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La voila la vigi orange sur Mf
florent76 a répondu à un sujet de Parpayou dans Prévisions à court et moyen terme
C'est pour cela qe j'ai dit pour MF : Après, ils peuvent se tromper : les modèles ne voient pas tout, surtout en situation si perturbée... Au titre des zones en jaune qui doivent se mettre à l'abri, on a le sud-ouest en premier ! Sans doute MF a estimé que les contrastes thermiques vont être encore augmenté plus au nord... alors imagine ce que vont donner ces boules orageuses qui déjà te font peur... Florent. -
La voila la vigi orange sur Mf
florent76 a répondu à un sujet de Parpayou dans Prévisions à court et moyen terme
En 2003 c'était différent : cette fois, on a une zone de contact air franchement froid au nord, air chaud emmené par la depression qui va se creuser rapidement : c'est potentiellement beaucoup plus dangereux et bien dangeureux pour la France puisque c'est sur notre pays que s'établit le contact et le contraste la plus fort chaud/froid et pas en Espagne. Florent. -
4 - Conséquences possibles : Orages niveau 3 (orange) : -Violents orages susceptibles de provoquer localement des dégâts importants. -Des vies et biens peuvent être, localement, mis en danger. C'est du sérieux ! Mettez-vous à l'abri dans les zones oranges, sinon partout en France et en particulier au SO ! Ce n'est à mon avis pas à prendre à la légère surtout dans un contexte de changement général de temps et non de simple passage orageux d'été. Plusieurs tornades ont ravagé l'Allemagne cela ne fait que 15 jours : prenez-le comme un avertissement. Cette fois, c'est la France qui va prendre de plein fouet. Je suis très rarement alarmiste, mais dans le doute, abstenez-vous de sortir... si tout se passait bien, alors tant mieux ! Florent.
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La voila la vigi orange sur Mf
florent76 a répondu à un sujet de Parpayou dans Prévisions à court et moyen terme
Sans doute les orages ne seront pas suffisamment violent pour placer le SO en vigilance orange. Le orange, c'est pour les très gros dégats, pourquoi pas des mini-tornades noyées dans la masse et des lames d'eau supérieures à 100 mm localement comme dit précédemment et pour la facade est du pays... Attention, le jaune n'excluent pas des dégats moyens à important en quelques rares sites. Après, ils peuvent se tromper : les modèles ne voient pas tout, surtout en situation si perturbée. Florent. -
Alors ça pourrait rejoindre si on en croit la géographie de la vigilance MF, ce qui était dit : les orages forts sur la facade est, les pluies soutenues moins electriques sur l'ouest... Tout est orange (risque accrue, puisque la rouge est pour les cas très exceptionnels avec intervention de l'armée) de l'auvergne et le lyonnais, en passant par la Bourgogne, la France Comté, la Champagne, la Lorraine et l'Alsace. Tout le reste du territoire est en jaune, seule la Corse est en vert ! Florent.
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Ca commence à bouger ! La suite au prochains runs émis à 18 h ? Difficile de suivre et de prévoir la trajectoire des lignes orageuses à l'heure qu'il est... même pour Météo France apparemment ! Florent.
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C'est la part d'incertitude des modèles à h-12 ! C'est quelque part dans le Sud-Ouest, c'est tout ce qui est sûr ! A moins qu'un prévisionniste connaissant bien les effets locaux dans le SO, s'y colle... Il me semble que le lot et garonne et le gers morflent bien quand les orages débarquent des pyrénées (ce n'est qu'un point de vue statistique totalement déconnecté de la présente situation). Florent.
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C'est vrai, bonne remarque Ced33. Toutefois, on est jamais descendu en maxi hors zones océaniques et montagneuses sous la barre symbolique des 20° en juillet 2003 ! Une fraicheur précisément toute symbolique l'an dernier donc, mais bien présente si on compare ces journées au reste de l'été... Florent.
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Je ne dramatise pas... je préfère tout prévoir. Demain, il vaut mieux rester derrière sa fenêtre bien à l'abri car de toute façon ça va mouiller... Nous n'avons eu que peu d'orages depuis deux ans en Normandie : je ne sais pas trop à quoi on doit s'attendre : je pense plus à une journée très sombre et au ciel chaotique, avec des pluies intenses à la clé et qui donne sa réputation de verte prairie à la région (c'est moins vrai de nos jours avec pas mal de terres cultivées qui produisent éventuellement les fameuses coulées de boue). Une journée de flotte plus automnale qu'estivale une fois l'orage passé, voila à quoi je pense, mais je préfère éviter les grosses surprises, voila tout. Florent.
