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	  Semaine du 14/03/05 au 20/03/05florent76 a répondu à un sujet de Jean-Michel10 dans Evolution à plus long terme C'est une bonne nouvelle si des depressions se creusent, car toute pluie est bonne à prendre tant elle devraient normalement être rare jusqu'en mai au moins, voire plus loin dans l'ouest. Florent.
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	  Semaine du 14/03/05 au 20/03/05florent76 a répondu à un sujet de Jean-Michel10 dans Evolution à plus long terme C'est juste mon avis, mais je pense qu'il est en réalité difficile de le dire. L'histoire climatique est émaillée de changement de températures aussi brutaux que soudain et le début des années 2000 n'échappe tout simplement pas à la règle. Dans les périodes de blocages, ces écarts sont souvent fortement accrus, mais là encore, il y a beaucoup de précédents. Maintenant, si on a réchauffement climatique, cela ne peut se voir qu'à la lumière des coups de chaleurs, peut-être plus intenses qu'il ne devraient être, des coups de froids peut-être amoindris ; une tendance que pourrait en effet indiquer les records de chaleur de 2003 : la chaleur était prévisible cette année là si on compilait les données solaires et climatiques, mais théoriquement peut-être pas à ce point record : cela se joue là à quelques degres et il est difficile d'être totalement affirmatif. Florent.
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	  Semaine du 14/03/05 au 20/03/05florent76 a répondu à un sujet de Jean-Michel10 dans Evolution à plus long terme Sale temps pour la végétation que ce printemps 2005 : le dernier run de GFS annonce une transition très brutale à un temps presque aussi froid que début mars (en minimale au moins, car les maxi devraient être plus élevées) : cela nous promettrait d'approcher de nouveau les -10° et les records le matin sur le NE. Je ne suis pas du tout certain que GFS divague, car vous savez quelles sont mes théories par rapport aux cycles climatiques et une des dernières références qui est 1949 semble tracer la route au moins pour les mois de mars et d'avril. Plus mauvaise nouvelle encore : 2005 semble encore être plus extrêmiste que ces consoeurs, les températures semblant pouvoir aller des records de froid à la quasi chaleur printanière (les records de chaleur étant encore 5° plus haut) sans difficultés. Nous ne sommes pas encore le 20 mars et une décade va encore passer qui va peut-être lisser le phénomène. Mais une transition aussi brutale en flux de nord n'aurait rien de surprenante : elle est encore une fois prévisible car il y a des précédents historiques, l'essentiel est souvent de s'en souvenir car contrairement au climatologue, le météorologue a peu de mémoire. Je maintiens ensuite le retour du printemps dans la dernière décade de mars, avec un réchauffement continu du 23 au 27 mars n'excluant pas d'énormes amplitudes thermiques entre des gelées le matin et des après-midi avec des températures qui s'envolent. Et toujours pas de pluie. Dernière mauvaise nouvelle : ce type de temps si il devait se concrétiser est de la plus mauvaise augure qui soit pour la nature, car le mois d'avril serait toujours prévu très chaud, battant même peut-être des records de chaleur. Mais de redoutables gelées matinales pourraient se faufiler entre les mailles du filet autour de certaines dates clé. De plus, aucune pluie importantes à l'horizon ne serait à prévoir, surtout à l'ouest. Contrastes thermiques extrêmes et sécheresse : ce pourrait être un mois d'avril assez désastreux pour l'agriculture. Florent.
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	  Etat de la végétation en ce début de printempsflorent76 a répondu à un sujet dans Le temps en France A Rouen, je note déjà un retard de la végétation d'au moins 20 jours par rapport au printemps 2004. Les cerisiers fleurs déjà fournis l'an dernier dès la fin février commencent seulement à débourrer. Les érables qui avaient commencer à bourgonner le 1er mars l'an dernier n'ont pas encore bougé cette année. A suivre... Florent.
