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Gombervaux

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Tout ce qui a été posté par Gombervaux

  1. Les efforts consentis pour analyser plus finement que la maille du modèle ne relève que de l'expérience personnelle.C'était l'objet de la théorie Norvégienne qui tirait partie de bases de données expert, pour tenter de s'approcher d'un modèle dont la maille était de 500km. La maille actuelle du modèle Aladin (qui peut porter d'autres noms suivant le pays où il est utilisé) est inférieure à 10 km, et le pas de temps de l'ordre de 20 minutes , il me semble. La maille du prochain Arome sera de l'ordre de 2,5km, et le pas de temps de l'ordre de la minute. Le couplage avec un modèle global ne se fait que pour le run d'initialisation, puisqu'au échéances suivantes , ils ne seront plus superposables, le modèle plus fin révelant des phénomènes qui ne peuvent pas apparaitre dans le modèle plus large. La taille de la maille peut être limitée effectivement par le nombre de mesures , mais il ne s'agit pas en l'occurence de stations météos. On peut envisager la pixélisation satellitale (entre autres mesures en altitude.), puisqu'il peut être utilisé l'assimilation de données ultérieurs par l'inversibilité du tourbillon potentiel.
  2. OK, mais c'est quoi qui est pas bon, le capteur ou l'abri ou les 2?
  3. C'est vrai, ça , sans dec!Faudrait qu'ils rajoutent la couleur de la moustache (blanche de préférence) et l'assimilation variationelle de la goutte froide qui s'y forme
  4. Quoique, s'ils l'apellent Viagra, alors, j'achète
  5. Et pour la zone équatoriale Pacifique (il me semble que la surface de la zone blanche est presque aussi importante que la surface pôlaire)?
  6. Bien sûr peut être même avant 1998. Donc j'en reviens à ma première proposition: Si ces cartes montrent un déficit, et en particulier sur une zone non fréquentée, c'est peut-être qu'il y manque des points de mesure (réguliers)!
  7. D'abord Al machin, il a lu ça dans la texte de Damien : ce qui contredit l'article wiki cité par Damien en dédut de discussion et qui prétend des systèmes embarqués sur les géosatationnaires et autres défilants.(les LEO sont les vols stratosphériques U2 et sont loin d'atteindre les 800km d'altitude))
  8. Pas les capteurs, effectivement, mais les moyens de synchro et de calcul n'ont plus rien à voir.
  9. Sauf que jusqu'à présent, des articles écrits au futur et au conditionnel ne font pas une réalité.
  10. Ok, si t'es sûr que la CIA a mis une Bolteck 36000km dans le MSG...
  11. Gratos : le prochain cunimb, je l'appelle Sarco
  12. Non, bien sûr... C'est la question du topic qui est ambigüe.C'est aussi la raison de ma première réponse... En réalité , tout est lié, et une situation d'hiver ne peut absolument pas se reproduire en été. J'ai fait une réponse théorique, valable uniquement sur un diagramme simplifié.
  13. A mon avis, il ne connait pas la réponse là non plus. Apparament, il croit que les sat géostationaires embarquent un bon vieux Canon pour faire leurs tofs.Bidon. Le principe de la prise de vue est celui de la giration et du balayage, un peu comme la télé : peut-on lire sur le site du CNES.Chaque point de la terre n'est donc lu qu'une fois tous les 1/4 d'heure. Même si un impacte de foudre était, par une coïncidence énorme, capté au moment du passage du rayon (imaginaire), la probabilité pour que ça se reproduise est trop faible pour réellement exister. De plus , ce qui se passe sous le sommet des nuages dont les plus haut voisinent les 10 km, alors que le cliché est pris de 36000 km ; c'est pas trop visible. Quand à la puissance du rayonnement pour qu'il soit visible à cette distance.... Quand aux défilants, quelle est leur durée de survol d'un cunimb? Je ne sais pas si à 800km les perturbations électriques peuvent être triées de façon à localiser les impacts. (voir les Bolteks à 800km) Le réseau Météorage a une maille inférieure à 200km...
  14. Disons que tu fais varier l'humidité! (ou la sécheresse) . Je suis d'accord avec toi, mais on ne parle donc pas de la même chose.J'avais répondu à la question : et que seul le profil vertical de température est translaté.
