gaet34

Désolé Neige, je n'en ai aucune idée. L'installation de nouveaux instruments de mesure dans les parcs MF doit se décider soit à la DSI, soit en CMIR, du coup à Aix et moi je suis à Bordeaux

Exact, j'ajouterais que cette fameuse dépression de surface se met systématiquement en place lors des dégradations méditerranéennes. Elle a d'abord une origine purement dynamique par convergence du vent agéostrophique au passage de l'axe de talweg d'altitude. Ses effets peuvent être décuplés par deux autres facteurs pas forcément indépendants: un effet que j'appellerais "mécanique" via la disposition du relief qui fait barrage au flux d'altitude de SSW (ce pourquoi on la retrouve sur les modèles au vent de l'est des Pyrénées), et une origine "thermique" par condensation de la vapeur d'eau au niveau de cette partie de la Méditerranée que tu mentionnes. C'est cette dernière contribution qui conditionne le contenu en eau précipitable, en fonction de l'instabilité de la masse d'air, la TSM de la Méditerranée. Pour moi l'existence de la fameuse "mesodep au large de la Catalogne" est une condition nécessaire mais pas suffisante aux "gros" épisodes méditerranéens, cela nécessite bien d'autres facteurs que tu connais aussi bien que moi. Pour la dégradation de ce week-end, on s'oriente pour l'instant sur le Languedoc vers quelque chose de relativement classique mais localement assez généreux avec dans un premier temps une phase orographique à partir de la nuit de jeudi à vendredi et puis le balayage principal en fin de nuit de vendredi à samedi et samedi matin. Difficile de prévoir la durée des "choses sérieuses" puisqu'il semble y avoir le passage de 2 forçages successifs. La sévérité de l'épisode dépendra donc de l'interaction du second forçage (principal) avec l'air doux se maintenant en place, le changement de masse d'air n'ayant lieu que dans la nuit de samedi à dimanche par l'ouest. Au vu des derniers ARP et GFS, ledit forçage principal pivote trop rapidement vers le nord-est du pays pour commencer à tirer la sonnette d'alarme. Cela reste évidemment à suivre J'ai pas trop parlé de PACA est plutôt bien placée également ce coup-ci. Je mettrais une pièce pour des trombes marines, sur le littoral provençal en particulier, en raison du cisaillement induit par la fameuse méso-dépression qui s'évacue en mer l'après-midi de samedi augmentant les cisaillements 0-1 km le tout avec des niveaux de condensation bas.

Bonsoir, J'abonde dans le sens de Jérôme pour souligner le fait qu'on tient là une situation pluvio-orageuse "classique" mais si rare cette saison. Dans le cas particulier du 13 septembre, la moitié est de la Dordogne avait été largement épargnée par la dégradation pluvio-orageuse à cause du contexte d'altitude. Je ne remets pas les cartes pour éviter le HS, mais il y avait eu une cassure de jet sur l'Aquitaine, raison principale de l'organisation de la dégradation. Le flux de S voire SSE au niveau de la tropo avait ramené les orages de l'Aquitaine vers les Pays de Loire puis la Bretagne, ce qui pour le coup avait été bien anticipé par Arome. Ce dernier avait même vu très juste au niveau du courant de densité qui lui s'est propagé de façon isotrope donc indépendamment du flux d'altitude, raison pour laquelle par endroits il y avait eu le front de rafales.. sans orages. Pour la situation de vendredi, on a effectivement affaire à un front froid ondulant entre le nord de l'Aquitaine et le nord-est du pays. (1) et (2) La limite de masse d'air s'active à l'avant d'un net gradient de PVU. (3) Le forçage est linéaire, l'instabilité modérée et les cisaillements profonds en hausse, on s'oriente plus vers un front pluvio-instable avec possibilité à l'avant de cellules et d'intensité modérée dans l'air chaud préfrontal. La réponse des principaux déterministes en terme de quantité de RR est assez proche, avec une certaine stabilité de la prévision. Exemple avec les accumulations de RR pour ARPEGE d'ici samedi 06H des 6 derniers runs (4) à (9) qui vont jusqu'à cette échéance. Quand je vois les plages d'air à 16° en tpw onduler sur la Dordogne (par exemple) pendant une douzaine d'heure, je vois pas comment ce département pourrait échapper à une bonne saucée. J'irais même jusqu'à évoquer des lames d'eau supérieures en cas de succession de passages orageux, vers le Limousin par exemple. Pour les départements plus au sud-est, la convergence est moins nette, il y a moins d'air chaud et le front froid traverse plus rapidement donc en moyenne les cumuls devraient être inférieurs à 10 mm, souvent entre 2 et 5 mm (non montré).