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	Bonsoir JBR et à tous, J'ai lu attentivement tout ce sujet depuis que je l'ai découvert ce midi et ce projet est en effet une idée géniale. Comme toutes les meilleures idées, c'est tout simple, mais personne n'y avait jamais pensé avant ! A vous lire, j'ai été agréablement surpris de trouver tant de compétences réunies parmi de nombreux membres de ce forum : édition, maquettisme et infographie, gestion de projet et évidemment climatologie et météorologie. Je pense que tout le potentiel d'expériences nécessaires à la naissance de ce projet est ici présent. Les trois possibilités que tu cites, JBR, pourraient être les trois étapes chronologiques du développement de ce projet ; le première permettant de recenser et de constituer le noyau dur, le groupe de personne participant à ce projet. La dernière seraient la finalisation du projet qui va demander un intense travail préparatoire en amont. Ainsi, pour rappel, on a : 1) un magazine (ou un "journal") qu'elle fait parvenir à ses abonnés sous forme électronique, au format PDF uniquement 2) un magazine sous forme papier, toujours dans le cadre associatif, et dont la diffusion se fait essentiellement sur abonnement et par courrier postal 3) le magazine de presse, vendu à la fois sur abonnement et en kiosque. Cela nécessite bien sûr une véritable structure. Pour cela, une réflexion approfondie est à mener sur le choix du statut juridique le plus approprié. Je pense que pour mener le projet à bien, une société devrait être créé à la troisième étape, à moins de participer et de soumettre le projet à un groupe de presse existant (au risque de perdre peut-être en marge de manoeuvre, mais je ne connais pas du tout assez l'édition pour m'avancer plus avant sur ce terrain). J'ai également commencé une thèse de géographie (à Rouen) et je connais bien ce problème de raréfaction des supports de presse permettant d'acceuillir les travaux de recherches universitaires. Pour ma part, je suis tout à fait emballé par ce projet et si on me proposait un poste de rédacteur ou autre responsabilité dans ce type de structure, je n'hésiterai pas une seconde : faire de la météo mon travail au quotidien est un rêve que je caresse depuis longtemps. De la rédaction d'articles, à la réalisation de supports cartographiques en passant éventuellement par du management de projet, je serai partant pour m'investir dans une telle société si elle était créée. J'effectue cette année une formation en management de projets informatiques en école d'ingénieur qui vient compléter ma formation de géographe déjà très utile par rapport à ce projet. La perspective de la création éventuellement d'une antenne à Paris ou même de pouvoir travailler en réseau par internet achèverais de me convaincre. En clair, JBR, si tu devais embaucher des partenaires pour te suivre dans cette belle aventure, fais moi signe ! C'est un vrai challenge au départ, mais je pense qu'il existe à moyen terme un vrai potentiel de lecteurs et un moyen d'amener encore plus de monde à la météorologie. Je ne pense pas que MF soit contre étant donné que l'opération pourra être indirectement génératrice de profit pour l'institut, sans compter que la revue crée pourra être pour eux un support publicitaire également, avec pourquoi pas une rubrique donnant la parole à leurs ingénieurs à terme... Le point crucial pour se lancer sera de bien préparer le projet, en construisant une analyse permettant de constituer un plan précis consistant en un organigramme des tâches. On évaluera la configuration technique, on planifiera les délais et controlera les coûts pour chaque tâche. Ensuite, qui dit coûts dit financement. Il va falloir "vendre" le projet auprès des banques afin d'assurer les investissements et financement de départ (tableau d'amortissement d'emprunt), car je ne pense pas que nous disposions de capacité d'autofinancement au départ grâce à des fonds propres. Il faudra dans le même temps établir des prévisions de rentabilité à partir des prévisions de ventes. Ces prévisions vont nous permettre en fonction de l'investissement de départ, de fixer le tirage et le prix de vente permettant d'atteindre suffisamment vite le seuil de rentabilité. Lorsque l'investissement est reconnu rentable, son plan de financement montrera enfin si les ressources de financement prévues au départ (capitaux propres, emprunts, crédit-bail) sont suffisantes pour permettre sa réalisation. Comme le montre la question de Bohlen, la question des ressources va se poser toute suite avec acuité si l'on souhaite monter le projet le plus aboutit qui est le magazine de presse. Un plan de financement se révèle dès lors indispensable. Je vais être amené à monter un projet dans le cadre de ma formation professionnelle : j'en saurais plus dans quelques semaines sur ces points, mais je suis loin d'être un spécialiste dans ce domaine afin d'assurer la perennité de ce très beau projet. Merci d'avoir pensé à moi, je serai ravi et honoré de pouvoir apporter mon concours à tout niveau à ce projet aussi ambitieux, formateur que passionnant si cela peut se faire. Florent.
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	La situation me parait assez inquiétante sur l'ouest en effet... voici la réponse que j'ai donné : /index.php?act=ST&f=1&t=8189&st=40#entry96111'>Déficit pluviométrique sur l'ouest et le sud méditerranéen Florent.
