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lame2

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Tout ce qui a été posté par lame2

  1. Il y a principalement 2 dimensions à regarder: - une dimension à méso échelle: l'interaction entre les anomalies Atlantiques et le cut-off continental: la puissance de cette interaction aurait des conséquences sur la France quant à l'étendue d'un épisode neigeux et la limite entre l'air doux et l'air froid et donc entre la pluie et la neige(moitié sud largement privilégiée selon moi sauf peut-être les régions les plus méridionales, je radote hein et en plus je n'ai rien à gagner!). Cette interaction est surtout à surveiller à partir de mercredi après que l'air glacial Sibérien et stable aura débarqué massivement sur la France. - Une dimension à l'échelle synoptique: la propension qu'aura le blocage à se décaler vers l'Est ou non et à être réalimenté ou non à partir de l'Atlantique. Ces mouvements de grande échelle sont à surveiller à longue échéance à partir de jeudi et ils sont importants quant à la durée de cette vague de froid. Dans un contexte où le talweg continental est envisagé majoritairement être encore très présent sur la France à l'horizon de 192 h, le comportement du blocage sera crucial. C'est en plus un moment clef car le décalage vers l'Est de la bulle chaude sera entamé et devrait nous apporter un courant nordique potentiellement plus humide à partir de ce moment là. Mais ce décalage est encore mal cerné (normal vue l'échéance), Plus le décalage du blocage vers l'Est sera important, plus la bascule océanique du flux le sera aussi et vis versa. La fin de semaine reste en tous cas indécise mais avec un potentiel hivernal toujours important et majoritaire sachant que l'Atlantique sera encore bien calme et parsemé de petites anomalies capables de réalimenter le blocage ou de finir par faire basculer le talweg continental vers l'océan. Et puis il y a l'OVNI GFS 12z avec sa double attaque sur le talweg continental qui nous le fait fuire en 2 temps 3 mouvements (scénario bien improbable vue la conjonction en haut et en bas qu'il exige et vu son isolement au regard des autres modèles).
  2. Ce qui nous dérange peut-être plus ce soir sur GFS, c'est que, plus que l'interaction entre les anomalies qu'il modélise déjà depuis longtemps, c'est l'envolée de la crête du blocage vers le pôle. C'est donc la structure même du blocage qui est concernée, cette structure qui lorsqu'elle est bien en place avec un cœur Islandais comme sur les autres projections, permet au cut-off glacial de ne pas s'évacuer massivement vers l'Océan malgré l'interaction. GFS est minoritaire (isolé chez les déterministes) et il envisage quand même un sacré chamboulement des centres d'action. Et surtout, Il ne faut pas le lire à la lettre car à 500 km près la moitié nord resterait la semaine entière sous des conditions très hivernales.
  3. J'aime bien le dernier GFS 6z, plutôt esthétique : Si le repositionnement du blocage se précise un peu plus à l'ouest en 2ème partie d'échéance (modélisation majoritaire), avec la mise en place d'un flux Nordique, il serait de plus en plus probable que des anomalies glissent jusque sur la France. A suivre
  4. Outre la masse d'air particulièrement froide qu'elle nous envoie, l'autre marqueur de cette vague de froid est qu'elle est faite pour durer. C'est frappant de constater qu'à 240 h le blocage est toujours présent ainsi que le talweg continental au-dessus de nos têtes. Je comprends que les sudistes aient des sueurs froides à chaque sortie des modèles mais je reste convaincu qu'avec une telle situation, ils sont les plus exposés à des phénomènes hivernaux important à un moment ou un autre. Pour autant on remarque que le talweg Russe est accompagné d'un air glacial très stable avec une trajectoire très continentale, il installerait donc un temps très froid et très sec sur une bonne moitié nord mise à part sur les bordures de la Manche en 1ère partie de semaine. Pour le sud, l'interaction avec l'anomalie Atlantique reste largement à définir et, on l'a dit et répété, s'il elle se produit, elle provoquerait sans doute un épisode de neige important qui potentiellement concernerait une grande partie des régions du sud. Pour le reste, la 2ème partie de semaine est plus incertaine car la migration progressive du blocage vers l'Est pourrait permettre au flux de NE de se redresser et la masse d'air pourrait se déstabiliser sur la bordure ouest du talweg continental dans sa descente entre Scandinavie et Mer du Nord au contact de petites anomalies de surface mais c'est largement à confirmer.