Temps sec jusqu'à samedi inclus avec amélioration de la nébulosité, augmentation des amplitudes diurnes. La fraîcheur risque de piquer le matin dans les endroits habituels, vers les premières tn <10 sur de nombreux postes. À la faveur de l'ensoleillement on pourra dépasser les 25 localement dès mercredi, seuil qui se généralisera entre jeudi et samedi avec même des pointes possibles à 31/32 dans le sud de l'Aquitaine. Dimanche on s'oriente vers un brutal changement de masse d'air avec possible dégradation orageuse qui dépendra surtout de l'enfoncement du talweg d'altitude. Rien de bien sévère comparé à la situation du 13 Septembre dernier à première vue mais les contours de la dégradation sont encore très flous, entre GFS qui isole la goutte froide au sud des Pyrénées et CEP qui fait advecter des hauts geopotentiels par l'océan. Un constat cela dit, c'est que la longue période ensoleillée et sèche qui semblait fiable pour la dernière décade de septembre ces derniers jours se réduit pas mal. Pas certain qu'on finisse par battre tous les records de douceur mensuels.

Attention aux faux-amis, "cyclone" en anglais n'est pas un synonyme de "hurricane". "Hurricane" en anglais c'est le synonyme de "cyclone" en français mais "cyclone" en anglais désigne (source Wikipedia) a large scale air mass that rotates around a strong center of low atmospheric pressure. Ajoutez à cette imprécision de la langue française par rapport à l'anglais des critères différents d'appellation selon les bassins océaniques et on fait vite des erreurs. Parce que personnellement j'en sais rien, et cet avion de mesure est dédié aux campagnes de recherche, pas à l'opérationnel, et peut-être qu'il est en campagne de mesures quelque part en Afrique de l'ouest ou autre.. J'ai vu que tu m'as cité plus haut, je ne fais que reprendre les termes employés dans le topo de M.Kreitz pour l'unité Médias. Je ne suis pas du tout spécialiste de météorologie tropicale, mon niveau de base se résume à comprendre un diagramme de phase.. Quelques éléments de réponse dans le chapitre 10 du tome 2 de Beucher, ça fait un peu de lecture http://www.meteofrance.fr/publications/nos-collections/cours-de-meteorologie/meteorologie-tropicale-des-alizes-au-cyclone-tomes-1-et-2

118 mm à Grabels, 2 fois ce que je pouvais espérer pour cet épisode. C'est l'épisode le plus important depuis celui des 3/4 novembre dernier où j'avais relevé 153 mm, mais en deux salves bien distinctes. Actuellement les orages continuent de remonter dans le Golfe d'Aigues-Mortes mais la convergence est en train de passer, peut-être quelques mm supplémentaires mais le plus gros devrait plutôt passer sur l'est de l'agglo montpelliéraine

On dépasse la barre des 100 mm à Grabels, 46 dans la dernière heure. Grosses intensités mais pas trop de problèmes pour l'instant apparemment.