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	Même si je n'ai pas étudié le climat méditerranéen données à l'appui, on peut supposer que ce sont les conséquences locales de cet anticyclone stationnant sur le proche atlantique depuis très longtemps. Les causes pourraient être solaires. Cela produit une sécheresse qui peut en effet durer temps et pourquoi pas prendre des proportions historiques, mais cela ne signifie pas que le climat du sud-est est en train de changer. Partant de cette origine solaire, le phénomène serait limité dans le temps, même si il peut être long. Ce n'est surtout pas un réchauffement qui est en cause ici, puisque c'est au contraire la répétition des flux de nord qui conduit l'Europe méditerranéen qui est alors sous le vent à la sécheresse. De l'autre côté de la mer, en Afrique du Nord, je pense que les précipitations sont au contraire excédentaires : cela n'a donc rien à voir avec la remontée de la zone climatique saharienne sous nos latitudes, mais plutôt au chemin inverse, mais temporairement bien entendu. Pour finir sur de la prévision, étant donné le chaud mois d'avril prévu, avec un anticyclone qui serait toujours centré à l'ouest de la France poussant sur le pays, la situation pourrait encore s'aggraver, à ceci près que la méditerranée pourrait être éventuellement dépressionnaire pendant ce temps, connaissant peut-être enfin de bonnes pluies printanières. Mais ce n'est pas certain et la situation serait alors gravissime du Languedoc à la Provence. Autre zone très critique à mon avis, l'ouest, car je ne vois aucun espoir de précipitations sérieuses sur la Bretagne et les côtes atlantique jusqu'en mai et peut-être même jusqu'à l'été. Ainsi, le risque de graves pénuries d'eau est selon moi encore plus grand à moyenne échéance. Florent.
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	Les cycles solaires durent 11 ans en moyenne : en réalité leur durée varie de 8 à 17 ans. Si on veut comprendre le retour de tous les hivers par exemple, interviennent ensuite des effets de résonances, ce qui fait que l'on observe rarement ce cycle de 11 ans. Cela arrive néammoins de temps à autre : ainsi on a observé en France des hivers rudes en 1907, 1917, 1929 et 1940, années séparées de 10 à 12 ans. Cela est encore plus évident avec une série de 22 ans (11x2) avec 1917, 1940, 1963 et 1985. Et on a naturellement les placements des centres d'actions qui sont en rapport. Le bruit de fond brouille en effet le signal du cycle solaire, mais pas suffisamment pour rendre invisible les grandes anomalies. C'est pour cela que les prévisions saisonnière que j'effectue à partir de ces observations sont nettement plus performantes lors des anomalies climatiques importantes que lorsque les situations isobariques sont dans les normes. Quand on a vécu l'été 2003 qui aurait selon moi une causalité directement solaire, on ne peut pas dire que le signal solaire est masqué. On peut penser que le rythme des cycles solaires forçait un été caniculaire en Europe pour l'année 2003. La constante solaire importante, à laquelle s'ajoutait probablement encore l'effet des GES a conduit a amplifier de quelques degrés encore ce phénomène tout à fait prévisible. Je pense en effet que l'Europe est un endroit du monde un peu plus épargné par le bruit de fond climatique, parce que la génération des grandes anomalies climatiques nécessitent des blocages persistants qui ne font pas partie des configurations réalisées en moyenne le plus souvent.Florent.
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	Tout d'abord cette variation qui peut paraitre minime, si elle est rapportée à plusieurs années peut conduire à des quantités d'energies bien plus importantes qui sont reçues en excedent ou en déficit par la Terre.Ces variations de la constante solaire participent essentiellement à la température globale de la Terre avec des effets importants et de longue durée comme le Petit Age Glaciaire (PAG) qui a ramené les températures en Europe à des niveaux inférieurs à ce que nous connaissons actuellement. Mais ce n'est pas cela qui déciderait des anomalies dans le placement des centres d'actions. Je répète ce que j'ai dit dans mon post précédent : "tous les cycles climatiques que j'ai pu découvrir pour l'Europe ont pour dénominateur commun la durée du cycle solaire qui est de 11 ans en moyenne". C'est ici le rythme du soleil qui agit et qui génèrerait les conditions nécessaires à de grandes canicules ou à des hivers glaciaux. Pour résumer : il faut bien séparer deux modes d'actions du soleil, non pas à l'échelle journalière ou mensuelle, mais à celle des cycles solaires : 1- le niveau d'intensité d'énergie sur le long terme (constante solaire) 2- le rythme des variations d'énergie à moyen terme (durée des cycles solaires) La constante solaire (1) déciderait des grandes périodes chaudes (actuel) et froides (PAG) qui traversent les siècles (avec probablement un cycle là aussi comme l'explique Williams). La durée des cycles solaires (2) déciderait du rythme des anomalies climatiques saisonnières, minorée ou majorée selon la constante solaire. In fine et pour aller encore plus loin, ces fluctuations du soleil seraient le résultat de marées d'origine planétaires comme semblent l'indiquer l'étrange corrélation entre durée des cycles solaires et rythme des effets gravitationnels des planètes du système solaire découvert par Jean-Pierre Desmoulins. Florent.