  5. Paris plus fort que Québec à 850 hpa! C'est furtif mais quand même Oups je me suis trompé de topic!!! Tabernacle!! Je dois être un Québécois contrarié !
  6. Oui pour le moment mais c'est trop tôt pour se prononcer réellement. Pour la moitié nord, on remarque quand même que plus le talweg continental circulerait dans une trajectoire rectiligne de la Mer du Nord vers le Golfe de Gascogne en 1ère partie de semaine prochaine, plus il pourrait entrer en interaction avec une anomalie de surface potentiellement présente sur le bord oriental du blocage en Mer du Nord. A partir de là un front organisé pourrait descendre sur le nord de la France (par exemple scénario 10 GEFS). Pour que ce soit envisageable il faut que le talweg interagisse tardivement avec les anomalies Atlantiques ou très au sud. Effectivement dans les situations autres, les talweg glacial à tendance à s'étaler vers l'ouest et seul l'air glacial très stable descend sur la moitié nord. Tout ça sera à suivre de près lorsqu'on s'approchera de l'échéance mais c'est évidemment beaucoup trop tôt pour s'avancer pour le moment. Et de manière anecdotique on peut juste pour le moment noter le potentiel en l'illustrant notamment par le petit creusement dont faisait référence Virgile dans un post tout à l'heure. Sinon évidemment, la moitié sud semble beaucoup plus exposée pour le moment à un risque de neige important.
  7. Ce blocage ressemble à une sorte de lame2 fond (tiens j'ai peut-être enfin trouvé la signification cachée de mon pseudo ridicule ) qui balaie tout sur son passage. Les anomalies Islandaises qui un temps nous ont fait craindre qu'il ne verrait jamais le jour et les anomalies Atlantiques qui balayaient en 2 temps 3 mouvements la goutte froide continentale(sur certaines projections) ne font finalement pas le poids face à l'ampleur extrême des mouvements de grande échelle. Très vite j'ai été frappé par la modélisation de l'emballement méridien précurseur de ce blocage et le résultat pour l'Europe occidentale et la France risque bien d'être à la hauteur de ces mouvements exceptionnels et encore jamais vu auparavant pour moi. Pour la France,Je suis en phase avec la chronologie des événements proposée par Ciel d'Encre ci-dessus. Et la moitié sud semble clairement largement exposée à des phénomènes neigeux importants même s'il reste, à l'heure actuelle, quelques doutes sur la latitude qu'arrivera à atteindre l'advection douce associée à l'anomalie Atlantique du milieu de semaine prochaine et sur l'exposition au risque des régions les plus méridionales.
  8. Il y a des éléments récurrents et solides sur nos modèles et d'autres qui sont toujours sujets à discussion ce matin. Les éléments solides sont les suivants: - le cut-off glacial est envisagé s'étendre de manière systématique sur les modèles au moins sur la moitié nord du pays - le blocage est lui envisagé être durable et s'étendre de façon rétrograde vers l'Islande puis le Groenland alors que sa position initiale se situait sur la Mer de Norvège. Ensuite, il y a un élément moins bien maîtrisé par les modèles et de petite échelle qui concerne l'interaction de l'anomalie Atlantique avec le cut-off glacial. On voit que cette interaction a un impact direct sur la capacité de l'air glacial à descendre largement vers le Sud du pays. Sur une partie des modélisation, l'interaction serait telle que l'air glacial serait "rapidement évacué" vers l'océan. Mais on remarque aussi que cette interaction est un élément déterminant pour humidifier la masse d'air et provoquer un conflit neigeux majeur sur la France. Et, de mon point de vue, les mouvements de grande échelle modélisés se poursuivre sur le LT et notamment le replacement du blocage envisagé plus à l'ouest bouleverseront durablement la circulation des centres d'actions de sorte que même si l'air doux gagne vers le nord du fait de l'interaction de l'anomalie Atlantique, l'air froid en embuscade au nord devrait redescendre très vite vers le sud. C'est ce que tend à envisager de plus en plus la modélisation et cette anomalie peut réellement être une aubaine pour les hivernophiles qui attendent de cet épisode hivernale qu'il apporte également de l'agitation.