Épisode banal et complètement bénéfique sur Grabels avec 45 mm, apparemment 3 à 5 fois plus sur un triangle Puéchabon - Montarnaud - Argeliers, d'où une bonne crue de la Mosson en cours d'après Metbeziers, je me permets de poster ta photo envoyée en privé Elle commence également à monter à la station de Saint Jean. Le 29 septembre 2014, après une succession d'épisodes méditerranéens diluviens notamment vers Montarnaud, elle arrivait au niveau du tablier du pont de Grabels (sur la photo)! PS: Adri un modèle n'est jamais faux il s'éloigne plus ou moins de la réalité. Sauf que toi comme un vulgaire débutant avec une tendance à la mauvaise foi, tu ne te fies qu'aux champs de RR qui sont en bout de calcul du modèle alors que les signaux de Arome dans l'environnement thermodynamique et au niveau des champs de vent indiquaient une probabilité non nulle d'événements stationnaires en fin de nuit / début de matinée sur le Languedoc (hier soir j'évoquais plutôt ouest 34, il y a eu un décalage de quelques dizaines de km en réaité).

40 mm à Grabels, "une bonne pluie qui rentre" d'après ma mère (je suis pas sur place), le bassin de la Mosson où se situent les 160 mm de Puéchabon (20 km au nord-ouest de Grabels seulement) est pour l'instant le plus arrosé, pas de réactions hydro (pour le moment) sur le linéaire à Saint Jean de Védas, il en faut un peu plus, c'est du karst qui a vu bien pire.

Euh moi je parlais de l'épisode méditerranéen s'étendant vers l'Aveyron Concernant cette bestiole sur l'Atlantique on est dans quelque chose régie par des phénomènes diabatiques donc justement hormis sur le domaine littoral il n'y a pas trop de menaces

Bonsoir, l'essentiel a déjà été dit et de manière fort brillante depuis plusieurs jours sur les contours de la dégradation de demain. Quelques remarques sur des éléments qui me paraissent importants: - l'incertitude sur les forts cumuls est particulièrement importante sur les basses plaines notamment ouest Languedoc le matin avec une convergence bien dessinée, dans un flux en très basses couches encore assez lent. Le champ de MUCAPE peut être assez piégeux dans ces cas-là car effectivement les profils montrent une instabilité plus importante mais dans un environnement plus rapide, en allant plus à l'est. En gros, je penche pour un passage orageux devenant plus virulent vers l'est Languedoc mais avec une ligne de convergence s'accélérant, peu de chance de gros cumuls à l'est du fleuve Hérault en plaine et garrigues. - Arome est particulièrement alléchant sur la Provence. Honnêtement je connais assez mal les éléments plus fins pour qu'il y ait du grabuge là bas, néanmoins on retrouve plus de dynamisme en entrée droite et une convergence particulièrement musclée dans le sifflet d'air chaud à l'avant de la bascule à l'ouest. La structure devenant moins nette en soirée et gagnant en cisaillements, les reliefs situés sur E13 et O83 pourraient finalement autoriser des orages particulièrement costauds et peu mobiles, voire avec une régénération rétrograde au large immédiat des côtes. C'est à suivre de très près. - le flux en altitude restant SSE puis ESE assez longtemps au-dessus du Massif Central, je pense que les lames d'eau généralisées les plus importantes pourraient se trouver un peu au-delà de la ligne de crête cévenole, avec un panache à 70/100 assez étendu en aval, loc 100/150 mm sur sud Aveyron, Lozère, sud-ouest Ardèche, 150/200 mm sur les spots les plus propices.

Effectivement, fort flux de SSE à 40/45 kt vers 800 hPa ce qui permet au tube d'énergie canalisé depuis a mer (axe de ThetaE à 52°C vers 800 hPa) de déborder largement vers l'Aveyron et même Cantal, Lot, Corrèze. Si les plus fortes lames d'eau seront vraisemblablement observées en plaine ou piémont languedocien au passage d'une convergence peu mobile mais également peu durable, je mise une grosse pièce pour les plus forts cumuls totaux au-delà de la crête cévenole, sur les bassins en rive gauche du Tarn amont (Dourbie Sorgue Rance..) C'est l'élément qui a motivé le passage en orange du département, les 80/100 mm n'étant pas exclus sur des secteurs peu acclimatés (Ruthénois, Lévezou)

Je n'ai rien contre toi personnellement mais ça me fait marrer ce message parce que d'une part la vigilance n'a toujours pas été décidée et diffusée, je suis bien placé pour le savoir, d'autre part tu décrètes d'ores et déjà que cette vigilance est justifiée !.. Comme on dit "c'est à la fin de la foire qu'on compte les bouses" Bien à toi Édit: je réponds la pour éviter le HS. Dans le fond je suis d'accord avec toi mais attends 16h pour voir l'étendue de la vigilance..