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	Il reste beaucoup de travail à faire, mais j'exprime simplement le fait que l'on ne peut pas balayer cette hypothèse d'un revers de main sans chercher à en savoir plus.Par le fait, je n'en sais pas encore beaucoup plus que Gbl sur le mécanisme qui provoquerait des situation barométrique récurrentes sur l'Atlantique, dans le sens où je ne peux expliquer de quelle manière cela s'explique de l'amont à l'aval. Mais, mes recherches m'ont conduit à identifier plusieurs éléments qui mis ensemble constituent des faisceaux de preuves. Ainsi, tout les cycles climatiques que j'ai pu découvrir pour l'Europe ont pour dénominateur commun la durée du cycle solaire qui est de 11 ans en moyenne. Le retour des hivers froids correspond est fonction de ce dénominateur solaire, mais partant de là, la relation que j'ai découvert est un peu plus complexe que le simple cycle (11 ans) ou le cycle magnétique (22 ans) du soleil. Elle explique tous les hivers rudes en Europe de l'ouest depuis 1600, sans autres exceptions que ceux que les plus rudes conditions du Petit Age glaciaire ont ajouté à l'appel (mais qui ne sont jamais les plus froids de toute manière). Le retour des étés caniculaires est également fonction du dénominateur solaire, mais j'ai encore des recherches à faire car je n'en explique qu'un nombre restreint. Les cycles climatiques reliés au cycle solaire possèdent des corrélations suffisamment étroites pour faire convenablement de la prévision saisonnière actuellement. Ces prévisions sont la meilleure preuve pour l'heure de ce que j'avance, puisqu'il serait statistiquement impossible de retrouver des situations météorologiques similaires réparties régulièrement dans le temps lors d'années définies en plus grâce à de toutes autres mesures que climatologiques que sont les données concernant le soleil. On trouve ainsi bien des ressemblances entre les années 1947 et 2003 par exemple. Dès lors, comment ne pas penser que le soleil, d'une manière ou d'une autre agit concrétement sur notre climat au point de le forcer selon son rythme la mécanique atmosphérique à reproduire les mêmes conditions glaciales ou caniculaires en Europe. Il ne s'agit pas de la variation journalière de la constante solaire, mais bien de ces variations moyennes à l'échelle de plusieurs années, voir de cycles solaires entiers, sa diminution ayant entrainé le Petit Age Glaciaire et plus recemment les années plus fraiches 1960 et 70.Florent.
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	  Semaine du 14/03/05 au 20/03/05florent76 a répondu à un sujet de Jean-Michel10 dans Evolution à plus long terme En tout cas tu avais bien vu le basculement pour les mois de Mars, de plus en plus chauds depuis une douzaine d'années 2004 a marqué un coup d'arrêt et 2005 marquera un recul sévère de sa tendance au rechauffement. Reste à voir pour la suite, je ne crois pas à ces scenarios pour le 14 ou le 16, je pencherais pour plus tard, parce que l'observation de ce qui est prévu sur la chaudière d'Afrique Centrale ne montre pas du tout une extension de cette zone ni une augmentation de la chaleur, au contraire même la zone à +25° à 850 hpa se reduit progressivement avant de se decaler en fin d'echéance mais trés amaigrie vers le sud du Sahara, la oui je pense que ca préfigure la remontée de hp en AF du Nord et une soudure solide de l'AA à ces hp Mediterrannéennes. Mais pas avant le 20 mars à mon avis ce qui rejoint ta prevision. J'ai regardé plus finement les résultats de mes calculs : tout y est...Le retour du froid est en effet calculé vers le 13 mars, mais l'ondulation de ma courbe étant assez courte, je n'y avais pas prêté d'attention... Un certain redoux en effet pour le 15 mars (quand je vous disais que ça ne durait pas). Mais l'hiver n'aurait pas dit son dernier mot. Ainsi, je maintiens ensuite ce coup de froid prévu vers le 20 mars et qui semble incontournable dans les prévisions saisonnières... Peut-être pas grand chose, aussi bien que de la neige encore une dernière fois en plaine. Le printemps ne serait pas encore pour demain, mais il approche tout doucement et son retour serait brutal... Florent. Très grande douceur à prévoir à partir du 15 mars selon les modèles : cela va tout à fait dans le sens de ce que j'annonçais lundi. Je ne dis pas pour autant que j'ai tout bon, puisque cernant mal l'amplitude des poussées chaudes ou froides, j'avais pensé le printemps plus modeste que cela.L'analyse que j'ai tiré du modèle de prévision lundi dernier trouve de plus en plus écho auprès des sorties des modèles numériques qui en confirme les tendances. La principale différence entre théorie et réalité étant que les variations de températures réelles sont beaucoup plus importantes et brutales que prévues en théorie. Le modèle théorique si il voyait bien le retour d'une certaine douceur vers le 15 mars, annonce aussi depuis toujours le retour de baton pour le 20 mars : je persiste à penser que les modèles ne vont pas tarder à voir cette descente froide pour le début du printemps, car contrairement à d'autre période, l'indice de confiance est très fort. Retour du printemps après ce regain d'hiver à partir du 23 mars et temps véritablement chaud pour la saison à partir du 27 mars... Les tendances théoriques en résumé : Réchauffement vers le 10/03 Refroidissement vers le 13/03 Réchauffement vers le 15/03 Refroidissement vers le 20/03 Réchauffement vers le 23/03 Réchauffement vers le 27/03 Je ne donne pas autant de détails pour me faire taper sur les doigts, mais parce que le modèle saisonnier m'a permis bien souvent de voir à l'avance quel était le bon scénario parmi tout ceux proposés par les modèles et je vous fais donc profiter de ces informations. Généralement, c'est fiable 3 fois sur 4, cela peut donc être bien utile. Florent.