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Merci Naunau... connaissant la région, on a de bonnes raisons d'être inquiet, d'autant que le blocage de 1997 même si il a existé pour des raisons différentes, n'avait absolument pas été prévu avant par la météo... Peut-être rien, peut-être le pire donc. On en revient toujours au même pour demain : vigilance absolue ! Florent.
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Et étant donné la situation, est-ce qu'il y a possibilité de blocage des cellules orageuses ou pluvieuses tout au moins (qui seront situé en plein dans l'oeil de la depression se creusant) sur les terres normandes, amplifié par le différentiel thermique sol/mer. C'est la situation fatale en Haute-Normandie : les orages ne peuvent s'évacuer par le nord, comme bloquées par la ligne de la côte et la mer plus fraiche : les trombes d'eau s'abattent sur place générant un épisode "normand" (la version locale du cévenol)... on a eu ainsi le terrible orage du 24 juin 1997... avec des morts emporté dans des coulées de boue en pleine forêt de hêtre près de Saint-Martin de Boscherville (localement plus de 100 mm). Qu'en pensez-vous ?? Guy Plaut sous-entends que la depression va faire du sur place, mais la situation synoptique est bien différente de celle du 24/06/1997 ?? Le mouvement cyclonique sur la région même demain permettra la bonne évacuation des nuées, mais peut-être des pluies intenses par l'immobilité relative du centre même de la depression. Qu'en pensez-vous ?? Florent.
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On pourrait même avoir des inondations dans pas très longtemps ce qui serait un comble étant donné le déficit pluviométrique relevé jusqu'à aujourd'hui un peu partout... pour s'en convaincre, regardez ce qu'il s'est passé en juin en Allemagne (tornades et inondations). La pluie ne va visiblement plus s'arrêter de tomber un peu partout jusqu'au 14 juillet... Avis aux spécialistes : Quand a-t-on vu de pareilles dépressions en plein été se creuser sur la France et en provenance du sud ?! Le phénomène doit être assez rare je pense ?? Une belle goutte froide va même se former à terme... et quand on sait qu'elles sont imprévisibles. Aussi, ses conséquences risquent de prendre beaucoup de monde de court. Florent.
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Je vois également le tournant fin juin, mais il n'a pas été suffisamment évident pour tout le monde... avec ce qui nous attends, plus personne ne pourra prétendre le contraire. Espérons que les phases d'accalmies qui se produiront obligatoirement à un moment ou à un autre par poussée anticycloniques ne seront pas trop brèves auquel cas cet été laisserait un goût bien amer. Florent.
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Je viens de voir une prévision pour vendredi 9 juillet : on atteint péniblement les 15° au nord au meilleur de la journée... des maxis calamiteux : 13° à Lille, 11° à Besançon ! (Prévisions de Frank Bruel) C'est trop loin pour savoir si cela arrivera, mais je me permets de dire que c'est statistiquement possible en 2004 ! Si s'annoncerait un été simplement un peu frais d'après moi, quand on est en phase fraiche par contre, il faut savoir que les maxis peuvent approcher les records bas ! En contraste total avec l'année précédente, surtout quand il s'agissait de 2003 ! En attendant, la vigilance s'impose, répétons le, partout et surement plus à l'est à court terme, tant le zonage est difficile à établir... Florent.
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Oui, on est là ! Même si le phénomène n'est pas trop violent, j'imagine difficilement des campeurs sous une toile de tente recevant une lame d'eau de 10 ou 20 mm dans une soirée, vivre la situation sans inconvénients, pour leurs biens sinon pour leur sécurité... Et qui plus est que rien ne laisse prévoir dans le ciel d'aujourd'hui (au nord et bassin parisien tout au moins), la météo chaotique de demain : le changement de temps sera surement très brutal... Avec toutes les conséquences qui s'ensuivent. Florent.
