florent76

Il serait très intéressant et même important de connaitre le potentiel émissif en gaz du Talang. C'est le genre d'évenement qui en conjonction avec des cycles solaires sont susceptibles de provoquer des hivers les plus glaciaux en Europe. C'est très à craindre, car si je puis dire, ce n'est vraiment pas le moment... Un hiver très rude s'annonce en Europe pour la saison prochaine normalement. Une éruption massive 6 à 9 mois avant aurait les effets les plus néfastes, transformant l'hiver prévu déjà pour être du même acabit que 1985 en un des hivers les plus froids des 50 dernières années peut-être selon la masse de poussière qui pourrait circuler dans l'atmosphère. Vous comprendrez ainsi qu'il puisse être vital de connaitre à l'avance l'importance du risque volcanique en cette période critique pour l'Europe. Florent.

Sauf à ne pas maitriser tous les paramètres, ce qui est tout à fait possible, il faut en être conscient, j'ai également du mal à croire à l'établissement d'un vrai flux d'ouest ce mois-ci. En mai, ce sera autre chose. Par rapport au données que j'ai pu rassembler quant aux éventuels forçages solaire, cela m'étonne que la poussée anticyclonique qui avait toujours prévalue en cycle similaire soit totalement absente du jeu. Si elle semble avoir raté sans entrée, il se pourrait qu'elle retente une incursion d'ici la fin avril permettant effectivement aux températures de s'envoler. (selon le scénario de Lunatic très justement complété par Loon). C'est la tendance de fond que je pense avoir identifié. Si ce n'est pas la bonne ou qu'elle est remise en cause, il va falloir alors comprendre pourquoi, ce qui devrait être tout aussi riche d'ensignements. En attendant, je vais observer très attentivement le comportement de l'AA durant les jours à venir. Florent.

Tomar, tu pourras éventuellement critiquer pour ce qui est des détails la seconde quinzaine d'avril qui semblent ne pas devoir coller du tout avec ce qui était prévu, et je suppose que tu ne t'en priveras pas et je n'ai pas de problèmes avec ça. Je rappelle que cette prévision fine n'est pas la vocation première d'un modèle saisonnier, mais que sur certaines périodes, je peux y parvenir. Cela a été bien le cas de la première quinzaine d'avril. Je rappelle aussi ce qu'était mot pour mot, la tendance (toute indicative à cette échelle) : J'ai les chiffres à présent. Le réchauffement de début avril est peut-être passé inaperçu dans la lignée d'une seconde quinzaine de mars bien chaude, mais on a toutefois bien eu une dernière petite pointe de chaleur avant le refroidissement qui a suivi. Ainsi, on relève +4° d'écart à la norme le 3/04 avec des maximales approchant de nouveau 20° ce qui n'avait plus été le cas depuis une semaine. Des journées forts belles et ensoleillé ainsi que chacun s'en souvient. Ensuite, on a bien eu refroidissement l'écart tombant de 3° le 4/04 à 0,6° le 5/04. Et la journée la plus froide comme prévu et annoncé sur le site depuis le 24 mars a bien été le 8/04 avec -4,3 d'écart et une maximale de 7,5, suivi de près par le 9/04 avec -4,2 et une maximale plus élevée. Les températures se sont ensuite réchauffées avant de commencer à se refroidir. Si cela n'est pas une bonne prévision, d'autant que tout cela est calculé depuis 6 mois, je ne sais pas ce que tu attends des prévisions saisonnières, mais ta vision est de mon avis, irréaliste. A partir de maintenant, il pourra y avoir véritablement erreur à échelle fine déjà c'est très clair. Et peut-être même à l'échelle mensuelle, mais il faut encore attendre un peu pour le savoir. A ce niveau là, j'ai déjà vu des situations fort mal parties se rattraper en dernière décade, car je le répète, la prévision dans le détail est loin d'être aussi fiable que la tendance mensuelle beaucoup plus lissée. Ainsi, la chaleur pourrait très bien frapper à notre porte qu'après le 20 avril et alors peut-être plus fortement ; ou bien pas du tout... Ces écarts à la prévision (erreurs prévisionnelles) m'intéressent en tout cas toujours beaucoup, car ils peuvent me permettre de comprendre des mécanismes que je n'avais pas saisi jusque là : c'est ainsi que j'ai pu corriger le tir déjà une fois à l'automne dernier et diviser par deux les erreurs de mon modèle qui avait été totalement mis en défaut par rapport à l'été 2004 et qui était encore très simpliste à l'époque. Wait and see ! Florent.