  9. L'ENSCEP sensé être hyper lissé ressemble même à un déterministe ce soir jusqu'à 240 heures! Je ne résiste pas au plaisir de le poster de bout en bout :
  10. En fait il me semble qu'il y a 2 éléments importants: - la réalimentation (CEP) ou pas (GFS) du blocage entre 120 heures et 140 h qui accélère (GFS) ou pas (CEP) l'interaction avec le cut-off continental. Vous me suivez . Dans la modélisation d'une interaction prématurée, GFS est globalement suivi par son ensemble. Mais la majorité des scénarios envisage une interaction moins démesurée que le déterministe, ce qui fait que le cut-off continental reste longtemps majoritairement positionné sur la France générant un conflit neigeux au contact de l'air doux soulevé par l'anomalie Atlantique. Le CEP envisage une interaction plus tardive car rendue un temps impossible par la présence du couloir d'alimentation du blocage. Le cut-off glacial a tout le loisir de s'épanouir sur la France et l'interaction, lorsqu'elle se produit est faible et génère un conflit neigeux sur une bonne partie du SE. Ce scénario me paraît beaucoup plus cohérent avec la synoptique globale d'un blocage massif tel que l'envisagent les modèles. Et puis à 1.5 pvu, on a l'impression d'un bug lorsqu'on voit GFS coller le talweg Atlantique à l'advection chaude depuis plusieurs runs, à moins qu'il s'agisse de la traduction numérique de météociel qui bugge mais je constate le même chevauchement bizarre des anomalies sur infoclimat.... - le 2ème élément qui me semble important et la migration modélisée depuis plusieurs runs de notre blocage en direction de l'ouest: d'abord l'Islande puis le Groenland. Cette tendance devient lourde sur les modèles. Et, dans un contexte où le cut-off est majoritairement envisagé continuer à tourniquoter au-dessus de la France avec la mise en place éventuel d'un flux plus nordique lié au repositionnement du blocage provoquerait une nouveau décrochage polaire cette foi-ci! On serait reparti pour un tour. Et l'interaction se poursuivant toujours plus ou moins fortement avec les anomalies Atlantiques, on pourrait aboutir à des scénarios dantesques qui semblent pour autant cohérents avec le blocage incroyable qui est projeté beaucoup plus tôt entre 120 et  144h, (vous savez le genre de cartes qui tapissent désormais la chambre de Virgile ).
  11. Comme plusieurs l'ont souligné, prenons les étapes les unes après les autres. Attendons déjà de connaître le positionnement et le comportement du blocage initial (grosses différences de ce point de vue entre GFS et UKMO notamment). Et franchement j'ai du mal à croire qu'avec l'ampleur du blocage envisagé et les bouleversements de circulation à grande échelle induits, que l'incursion glaciale soit balayée si rapidement par une circulation de SO. J'ai même le sentiment que si l'interaction se met en oeuvre (ce qui est probable dans la configuration type GFS moins sur CEP 0z et UKMO), ce serait le jackpot de phénomènes hivernaux pour les régions soumises au conflit de masse d'air. D'ailleurs GEFS même s'il envisage aussi cette interaction, le caractérise majoritairement par un conflit hivernal marginalisant le scénario déterministe dans les projections minoritaires.