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Il n'est pas dit que ces hivers ne surviennent nulle par ailleurs selon un autre calendrier... Seule l'Europe possède des séries et des textes permettant de connaitre les séquences climatiques rigoureusement sur 250 ans, sinon sur un millénaire. On pourrait toutefois envisager d'étudier les cycles climatiques de l'Amérique du Nord ou du Japon sur les 150 dernières années. D'autres part, les hivers européens ne surviennent pas forcément lors des inversions du champs magnétique solaire, mais rythmé à long terme par celle-ci, et de ce fait à n'importe quel âge d'un cycle solaire donné. Florent.
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Je suis assez étonné, même ayant étudié les statistiques depuis des mois de voir les conséquences in-vivo de ce que j'ai pu analyser... Je peux me tromper, mais j'ai la sensation que l'été 2004 est à un tournant (que j'attends et redoute depuis un mois) et qu'il va devenir beaucoup moins agréable sinon pourri pour une bonne semaine, sinon deux... A Rouen, le baromètre est au plus haut, le ciel était parfaitement bleu ce matin et on observe à cette heure que de simples cumulus de beau temps avec un soleil radieux : on a peine à croire que demain nous attendent orages et vents forts ! C'est que nous ne connaissions plus les vrais flux de nord-ouest en plein été depuis des années ! J'ai de grandes craintes pour les récoltes de céréales qui commençaient juste à mûrir, comme pour nos amis vacanciers : le fait est que dans les quatres éditions précédentes des années post-canicule, les conditions générales ont été plus que défavorables au tourisme et aux agriculteurs : en 1977 de nombreux vacanciers ont carrément plié bagages pour rentrer chez eux ou pousser plus au sud. Beaucoup ont choisi la Bretagne cette année par crainte de la canicule : il ne vont probablement pas être déçu du voyage, sauf que ce n'est surement pas ce à quoi ils s'attendaient ! Simple nouvelle alerte telle que la tempête du 23 juin dernier ou véritable changement de temps durable : nous allons très vite le savoir. Florent.
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En effet, c'est vrai, mais ce n'était pas conçu au départ, j'ignorais totalement ce fait statistique ! Il est vrai que j'ai avancé à l'échelle de l'été les grandes récurrences apparaissant dans les années que j'étudie : il s'agit plus de montrer l'enchainement possible des séquences météo que de penser qu'elles vont survenir en temps et en heures. Il s'agit d'un simple complément d'information : j'indique des valeurs moyennes mensuelle de températures et précipitations qui pourraient être approchées cette été et je pense très improbable de descendre à une échelle inférieure au mois. Il m'importe beaucoup moins de savoir dans quel ordre les événements météo y contribuant arriveront que d'avoir bien vu et compris le système synoptique conduisant à ce résultat. Florent.
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Merci à 41350 pour ce rappel méthodologique me concernant. Cela dit, la petite étude de Lunatic est très intéressante, j'ignorais cette petite pause thermique du thermomètre à la mi-juillet si on regarde à l'échelle du siècle. Dans tout les cas, les années type 2004 semblent avoir participé à plein à faire de cette mi-juillet une décade plus fraiche au siècle dernier. Nous verrons si cela se vérifie cette année, ou si les périodes plus fraiches sont décallées ou encore ne surviennent pas du tout (ce dont je doute fort !). Impossible à dire encore, ce qui est certain c'est bien le fait que la situation pourra être très différente entre nord et sud de la France : le nord sera la plus grande partie de temps dans une atmosphère très modérément chaude à fraiche, voire très fraiche. Le sud par contre et notamment le sud-ouest pourra éventuellement se trouver sur quelques jours sous influence de remontée chaudes voire caniculaires en provenance d'Ibérie avec de gros contrastes thermiques avec le nord. Gros contrastes dans le temps puisse qu'il pourra être aussi bien affectée ensuite par la fraicheur débordant du nord.Encore une fois, mes analyses saisonnières ne valent que pour le nord de la France, au sud, la situation pourrait et pourra être beaucoup plus ambivalente à l'exemple des derniers jours de juin 2004 presque caniculaires au sud, et simplement chaud au nord. Florent.