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	  Analyse prévisionnelle de FEVRIER 2005florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières Je pars des Tn et Tx journalières. Je calcule les Tm journalières en faisant (Tn+Tx)/2. Je calcule ensuite les moyennes mensuelles et saisonnières de ces valeurs. Pas de différences entre un calcul pour un mois ou une saison, si ce n'est la durée de la période. (moyenne sur 89 jours pour l'hiver au lieu de 28 à 31 pour un mois). Au final, je ne me sers que des Tm en valeurs quotidiennes ou sous forme de moyennes pour mes prévisions et observations. Florent.
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	Gbl, Ce n'est pas la première fois qu'il fait doux sur les côtes du Groenland et dans le même temps froid en Afrique du Nord et s'explique simplement comme vous le montrez. Ce mécanisme est vieux comme le monde, mais peut donc survenir autant en 2005 que cela avait été le cas dans le passé si on observe les derniers événements climatique sur l'aire nord-atlantique et européenne. C'est moins d'expliquer le mécanisme lui même qui est archi-connu que de nous dire pourquoi il survient de manière récurrente à des moments précis de l'histoire climatique qui était la question. J'ai avancé l'idée d'un forçage solaire que vous prenez visiblement comme une hypothèse absurde et "risible" sans jamais expliquer pourquoi. J'aurais voulu savoir quelle explication vous proposez pour votre part à cette question en fonction de votre propre expérience ??? Florent.
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	  Analyse prévisionnelle de FEVRIER 2005florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières Cela me parait mal parti aussi pour une anomalie positive en mars, mais la fin du mois pourrait aussi être plus douce que prévue en effet. Je prévois bien le retour à des mois de mars plus froids et en l'état, cet écart de seulement +0,6° par rapport aux normes saisonnières prévu pour 2005 constitue un refroidissement par rapport aux années antérieures à 2004 qui étaient beaucoup plus chaudes. Le mois de mars 2006 pourrait être encore plus froid et véritablement très en dessous des normes de saison. En attendant, il s'agit ici d'un chiffrage théorique, établi depuis plusieurs mois et donnant une température théoriquement prévue en fonction de ce que l'on sait des années du passé présentant un forçage solaire similaire. Je ne modifie absolument pas mes résultats en sortie en fonction de l'évolution du temps contrairement à ce que certains voudraient laisser penser et aucune température relevé récemment ne fait partie des calculs. Si d'autres paramètres ont plus d'impact, on pourra relever des écarts significatifs avec cette prévision, ce qui arrive tout de même dans 25% des cas, ce qui montre qu'il y a encore à faire afin de les identifier et de mesurer leurs impacts. Florent.
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	Comme tu le dis Torrent tracer une courbe predictive serait l'ideal et c'est assez complique. Pour cela actuellement j'essaille de trouver les calcules pour savoir la position heliocentrique des planetes (surtout mercure, venus et jupiter) ainsi que la date quand elles occupent sensiblement les memes positions heliocentriques soit en conjonction soit en opposition pour voir certain liens comme le dit Raymond Cazalens. Le maximum de marée aurait lieu lors de l'opposition Jupiter-Vénus et cela pourait etre possible qu'il nait un plus grand nombre de taches dans les régions ou la marée est haute. Donc en comparant ces courbes et les les autres on pourait avoir des idees, voir s'il y a des liens... soit une une courbe predictive. Williams Williams, les calculs pour savoir à quelle date n'importe quelle planète occupe sensiblement les memes positions heliocentriques soit en conjonction soit en opposition existent déjà...Il faut que tu télécharges et utilise le programme syzygie de Jean-Pierre Desmoulins que tu peux trouver sur son site. syzygie.pas : Main program. Version 1.2. Computes heliocentric syzygies of a given set of planets, for a given period of time, using a given time increment. Si la gravitation par rapport au barycentre décroit du carré de la distance, pour calculer les effets de marée dependant du poids relatif de chaque planète, Jean-Pierre Desmoulin travaille sur la dérivée, soit à partir du cube de la distance. J'ai vu qu'il n'y avait eu aucune réponse sur Astrosurf et je pense que c'est parce que la question a été mal posée. Elle a été placée après une première question différente et non toute seule dans un nouveau sujet, sans transition, ni mise en forme tel que cela était fait sur Infoclimat. Il faudrait refaire l'expérience, mais avec une présentation adéquate en sélectionnant uniquement la partie concernant ici la gravitation différentielle (après les tiretés) et en créant un nouveau sujet. La question est bien mise en évidence en grands caractères./index.php?act=ST&f=1&t=7568&st=0#entry79722'>Gravitation différentielle, question à résoudre A copier et à poster dans un nouveau sujet EFFET DE MAREE PLANETAIRE sur Astrosurf : Florent.