  15. Avec ces satellites détecteurs de foudre , météorage a du soucis à se faire /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
  16. Peut-être qu'il y a moins de points de mesure, et que les impacts sont moins bien comptabilisés? malgré un nombre équivalent
  17. Si toutes les autres conditions sont identiques, pas de raisons suffisantes que ce simple décalages de T° favorise la puissance de l'orage.
  18. Plutôt que parler des modèles en général, on va parler de GFS; puisque c'est une carte de ce modèle qui est citée. GFS nous donne sur plusieurs cartes différents indices d'instabilité. Ces indices sont calculés en fin de run , une fois l'état de l'atmosphère calculé pour chaque échéance. En aucun cas GFS nous donne la carte des endroits où se déclancheront les phénomènes convectifs. GFS nous donne des indices à nous de trouver où aura lieu la convection. Les phénomènes convectifs ne peuvent être pris en compte que par des modèles de maille de l'ordre du kilomètre; c'est pour celà que j'ai d'ailleurs, quelques doutes sur Arome (2,5 km); mais aucun doute sur l'incapacité de GFS ou Arpège ou CEP à traiter les phénomènes convectifs. C'est pour celà que quelque soient les calculs effectués sur les propres résultats d'un modèle, rien ne pourra être plus précis que ce qu'il a déjà donné. Il est impossible avec un modèle de 40 km de voir ou deviner un phénomène de 30 km d'étendue. Il est obligatoirement ignoré. De plus , il est impossible par exemple d'avoir de la pluie ailleurs que là où le modèle en a mis. Sinon, il ne serait pas cohérent.
  19. Non, l'atmosphère est calculée cellule par cellule, couche par couche et les profils verticaux sont générés après coup, à la demande, en général, terriblement lisses et pratiquement inexploitables.Beaucoup de personnes s'imaginent qu'on peut voir dans un modèle, plus que les sorties finales (pluies, humidité, vent et pression). Ce n'est pas possible: Chaque modèle est cohérent avec lui même de A à Z. Et puis la convection, dans les modèles actuels, elle est pas bien là :!: L'autre problème pour déceler la convection, c'est la mauvaise prise en compte des bases couches par les modèles. Il est clair qu'une zone instable au dessus de la 850 (indice KO) n'est pas une condition suffisante au déclanchement de la convection. Mais c'est pareil pour la CAPE. Si le modèle n'évalue pas bien la CIN (inibition convective) située essentiellement en basse couche, l'indice de Cape ne sert à rien.
  20. je comprends mieux le sujet de stormy-91 dans le forum météo environnement et société /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">/index.php?showtopic=18959'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?showtopic=18959
  21. Il me parait illusoire d'aller chercher quelquechose de plus, que ce que peut nous donner un modèle à maille large respectant l'hydrostatisme.les phénomènes inférieurs à la maille et au pas de temps n'existent pas et sont indécelables. Le modèle reste cohérent avec lui même.
  22. Exact, je suis entièrement d'accord.Le seul problème c'est que c'est financièrement hors de portée des amateurs qui ont bien du mal à maintenir des stations déjà un peu juste en qualité! ie: si tu veux faire de la recherche météorologique il te faut un réseau de stations d'un certain niveau (pro de base à 20 000€ l'unité) placées sur des sites exceptionnels.
  23. Si c'est le vent que tu cherches, pour le même prix tu peux avoir le top du top mieux qu'à MF avec un pas de temps inférieur au dixième de secondeT'auras la température et la pression. Et pas de partie mobile ! Cherche les "Sonic" Mais ça vaut le coup que si t'es bien situé. Si ton site n'est pas bon, ça fait plus "météo" ou "rustique" d'avoir une girouette et un anémo; plutôt qu'un engin qui ne bouge même pas!
  24. OUI (la météo s'occupe de l'air) D'abord un pléonasme : cisaillement = tourne avec l'altitudeensuite "on peut arriver à une situation" sûr, on peut, on peut... le reste approche le charabia... ou ça permettra rien du tout, suivant les circonstances (hauteur tropo, cisaillement, humidités) Je pense qu'il veut parler de la synchro ascendance, subsidence, car tout le reste : front de rafales, ou et extension verticale vont concourir à retourner vers un équilibre stable sans orage. (dispersion de l'énergie)les courants = les jets d'altitude et de basse couche.
  25. Ben si!moralité: quand vous vous rasez, faites pas comme le nounours, un geste maladroit peut avoir des conséquences funestes /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
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