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Août 2004 : Ensoleillé et sec en première quinzaine, c'est possible... la chaleur sera effectivement très modérée dans ce cas au nord de la France (1 à 3 jours supérieurs à 30° au grand maximum, 0 très probable). J'attire d'ailleurs une nouvelle fois l'attention sur le fait que les analyses saisonnières s'adressent uniquement aux habitants du nord de la France. En effet, en cas de situation plus favorable à la chaleur, celle-ci devrait toujours rester très modérée au nord, mais il n'est pas impossible que le sud et notamment le sud-ouest connaisse une intense, mais brève canicule avec des maxima dépassant largement les 35°. Gros contrastes thermique (façon fin juin 2004) entre nord et sud et gros risque d'orages de grêles dans le sud à l'issue de la canicule, par contact avec l'air frais qui devrait toujours circuler au nord ou provisoirement au niveau du Benelux. Je n'ai consulté aucun modèle particulier pour penser que s'annoncerait un mois d'août en moyenne mensuelle (malgré des épisodes peut-être plus estivals) plutôt maussade. Pluvieux peut-être, relativement frais très surement. Je ne me base que sur mon étude mettant en relation cycles solaires et séries climatiques du passé. Avec les américains, je vois donc le même résultat, mais par une méthode différente... Florent.
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L'anticyclone dit des açores (parce que des hautes pressions siègent en moyenne annuelle dans la zone des Açores) a de plus en plus tendance a devenir une réalité géographique dans les prochains jours comme analysé de maintes fois précédemment. Dans les années moyennes, des hautes pressions ont plutôt tendance à s'étirer de l'atlantique vers la France, éventuellement à la traverser et à s'évacuer vers l'est dans un flux zonal plus dynamique. Il ne devrait rien en être cette année, les anticyclones restant bloqués sur l'Atlantique ou transitant bien trop au sud par la bassin de la Mer Méditerrannée. Effectivement Dicton, le mois de juin 2004 s'est montré beaucoup moins beau à l'est de la France et plus encore en Allemagne, loin des influence anticycloniques encore proches de l'ouest français, mais déjà singulièrement bloqué sur l'Atlantique. Voici ce que l'on peut retirer de la situation en reprenant cet éditorial, au plus proche de l'actualité météo. Lire mon dernier message dans "un flux d'ouest mou" (05/07/2004-18h06). Florent.
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Intéressantes évolutions depuis la semaine dernière : l'anticyclone dit des açores (parce que des hautes pressions siègent en moyenne annuelle dans la zone des Açores) a de plus en plus tendance a devenir une réalité géographique dans les prochains jours comme analysé de maintes fois précédemment. Dans les années moyennes, des hautes pressions ont plutôt tendance à s'étirer de l'atlantique vers la France, éventuellement à la traverser et à s'évacuer vers l'est dans un flux zonal plus dynamique. Il ne devrait rien en être cette année, les anticyclones restant bloqués sur l'Atlantique ou transitant bien trop au sud par la bassin de la Mer Méditerrannée. Dans ce cadre, selon la position plus ou moins septentrional du blocage atlantique, flux de nord, de nord-ouest ou d'ouest, parfois de sud-ouest (les masses d'air cycloniques contournant les hautes pressions en empruntant la route moyenne du nord-ouest. Les flux de nord auront plus droit de citer que les flux de sud, on le comprends... Quelques poussées anticycloniques nous permettront de vivre des jours plus agréables, surtout au sud ; trop rarement au nord de la France. En Europe s'opposeront un été calamiteux sur les îles Brittaniques et l'Allemagne à des épisodes possibles de canicules puissantes en Italie du Sud, en Grèce olympique et sur l'est de l'Europe lors de quelques descentes froides sur l'occident et donc la France. Après la tempête du 23 juin dernier, second épisode "automnal" : descente froide du 7 juillet (digne d'un hiver avec offensive neigeuse. Attention, "ces situations synoptiques d'HIVER au coeur de l'ÉTÉ peuvent engendrer des phénomènes intenses ou violents, notamment des orages de grêle dans les zones de contact, ou des pluies intenses et prolongées sur le continent, plutôt à l'est de nos frontières en général" selon Guy Plaut), avec au mieux forte lame d'eau et fraicheur, au pire orages potentiellement grêleux : l'été 2004 commence à se montrer sous son vrai jour, et ce n'est à mon avis pas fini ! C'est juste un été un peu en dessous des normes qui s'annonce (on en a connu de bien pire dans l'Histoire), renouant ainsi avec les conditions rencontrées durant l'été 2002... sauf que depuis on a connu 2003 et que la situation synoptique en cause n'est pas tout à fait semblable. 2002, c'était plus le flux d'ouest sud-ouest, tandis que 2004 basculerait plus volontiers dans le flux d'ouest nord-ouest : un peu moins pluvieux, mais plus violent, tempêtueux, orageux et surtout frais... Même le sud-ouest qui connaissait encore provisoirement la canicule en juin ne semble plus à l'abri de la fraicheur ; pour le nord de la France n'en parlont pas : la canicule sera vraisemblablement un souvenir de l'an 2003... si elle se manifeste un ou deux jours fin juillet ou début-août, ce sera bien payé, mais peut-être cher payé par des orages de grêles en retour... En pareille année, la mi-juillet a toujours été pourrie depuis un siècle avec une accalmie en fin de mois : on dirait que c'est bel et bien la tendance qui se dessine. Si on est encore à l'heure où on se réjouit de l'arrivée de la pluie, je ne sais pas si nous la regarderons encore d'un oeil si positif dans une quinzaine de jours ou un mois... A suivre, ma mise à jour pour le mois de juin dans le forum prévision saisonnières. Florent.
