florent76

Au niveau des prévisions saisonnières, je n'ai que de mauvaises nouvelles et espère me tromper pour cette fois : en tendances, le mois d'avril serait un des mois, sinon le mois le plus sec de l'année 2005... Florent.

Ce qui est avancé est probablement exact quand au déroulement des événements précédant l'arrivée d'une période glaciaire : de plus en plus de faisceaux d'indices montrent que des brusques changements de températures sont déjà arrivés dans le passé et en effet à moyenne échelle cela fait 9000 ans. J'ai relevé deux passages : D'où proviennent ces chiffres ?? Les mesures indiquent si je ne me trompe pas que l'Antarctique s'est refroidi depuis 1940. Difficile de savoir si ce sont les facteurs naturels ou humains qui sont pour l'essentiel du réchauffement mesuré actuellement. Il n'est pas encore selon moi exceptionnel : on approche les niveaux les plus hauts mesurés durant le Moyen Age. Mais les années qui viennent vont être déterminantes, le point de non retour serait atteint si la Terre se réchauffait encore de 0,6°, et ce serait encore plus inquiétant si cela allait encore plus loin comme le suggèrent certains experts.Ce qui m'inquiète vraiment dans ce passage, c'est ce refroidissement qui est cité : celui de la stratosphère. Au delà de cette oeuvre de fiction, ce fait est bien réel. Je ne comprenais pas pourquoi elle se refroidissait jusque là : tout s'éclaire à présent. Et la proportion d'ozone aux pôles est d'autant plus faible que le refroidissement est fort à cette altitude, ce que l'on a bien observé. Mais le pire, c'est que ce refroidissement prouve réellement que l'on a un effet de serre croissant au sol et que la chaleur y reste piégée. Et là, il ne peut pas y avoir d'autres causes à cela qu'humaines. Si c'est bien là l'explication (il faut toujours rester prudent fasse aux mystères de la nature), la température au sol devrait continuer à croitre dans des proportions cette fois inconnues depuis des milliers d'années et il y a tout lieu d'être très pessimiste... Je ne tire pas plus de conclusions que cela de ce livre intéressant par ses apports à la reflexion : la science-fiction de qualité a du bon... et quand on sait que la réalité a parfois rejoint la fiction, on y prête une oreille plus attentive. Florent.

Difficile de savoir surtout comment évoluera cette descente froide, je suis d'accord. Mais je signale par ailleurs qu'elle concerne l'est de l'Europe dès ce dimanche de Pâques. Après une journée de samedi encore printanière en Allemagne et en Pologne avec des maximales proches des 15°, l'hiver revient pour Pâques en Pologne où il ne fera pas plus de 7° au meilleur de la journée. Et lundi, c'est au tour de l'Allemagne par le nord, puis entièrement mardi. Les gelées de ce coup de froid pas anodin pour la saison pourront atteindre au pire le matin les -7° tandis que l'on ne dépassera plus 3 à 5° l'après-midi : pour le moment l'Allemagne serait concernée par ce scénario avec un froid maximal à partir de jeudi 31 prochain... Difficile de se prononcer sur le sort que subira la France : fraicheur à l'est, petite gelées le matin si le froid nous effleure... il pourrait faire beaucoup plus chaud si on a un décallage des centres d'actions vers l'est et une impulsion d'air chaud un peu plus puissante... bien plus froid dans le cas d'un décallage inverse Wait and see ! Florent.

Cela a été longuement expliqué dans le forum prévision saisonnières. Ces calculs sont basés sur l'étude des températures et des configuration climatiques couplées avec l'étude des cycles solaires sur 100 à 150 ans en haute précision et 1000 ans en précision moyenne et faible.Florent.