Quelle chaleur en agglomération, largement plus de 30° avec la nuit noire, ça me rappelle le Japon, l'humidité en moins ^^ Incroyable pour un mois de septembre, même en plein été une telle chaleur le soir c'est rare

Jérôme: pour les orages de mardi j'attends Arome et sans avoir regardé non plus en détail les modèles, je pencherais vers un MCS très pluvieux avec éventuellement à l'avant des échos type arqués avec fortes rafales Je travaille pas en ce moment donc en ce qui concerne la vigilance ben on verra en temps et en heure

En effet il peut y avoir ruissellement sur surface non saturée lorsque l'intensité de pluie est supérieure à la capacité d'infiltration. Cependant le fait que le sol soit sec à l'extrême n'accentue pas le phénomène, c'est une idée reçue. Au contraire plus le sol est sec puis il infiltrera rapidement l'eau en surface, c'est de la physique. Le cas particulier le plus marquant est la formation d'une croûte de battance imperméabilisant le sol, à la condition que celui ci soit nu. Si les premières grosses pluies d'automne sont redoutées en Méditerranée c'est en partie pour cette raison, beaucoup plus de sols affleurant la bas qu'ici, en plus de l'imperméabilité permanente constituée par le bétonnage massif des agglos et de la perte relative de conscience du risque au bout de plusieurs mois. Mais il ne faut pas oublier que le principal facteur déclenchant les crues éclair, c'est bien évidemment l'humidité voire la saturation des sols. Pour illustrer avec un exemple récent, la catastrophe sur la côte d'azur du 3 octobre dernier est bien évidemment due aux intensités diluviennes mais s'il y a eu autant de ruissellements, c'est à cause de pluies continues et modérées ayant saturé les sols quelques jours précédant la catastrophe, alors qu'un ex-Medicane remontait depuis la Corse.

Oui il en reste quelques unes qui passent au travers des mailles du filet ^^ J'ai pas souvenir de cette situation par contre. La j'ai pas trop le nez dans les modèles mais le CEP00 de vendredi mettait déjà 150 mm en 72 h du côté de la côte basque entre mardi et jeudi, 80 mm généralisés dans l'intérieur. A partir de mercredi les plus forts cumuls devraient être sur une bande littorale de ~50 km, si cela se cumule avec de fortes lames d'eau sous orages mardi soir, ça va commencer à être intéressant. En septembre, le record sur 3 jours dans les Landes est de 215 mm en septembre 1959. http://pluiesextremes.meteo.fr/france-metropole/IMG/carte/1959_09_23_3J.pdf

Bof pas trop d'accord avec toi, cela fait plusieurs runs consécutifs que ARP comme CEP visualisent ce creusement secondaire. J'en parlais déjà avant-hier dans ce même topic. Et puis le défaut des "arpegeades" a été en grande partie corrigé avec la montée de résolution du modèle l'an dernier et la mise en place d'un nouveau schéma de convection. Je vous passe les détails, mais c'était dans la paramétrisation sous-maille de la convection. Alors pour ce qui est des cumuls le sud-ouest ce n'est pas les régions méditerranéennes, il n'y a pas de grosses lames d'eau horaires mais avec la situation entrevue, à savoir un front orageux quasi-stationnaire puis un retour d'occlusion à caractère de front chaud gavé d'eau précipitable, je ne serai pas étonné qu'il y ait 100/150 mm ponctuellement en 3 jours, même dans les Landes, c'est déjà arrivé par le passé..