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J'ai avancé la date parce qu'elle est corrélé depuis 1500 avec la durée des cycles solaires et que pour rester corrélé, étant donné que le dernier maxima solaire a eu lieu en 2000, le prochain hiver rude doit avec le plus de probabilité tomber avant 2007... et c'est déjà envisageable pour le tout prochain hiver, même si ça me semble un tout petit peu court si on étudie le retour des hiver rude à l'échelle de plusieurs siècles. Une NAO prévue négative est un fait qui va dans le bon sens... je regarde pour le moment ce qu'il peut exister comme indicateurs hors de l'atmosphère terrestre (soleil, effets planétaires), sachant que les indicateurs atmosphériques terrestres ne vont traduire qu'en second, par répercution, les grandes évolutions cumulées du soleil et de la mécanique planétaire. Ainsi, il existe une part d'aléas généré dans ce qui est répercuté au sein du "sous-système recepteur" atmosphère terrestre, qui va elle même en fonction de sa composition et dynamique du moment, intensifier ou avoir tendance à gommer les grandes impulsions solaires et planétaires. Dans le cadre d'une composition de l'atmosphère modifiée en CO2, cela peut-être envisagé. Mais, ce n'est peut-être que la très forte activité solaire qui en amont a amoindri les derniers hivers rudes. N'oublions pas en fait que nous avons trop peu de recul pour trancher... Je l'ignore, car je n'ai pas encore étudié la question, mais cela m'intéresse, car je présuppose que les conditions donnant lieu à des hivers rudes peuvent être précédé de signes avant-coureurs, répercutions là encore dans l'atmosphère terrestre des grandes évolutions du soleil et de la mécanique planétaire.Florent.
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Je suis très réservé à vrai dire... On constate que les hivers rudes arrivés depuis 1963 précisément ont l'ont été globalement moins. Est-ce là un éniemme effet du réchauffement climatique contemporain ? Impossible de le dire et le prochain hiver rude sera très utile pour s'en rendre compte un peu plus. Mon intuition est toutefois (on entre là dans la pure spéculation), que cet hiver attendu entre décembre 2004 et février 2007 sera plus intense que 1997. Il devrait être à peu près du niveau de 1985, si le réchauffement climatique a un impact sur l'intensité des hivers cycliques, pire dans le cas contraire rejoignant 1940, ou même 1963 qui était tout même très exceptionnel dans cette catégorie des hivers cycliques. Florent.
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Le schema probable des periodes agreables et desagreables est proposé par mes soins et par Frédéric Decker. Voir dans le bilan de la situation au 1er juin 2004 . Il n'est pas à prendre au pied de la lettre, car des différences importantes peuvent intervenir à tout moment : comme en mars et en juin dernier comme les courbes de Chateauroux le montre. Il s'agit plus d'un objet théorique (pour ne pas dire ludique) destiné à voir que dans le passé, certaines périodes de ces années là se sont montré systématiquement fraiches, mais c'est sans assurance que cela se reproduise aux mêmes endroits en 2004. On peut davantage tirer quelques enseignement pour l'avenir en terme d'évolution mensuelle, ces courbes très proches se traduisant pas des corrélation plus identifiable à cette échelle. Florent.