J'entends bien que si le scénario chaud l'emportait pour début avril, cela ne serait pas durable. Le modèle saisonnier prévoit lui aussi du froid vers le 8 avril, mais impossible de dire par quelle configuration. Cette période froide constitue à la base la seule période vraiment froide du mois, la chaleur étant plus ou moins présente tout au long du mois en tendances. Pour la éniemme fois, il n'en n' est pas question : j'ai une modélisation très précise des températures quotidiennes et le modèle n'intègre jamais les évolutions récentes du temps. Je me réserve ensuite le droit d'intervenir sur le forum si cela ne te dérange pas afin d'indiquer et d'expliquer où il a pêché ; le cas échéant d'en fournir l'explication. Lorsque les prévisions seront consultables sur une page web, cela sera plus clair et on fera mieux la part des choses entre mes prévisions (inamovibles) et les commentaires annexes et de l'ordre du suivi et de la compréhension des erreurs que j'ajoute.Tout théorique qu'il est, je suis très confiant dans mon modèle pour le mois d'avril : alors qu'il avait été très moyen en décembre et janvier, il a repris du service depuis prouvant que les relations sur lesquelles il est basé restent très pertinentes. Cependant et ce n'est pas un scoop, sa fiabilité peut diminuer de nouveau sans prévenir car très peu d'élements sont encore intégrés. Merci Vincounet, il reste encore beaucoup à faire en matière de prévisions saisonnières ; tout ce que j'expose n'en sont encore que les bases grossières mais heureusement déjà prometteuses ce qui encourage à poursuivre les recherches. Dans ce cadre, tes encouragements sont les bienvenues. Le travail n'est qu'un étape, il faut ensuite l'expliquer le plus pédagogiquement possible et ce n'est pas toujours simple, je me suis souvent mal fait comprendre à mes débuts déjà que j'en savais moins qu'aujourd'hui, faute d'y avoir mis les formes et développé des points de références communs. Florent.

Voici ce que j'écrivais hier dans la rubrique prévision saisonnière. Les calculs permettraient apparemment de nous éclairer, mais jusqu'à un certain point. Ils indiquent clairement pour résumer que de forts flux méridiens (descente froide et sa résultante montée chaude) sont à envisager sérieusement vers le 1er et le 8 avril. Pour le 1er avril, cela pourrait aboutir à la situation que décrit Loon : D'autant que ce matin, les modèles voient clairement le binome descente froide-montée chaude à l'horizon de la fin mars. Modèle ECMWF - 168 h Modèle GFS - 180 h Pour le moment, la descente froide flue de la Pologne aux Balkans et effleure la France, d'où l'incertitude dont je parlais. C'est en effet le grand FLOU : on pourrais avoir franchement froid avec un décallage vers l'ouest ou alors très chaud si le tout se décalle vers l'est (ce qui semble plus probable). Comme le conclue Jean-Michel10 : Wait and see... Florent.

Je suis entièrement d'accord avec cette analyse. Avez-vous vu les modèles du jour ? Même si la température à 850 hPa ne paye pas de mine pour les premiers jours d'avril pour le moment, il suffirait apparemment d'un simple décallage des centres d'action pour qu'elle explose. Une bouffée chaude est prévue sur l'Espagne avec un flux de sud reliant directement le Sahara avec la Scandinavie ! Et sur l'Atlantique, un énorme anticyclone est en attente prêt à pousser par l'ouest : tout cela est peut-être bien l'annonce de l'amorce d'un chaud mois d'avril. Modèle GFS, prévision à 180 h Mais rien n'est encore tellement sûr... Wait and see ! Florent.

J'ai bien compris ce que tu as dis, mais n'oublie pas que j'avais expliqué que les températures ne seraient ni très douces, ni très froides en février : on ne peut donc pas dire globalement qu'une quinzaine était prévu beaucoup plus douce que l'autre : j'avais surtout imaginé des températures proches des normes avec des coups de froid répartis comme cela avait été expliqué. Ainsi, dans le détail, il n'était pas prévu que le froid se prolonge à partir du 20 jusqu'à la fin du mois et encore moins en mars, je suis d'accord. Les séries françaises disponibles sur le net débutent vers 1880. Je t'ai envoyé un message pour répondre plus précisément à ta question, mais il n'existe pas à l'heure actuelle de moyens pour obtenir davantage de donnée. Florent.

Merci pour ce prévisions Nigu68... Je n'avais pas songé à la vidéo. Disons que je pense qu'un camescope est plus adapté pour faire de la vidéo qu'un APN. sur celui-ci, c'est consommateur d'espace et ce mélange des genre est-il vraiment satisfaisant ? Quel est la qualité de ces vidéos ?? Si il s'avère que les vidéos sont de basses qualité, je préfère investir dans un APN possédant un meilleur zoom par exemple puisque c'est une des faiblesses du Casio EXP. Dans le cas contraire, le Casio pourrait bien me séduire, car pouvoir faire quelques petites vidéos d'orages ne déplairait à personne. D'autres part, le fait que les divers composants soient fabriqué par les meilleurs en la matière, et non le travail d'un contructeur non spécialisé est très convaincant. J'attends néammoins impatiemment la petite étude que tu as prévu de faire, car j'aime comme chacun pouvoir comparer les offres entre elles. Dommage que des tests n'aient pas été fait sur le Konica Minolta Z5. Florent.