Cela s'impose de plus en plus en effet. On a plus qu'à attendre quelques jours pour en avoir la confirmation. Je crois que seul JMA penche encore pour le type de configuration chaude qui était vue par l'ensemble les modèles jusqu'à ce week-end. Si nous n'avons pas le droit à une invasion chaude, nous risquons fort d'avoir un triste printemps, car le mois de mai ne s'annonçait pas très beau non plus. A moins que les tendances ultérieures ne soient aussi remises en cause. Une bonne nouvelle en tout cas : la sécheresse pourrrait être mise à mal plus tôt que prévu finalement. Comme le précise bien justement Anikolas, attendons de voir plus avant ce qu'on peut réellement espérer du changement qui semble poindre à l'horizon afin d'éviter les mirages que les modèles nous proposent parfois aussi lorsqu'ils tâtonnent. Florent.

L'anomalie à prévoir pour l'est de la France était moins forte également, Manudge. Même si je ne peux pas la calculer précisément, je pense qu'elle doit se tenir plutôt autour des +3,0°. L'écart prévu de +4,1° concerne bien la région de Paris. Je pense que les anomalies les plus fortes devaient concerner le nord-ouest de la France. Maintenant, effectivement les modèles ne vont pas dans le sens de ces tendances théoriques à partir du 15 avril. Hors, c'était précisément la chaleur prévue à partir de là qui expliquait principalement cette forte anomalie positive. Nous verrons si la dernière décade est susceptible de rattraper le retard qui pourrait être pris en seconde décade. Florent.

Il faut encore attendre avant de tirer des conclusions : chacun sait que la prévision saisonnière n'est pas une science exacte. La description fine du mois aura bien collé et au jour près tout de même jusqu'au 15, mais peut-être moins en seconde partie du mois. Ce n'est pas pour ça que l'on ne peut pas avoir encore un rattrapage in extremis après le 20 comme je l'ai souvent constaté, car la description fine des mois qui est surtout indicative peut révéler de forts écarts (étant en chiffres bruts et non lissée). Si même les chiffres mensuels ne sont pas approchés, il s'agira véritablement d'une erreur prévisionnelle, ce qui peut arriver dans un quart des cas, ne l'oublions pas. La tendance "solaire" est bien celle qui est indiquée : beaucoup de raisons peuvent faire qu'elle n'est pas effectivement réalisée même si c'est le plus souvent le cas. Florent.

Dans une configuration très rude comme cela est prévu, la Provence pourrait en effet être plus enneigée que ces dernières années.En attendant, la fin de la sécheresse semble bien programmée pour cette année dans le sud qui pourrait connaitre des pluies très abondantes au printemps (c'est déjà bien partie en Corse, le continent pourrait suivre), mais surtout à l'automne. Mais j'aurais besoin de plus de données pour en être certain : c'est ce qui ressort de certaines études que j'ai mis en rapport avec ce qui est prévu pour le nord du pays. Florent.

En tout les cas, c'est bien à ce type de situation que je faisais référence pour te répondre, avec un anticyclone sur l'Atlantique en position hivernale tout d'abord (d'où le coup de froid de ce week-end) poussant ensuite peu à peu vers le nord-est de l'Europe. Sauf que dans le cas de la semaine prochaine, celui-ci ne parviendrait pas à s'étendre vers l'est et irait se rétracter sur l'océan si on en croit les modèles actuels... Florent.