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	  Analyse prévisionnelle de FEVRIER 2005florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières Vérification de l'hiver 2004-05 Ces prévisions s'adressent à la zone Bassin Parisien - Belgique. Des différences sensibles seront parfois observés hors de ces limites. Si l'hiver 2004-05 fut doux sur les 250 dernières années, il est à peine dans les normes si on le considère par rapport aux 30 dernières années. La normale hivernale 1757-2004 est de 3,5° La normale hivernale 1971-2000 est de 4,6° HIVERS........T° 2000-2001 : 6,2 2001-2002 : 5,8 2002-2003 : 4,6 2003-2004 : 5,5 (5,2 étaient prévus, soit +2,2 (1757-2004) et +0,9 (1971-2000) 2004-2005 : 4,4 (4,4 étaient prévus, soit +1,1 (1757-2004) et -0,2 (1971-2000) Prévision pour le prochain hiver : 2005-2006 : 1,9 soit -1,6 (1757-2004) et -2,7 (1971-2000). La température moyenne de notre hiver 2004-05 est parfaitement bien réussi puisque qu'on ne relève aucune erreur : 4,4° prévus et relevés. Un bel exemple montrant qu'une moyenne peut cacher bien des écarts aux niveaux inférieurs. Il faut en effet nuancer ce brillant résultat à la lumière des erreurs mensuelles : on note un mois de décembre comportant exactement l'erreur inverse et relativement importante du mois de janvier (environ 1,8° d'erreur). La chance a bien joué, mais l'erreur n'était pas trop importante. Le mois de février était parfaitement vu et confirme le bon résultat hivernal. Florent.
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	  Analyse prévisionnelle de FEVRIER 2005florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières Vérification des analyses prévisionnelles mensuelles Mise à jour au 1er mars 2005. Voici le bilan de mon modèle d'analyse prévisionnelle au 1er mars et dont on va pouvoir considérer le fonctionnement sur les deux dernières années. Au niveau mensuel, les résultats sont optimals, le niveau journalier moins bien corrélé permettant de voir les grandes inflexions des températures durant cette période. Vous trouverez deux graphes ci-dessous qui permettent de vérifier et valider ma méthode d'analyse. Le premier graphique va comparer les écarts à la normale 1971-2000 des température prévue aux écarts de température à la normale réellement mesurées à la station de Paris le-Bourget depuis janvier 2003. Le second graphique compare cette fois en valeurs absolues, l'erreur prévisionnelle (l'écart entre les courbes du premier graphique) à nos écarts de température à la normale mesurées à Paris. http://membres.lycos.fr/florentplanchon/Images/verifprev0503.jpg Quels sont les enseignements à tirer de ces analyses ? D'un seul coup d'oeil, on constate par les deux graphiques que les prévisions sont très bonnes de mars à octobre 2003 inclus, sur décembre 2003, janvier et avril 2004, de juin à novembre 2004 inclus et en février 2005. Elles sont plus moyennes sur les autres mois. Elles ne sont véritablement mauvaises que pour 7 mois : l'erreur prévisionnelle surpasse alors l'écart à la normale climatique 1971-2000. Les mois avec un échec sont janvier et février 2003 au démarrage du cycle climatique, puis les mois de novembre 2003, mars, mai, décembre 2004 et janvier 2005. On a des échecs, mais ils ne dépassent les 2° que deux fois (cf. losanges rouges sur la courbe verte du second graphique). Nous obtenons donc sur 2 ans (2003 & 2004) : 18 mois de bonnes prévisions soit 75% de réussite. Sur les 26 mois de l'étude : 19 mois de bonnes prévisions soit 73% de réussite. Le modèle semble meilleur pour percevoir les mois qui comportent les plus grands écarts de température. Dans l'absolu, les mois très tranchés autorisent les erreurs les plus grandes, mais sur ces points là, le modèle se montrent excellent avec une précision quasiment toujours inférieure au degré celsius. Ce modèle prévoit très précisément les températures de l'année 2003 à partir de données du passé thermiques et solaires. C'est pour cette raison que je pense que tout le déroulement climatique de 2003 n'était absolument pas dû au hasard. Le premier graphe atteste clairement l'existence de cycles climatiques par nature prévisibles avec des conditions météorologiques forcée par les rythmes d'activités solaires. Ces calculs n'ont pas été mis au point à temps, mais on peut clairement voir rétrospectivement que la canicule d'août 2003 était inévitable et très précisément prévisible à quelques dixièmes de degré près par un modèle excellent d'août à octobre 2003 ! Et au moins à partir de juin 2003 qui est très bien vu aussi par le