Au moins un hiver très rude c'est certain. Ensuite pour les répliques, elles sont assez envisageables, mais pas obligatoire surtout dans les deux années qui suivront. Dans le cas d'un hiver rude en 2005-06, difficile encore d'être affirmatif pour les hivers 2007 et 2008, mais un froid important a de grandes chance de toucher un des mois de l'un ou des deux hivers. Florent.

Est-ce que j'ai dit quelque chose de différent ? Evidemment que globalement mars est bien prévu, mais dans le détail, il n'y a pas photo : en février, la prévision est bien meilleure. On peut considérer que l'essentiel est fait si la prévision saisonnière consiste à avoir de bonne tendances globales. Après c'est un autre débat. Je fournis le maximum de détails jusqu'au limites du possible : rien ne m'y oblige et les erreurs sont bien entendu plus fréquentes, il suffit de le savoir. Je ne me permets aucune modification : n'hésites pas à cliquer sur mes liens en bas de post, les dates de postage faisant foi ! Voici d'ailleurs ce que j'écrivais deux posts plus haut : Je n'ai pas jugé utile de parler des ces réchauffements puisque le temps est déjà réchauffé actuellement quasiment au point qui était prévu : c'est bien l'inflexion froide vers le 20 mars qui a brillé par son absence (à l'ouest de l'Europe tout du moins). Ce fut exactement le cas au contraire, puisque le temps a été froid comme prévu à partir du 13/02, que l'on a eu un très court redoux surtout sensible le 18/02 avant la dégringolade du thermomètre et le début des chutes de neige généralisées à partir du 20/02. Tu devrais effectivement consulter les données de températures afin de ne plus dire de contre-vérités. Je te conseille cet excellent site :ECA - European Climate Assessment & Dataset La récupération des données est fastudieuse, mais cela en vaut la peine : quelques centaines de stations à travers l'Europe sont remise à jour quotidiennement avec des séries longue de 50 à 200 ans. Florent.

Si justement : c'est pour cela en premier que je ne travaille que sur les plaines nord européennes de la France à la frontière polonaise. Plus au sud, les reliefs compliquent l'équation. La seconde raison est moins scientifique et beaucoup plus pratique : je ne dispose de toute façon pas d'assez de données en général pour la moitié sud de l'Europe et même de la France. Florent.

Tout à fait et mon modèle marche précisément à l'économie puisque basé uniquement sur des données solaires et l'observation des données climatologiques du passé. Il est finalement normal qu'il dérape dès que la situation est plus complexe. Ce qui est réellement intéressant par contre, c'est de voir que ces seules données expliquent à elles seules les 3/4 des variations thermométriques en Europe.Partant de là, quand ça dérive, on peut penser que c'est imputables à d'autres causes et rechercher de manière plus ciblées desquelles il s'agit. Même si je peux me tromper, je suis satisfait quand je peux comprendre malgré tout pourquoi, ce qui n'est pas donné à chaque fois. Ici, c'est très clair : décallage des centres d'actions... le cauchemar de tout prévisionniste ! Et en saisonnière, on ne peut pas rectifier le tir au dernier moment. Mon modèle n'est pas plus orienté pour une ville que pour une autre, les prévisions saisonnières pour une ville étant bâties à partir des données climatologiques historiques de cette même ville. Après si on dispose d'un maillege de ville pour lesquelles le calcul a été fait, on peut interpoler pour les zones non couvertes qui les séparent.Florent.