Je suis allé voir les modèles et les conclusions que j'en tire semble indiquer que la briseuse de beau temps pourrait bien être cette goutte froide qui s'acharne sur la méditerranée et qui vient de valoir à la Corse des pluies diluviennes. En effet, l'installation d'un temps plus chaud tel que les modèles l'indiquait encore vendredi semble compromis si cette goutte froide persiste en méditerranée, précipitant à l'ouest un flux de nord et avec toutes les pertubations et l'air frais venus d'Islande en plein sur notre pays d'autant que l'anticyclone est bien là sur l'Atlantique, mais empêché de pousser vers nous. Evolution de ces paramètres et acteurs de notre ciel à suivre avec nos analystes habituels, je l'espère ! Florent.

En effet, après évolution qui semblait prometteuse vis à vis de ce qui était attendu à long terme, les revirements des modèles durant le week-end semblent à présent désigner une autre tendance, beaucoup plus fraiche et perturbée. Ce n'est pas encore joué, car cette évolution est encore située à J+7, mais cela constituerait un changement assez notable par rapport à la période que j'étudie depuis 2 ans si le temps part dans ce sens et nécessitera une étude appronfondie pour en comprendre les causes. En tout les cas, la situation reste pour l'heure isobariquement très proche de celle qui était attendue : si en pareille situation, une chaleur inhabituelle s'installait, elle n'était peut-être qu'un des possibles et moins incontournable qu'il y parraissait car proche peut-être de divers points de ruptures. Alors, allons-nous vers un nouveau basculement du temps ou sera-ce la poursuite de configurations déjà éprouvées dans le passé ?? Wait and see ! Florent.

Merci pour ton message ObsMidi. Je ne prends pas en compte les courants marins, sauf indirectement peut-être au travers des données que je traite. Je n'ai pas du tout étudié pour l'heure cette partie de la question de l'évolution climatique et je ne possède pas de chiffres retraçant "l'activité" du gulf-stream. Peut-être connaitrais-tu des bases de données chiffrées sur ce sujet ?? Florent.

Deux points pour répondre à cette question :1) Il ne s'agit que d'une première approche non validée et non pas encore d'une prévision. A de telles échéances, c'est encore très hasardeux de tirer des conclusions comme cela a déjà été expliqué. Cela pourrait être possible, mais je n'ai pas encore suffisamment avancé dans mes travaux pour le dire. 2) Cela est surtout en parfaite contradiction avec ce que les forumeurs de la meteo.org semblent connaitre sur les cycles. J'y travaille depuis 10 ans et je pense que vous tirez des conclusions bien trop vite et sans avoir mené une étude approfondie de la question. Ce faisant, on aboutit à vision incomplète et faussée de ce que peuvent être les impacts du soleil sur notre climat. Je maintiens encore plus aujourd'hui qu'hier que l'hiver le plus rude de la décennie serait bien 2005-2006. Cela se confirme et se profile mois après mois. Wait and see ! Florent.

Je suis d'accord Tom57 : on serait effectivement au delà des 20° si tout cela se vérifiait et à plusieurs reprises entre le 15 et le 25 avril, mais il est encore difficile de confirmer si on pourrait avoir des températures allant au delà de 25°. Je ne crois pas la chose si impossible, minima solaire ou non... J'ai en tout cas fixé le maxima absolu d'avril entre 24 et 30° du côté de Paris, le premier étant pessimiste, le second très optimiste ; disons que 27° (une bonne moyenne entre ces deux extrêmes) pourrait être atteint. Enfin, peu importe, on serait bien dans la forte anomalie positive de température dans tous les cas de figures. Wait and see ! Florent.

Le détail des zones enneigées va se décider cette nuit... Mathieu ou Loon, en avez-vous une idée plus précise à 12 h de l'échéance ?? FLorent.

Merci Nigu pour cette revue de détail... Je pense que je vais attendre comme toi la fin de l'année. Tu parlais d'appareil avec plus de mémoire et de rendu. Attends-tu la sortie de nouveau modèle ou restes-tu fixé sur ton choix attendant simplement que les prix baissent ?? Florent.