  12. Ca me paraît très prématuré de parler du temps sensible sur la France pour la semaine tant que la configuration n'est pas complètement calée (timing, importance de l'invasion glaciale, durée, capacité à s'étendre...) On a encore beaucoup trop d'incertitudes sur le début d'échéance pour commencer à faire des projections de ce côté. Et les phénomènes de méso-échelle sont obligatoirement très mal appréhendées et ils auront toute leur importance au moment venu quant à l'humidité éventuelle et à la température au sol. Mais chaque chose en son temps.
  13. Oui les modèles nous offrent un festival ce matin et rivalisent entre eux pour nous sortir le scénario le plus extrême! Et l'ensembliste n'est pas en reste d'ailleurs, il n'y a quasiment plus de scénario qui n'envisage pas que l'air glacial continental ne parvienne pas au moins temporairement jusqu'à nous (scénario 12 uniquement, je crois avec malgré tout un blocage). Il y a donc une tendance lourde pour que le blocage draine jusqu'à nous le cut-off Russe. Pour autant, il reste encore pas mal d'inconnues concernant notamment la capacité du cut-off à descendre vers le sud et à se maintenir durablement ailleurs. De ce point de vue, il faudra regarder comment les modèles gèrent les interactions avec les anomalies Atlantiques et comment ils font évoluer la tête du blocage. Dans les scénarios minoritaires dans lesquels les froid glacial n'est pas durable (de moins en moins nombreux maintenant), il y a souvent conjonction entre interaction talweg Atlantique/cut-off et migration de la crête vers l'Est (scénario 8 par exemple). Mais pour prendre un peu de hauteur sur la PE en regardant ce qu'elle modélise majoritairement et en recadrant avec les déterministes, on remarque que la tendance est plutôt à un repositionnement du blocage vers l'ouest (Islande, voir Groenland) après que le drainage glacial nous ait atteint. Si cette tendance se confirme, les 2 interrogations soulevées au-dessus devraient vite se dissiper. Il faudra alors surtout regarder les interactions Atlantiques éventuellement sources de conflits neigeux importants. -
  14. Bizarre, je ne sais pas ce qui s'est passé, c'est le scénario médian ENSCEP que je croyais avoir posté En fait, il y a un pb avec les copier-coller à partir de wetterzentrale
  15. Il y a 10 jours les modèles avaient finalement remarquablement bien anticipé la mise en place d'une circulation très méridienne de la semaine à venir. Seule la rapidité de mise en place était mal gérée. Surprenant quand même.
  16. Avec un blocage comme celui envisagé par les modèles et pas seulement par le CEP, je pense que l'air glacial descendrait assez largement vers le sud du fait de la dynamique qui le porterait et de l'inertie. Même les diagrammes espagnols qui jusqu'à présents étaient plats, commencent à réagir à l'envahissement glacial (timidement certes, mais ils réagissent).
  17. GEFS a choisi le camp de la vague de froid au moins pour la moitié nord avec seulement 4 scénarios qui n'envisagent pas l'invasion glaciale continentale.
  18. UKMO est actuellement le déterministe qui éveille le plus de doute concernant la capacité de la goutte froide continentale à venir sur la France du fait de la position très nordique qu'il envisage de la crête du blocage. Pour autant, il est difficile d'en tirer des conclusions pour la suite: impossible notamment de savoir si le blocage serait réalimenté ou non à partir de l'Atlantique en regardant les cartes qu'il modélise à 144 h. En tous cas GFS et GEM avec des projections différentes et un timing différents continue à envisager un blocage suffisamment solide pour drainer jusqu'à nous le bloc glacial. GEFS semble lui maintenant assez catégorique avec seulement 4 scénarios qui envisagent que l'air glacial continental ne nous atteindrait pas. Pour tous les autres, ils atteignent au moins toute la moitié nord: le diagramme va prendre une grosse claque.