modèle, tout comme le relatif répit de juillet. Même le mois d'octobre plus froid et qui a beaucoup surpris après tant de chaleur est bien vu. Comme je l'avais dit à l'époque, suivant une année comme 2003 dans un cycle climatique de ce type, l'année suivante se montre beaucoup plus modérée. En effet, depuis novembre 2003 seul un mois présente un écart mesuré de plus de 2° et qui était d'ailleurs vu comme le plus chaud à partir de là : septembre 2004. Les écarts à la moyenne plus faible en 2004 n'ont pas facilité la prévision, surtout au printemps 2004. Avec ce nouveau mode de calcul très bon pour 2003, dès le mois de juin 2004, le modèle est de nouveau performant. Il m'aurait permis de voir beaucoup mieux que j'ai pu le faire l'été 2004 si j'avais eu ces éléments en ma possession comme vous pouvez le voir. L'automne particulièrement doux est bien vu aussi. Derniers gros artéfacts en date : décembre 2004, erreur qui serait dû à la persistance d'inversions en basse couche car l'air était effectivement bien doux quelques centaines de mètres au dessus du sol. Janvier 2005 marquant le début de l'intensification du système d'ondulations générant des flux de nord qui a commencé à apparaître en 2004 : les flux de nord ont mis un peu plus de temps que prévu à s'installer au départ et ont d'abord touché l'Europe centrale. Mais le mois de février a ensuite été très bien vu aussi bien au niveau mensuel qu'à échelle fine. Malgré une certaine érosion que nous constations dans les performances de notre modèle, le mois de Février 2005 qui renoue avec les très bons résultats semble indiquer qu'il a encore des choses à dire. Il reste à savoir si notre modèle sera aussi pertinant pour la suite de l'année 2005. Florent.
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	  Analyse prévisionnelle de FEVRIER 2005florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Tendances saisonnières PREVISIONS DES TEMPERATURES 1er SEMESTRE 2005 dans le Bassin Parisien Mise à jour au 1er mars 2005 Voici quelques chiffres en sortie de mes calculs remis à jour cet automne. On trouvera ci-dessous les prévisions, les mesures réelles et le calcul de l'erreur qui en résulte en valeurs. Prévision : écarts prévus des températures moyennes mensuelles par rapport aux normales 1971-2000 des températures à la station de Paris le Bourget. Mesures : écarts mesurés des températures moyennes mensuelles par rapport aux normales 1971-2000 des températures à la station de Paris le Bourget. Erreur = Prévision - Mesures L'erreur moyenne est de 0,8° dans les 6 derniers mois et de 0,9° pour l'année 2004. MOIS__ prévi_ mesur_ erreur 07/2004 +0,2 +0,5 -0,3 08/2004 +1,6 +1,9 -0,3 09/2004 +3,4 +2,2 +1,2 10/2004 +1,0 +1,5 -0,5 11/2004 +1,5 +0,8 +0,7 12/2004 +0,5 -1,2 +1,7 01/2005 -0,1 +1,7 -1,8 02/2005 -0,8 -1,0 +0,2 03/2005 +0,6 04/2005 +4,1 05/2005 +0,2 06/2005 +2,2 Florent.
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	Pas de problème Lds, ce n'est pas pour cacher quoi que ce soit que ce n'est pas fait, mais davantage parce que je suis occupé ailleurs. Le mois de février 2005 colle de nouveau très bien avec la température théoriquement prévue avec une erreur minime de +0,2° C à Paris le Bourget.En attendant la mise à jour de ma courbe mensuelle, voici les vérifications chiffrées pour les derniers mois dans cette page que j'ai remis à jour : /index.php?act=ST&f=9&t=7140&st=40#entry95614'>Températures mensuelles prévues en 2005 en chiffres Cela se pourrait bien que le soleil soit responsable de ce type d'événements froid, non pas directement comme une vision simpliste des choses pourrait le laisser croire : il ne fait pas forcément plus froid à l'échelle de la planète au moment où un hiver glacial sévit en Europe. Mais indirectement, en provoquant et en forçant des blocages de longue durée en un lieu donné, en opposition même à la force de Coriolis qui amène normalement en moyenne par le flux d'ouest, un climat océanique et des hivers relativement doux et humides en Europe de l'Ouest, l'effet continental se faisant de plus en plus important au fur et à mesure de la progression vers l'est dans les terres.Quelle autre explication proposez-vous par rapport à la survenue d'événements froids, cela m'intéresserait de connaitre votre avis sur la question ?? Notez que ces coups de froid ne s'opposent absoluement pas à la progression globale des températures autour de la normale en raison des GES ou de tout autre facteur. Pour ma part, j'étudie moins la progression globale des températures que leurs variations locales. Florent.