Les diagrammes présentant l'évolution des températures à 850 hPa prévues par les différents modèles s'élèvent de plus en plus après le 15 avril. Tout cela colle effectivement parfaitement au scénario avancé en prévisions saisonnières, autant au niveau des températures qui pourraient véritablement devenir très chaudes, qu'au niveau du calendrier qui est parfaitement identique pour l'heure quasiment au jour près. Il faut encore attendre que tout cela se confirme, mais si tel était le cas, cela démontrerait une fois encore la thèse que je défends selon laquelle le soleil induit très clairement un forçage sur notre climat. L'effet d'induction serait tel que les tendances météorologiques deviennent complétement prévisibles plusieurs mois, voire année à l'avance. Florent.

Quelques flocons de neige ont été observé également ce matin sur Rouen, alors que la température est tombé jusqu'à 3,5° à l'arrière de la perturbation. Le soleil permet maintenant au températures de remonter un peu avant les averses de l'après-midi qui pourront être fortes. Quant à demain matin, on pourrait avoir quelques surprises étant donné que l'air sera froid et humide à tous les étages : on pourra vraisemblablement observer de la neige en plaine dans plusieurs endroits. Florent.

En effet, c'est bien le cas lors de toutes les périodes de réchauffement de notre planète. De la même manière l'été 2003 si il était "écrit", a vu ses températures exploser au delà de toute mesure à cause de ce même contexte chaud depuis 15 ans. Cela fait partie des évolutions climatiques à long terme et qui sont entièrement intégrées à mes calculs. Concernant les chiffres que je propose mois après mois, il n'y a donc pas de chaleur supplémentaire à espérer concernant l'hiver prochain qui s'annonce véritablement glacial malgré notre climat actuel.Florent.

J'ai pu réaliser une petite étude en prévision saisonnière quand à la sécheresse dans le SE : elle pourraient être limitée par quelques pluies de printemps, mais malheureusement restant fort insuffisantes. C'est surtout la fin d'été et l'automne qui pourrait y mettre un véritable terme, mais dans de très mauvaises conditions : la probabilité d'épisodes violents et de crues cévenoles semble être renforcée cette année. Florent.

Je pense qu'il est encore très hasardeux de tirer des plans au delà de l'année 2006 pour l'heure. Je ne suis pas encore en mesure de faire de réelles prévisions au delà de 2006, dans le sens où elles nécessitent encore beaucoup de validations. J'ai cependant ma petite idée et elle n'est pas celle de Benjamin 2, mais plutôt celle de Tom57 pour ce que j'ai pu défricher pour l'heure. L'été 2005 serait de plus en plus frais en avançant dans la saison. A noter aussi qu'il pourrait présenter des épisodes orageux très violents et sur l'ensemble de la France. L'été 2006 après un hiver très rigoureux devrait être relativement frais en effet, très proche finalement de l'été 2005, pas exceptionnel sauf au regard des 15 dernières années. L'année 2007 pourrait signer en toute saison le retour de la chaleur : un hiver quasiment exempt de gel (tranchant totalement avec les précédents) et de la canicule en été après trois années à la chaleur de plus en plus modeste. Ce ne serait pas 2003 qui restera pour longtemps encore dans les annales, mais la sécheresse et parfois la chaleur pourraient être redoutables en été. Les étés suivants seraient encore bien chauds, de vraies périodes froides réapparaissant de nouveau en hiver. Florent.

L'étude que je mène montre pourtant qu'à partir ces données qui peuvent sembler parcellaires émerge dejà de vraies tendances, au point de pouvoir faire des prévisions saisonnières satisfaisantes. Ce sont les variations de longues durée dans le cycle solaire qui en seraient la cause, même si je n'ai pas réussi à mettre totalement au jour le mécanisme. Pour effectuer un travail complet, il est nécessaire au départ de partir de points localisés : lorsque que plusieurs ont été étudié, on peut alors interpoler des données sur un territoire. Basé en effet sur l'hypothèse que le soleil gouverne un certain nombre de cycles terrestres, il est plus logique d'étudier le rythme de notre étoile (cycle primaire) pour comprendre notre climat et d'utiliser tous les cycles terrestres (cycles secondaires) aux fins de validations en mesurant les corrélations de phases entre eux. Les cycles secondaires subissent en effet un certain nombre d'altérations du signal de base qui peuvent entrainer les déviations dans les conclusions qui peuvent être tirées au final si ils sont les seuls intrants d'un modèle en prévision saisonnière.Florent.