  19. Oui et GFS 6z réduit cette interaction par rapport à sa projection 0z. Le 6z envisage un "regain méridien" lié au cyclonisme généré par le talweg Atlantique assez cohérent dans le contexte général, au niveau du centre Atlantique en direction de l'Islande à partir de 120 h: L'interaction entre talweg Atlantique et cut-off continental se ferait alors bien plus au nord (vers l'Islande et plus tard). La majeure partie du retour d'est nous atteindrait. L'autre élément à surveiller serait l'advection douce soulevée par ce même talweg Atlantique visible sur l'animation ci-dessus qui limiterait l'avancée de la goutte froide venue de Russie vers le sud.
  20. Oui c'est vraiment une synoptique exceptionnelle qui est projetée à j+7. Je serai tout de même très étonné que que l'air glacial ne s'écoule pas jusqu'à nous avec de tels mouvements méridiens. D'ailleurs GFS 6z envisage un peu plus "d'ascension" sur le flanc oriental du blocage entre Islande et Groenland entre 120 et 144 h: ce qui ralentirait l'avancée du talweg Atlantique. C'est ce fameux talweg Atlantique et son avancée vers l'Est ou le sud, qui pourrait par projection de tourbillon subtropical ou par interaction avec les anomalies continentales, empêcher l'air glacial de déboucher jusqu'à nous.
  21. Nos modèles n'ont pas avancé ce matin dans l'appréhension des différentes problématiques, l'écart-type des T850 continue à totalement exploser à partir du 23-24. Cette circulation méridienne qui "bouleverserait" les différents centre d'action pose visiblement de gros difficultés d'appréhension. Dans cette situation, une foule d'éléments sont importants. Sans être exhaustif, les points à clarifier sont notamment ceux là: - Évacuation de la tête du blocage vers le pôle - position de l'affaissement de la partie initiale de l'isolement - Rupture du talweg continental en cut-off - réalimentation du blocage à partir du proche Atlantique - interactions entre le talweg Atlantique et le talweg continental -.... Sur tous ces points les modèles divergent et évoluent différemment en fonction des runs. Pour autant ils convergent quand même pour modéliser que le décrochage polaire continental migrerait depuis l'Europe de l'Est jusqu'à l'Europe de l'ouest avec une grosse interrogation pour la France: Les déterministes, le plus souvent envisagent que ce décrochage nous atteindrait, au moins partiellement et au moins temporairement. Dans cette sorte de chaos, le CEP depuis avant hier soir reste finalement assez stable dans sa modélisation et dans la configuration synoptique qu'il propose avec un blocage ancré en Mer de Norvège qui finirait par nous soumettre au décrochage glacial. Ça reste loin et semé d'embûches.
  22. Si le poète Loon revient nous voir, c'est qu'il se passe vraiment quelque chose de spécial sur nos modèles ! Allez je ne résiste pas à poster le diagramme de Paris qui commence (peut-être) à nous dessiner une tendance très hivernale (avouez qu'il y a comme une inflexion): En tous cas, je retiens que dans la zone sensible basse du blocage, même s'il y a une divergence entre nos 2 principaux modèles GFS et CEP (isolement du blocage pour l'américain et renouvellement constant pour l'autre) les 2 convergent pour nous envoyer l'anomalie glaciale continentale pour l'instant. Il y peut-être effectivement un signal. Il est presque 2 heures du matin, demain ce ne sera peut-être plus qu'un mirage mais je profite de l'instant! C'est parfois bon de laisser suspendre le temps... comme un flocon dans le ciel.
  23. Oui GEFS a notamment ça en magasin: Ou ça par exemple: Et en terme d'écart-type ça donne ça: Bon, c'est hors topic, j'espère qu'on me pardonnera mais "l'impact" s'il a lieu, se ferait sur le topic suivant sans doute.
  24. Sinon, rappelons que le CEP de ce matin "ne se souciait pas" de l'évacuation de la tête du blocage puisqu'il laissait la porte du proche Atlantique ouvert à la circulation méridienne sur tout son run: Il pointait d'autres motifs d'attention davantage liés au positionnement initial du blocage. Nous verrons ce soir comment il fait évoluer tout cela.
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