On pourrait être amené à attendre un peu pour la chaleur en effet... Le modèle prévoit toujours la même chose à savoir un mois d'avril très chaud : c'est calculé depuis 6 mois et ça ne va pas changer de la veille pour le lendemain. Ca, c'est la théorie (l'invariant jusqu'à nouvel ordre). Dans la pratique, si je dois analyser les sorties du dit modèle entre le 20 mars et le 10 avril on avait : - un refroidissement vers le 20/03 - un réchauffement vers le 1/04 - un refroidissement vers le 8/04. Le 20 mars étant passé : que peut-on voir et surtout comprendre ? On constate que ces grandes fluctuations de températures sont toujours dûes à des ondulations avec descentes d'air froid à la clé, mais montée d'air chaud 1000 km plus à l'ouest : pas grand chose de nouveau depuis cet hiver, voire même l'automne dernier avec à la clé des précipitations très faibles à cause d'un flux d'ouest très discontinu, voire interrompu durant de longues périodes. Je pense que j'ai eu beaucoup de chance en février : aux refroidissements annoncés en tendances ont bien correspondus des descentes froides sur la France. Mais, je parle de chance car des décallages peuvent facilement intervenir dans ces conditions synoptiques là et transformer de bonnes prévisions en erreurs maximales. Et cela n'a pas manqué de se produire en mars : ainsi, le refroidissement annoncé le 20/03 a bien eu lieu, mais en Europe de l'est : la France a été dans le talweg avec un réchauffement puissant avec des records au contraire. Vers le 1/04 est annoncé un réchauffement qui aura probablement lieu lui aussi, mais trop à l'ouest : la France pourrait être à l'inverse dans une descente froide. Et le 8/04, c'est peut-être à nouveau un réchauffement qui sera observé, à moins que les centres d'actions soient enfin bien positionnés. Dans tous les cas : erreurs maximales. En conclusion, de la même façon que c'est le cas avec les modèles numériques, l'incertitude est totale aussi en prévision saisonnières pour le début avril. Ce que l'on peut dire tout de même, c'est que d'importants changements de tendances en températures seront les plus probables vers les 1er et 8 avril. Ces changements apportant de forts écarts aux normales saisonnières, mais impossible de dire si c'est dans le chaud ou le froid et c'est tout le problème. Par défaut, en adoptant la position la plus préventive, on peut craindre sérieusement de fortes gelées autour de ces périodes quelque part en Europe, soit à l'est, soit à l'ouest. Après cette période d'incertitude, il semble bien que la période postérieure au 10 avril soit plus sûrement favorable à la chaleur qui serait soutenue et pourrait même atteindre le niveau de la canicule sur les 2/3 du pays ! Florent.

J'ajoute que ton site est de plus en plus passionnant : tu as fait un sacré boulot cet hiver. De très belles photos et j'aime beaucoup les chroniques du temps depuis 2003 qui permettent rapidement de se souvenir des événements météo les plus marquant, sans oublier tes remarquables cartes climatologiques avec la mise en évidence de paramètres souvent inédits. Florent.

Effectivement, malgré mes chaudes prévisions saisonnières pour avril, cela n'exclut absolument pas un coup de froid tardif qui ne pèserait pas très lourd sur la moyenne mensuelle, mais qui pourrait être bien marqué en particulier avant la mi-avril. Reste à savoir ensuite dans quel mesure la réalité s'approchera des tendances évoquées, mais il s'agit bien de sécheresse et de chaleur pour avril. Et si la chaleur tarde à venir, cela pourrait éventuellement signifier des records battus en seconde partie de mois... Profitons bien des quelques pluies que nous offre cette fin mars au nord de la France. A l'inverse de la moitié nord de la France, les côtes méditerranéennes pourraient être plus arrosées à partir du mois d'avril. Florent.

J'ai en effet une vision d'un certain nombre de cycles et je peux en effet préférer un scénario en fonction de la manière dont ils se recouvrent. Le forcage solaire défini tout autant ces recouvrements de phases qu'il fait évoluer ensuite le résultat que cela induit, mais cette évolution n'est qu'un réglage mineur. A 90%, ce sont bien les phases des cycles qui décident de tout. Florent.

C'est bien ce que je tente d'expliquer : mon modèle sort une solution déterminée (avec une fiabilité plus ou moins grande que l'on évalue en comparant les données calculées aux données brutes du cycle en court (c'est la vérification) et des anciens cycles depuis un siècle (ce qui calibre les marges d'erreurs possibles).Florent.

Si on parle du cycle relié aux conditions caniculaires en 2003 et qu'on le fait débuter cette année là, il a donc 2 ans actuellement. Je ne pense pas non plus que l'on ait de déterminisme absolu, mais bien un déterminisme relatif : c'est pour cela que je parle de forçage. En effet certains phénomène se reproduisent ou du moins ont de grande chance de le faire à certains moments d'un cycle. Pour être totalement transparent et comprendre ce qui a mis en échec ma prévision (de tendance, pas absolue dans ces conditions), il suffit d'observer ce qui diffère entre la fin mars 2005 et la fin mars 1949 : on aura déjà une bonne idée des potentialités actuelles en terme de températures et de pressions, car ces deux mois font en particulier partie de la même famille au niveau cyclique.Florent.

Cette part d'aléatoire fait partie du modèle.Elle est principalement dû en entrée au nombre insuffisant de données utiles (solaires et thermiques), même si des séries de un à deux siècles peuvent paraître longue. Elle est dû en sortie au chaos généré par l'atmosphère qui fait que l'on ne retrouve jamais des conditions identiques en tout point même si le forcing solaire était identique (ce qui n'est pas non plus strictement le cas). Florent.