A mon sens tous les modèles dont se servent les "prévisionnistes saisonniers amateurs " ne peuvent être que des modèles pseudo-statistiques.Ils ne disposent pas de la puissance de calcul des machines utilisées pour faire de la vraie prévision à long terme (avec tous ses aléas),ni les compétences des équipes de spécialistes qui alimentent les bécannes. Je suis désolé lorsque je vois la crédulité qui s'empare de jeunes forumeurs quant à ses prévisions à très long terme. De plus ces prévisionnistes sont suffisamment habiles pour se dépêtrer de leur manque de réussite car bien souvent on ne se rappelle plus bien de leurs prévisions qui sont toujours truffées de portes de sortie et de chemins de traverse. Pour ma part je n'y prête guère attention. C'est un peu le bruit de fond habituel de ce forum. "La critique est facile, l'art est difficile".En effet Météor, les "prévisionnistes saisonniers amateurs " ne possèdent pas les moyens des grands organismes météorologiques internationaux et ne peuvent procéder à des prévisions qu'en utilisant des modèles "pseudo-statistiques" si c'est ainsi que tu les définis. Cela ne veut pas dire pour autant, avec une bonne analyse à la base, que l'on ne puisse pas obtenir des résultats satisfaisants. Pour ce qui me concerne, si tu souhaites te rappeler de mes prévisions (amateur), je t'invite à consulter la page suivante : /index.php?act=ST&f=9&t=8317&st=0#entry99290'>Vérification et archives des prévisions mensuelles Et Frédéric Decker, autre prévisionniste (professionnel) procède également depuis quelques mois à une vérification de ses prévisions. Peut-on en dire autant pour les prévisions des grands organismes météorologiques ? Je ne les ai jamais vu présenter au cas par cas leurs erreurs (à aucune échéance d'ailleurs), et je doute fort que leur résultats soient toujours à leur avantage au niveau saisonnier. Ce n'est pas moi qui l'affirme, car je ne prends pas la peine de relever les prévisions de la NOAA ou autres. Si on en croit les dires de ce forumeur : QUOTE (Bicri @ mercredi 06 avril 2005, 20:26) J'espère au moins que le bilan n'est pas réellement aussi mauvais, car ce serait en effet un piètre résultat considéré au prorata de leur puissance de calcul...Florent.

Exactement Aymeric, j'ai mis autant en avant ce bref coup d'hiver, car il est très innoportun après une période de 3 semaines de douceur et des journées tout aussi chaudes même plus s'annonçant ensuite. On attendrait une telle situation dans un mois d'avril pourri, mais pas dans un contexte de grande douceur. Juste de quoi nous gâcher la saison et nos futures récoltes fruitières si le froid était trop intense, ce qui ne semble pas devoir être le cas pour l'heure.Alors si en plus en observait de la neige, cela constituerait un énorme retournement de situation, bien que l'histoire climatique n'en manque pas non plus. Les modèles de ce soir sont peut-être un peu moins optimiste pour le froid neigeux, mais de la neige fondue et tenant au sol à basse altitude serait toujours bien présente. D'où l'exigence de parler de "possibles". Wait and see ! Florent.

Mais 5 cm, pourquoi pas 10 cm de neige à Nancy le 9 avril, mais aussi de la neige sur une grande partie nord et est de la France, c'est quoi ?? Ce n'est pas une certitude, mais c'est cela qui est possible à l'extrême. Florent.

Au risque de me répéter : Tout est dit dans cette phrase ! Attendez un peu de voir ce qu'on relevera samedi matin avant de penser que le phénomène est similaire à tous ceux que l'on connait habituellement en cette période. Il est très possible qu'il soit tout a fait commun par rapport à ceux relevés ces dernières années, comme il pourrait présenter en terme d'intensité des caractéristiques plus rarement observées. C'est parce qu'il est possible qu'il fasse partie des épisodes neigeux majeurs (mais court) depuis 50 ans en avril que j'ai lâché le mot "exceptionnel". Et une possibilité n'est pas une certitude avérée. Florent.