C'est encore relativement loin (J+3 à J+6) mais il faudra surveiller de près le début et milieu de semaine prochaine. L'ensemble CEP est assez peu dispersé sur le positionnement de la goutte froide, sur son déterministe il n'y a pas moins de 6 phénomènes potentiellement sévères envisageables dans le grand sud ouest : 1) Lundi, pic de très fortes chaleurs avec à nouveau des 35 degrés généralisés et un risque d'incendie extrême en Aquitaine à cause du vent de sud est modéré 2) un renforcement notable du vent d'autan et du vent de sud sur les Pyrénées, Iraty pourrait largement dépasser les 150 km/h dans la nuit de lundi à mardi 3) un épisode méditerranéen assez extensif avec de forts cumuls sur le Tarn et l'Aveyron 4) un épisode orageux assez peu mobile mardi dans l'intérieur du sud-ouest avec possibles fortes pluies quelque part entre Gers, Lot et Dordogne ? 5) de forts cumuls sur les versants sud pyrénéens 6) dans l'air doux de retour, creusement secondaire, très marqué sur CEP avec un creux à 991hpa en fond de Golfe de Gascogne qui organise de limites pluvio instables dans un flux cette fois orienté nord ouest encore bien alimenté en air doux ce qui pourrait donner des cumuls supérieurs à 100mm en trois jours sur les secteurs exposés et notamment le Pays Basque. Tout cela va être passionnant à suivre !

Plus de 1200 ha tout de même en Aquitaine, Limousin, Poitou-Charentes depuis le début de l'année, sans compter les gros feux des derniers jours du côté de Ternay (86), Trensacq (40) qui à eux deux ont fait plus de 100 ha et ceux encore à venir puisque la journée de lundi s'annonce avec un risque exceptionnel dans toute l'Aquitaine.

Fiche_html_46309005_20160909.pdf Station au fond de la vallée de la Dordogne, ouverte en 2005. Record absolu 42.0° le 16 juillet 2015 le jour du record absolu à Brive et ses 41.4°

Oui j'avais compris son point de vue, c'était l'occasion pour moi de partager des graphes de température 1 min Mais même sur une heure, entre 2 heures "rondes", perdre 10.2° je ne pense pas que ce soit très fréquent non plus ! Pour info, les variations les plus brutales à Biarritz lors de cette galerne ont été de: -1.7° en 1 minute, entre 16h50 et 16h51 -8.5° en 10 minutes, entre 16h49 et 16h59 -13.1° en 1 heure, entre 16h26 et 17h26

-8.6° en 11 minutes, même à Biarritz, je ne suis pas sûr que ce soit "ultra classique" Les anciennes valeurs sont toujours sujettes à caution oui. Par exemple, le réseau secondaire a observé 39.0° à Pauillac (Gironde) le 2 septembre 1962, 39.5° à Léon (Landes) le 3 septembre 2005 ou encore 40.2° à Arjuzanx (Landes) le 7 septembre 1966. Que celui qui puisse indubitablement contester ces valeurs au vu de la synoptique du jour (je vous laisse fouiller sur wetterzentrale) se manifeste maintenant ou se taise à jamais ! C'est le même débat (éternel et souvent stérile) à propose des valeurs de Belin StatIc Les 38.3 de Cazaux en 1949 me paraissent incontestable. C'est une station de "référence", qu'on "connaît bien", alors c'est "rassurant"

Le record tous mois confondus est de 14.5° en août 2012 Chaleur exceptionnelle en altitude donc, tx en cours à même pas midi solaire de 31.6 à Gavarnie (record mensuel, précédent 29.7 il y a 3 jours, sinon 28.9 en 2012), 30.8 à Urdos, 27.5 à Loudervielle (1587 m)...

A 13h c'est toujours dans le 64 le plus chaud mais ce coup ci côté Pays Basque avec 33.1 à Bustince. Et même 36.0° à Béziers Courtade, 35.6° à Saint André de Sangonis et 35.5 Conqueyrac