April 12: 423.23 ppm Last Updated: April 17, 2023 Ca va faire un petit moment maintenant que l'éruption est terminée. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 18 avril 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 18 avril 2023 il y a 12 minutes, serge26 a dit : Ca va faire un petit moment maintenant que l'éruption est terminée. ok, pas fait attention, mais le relevé est toujours déplacé à Maunakea Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 29 avril 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 29 avril 2023 Semaine d'avril stratosphérique !! 424,38ppm Et record journalier à 425,01ppm... Recent Daily Average Mauna Loa CO2 April 28: 425.01 ppm April 27: 424.58 ppm April 26: 424.34 ppm April 25: 424.78 ppm April 24: 423.96 ppm Last Updated: April 29, 2023 Weekly average CO2 at Mauna Loa Week beginning on April 23, 2023: 424.38 ppm Weekly value from 1 year ago: 420.19 ppm Weekly value from 10 years ago: 399.32 ppm 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 13 mai 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 13 mai 2023 Peut-être le pic annuel, il faudra suivre le mois de mai et si les semaines à plus de 424ppm s'enchaînent... Monthly Average Mauna Loa CO2 April 2023: 423.28 ppm April 2022: 420.23 ppm Last updated: May 09, 2023 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge L Posté(e) 18 mai 2023 Toulon Bas-Faron Partager Posté(e) 18 mai 2023 Après le nouveau record absolu du CO2 en avril 23, la valeur moyenne annualisée du CH4 est à son taux le plus bas depuis plus d’ 1 an avec 159.8 ppb. En janvier 23, c’est 1921.74 ppb contre 1907.44 pb en janvier 22 ce qui constitue tout de même une valeur plus élevée que l’année passée à la même période. P.Jacobson - NOAA. 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 7 juin 2023 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 7 juin 2023 Monthly Average Mauna Loa CO2 May 2023: 424.00 ppm May 2022: 420.99 ppm Last updated: Jun 05, 2023 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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