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	C'est très intéressant, mais je ne travaille pas à l'échelle journalière par rapport à la constante solaire, mais au minimum à l'échelle mensuelle, sinon annuelle et sur des décennies. Torrent a lui une autre approche et cela devrait plus l'intéresser : il saura mieux que moi quoi répondre par rapport à ces variations fines. FLorent.
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	Je comprends bien où tu veux en venir Lds, mais que je connaisse à l'avance ou non ce qu'a été le climat de 2003 ne change rien à l'affaire : il était prévisible que la chaleur dépasserait au moins les +3,5° d'anomalie aux normes saisonnières sans entrer dans les détails. En allant plus loin, on trouvait bien les +5° que nous avons connus en juin et en août 2003, ici, à Paris le Bourget. Prévisible, sauf qu'à l'époque je ne possédais encore cet outil prévisionnel. Malgré cela et avec le faible avancement de mes travaux à l'époque, j'avais bien averti qu'un été particulièrement chaud et sec se préparait, ce qui ne faisait déjà aucun doute ou presque pour moi. Je n'ai rien adapté du tout : j'ai bien expliqué que en plus des températures observées selon un cycle déterminé, des données solaire uniquement (et qui le déterminent) entraient dans les calculs. Or, si il faut que je sois plus clair, la constante solaire moyenne n'a jamais atteint de pareils sommets depuis plus de 500 ans de façon concommitante avec un forçage solaire provoquant la configuration à été chaud et sec sur l'Europe : s'ensuivent directement les conséquences que vous connaissez tous... En clair, plus la courbe théorique que j'ai calculé et la courbe réelle de température sont proches, plus le soleil régit directement notre climat et en 2003, ce "contrôle" du soleil n'a jamais été plus intense comme l'illustre très bien ma courbe (Cf. Vérification des prévisions mensuelles : la canicule d'août 2003 était précisément prévisible). Florent.
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	Voici quelques sites que je connais... si vous en connaissez d'autres n'hésitez pas à les ajouter à la suite... /index.php?showtopic=8214'>Les principaux SITES de prévisions saisonnières J'espère avoir répondu à ta question Météor... Florent.
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	LES PRINCIPAUX SITES DE PRÉVISIONS SAISONNIÈRES Liste de sites classés par pays présentant des prévisions à long terme pour le continent européen et la France. Veuillez cliquer sur le lien ci-dessus et accédez à 47 sites de prévisions saisonnières. Bonne lecture ! Pour toute erreur relevée ou lien cassé, vous pouvez contacter le support technique . Merci. Florent.
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	  Semaine du 14/03/05 au 20/03/05florent76 a répondu à un sujet de Jean-Michel10 dans Evolution à plus long terme Mais c'est tout à fait possible, les grains de sable ça existe aussi ! Ce que j'indique sont les tendances forcées ou induites par la rythmique solaire. Si les conditions locales sont les plus fortes (ce qui est plus rare que l'inverse, mais arrive régulièrement), alors j'ai de grandes chances de me fourvoyer dans une mauvaise annonce. Quand le soleil induit des écarts aussi forts, ils sont normalement bien au rendez-vous : c'est en fait le contraire qui serait une anomalie et il faudrait en comprendre les causes... Je suis entièrement de cet avis : je pense que le périmètre des analyses que je propose est à présent bien mieux délimité et plus clair grâce à l'échange de ce matin. Ce qui est clair pour quelqu'un ne l'est pas forcément pour les autres et on le constatait encore ici.Florent.
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	Cette modification des températures de l'océan fait partie de ces paramètres locaux qui pourront induire des divergeances entre la température théorique que je prévois et la température réellement observée. Justement, si il fait moins chaud que prévu, on aura une idée des raisons possible. Le rythme solaire force un mois d'avril chaud, c'est ce que je calcule et ce que j'indique en fait... nous verrons jusqu'à quel point la part de chaos de la machine climatique pourra entraver cette tendance pré-déterminée... De la même manière est forcée la tendance à un prochain hiver rude. Et ce type d'hiver tardif que nous venons de connaitre est parfois forcé aussi, mais pas systématiquement : de nombreux mystères m'échappent toujours. Quand on voit les choses en terme de modelisation et de sorties brutes à confronter avec le réel, on voit les choses tout à fait autrement. Avec ce modèle, j'essaie d'isoler la part de la tendance qui est dûe au seul soleil et je ne vais pas plus loin... on voit que ça explique presque tout déjà... en décembre dernier, par exemple, les paramètres locaux ont été plus forts que le signal solaire. Florent.

 
        