Je me suis mal exprimé : j'ai rectifié la question... Il s'agit en fait des températures en degrés jours telles que tu les as calculées et illustrées par des exemples, mais correspondant aux différentes phases de la maturation du blé (bien identifiées par Zadok). En gros, je voudrais savoir à partir de la levée, si il faut un cumul de 120 DJ pour atteindre la phase Z31 (au début de l'élongation), puis attendre le cumul de 300 DJ pour atteindre l'épiaison ou phase Z55* ??? Florent. * Les chiffres en DJ sont totalement inventés.

Merci beaucoup Nigu68 pour ta réponse bien ciblé... Mes besoins sont bien définis : - photos paysagères et d'orage - bon rendu couleurs et luminosité en ambiance crépusculaire ou nocturne (peu de bruit) - bonne netteté, luminosité et couleur en macro (textes-cadastres anciens). Je ne pense pas que la photographie d'ouvrage nécessite des macros trop puissantes, mais il faut que la photographie soit parfaite prise à 10 ou 20 cm. Avec l'Olympus C8080 et ses 700 euros, tu tapes en haut de mon budjet... Existe t-il des APN suceptibles de pouvoir couvrir mes besoins à des prix plus bas ? Question subsidaire : faut-il se méfier des constructeurs qui font pas de la photographie leur première spécialité : je pense à Sony qui était plutôt orienté dans l'audiovisuel alors que Kodak a toujours fait de la photo ?? Florent.

Les cycles climatiques sont de retour indépendamment des cycles solaires instantanés par "effet de résonnance". C'est ainsi que j'explique le retour des hivers rudes et des étés les plus chauds sans que cela ait un rapport avec l'occurence proche ou lointaine d'un minima solaire. Mais les cycles que j'ai découvert sont reliés entre eux notamment en fonction de leur âge respectif, on a des conséquences climatiques un peu différentes, ce qui fait que l'on peut identifier plus ou moins clairement les années appartenant aux mêmes familles, d'où plusieurs scénarios. J'espère que tu me suis toujours, car à tout cela s'ajoute ensuite les effets chaotiques instantanés du climat que je ne sais bien sûr plus calculer. Florent.

J'ai trouvé deux études indiquant deux nouveaux zéros de végétation : 5° pour les framboisiers 0° pour les chênes verts... Ce n'est pas exactement ce que je cherchais, mais je ne désespère pas d'en savoir plus sur les espèces qui m'intéressent. Merci beaucoup pour tes formules et exemples très éclairants. Il manque pourtant un détail... J'ai déjà pu lire que généralement, les céréales ont besoin de 80 DJ pour germer. Pour la levée, il faut 20 DJ supplémentaires par cm de profondeur de semis, la profondeur idéale étant de 2,5 cm. On compte les DJ à partir de 0°, puisque qu'on va considérer des blés d'hiver dans l'exemple. À des températures automnales typiques de 15 °C le jour et de 5 °C la nuit, il faut compter 8 jours (15 °C + 5 °C = 20/2 = 10 degrés-jours/jour) pour la germination, et 5 jours supplémentaires pour 2,5 cm de profondeur de semis pour la levée. Des températures plus froides ralentiront la croissance. Je ne sais pas comment évolue ces pousses ensuite, l'échelle de Zadok variant toujours de 0 à 92 n'étant qu'un indicatif de phase de la pousse du blé. Question subsidiaire : A quelles températures en degrés-jours correspondent les différentes phase de la vie du blé, du tallage à la maturation ?? Florent.

Le modèle est basé sur des données allant de l'Ile de France à l'ouest jusqu'à l'Allemagne et la Tchéquie à l'est. Le phénomène prévu ne s'est réalisé que sur l'est du territoire que j'étudie : on ne peut pas valider la prévision concernant la portion ouest du territoire étudié. Je ne pense pas, parce que ce refroidissement est déconnecté de la descente froide qui affecte les pays baltes et l'Ukraine et dont l'Allemagne subit les contrecoups en étant à la bordure ouest. Il n'est publié nulle part encore : c'est envisagé à plus ou moins long terme. Le modèle possède un scénario de base qui fonctionne dans 75% des cas et auquel je me réfère toujours à cause de ce très bon taux de réussite. Ensuite d'autres scénarios se dégagent et peuvent donner des indications lorsque le scénario de base n'est pas concordant, mais je ne les consulte qu'avec prudence, car il ne concordent que dans moins de 10% des cas. Ainsi, mon choix n'est absolument pas aléatoire puisque je ne me fie qu'à un scénario : après ça passe ou ça casse !Florent.